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AAU

Acte administratif unilatéral= c’est un acte pris sans notre consentement (différent d’un contart)

Administratif = Il s’agit d’un acte pris par administration en vue d’agir dans le bien commun (càd un
acte d’intérêt général)

C’est tout acte qui est pris par une personne dans le cadre d’une action d’intérêt général.

1 L’auteur

C’est donc une autorité administrative. Pour que l’auteur prenne un AAU il faut qu’il ait une
compétence à agir. C’est sa capacité à modifié l’ordre juridique existent.

A- Les deux dimensions de la compétence

Dimension matérielle/objective : C’est le fait que la compétence est relative à la conduite prescrite
ou autorisé au contenu de l’acte (dit autrement à la matière qu’il traite/à son objet)

Dimension personnelle/subjective : Dimension personnelle de l’auteur

B- Les deux expressions de la compétence.

Le pouvoir lié = obligation de l’administration d’agir. Exemple : l’abstention est une irrégularité

Le pouvoir discrétionnaire = administration doit agir par nécessite et non par légalité exemple : dans
le cadre des pouvoir de police.

2. Le contenu

Le contenu de l’acte est sa disposition (c’est en quelque chose les clauses des ctt) c’est en quoi il
change l’ordre juridique des choses. C’est une norme ou un ensemble de normes, elles sont
purement administratives. L’ AAU fait naitre des obligations de droit (pour l’admin et le sujet de
l’acte). Ces droits et obligations renvoient donc au sujet de l’acte, juridiquement il n’y a donc aucune
différence entre les sujets de l’acte (ceux sur qui il agit) et les destinataires de l’acte (se sont les
mêmes personnes).

3. Les coordonnées de l’acte (lieux et moment)

L’AAU s’applique à un territoire donné.

Chapitre 4 : Le contrôle de la légalité le Recours pour excès de pourvoir (REP)

4 formes de recours devant les juridictions administratives cf cours déjà vu.

Le REP est un recours contentieux mais tendant à l’annulation d’une décision administrative et fondé
sur la violation par cette décision d’une règle de droit. « il est ouvert même sans texte et a pour effet
d’assurer conformément au principe généraux du droit le respects de la légalité » cela provient d’un
arrêt du CE pris en assemblé le 17 février 1950, arrêt Dame Lamotte. Il permet donc de demander au
juge administratif de prononcer l’annulation d’une acter éditer une personne morale de droit public
ou par une personne morale de droit privée pourvu de prérogative de puissance publiques. C’est un
procès qui est effectué à un acte et non a une personne. C’est un recours d’utilité publique dont
l’objet est la sauvegarde de la légalité. Il faut un intérêt donnant qualité à agir

NB :

- Le déféré (déféré préfectorale) : C’est le recours par lequel le préfet dans le cadre de son
contrôle de la légalité des actes administratifs pris par les collectivités locales/territorial et
par lequel il demande au juges d’annuler l’un de ces actes constituent une forment
particulières de recours pour excès de pouvoir. (c’est une personne à caractère privée qui va
attaquer un acte administratif pris par une administration) [contrôle de la légalité = la
préfecture établit la validité d’un acte pris par une collectivité territorial le déféré
préfectorale annule l’acte administratif]
- Le REP s’oppose au recours de plein contentieux (qui comprend les recours d’indemnisation)
mais aussi aux procédures répressives (contravention de grandes voiries ou des sanctions
disciplinaires prisent par une juridiction)

Section 1 : Les conditions de recevabilité :

Avant d’être jugé sur le fond une requête doit être appréciée du point de vue de sa recevabilité c.à.d.
que le juge doit se demander s’il faut juger l’affaire (conditions respectées). Si les conditions ne sont
pas respectées alors le juge déclare la requête irrecevable.

Paragraphe 1 : La requête :

Il faut qu’il y ai la signature du requérant, une copie de la décision attaqué, une précision des moyens
et que le tout soit en français. Le délai pour déposer un REP est de 2 mois à conter de la publication
des actes réglementaires ou de la notification des décisions individuelles. Une décision confirmative
n’ouvre pas un nouveau recours de contentieux. En cas de silence de l’autorité compétente au bout
de 4 mois on considère qu’il s’agit d’une décision de rejet.

Cf schéma cours

Paragraphe 2 : Le requérant :

Le requérant doit avoir la capacité d’ester en justice et un intérêt suffisant pour agir. Pour l’intérêt
pour agir le principe est « pas d’intérêt pas d’action » s’applique de manière restrictive, l’intérêt n’est
pas forcement personnel mais il doit considérer une catégorie d’administré délimité.

Les intérêts directs et indirects : le juge admet les intérêts indirects

Intérêt individuel et collectif : La recevabilité d’action corporative (reconnue par la jurisprudence


depuis 1906) joue un rôle social important car les administrés isolés connaissent mal les droits. Les
« class Actions =regroupement pour avoir un seul procès » sont interdites en France.

Dans la mesure où l’intérêt est certain et suffisamment délimité il peut avoir un objet aussi bien
matériel que moral.
Paragraphe 3 : L’acte attaqué :

Le REP est recevable que contre un acte qui est à la fois normateur (producteur de norme) et
unilatéral.

Section 2 : Les cas du REP

Il s’agit des moyen d’annulation qui ont été progressivement dégagé par le Conseil d’état de façon
prétorienne/jurisprudentielle de l’acte administratif. Le requérant qui demande l’annulation d’une
decision administrative doit invoquer necessairement un moyen d’annulation qui se ratache soit à la
légalité externe soit à la légalité interne de l’acte attaqué.

Paragraphe 1 : Les moyens de la légalité externe

Paragraphe 2 : Les moyens de la légalité interne

Paragraphe 3 les excès du REP

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