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1. INTRODUCTION
2. Ti ET ALLIAGES
• Ti: élément métallique mais n’existe pas sous forme de minerai mais bien d’oxydes tr. tech-
nologiques spécifiques pour l’avoir à l’état pur. Svt combiné à d’autres éléments: médical, aé-
ronautique.
• Z=22, métaux de transition: 3 d insaturée couche d’oxyde spontanée en surface (oxy-
de=céramique), très adhérente, régulière, combinaison de: TiO2 (la plus importante), TiO3,
Ti(OH)5 biocompatibilité.
• 2 formes cristallographiques: transfo.allotropiques.
HC=ᵩα → (882°C) CC= ᵩ β
• Ti commercialement pur ou Tcp: all Ti et oxygène, ᵩ α ( all. pas oxyde !) , différentes compo-
sitions suivant taux d’O2. α donc HC. Aussi couche d’oxydes. Implants existent en grade 4
maintenant.
Tcp grade 1 2 3 4
(Ti= 99,6%)
Ar 30 28 25 20 (↘30%)
En dehors des pièces usinées, le titane n’est pas beaucoup utilisé en prothèse:
• Transformation allotropique
‣ ∆V > de α (HC compacte 74%) à β problème cuisson céramique. On ne peut pas
passer t° de transfo allotropique sinon contraction quand on sort la pièce du four céra-
miques basse fusion
3.1. COULEE
3.4. CFAO
3.5. TCM
• utilisation des céramiques basse fusion (cf liaison CCM via couche d’oxydes, opaque): cf
transfo allotropiques
• varier éléments addition pour améliorer α (Vanadium)
4.3. R CORROSION
‣ Très bonne car couche d’oxyde spontanée. E0= -1,63 V pour Ti, -0,86 V qd couche
d’oxyde. Passivation, avec humidité, v du son inertie chimique, base de l’ostéointé-
gration.
‣ En milieu oxydant: neutre ou réducteur inhibé.
‣ Attention HF ou mil. acide avec ions F- (ex acide acétique vinaigrette,plaque,...: libère
HF): attaque, corrode rapidement titane ! Attention pas de gouttières + fluor. Idem avec
HCl, H2SO4... cf: voltampérogramme, au lieu de se passiver devient corrodable, perd sa
protection.
‣ Nobles, sol. physio: Ti non allié> TA6V>NiTi> Co-Ni-Cr-Mo > Cr-Co-Mo > acier inox ortho
> Ni non allié
5. PROPRIETES BIOLOGIQUES
‣ Endo, ortho.
‣ Svt 50% atomique Ni et Ti, pfois ternaires Ni-Ti-Cu
‣ Alliages à mémoire de forme, biocomp. et R à la corrosion. (arcs ortho) (stents, agraphes
osteosynthèse,...)
‣ Superélasticité (instruments endo)
‣ Mémoire de forme:
‣ effet thermoélastique cad au niveau macroscopique, déformation importante du mate-
riau métallique, dans une configuration déterminée à l’avance, sous le seul effet d’une
var. de t°.
‣ au niv. microstructure, du à une transf. martensitique (cisaillement du réseau)
‣ Superélasticité:
‣ au niveau macroscopique, forte déformation de l’alliage induite par une faible contrainte
(ortho: déplacement> avec ɕ de faible intensité).
‣ au niv. microstructure, du à une transf. martensitique à t° cste, sous l’effet d’une ɕ
‣ réversibilité totale, déf. purement élastique.
‣ Transfo. martensitique:
‣ Ms (premier grain se transforme en austénite), Mf / As et Af: écarts de t° entre t° transfo
au chauffage et au refroidissement= Hystérisis (schéma)
‣ Cisaillement dans structure martensite qd passe en austénite car martens via t° a vo-
lume plus élevé contraintes internes se relâchent via cisaillement dans tous les sens:
variantes de martensite (24 directions possible, parois d’antiphases+ bandes de ma-
clage corresp. zones de cisaillement en bloc du réseau). Volume final identique (≠
compensée par cisaillement). (schéma).
‣ NiTi: à haute t°, austénite, C simple de type CsCl (ou B2) (sol sol ordonnées) schéma
‣ NiTi: à basse t°, martensite, cubique monoclinique de type B19’ A→M avec contrainte, qd on
supprime contrainte, revient à sa structure stable austénitique.