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PorstEs. 37 du hieos, et lorsque passe la nacelle, il ui souhaite un bon ens muscles étaient nerves: ee entry ferme et fara che; ces ossements, pleins de moelle gucrriére; extte coupe était pleine. «Je passal dans les orages la moftié de ma vie; je donnal Vautre moitié au repos, ef tol, li-bas, nacelle des hommes, Yogue, rogue toujours! + ‘Aum cour ator, ge'tl poriaté A son coms Souvenir de jotes évanowies, 6 tol, que Je porte toujours & ron col, nous enchatnes-tu fous dewe plus longtemps que le Jien des amest Prolonges-tu les jours fugiifs de Vamour? Lili fai pu te fair! et fl me fant encore, avec ton lion, courir les pays étrangers, les foréts, les vallées lointaines! At le eceur de Lili ne pouvait sitdt se détacher de mon cour. Comme un oiseau, qui rompt le lacet ¢ retourne au bois, tratne apnés Tui un Bout de fil, signal de Peselavage; il n'est plus Toiscan dautrefois, Voisca né libre; it a conna tn maltre, Déltces de ta mélancotte. [Ne tarissez pas, ne tarissez pas, larmes de Yamour éternett Ant comme Ail encore humide 1¢ monde semble mort et gsert! Ne tarissez pas, uc tarissez pas, larmes de Tamour ‘matheureux | ‘Chane do nett da vorageurs ‘Toi qui viens du ciel, tot qui apaises toute pine et toute dowleur, qui verses donble mesure de rafraichissement & qui est dnublement matheureux, Ihélas je sus fatigué de ma vio agitée : que me veutent ot la douleur et la joie? Douce paix, viens, ah! viens dans mon eurt meme enfot Sur toes fs sommets est fe repos; dans tous es feuillnges tusens un soulle A peine; les oisctes se tasent dans Te bois ‘tends wn peu. blentot tu reposeras ausit

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