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f (x) = 2 a au moins une solution dans [0 ; 1].

α ∈ [– 3 ; + ∞[, g(0,2) < 0 et g(0,21) > 0, g étant strictement


c) De plus f est strictement croissante sur [0 ; 1] donc croissante sur [– 3 ; + ∞[, 0,2 < α < 0,21.
l’équation f (x) = 2 a une solution unique dans [0 ; 1]. c) D’après l’étude des variations de g :
• si x ∈ ]– ∞ ; α[, g(x) < 0 ;
Problèmes de synthèse • si x ∈ ]α ; + ∞[, g(x) > 0 ;
41 - 1. a) f est dérivable sur R et f ’(x) = x3 – 3x + 4. • g(α) = 0.
b) f ’ est dérivable sur R et f ’’(x) = 3(x2 – 1). 3. a) et b)
2. a) et b) x – 0 ! +
x – –1 1 + f (x) + 0 – 0 +
f (x) + 0 – 0 + 0
f(x)
6 + f(!)
f (x)
– 2 c) La 1re conjecture est donc fausse.

• f ’ est décroissante sur [– 1 ; 1] et croissante sur [1 ; + ∞[, B. 1. g(α) = 0 donc eα–1 = 1 et


α+2
donc pour tout x de [– 1 ; + ∞[, f ’(x) > f ’(1). 2 2 3
α α –α
f ’ ne s’annule pas sur [– 1 ; + ∞[. f(α) = – = .
α + 2 2 2(α + 2)
• f ’ est continue, strictement croissante sur ]– ∞ ; – 1],
–x2(x + 3)
lim f ’(x) = – ∞ et f ’(– 1) = 6 donc l’équation f ’(x) = 0 2. a) Pour x ∈ [0 ; 1], h’(x) = , h’(x) < 0.
x→– ∞ (x + 2)2
admet une solution unique c dans ]– ∞ ; – 1]. Donc h est décroissante sur [0 ; 1].
c) – 2,2 < c < – 2,19. b) α ∈ [0 ; 1] donc h(1) < h(α) < h(0), c’est-à-dire :
3. a) f ’ est croissante sur ]– ∞ ; – 1] et f ’(c) = 0 donc si 1
– < f (α) < 0.
x ∈ ]– ∞ ; c] alors f ’(x) < 0 et si x ∈ [c ; – 1] alors f ’(x) > 0. 6
D’après la question précédente, pour tout x de [– 1 ; + ∞[, (On peut aussi écrire h(0,21) < f (α) < h(0,2).)
f ’(x) > 0. 3. a) L’équation f (x) = 0, s’écrit :
b) 1
x – c + 1
x2 ex–1 –
2 2
= 0.

f (x) – 0 + Elle admet pour solutions 0 et 1 – ln(2), ce sont les abs-


+ + cisses des points d’intersection de # avec l’axe (x’x).
f(x) b) L’étude du sens de variation de f montre que # est
f (c)
au-dessous de l’axe (x’x) sur ]– ∞ ; 1 – ln (2)] et au-dessus
c) f ’(c) = 0 donc c3 = 3c – 4 et c4 = 3c2 – 4c. sur [1 – ln (2) ; + ∞[.
1 3 c) La 2e conjecture est donc fausse.
f (c) = (3c2 – 4c) – c2 + 4c
4 2
C. 1.
3 3c(4 – c)
= – c2 + 3c = . x – 0,2 – 0,15 – 0,1 – 0,05 0 0,05 0,1
4 4
f (x) – 80.10 – 4 – 41.10 – 4 – 17.10 – 4 – 4.10 – 4 0 – 3.10 – 4 – 9.10 – 4
d) c < 0 donc f (c) < 0.
D’après les propriétés de f résumées dans le tableau de x 0,15 0,2 0,25 0,3 0,35 0,4
variation, le polynôme f admet deux racines. f (x) – 16.10 – 4 – 20.10 – 4 – 17.10 – 4 – 3.10 – 4 27.10 – 4 78.10 – 4
42 - 1. f est croissante sur [– 3 ; 2].
2.
2. Sur ]– ∞ ; 0], # est au-dessous de l’axe des abscisses et sur
[0 ; + ∞[, # est au-dessus de cet axe.
A 1. Pour tout réel x,
f ’(x) = 2xex–1 + x2ex–1 – x = xg(x).
2. a) Pour tout réel x, g’(x) = (x + 3)ex–1, g est strictement 2 · 10– 3
décroissante sur ]– ∞ ; – 3] et strictement croissante sur 0,1 0,2 0,3 0,4
[– 3 ; + ∞[. – 0,2 – 0,1
b)
x – –3 +
g (x) – 0 +
–1 +
g(x)
g(– 3)

g(– 3) = – e–4 – 1 < 0.


D’après les propriétés de g, l’équation g(x) = 0 possède une
unique solution dans R.

Chapitre 5 - Langage de la continuité et tableaux de variation 67 ■

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