a,ll"oJ

louis:
n Je m0 $ui$ approrhe d'ells"gf
houm I
ilns gifle magi,sfrale !u
ffi :l,l_l"js 21 ans. Le week-e,nd, je venais pas facilemenr le,s jeunes filles, mais
lá il fal-
tr lelomore rnesamis au café, lé bar des
que je.suis enké, je I'ai vue, ses
lair que je tul parteífe- me ;"ññ*ú¿ a,;lr*
_rfes
longs cneveux er ( boum>> I un9 gfle magisráie en pleiné
blonds tombaient sur le
comproir. Miracie
$. F mode, id jupe; ;;
portaienr counes... Des jambes,.. n,áÉoráaiJ
I*lf ."¡.a'Ignlje íe 4rtaüñaáii prr. D,ha_
llrycg''.Je me serais énervé, mais'elle avait
le ualr rcltement rerrorisée que j'ai préféré une
explication. En bret, quelqu'un venair de
passerune main aux féss* et eile pensait que
lui
c'était moi. Je riais, presque.ont.níáeffi,H;

iffiliTg'fñ".',f,1'o?l;,iJl,!Hgffii,ti jii
Eue esr panle en.couranL écarlate. Le remps
.q:j.1.-_ig1qry9, eile avair dispáru. le suii
venu tous les iours en espéraht h ievoir, iil
eiie
n'érair jamais'tá n1ó. q,Éitñ; ;ina*ü' préi
senré sa nouvelle fiancée, étré-ni'*e páiláit
que de Marie, son-1nie..pe¡a iiti
voyair
lgyl]et .quarre., tes mariagies
ggurquoi pas; les enfanrc-aussi... r.e
ilió**un
"ous eL
¡oui ó,i
nous deüons-renconrrer certe .. me*eiiiü
j'átais nés énervé. SunouiÉ;;,ft. {
oe-iénl
conrrer cefte fille que je dtiwaii ioni. po",
faire piaisir á ¡our t'. n án¿.-.'üñ ;d.
.ffi¿
m'inrér-essair : ret¡ouver mt ,;bi;n¿el.-ri
puis, elle esr enrrée, pónuii'üne peilte
jup_evichy er un pull F_ll*
bleu,";á-m;en souviens
encore. Nous sorñmes reslds un-üon
momen[
{"qs ce café, ensuire je I'ai ramenée.ñ.iiiii.
Trois mois aprés norie rencontre, nous nous
sommes [tances. Nous vouiions nous marier
parrir deu<.ans en rugérie. ñóü
111i: i.ai.O¡i
nous écnvions rcus les jgurs. R mon retour,
nousnoussommesmariés.r .:- .
" p¡opos recueillis par
Judith BON