Professional Documents
Culture Documents
La porte plume
La maigrelette Elle pète
Elle s'envolera un jour de tempête
La maigrelette promène son squelette Un jour de grand vent
Les pieds dans des chaussures idiotes
La maigrichonne, elle s'rait presque mignonne Les linges de nos mères
Sous ses lunettes
Le linge de nos mères
{Refrain:} sent bon dans les armoires
Elle tient pas droit, la maigrelette, la lavande et le grand air,
On la touche du doigt c'est beau juste de les voir...
Elle pète
Elle s'envolera un jour de tempête Le linge de ma mère
Un jour de tempête est plus blanc plus blanc que blanc
Même quand nous étions enfants,
La maigrelette, elle mange que des miettes elle en faisait son affaire.
L'été quelques griottes
La maigrichonne voudrait être une matronne Et sous nos ventres ronds sera-t-on les filles de
Tête de linotte nos mères?
Qui menaient tout de front de manière
{au Refrain} exemplaire...
La maigrelette, elle a un cœur plus gros qu'elle Dans les maisons de nos mères,
Que personne n'accepte de porter sous son aile c'est classé irréprochable,
La maigrichonne jamais ne se console on boit dans de jolis verres,
De trop aimer y'a des bouquets sur les tables...
Et sous nos ventres ronds sera-t-on les filles de Je vais m’en aller, mon grand âge ne me permet
nos mères? plus
Qui menaient tout de front de manière De rester
exemplaire...Et sous nos ventres ronds sera-t-on J’ai usé le quai avec mes pas, rien n’est venu
les filles de nos mères? Me chercher
Qui menaient tout de front...Je sais pas si...je Mais qu’est ce qu’il a ce train trois,
saurais faire... Peut-être n’existe-t-il pas ?
Je me laisse aller à rêver de ce vieux trains trois, "S'il avait su mon père
Il est beau Que je s'rai las dernière
Il est rouge je crois ressemble à Il m'aurait peinte toute entière" ( 2x )
Un vélo
Mais qu’est ce qu’il a celui là Mais c'est pourtant très clair
Je ne suis pas féconde (sifflements)
Et de n'pas voir mon derrière
Ça les plombe Quand j'suis sur le pas de ta porte,
On ne fait pas marche arrière Quand je fais la fille forte dur comme la pierre et
Avec des bombes la roche,
Ils redeviennent poussière Y'a des mouchoirs dans mes poches et puis plein
Et il succombent ma valise,
Je pense au temps des cerises.
"S'il avait sun mon père
Que je s'rai la dernière J'ai vu des bouts de ma vie
Il m'aurait peinte toute entière" ( 2 x ) Dans tes pupilles mon ami
J'ai vu (j'ai vu) et j'ai grandi
C'est le début d'une ère
Une nouvelle onde Ne plaquons pas nos amours,
Pour la toute première Et c'est au fil des jours,
Des dames du monde Qu'elles se remplissent de trésors,
C'est le début d'une ère Nous aurions tort
Pour la belle de la tèrre
Pour Miss Joconde... (Sifflements)
"La toute dernière des filles du monde" ( 4x ) Et tout les bouts de ma vie
Resterons chez vous mes amis
Les manteaux Resterons chez vous mes amis
D'avoir la fêve, ce serait le rêve Ils étaient rêches on est d’mèche comme des
Etre sans peine, ta reine vieilles sorcières
Une grande dame, une femme
Un deuxième toi-même Refrain (x2)
De nous non Alors vient pas m’faire croire, qu’t’es le roi d’la
terre ou,
J'ai peur des araignées, des trapézistes, des
Qu’t’es content d’me voir parce que mon petit
arriérés
père
Des vieilles histoires et des martiens
Ce soir c’est moi qui gère
Des lendemains d'soirées (mais de nous non)
D’ailleurs enlève ta main et passe ton chemin
De la guerre si, des bombes aussi
parce que
Du bruit, des trous, des pièges
Des gens, des poules, d'la pollution (mais de nous
Moi, je suis callée sur la lune...
non)
Comme la marée et les loups-garous
Des fleurs qui meurent, la vaisselle casse
Si dehors tout à l’air si doux
Du gris et des fillasses
Méfie-toi de l’eau qui dort (x2 + refrain x2)
Des pies qui jacassent
Du cri du nourrisson (mais de nous non...) Le citronnier
De l'hiver, du ski, du soleil, du vent et des
méchants J'partirai avec mon citronnier sous l'bras
Des fantômes et des abeilles Et j'aurai plus qu'l'amitié qui m'restera
Des bruits bizarres dans la maison (mais de nous C'que j'aurai l'air bête,
non) Mais ce sera bien fait pour moi
De la crotte de chien du pied droit, des angines et
des clous Puis j'irai pleurer dans d'autres bras
Du compte à sec, du ratafia, Et tout éternellement recommencera
Des beaux garçons C'que j'aurai l'air bête,
(mais de nous non...) J'le savais tout ça
Elizabeth devant sa garde-robe Elle est sûre qu’il est propre elle l’a lavé hier
A 8h25, se ressaisit Un cadeau de sa belle-mère
Elizabeth devant sa garde-robe Et elle cherche, fouille, et puis, hop !
Décide de s’habiller en gris Elle le trouve en boule sous une pile d’affaires
Sur la porte t'as mis un autre nom J'suis contente d'avoir trouvé un compagnon
Tu voulais te cacher Qui met un p'tit peu d'recul dans mes chansons
Tu es un lâche mon garçon Pas le poids des années mais
Mais ça je savais Un signe de maturité
Et j'me dis ça pour m'consoler
Alors que je suis frigorifiée Pour m'rassurer.
J'te vois venir de... l'escalier
Avec un petit rire étouffé Le blues de ragnagnas
Tu me dis :"T'es pas sur le bon palier !"
Aujourd'hui, j'me sens nulle, j'me sens moche
Faut pas m'parler j'veux rester dans ma bulle
Et depuis sur ton paillasson, il y a toujours la clé !
Aujourd'hui, j'suis qu'une cloche
Ch’veu blanc J'me suis réveillée avec mes yeux dans les poches.
Ta p’tit flamme
Oû que tu sois
C'est douloureux dedans
En salle au bar ou en terrasse
C'est douloureux dedans
Le salopard que tu as terrassé
Mon amour est écœurant
Sera juste en face
Je t'aimais mieux avant
A bien te fixer
C'est douloureux dedans
Mon amour
Va-t'en
Fais abstraction du forcené
Regarder la lumière Par l'attraction encore sonné
Par ses pulsions désarçonné
J'ai baissé la tête, Par ses pensées
J'ai ôté mon chapeau, Quoi que tu fasses
Sans jouer les vedettes, Mon coeur je te piste à la trace
Sans la vie de château. Le bonheur me pisse à la face
Rien ne me grise
A l'évidence, Je bois la tasse
Je vais payer pour mon imprudence. C'est dégueulasse
Oû que tu sois
Regarder La Lumière, Que les beaux jours reviennent ou non
Que tu partes faire la saison Petite princesse
En la compagnie de ce fort joli garçon C'est pas l'heure de la grand-messe
Charmante hôtesse
Mon amour je voudrais t'agrandir Qu'as-tu fait de ta jeunesse ?
Mon amour je pourrais tout subir Dans la Merco Benz
Dans ta bouche C'est de l'espoir que je caresse
Qui que tu baises
Des bimbos ou de grands balèzes Petite connasse
Des didos ou des pieds de chaises Pourquoi tu fais ta radasse
En trio ou sur les falaises Petite pétasse
Une femme obèse Qui montre rien en surface
Je serai là Qui veut qu'on l'embrasse encore
L'embrasse encore
A jardin à cour sur la scène
A Hèzincourt sur la FM {x4:}
Mon amour hélas
Dans le four de ta pizza reine Le temps passe
A BIR HAKEIM
Oh mon amour Le temps passe
Moi la pire des tes hantises Mon amour hélas
Celui qui paiera ton gin fizz Mon amour hélas
Quand tu t'es grisée, brisée Le temps passe
Oh mon amour
J'ai perdu plus que la raison La garçonnière
Reclus dans le feu de notre maison
Allongez-vous, enlevez presque tout, secouez vos
Et sous le coup de vexation
bijoux,
De playstation
c'est pas la peine de faire comme si c'était bien,
Dans la Merco Benz taisez-vous, mettez-vous à genoux, moi je reste
debout,
Petite princesse c'est pas la peine d'etre à la hauteur pour rien
Ma beauté, ma promesse penchez vous, relevez vos froufrou, ne faites pas
Ma petite faiblesse l'amour,
Ma plus belle histoire de fesses mais dites moi encore : je suis ta putain
Dans ma mercedes regardez-vous, en sueur le rose aux joues, et des
C'est de l'espoir que je caresse bleues de partout,
Souvenir suprême de mon plus beau problème on vous croirais presque passé sous le train,
Dans ton abdomen, tout nouveau spécimen rhabillez vous, rejoignez votre époux, au baiser
Joue à la crème aigre doux,
C'est de l'espoir que je promène c'est pas la peine de faire comme si c'était bien
si tu m'aimes un peu, je t'aime un peu, c'est tout
{x4:} rentrez chez vous, prenez un bain de boue, même
Mon amour hélas un bain à remou pour oublier à quel point c'était
Le temps passe très bien ou c'était trop bien
rendez-vous, près du tout à l'égout, ne portez
Mon amour hélas rien en dessous,
c'est pas la peine de faire comme si c'était bien De savoir qu'on s'est fait la guerre,
(X4) Qu'on s'est fait la paix.
N'écris pas,
De beaux souvenirs
N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes,
Pour les songes de nuits d'été
Ne demande qu'à Dieu, qu'à toi si je t'aimais.
Plutôt crever que de mourir
Au fond de ton silence, écouter que tu m'aimes,
Sans de beaux souvenirs
C'est entendre le ciel sans y monter jamais.
N'écris pas.
N'écris pas,
N'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes,
Ne demande qu'à Dieu, qu'à toi si je t'aimais,
Au fond de ton silence, écouter que tu m'aimes,
C'est entendre le ciel sans y monter jamais.