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URGEL Eva
GERMAGNAN Elodie
milieux sociaux.
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1) Questions préparatoires :
a) Le capital culturel se présente sous trois formes: dans un premier temps, l'habitus culturel. Il
se construit par socialisation successive et comprend par exemple l'aisance sociale et la
capacité à s'exprimer en public. Ensuite , ce sont les biens culturels. Pour s'approprier un
bien culturel, il faut être porteur de l'habitus culturel. Et pour finir, ce sont les titres
scolaires. Un titre scolaire s'évalue sur un "marché": celui des titres scolaires. Sa valeur est
relative et dépend de sa position au sein de l'échelle toute relative des titres scolaires. C'est
notamment la valeur d'un titre qui permet de se monnayer ensuite, par exemple, sur le
marché du travail ou sur le marché des productions de biens culturels.
b) En 2005, 66% des cadres et professions intellectuelles supérieures allaient au musée et
aux expositions au moins une fois par an.
c) oui, les écarts constatés dans le document 2 relèvent d'inégalités économiques car
globalement les cadres et professions intellectuelles supérieures ont un taux d'équipement ménagés
en multimédias et en automobiles ainsi que leurs pratiques culturelles est largement supérieur à
toutes les autres catégories sociaux professionnelles. En effet, en 2004, 82% des cadres et
professions intellectuelles supérieures détenaient un téléphone portable alors que les autres
catégories sociaux professionnelles ne dépassent pas le seuil des 79%.
Mais ces écarts ne sont pas seulement dus à des inégalités économiques, ils sont aussi dus à
des inégalités sociales. On constate que leur environnement social détermine leur choix de loisir. En
effet, en 1987, 46% des cadres et professions intellectuelles supérieures allaient au théâtre au moins
une fois par an contre seulement 8,6% des ouvriers.
2) Sujet à traiter
Vous montrerez que si l'on observe une tendance à l'homogénéisation des modes de vie en France, il
existe encore des clivages entre les milieux sociaux.
B) Explications
– progrès technique
– Trente Glorieuses
– réduction des inégalités grâce à l'Etat (impôts, discriminations positive, aides sociales c'est-
à-dire chômage RMI...)
– associations (croix rouge, secours populaires...)
B) Explications
– L'école n'est pas arrivée à réduire les inégalités car elle est plus ou moins convoitée selon
une certaine catégorie sociale,
– possibilité pour certaines catégories sociales comme les cadres d'acheter le temps des autres
comme le métier de femme de ménage
– habitus de Bourdieu
– la culture n'est pas accessible à tous. Car selon notre catégorie sociale, nous n'avons pas tous
les mêmes façons de vivre en groupe, tous les mêmes chances et les mêmes priorités...
Conclusion : Notre société met en place différentes politiques qui ont permis de diminuer les écarts
entre les classes sociales. Cela va se traduire par une homogénéisation des modes de vie. Cependant
demeurent des inégalités que mêmes ces politiques n'ont pu effacer, car les problèmes sont d'ordre
social et ainsi proviennent de fondements qui sont difficiles à transformés.