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Une auteur, trois films, des différences

Agnes Jaoui avait crée trois pièce de théâtre qui ont été portés à le grand écran. Dans
le trois films elle fera aussi d’actrice et de scénariste. Cuisine et dépendances sera
porté à l’écran en 1991, Le Goût des autres sera porté en 2000 et Comme une image
en 2004. Dans ces deux dernières Jaoui fera aussi de réalisatrice.

Agnes Jaoui nous plonge dans un monde quotidienne de famille, de travail où les
sentiments sont toujours en effervescence... il n’existe pas de la routine. La critique
social, le dramatique et l’ironie mordante jouent avec la tendresse. La lucidité des
mots nous font rire d’une société hypocrite. La recherche du soi tombe en une
péripétie où les personnages se rejoignent et s’éloignent pour mieux se connaitre et
pou comprendre l’autrui. Mais à la fin, des films très agréables à voir grâce a cette
tendresse qui émane des personnages triviaux mais très lucides en son argumentation.

À chaque film, un personnage prend un rôle dominant plus dramatique que les outres.
Et chaque film concerne surtout une étape de la vie différente.

Les personnages incarnent des personnes typiques : une femme au foyer de quarante
ans, une grosse jeune fille et un homme d’affaires d’âge mûr. Ces personnages auront
a sont autour des autres personnages aussi typiques où le spectateur saura s’identifier.
Personnages avec ses conflits quotidiens.

Mais il sera la grande expressivité de ses personnages et le jeu des différences entre
eux qui les donnera leur propre poids dans la pièce. La lucidité des personnages
marque un grand rythme dans la pièce qui sera renforcé ou modulé par la musique.

Jaoui présente en critiquant ironiquement les valeurs de la société actuelle. Chaque


film montre aussi les recherches du soi en une différente étape de la vie :

Cuisine et dépendances : Les conflits d’une femme de famille. Martine est débordée
par sa famille et ses amis. Elle et son mari ont invité une vielle couple d’amis a souper.
À la maison on se trouvent aussi le frère de martine qui est un fripon et un ami qui
habite avec eux parce que il n’a pas de travaille ni d’argent par le moment. La vie des
vieux amis s’a développe de manière très diffèrent et les comparassions et le jugement
par les différents comportements portent Martine à l’hystérisme. Chacun essaye de se
débrouiller dans la vie comme il peut. Autant les personnages bons comme les
mauvaises en valeurs font rire le spectateur avec un rire tendre et amer. Mais surtout
on voit le conflit d’une femme au foyer qui n’arrive à aimer sa vie et qui se juge et se
compare avec des autres femmes qui ont acquis une reconnaissance sociale ou qui
sont plus belles face aux hommes.

Le Goût des autres : Les conflits d’un homme d’âge mûr. Comme le titre nous indique,
ce film examine les goûts des personnages, des goûts différents, et comme cela
complique et enrichisse les relations. Castella est un homme d’affaires décadent que
ne trouve pas le bonheur ni dans sa famille ni dans son travaille. Mais il tombera
amoureux de sa professeure d’angles, Clara, qui est comédienne.

Comme une image : Les conflits d’une jeune fille. Lolita n’est pas très belle et pour ça
la société la condamne et elle se condamne aussi. Son père ne la valorise pas non plus.
Elle recherche son identité dans de diverses activités qu’elle n’arrive pas à réussir.

Le thème de l’art a une place importante dans l’œuvre de Jaoui. Et cet art joue un rôle
important dans les personnages. Martine fait lésons de danse pour se désestresser.
Mais Jaoui ne nous donne pas une solution au conflit. Castella devienne un spectateur
de théâtre. La découverte de cet art lui donne du bonheur. Et Lolita réussi à son chant
lyrique. Spectateur ou chanteuse, receveur ou performant d’art. Deux positions face à
l’art qui aident à la quête du soi et du bonheur. Jaoui décrit parallèlement les
difficultés économiques qu’on y trouve dans le monde de l’art : être écrivain ou actrice
de théâtre donne beaucoup de difficultés face à les avantages économiques d’être
entrepreneur.

L’hypocrisie humaine est montrée aussi dans le trois films. Pour avoir des influences
dans le domaine professionnel ou pour attirer de l’argent. Dans Cuisines et
dépendances Fred représente le désir de l’argent pour l’argent. Dans Le goût des
autres, un ami de Clara profite de la sympathie de Castella pour lui vendre des
tableaux et des projets. Ici on voit le côté snob des artistes et quelque fois sa
médiocrité. Dans Comme une image, le bout n’est pas économique sinon de
recherche des influences par une reconnaissance publique.

Chaque film mis en scène des femmes différentes et la femme en différents époques
de sa vie. Martine, la femme au foyer. Manie, femme célibataire et libre. Lolita, jeune
fille. Dans Cuisines et dépendances il y a un personnage extérieur à la scène (qui
n’apparais pas mais que l’on y parle) : Marylin qui semble avoir les caractéristiques les
plus dégoutants du mythe.

Le scénario de cuisine et dépendances est un scénario presque théâtral. L’histoire se


déroule en sa plus grande partie dans une cuisine. Les autres deux films ou Jaoui agit
comme réalisatrice, elle efface complètement le scénario dramatique. Ce scénario
filmique devienne plus réel en s’éloignant du comique qu’on trouve en Cousine.
L’auteur cherche le réel pour acquérir une identification plus profonde dans le
spectateur. La mimesis théâtrale s’efface à la recherche de l’identification.

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