Lrobservation de la physionomie, des dé-
marches, des habitudes, conduit aussi @une
maniére cortaine & Ia divination des secrates
pensées et du caracttre des hommes. Des
formes de la téte et de la main on peut tirer
de précieuses inductions ; mais il faut tenir
compte toujours du libre arbitro de 'homme
et des efforts qu'il peut faire avec succes pour
corriger les tendances mauvaises desa naturo.
Tt faut savoir aussi quinn bon naturel peut
wv dgpraver, cf quo souvent les meilleurs do-
vionnont tos plus mauvaislorsqwils sont volon-
tairomont dégeadés ot corcompus, Lu s
Jos ot infaillibles lois de Péquilibro
at aussi nous aider & prédire la dest
pourra ar
Un homme passionné qui so jette dans des
* exeds périra par ces excts mémes, ou sera
fatalement repoussé dans les oxeds contraires.
LE POINT £QUILIBRANT
Toute la puissance magique” est dans le
point central do l’équilibro universel. .
La sagesse équilibrante consiste dans cos
quatre yerbes : Savoir le veai, vouloir le bien,
aimer le beau, faire co qui est juste ! parce
que le vrai, lo bien, le beau ot le juste sont
inséparables, en sorte que celui qui sait le
vrai ne peut s'empécher de vouloir le bien,
de Paimer parce qu’il est beau et de le faire,
parce qu'il est juste.
Le point central dans Vordre intellectuel
ot moral c’estle trait d’union entre ta science
et la foi. Dans la nature de Phomme ce point
central est le milieu daris lequel s’unissent
Yame et le corps pour identifier leur action.