Sole ea ieMees |
@ du tout-
, preservatif
Des travaux le montrent: parce quielles rédui
sang, les multithérapies feraient autant al
Vatifs. La prévention du sida serait-ellePa ao ee
Pater
Estimation du risque de transmission du VIM pour
Re eet eer et teen
eee ead
eer
eae ete el
Geena econ a
sida? Exitle dogme du 100 % pr
Rees ans ate ae nts
Seer emake eae
rersonnes infectées par le VIH en bonne santé (m
een eomecnoe
tc ee eae
tel point qu’anjourd hui, certains expertsles considérent
eee cet tne ata ee
poses oat
eee eee en ene ees
ui, le premier bouseulait les ceritudes en estimant
Ott ces eas a eee
Oy en oer eee
seraitquasiment pls contaminant, A peine un an plus
PT RSD eS anes acter re a
2009 > JUIN > SCIENGE & VIE 91— conte Te sid et le Conseil national rangais du sida
(GNS), partagent Ia position de la Commission federal
suise pours problémes lis au sda (CFS). Lai du cons
francais, qui det seniderérence aux auton stares
nationals, estime que “sur un plan indviduel, traitement et
présenatif nee dstinguent pos au egrd du ‘nsque 20"
Aimer qu'une personne séropostivetatée eficacement
atnés peu de risque de transmettre le VIH parvo sexuelle,
pesonne avait usqici sé aller aussi loin! Meme si Tavis
dela CFSs.aplique sous certaines conditions strictes—une
charge vile indétectable dans le sang depuis au moins pour rence, chez la majorité des personnes, Ia présence da
Six mois, un traitement suivi alte et absence Gautes virus indétectable dans le sang, Et ce, méme avec les test
infections senellementtansmisibles sa publication dans es plus récents, capables de repérer un nombre infime de
Te Bulletin des médecins sues, en janvier 2008, asuxcité des particule irae, jusqu/a 50 copiesiml de sang alors qua
‘éactons ofcellespourla plapatcirconspectes, Pourtnt, _momentodla personne stinfecte, elle peut avoir psieus
depuisdes années, lncommurautéscentfiqueadmetquele millions de copies de vins pa ml de sang
risque de transmision dépend dla charge vale, este
dtnauanttédevinsdanslesang mesuréegénérlementen SUR 400 COUPLES TRAITES, AUCUNE CONTAMINATION
snombve de patculesd vrs par mlilite (rl) desang, Or, Cette base drstiqueintenint dans les quelques semaines
ddminacrette charge viral en empéehantlaréplication du qusuiventla mise sous traitement du malade. Mais meme
‘iim et précsément le but ds taltements antirénoviraux. alors, le virus reste caché dans des régions “réservis” de
Tes rmlithérapis apparues en 1996 combinent plusieurs organisme (ate, gangionsIymphatiqus,ilestin..) La
clases dantréroviraux bloquantles diféente tapes dela personne infectée dit dan prende des antiretroiraux toute
‘multiplication du VIF. Une méthode suffsariment efcace sa vie pour garder le vinusconfiné dans ces “téservoirs. I
rempéche, Pusguellesabsisent la charge viral, ily a
tout lien de penser que les mulithérapis rduisent ipso
facto le risque de transmission. De Ia a reconnattre un
efit prevent individ), iy avait pourtant un pas que les
autotits sanitaire se refusaient i franchie. Et pour cause
de fOrganisation mondiale dela santé (OMS) 4 Onusida,
fen pasant par plusieurs coms dexpersnatonau, dont
“Sous antirétro-
viraux, le risque
de transmission
du VIH par acte
sexuel devient
trés faible”
Je Conseil national rangais du sida, les données restaient
“op préliminaies pour pemnette des recommandations
indivduetes” Toteos centsins cliniienstreprésentants
92 SCIENCE & VIE > JUIN > 2009