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Veterinaire D Urgence Geneve

Les chiens et les chats qui sont présentés au veterinaire de garde Geneve lors d’urgences
veterinaires Geneve manifestent toutes sortes de pathologies. Certains animaux ont peut être déjà
été soignés dans une clinique vétérinaire Genève quelques jours auparavant. Puis soudainement
le problème s’empire lorsque la clinique vétérinaire de Genève est fermée. Il faut alors appeler
SOS vétérinaire ou trouver de toute urgence un vétérinaire de nuit. Lorsque les jours féries se
suivent, il n’est pas rare que le veto de garde change a plusieurs reprises. Ainsi un animal malade
peut être amener à voir plusieurs vétérinaires de garde Genève ou même plusieurs cliniques
vétérinaires Genève. Souvent le vétérinaire de garde qui reçoit ainsi votre animal malade a bien
du mal à se rendre compte de l’évolution de la maladie puisque les examens et les soins
précédents ont été faits dans une autre clinique vétérinaire de Genève part un autre vétérinaire de
garde.

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Beaucoup de propriétaires de chiens


et de chats préfèrent choisir un
vétérinaire qui assure lui même les
urgences vétérinaires pour ses
propres patients. Ainsi ils sont
assurés que tous les soins sont prodigués dans la même clinique vétérinaire par le vétérinaire qui
suit l’animal tout au cours de l’année. C’est un grand soulagement de voir des visages que l’on
connaît dans un environnement familier lorsqu’une urgence vétérinaire survient. C’est un réel
réconfort tant pour vous que pour votre animal.

Voici quelques exemples d’urgences vétérinaires Genève:

Manifestations cutanées des maladies internes du chien

Les manifestations cutanées des maladies internes commencent à


être bien connues chez le chien, même si leur étiologie et leur
pathogénie ne sont pas toujours élucidées. Elles sont d'une très
grande diversité clinique et en relation avec des maladies internes
variées. Leur connaissance est importante car ces lésions cutanées
entrent dans de nombreux diagnostics différentiels et apparaissent,
pour certaines, précocement avant les symptômes de la maladie
interne sous-jacente. Enfin, certaines de ces manifestations cutanées
constituent des syndromes paranéoplasiques cutanés. Sont
envisagées la dermatofibrose nodulaire, l'érythème nécrolytique
migrant, la dermatomyosite, les calcinoses, les amyloses, les
xanthomes cutanés, le syndrome d'automutilation podale et le syndrome syringomyélie.

Extrait EMC: Manifestations cutanées des maladies internes du chien E. Guaguère, T. Hubert, A. Muller; Clinique
Saint-Bernard, 598, avenue de Dunkerque, F, 59160 Lomme, France; Clinique Saint-Bernard, 598, avenue de
Dunkerque, F, 59160 Lomme, France; Clinique Saint-Bernard, CHRU, Inserm Erit-m 0106, 1 place de Verdun,
59045 Lille, France.
Intoxications

Lors d'intoxications, il est indispensable d'instaurer aussi rapidement que possible un traitement,
car la vie de l'animal en dépend ; il n'est en général pas question d'attendre la confirmation du
laboratoire d'analyse. Aussi, même dans l'impossibilité de mettre en place un traitement
spécifique, un traitement général d'urgence, non spécifique, s'avère indispensable pour tenter de
sauver l'animal.

Ce traitement non spécifique peut être appliqué pour la plupart des toxiques, indépendamment de
leur nature. Il sera complété si possible par un traitement spécifique, dans la mesure où un
diagnostic étiologique aura pu être établi. Ce traitement d'urgence doit avoir plusieurs buts :
préserver les fonctions vitales de l'organisme, empêcher toute résorption supplémentaire de
toxique qui ne serait pas encore parvenu dans la circulation générale, éliminer le toxique déjà
résorbé dans l'organisme. Ce traitement doit s'accompagner de mesures préventives pour limiter
tout contact ultérieur avec le toxique et empêcher le renouvellement de l'intoxication.

Le traitement d'urgence a pour but de protéger les fonctions vitales de l'organisme et de


combattre éventuellement les troubles cliniques, notamment les convulsions qui peuvent mettre
en péril la vie de l'animal. Il importe tout particulièrement de mettre en œuvre une assistance
respiratoire, une assistance cardiovasculaire, de contrôler la température corporelle et de
supprimer les convulsions

1. Suppression de la résorption du toxique – Les voies digestives et cutanées sont les


deux principales voies d'entrée des toxiques chez l'animal. Un certain nombre de moyens
thérapeutiques peuvent être mis en œuvre pour éviter la pénétration dans la circulation
générale du toxique présent soit dans le tractus digestif, soit à la surface du tégument.

2. Arrêt de la résorption digestive du toxique – On peut limiter la résorption digestive du


toxique soit en favorisant sa sortie du tractus digestif, soit en le neutralisant dans le tube
digestif. La dilution du toxique dans le tube digestif avec du lait ou de l'eau est en règle
générale à proscrire. Le lait a la fausse réputation de posséder un pouvoir antitoxique,
c'est-à-dire de neutraliser les toxiques. En réalité, il favorise au contraire la résorption des
toxiques liposolubles en facilitant leur mise en solution. L'eau n'est indiquée que pour
diluer les substances très corrosives.

3. Vidange du tractus digestif – La vidange du tractus digestif consiste à vider l'estomac


et/ou à accélérer le transit digestif pour limiter la résorption digestive du toxique.

4. Élimination du toxique – Il faut par ailleurs favoriser l'élimination du toxique présent


dans l'organisme. En pratique, on peut accroître l'élimination rénale du toxique et, en cas
d'insuffisance ou d'atteinte rénale sévère, y suppléer par le recours à la dialyse
péritonéale.

5. Élimination rénale du toxique – La voie rénale est l'une des voies majeures
d'élimination des déchets de l'organisme et des xénobiotiques. Lors d'intoxication, on
peut favoriser cette excrétion rénale, en augmentant la diurèse et souvent aussi en
modifiant le pH des urines pour limiter la réabsorption tubulaire passive de certains
toxiques.

Extrait EMC: Traitement général des intoxications chez les carnivores domestiques. Jean-
Dominique Puyt : Professeur, Gérard Keck : Professeur

Diarrhée

La diarrhée est une manifestation clinique qui peut s'exprimer à tout moment de la vie d'un
animal : chez le chiot ou le chaton, les troubles digestifs connaissent volontiers des formes aiguës
dont l'évolution peut être très favorable ou mortelle. Chez l'adulte, la diarrhée peut aussi perdurer
des semaines ou des mois, et nécessiter un grand nombre d'examens complémentaires avant
qu'un diagnostic précis soit émis. En effet, la diarrhée chez les carnivores domestiques résulte
potentiellement d'un très grand nombre de perturbations d'origine métabolique ou de lésions
strictement digestives d'étiologie variée.

Après un bref énoncé des particularités cliniques et des mécanismes physiopathogéniques


générateurs de la diarrhée, le but de cet article est de proposer une démarche diagnostique
cohérente au clinicien. Cette démarche doit s'intégrer dans un contexte clinique précis,
distinguant la diarrhée aiguë de la diarrhée chronique, ces deux entités nécessitant une séquence
d'examens complémentaires et des protocoles thérapeutiques différents.
Extrait EMC: Diarrhée chez les carnivores domestiques; Dr Valérie Freiche : Docteur vétérinaire, chargée de
consultation vacataire en gastro-entérologie .Unité pédagogique de médecine, école nationale vétérinaire d'Alfort,
7, avenue du Général-de-Gaulle, 94704 Maisons-Alfort cedex France.

Pyomètre de la chienne

Le pyomètre ou « complexe pyomètre/hyperplasie glandulokystique de l'endomètre » est une


affection particulièrement fréquente chez la chienne. Consécutif à un dysfonctionnement du
métabolisme de la progestérone, il est observé pendant la phase lutéale du cycle sexuel de la
chienne et caractérisé par la présence de pus en grande quantité dans la lumière utérine. La
symptomatologie n'étant pas univoque, des examens complémentaires sont nécessaires pour
confirmer le diagnostic qui doit être établi précocement pour prétendre obtenir la guérison.
L'évolution est en effet rapide et de très mauvais pronostic. Le traitement classique est
l'ovariohystérectomie

Extrait EMC: Pyomètre de la chienne


(Complexe pyomètre/hyperplasie
glandulokystique de l'endomètre) C. Dumon:
Docteur vétérinaire 161, chemin de plateaux,
78520 Saint-Martin-la-Garenne, France
Manifestations cutanées des maladies internes du chien

Les manifestations cutanées des maladies internes commencent à être bien connues chez le
chien, même si leur étiologie et leur pathogénie ne sont pas toujours élucidées. Elles sont d'une
très grande diversité clinique et en relation avec des maladies internes variées. Leur connaissance
est importante car ces lésions cutanées entrent dans de nombreux diagnostics différentiels et
apparaissent, pour certaines, précocement avant les symptômes de la maladie interne sous-
jacente. Enfin, certaines de ces manifestations cutanées constituent des syndromes
paranéoplasiques cutanés. Sont envisagées la dermatofibrose nodulaire, l'érythème nécrolytique
migrant, la dermatomyosite, les calcinoses, les amyloses, les xanthomes cutanés, le syndrome
d'automutilation podale et le syndrome syringomyélie.
Extrait EMC: Manifestations cutanées des maladies internes du chien; E. Guaguère, T. Hubert, A. Muller; Clinique
Saint-Bernard, 598, avenue de Dunkerque, F, 59160 Lomme, France; Clinique Saint-Bernard, 598, avenue de
Dunkerque, F, 59160 Lomme, France; Clinique Saint-Bernard, CHRU, Inserm Erit-m 0106, 1 place de Verdun,
59045 Lille, France

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