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Croyances et divinits :
Tout commence avec le mythe fondamental de rfrence :
Ce mythe tend expliquer le cycle de la vgtation et il
est lorigine de la croyance de la rsurrection.
Le mythe osirien.
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combat
les
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Amon
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C'est le roi des dieux (sous le Nouvel Empire), il dtruit le mal, chasse la
maladie,
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remdes.
Ptah
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Figure historique amplifi par le temps qui fut vnr et reconnu comme
un dieux ds le Moyen Empire. Il devient une divinit mdicale la Basse
Epoque.
Myone calcifi de l'utrus, tumeur bnine, trouv sur une femme ge de 35-45 ans.
Sayala, Nubie gyptienne, IIIe-Ve sicle aprs J.-C., Vienne, Naturhistorisches Museum.
Conclusion :
Pour quun raisonnement mdical puisse tre labor, il fallait que
les mdecins se dbarrassent dabords de lide que la maladie est due
lintervention de puissances surnaturelles, dieux ou dmons. Mais,
contrairement ce quon a souvent cru, les premiers signes dune
approche rationnelle des maladies sont apparus bien avant Hippocrate et
le miracle Grec. Dans des papyrus gyptiens antrieurs de plus dun
millnaire Hippocrate, on trouve dj, au milieu dun fatras de formules
conjuratoires, de conceptions mythiques et de superstitions, une tentative
de rationalisation des soins.
La pharmacope comprend, ct des fientes de mouche et
dautruche, des excrments de lion, de panthre, de crocodile et de
gazelle, tous ingrdients destins dgoter les esprits malins et les
faire fuir (certains dentre eux seront utiliss jusquau XVIIIe sicle), des
produits dont lefficacit est encore reconnue,tels la mandragore, la levure
de bire, la jusquiame, le pavot et lopium, et, pour les ophtalmies si
frquente aujourdhui encore en Egypte lalun, largile, le sel de cuivre.