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DIMENSIONNER EN EFFORT
L’ACTIONNEUR D’UN MECANISME
Il faut différencier les différents types de problème rencontrés en CPGE et que l’on cherche à résoudre à
l’aide des outils PFD (principe fondamental de la dynamique) et TEC (théorème de l’énergie cinétique).
Dans cette feuille d’étude de cas, nous nous intéressons uniquement au second type de problème, c’est-à-
dire à la détermination des actions mécaniques que doivent fournir les actionneurs d’un mécanisme pour lui
permettre de réaliser un mouvement imposé par son cahier des charges.
C’est ce type de problématique qui est le plus couramment rencontré dans les sujets de concours.
V
Vrap
Vlent
Bien que chaque cas soit différent et que seule la pratique et la confrontation à des situations différentes
permettent de se préparer à faire face à des problématiques complexes et/ou inédites, voici quelques conseils
en ce qui concerne la stratégie à adopter.
S’appuyer sur un graphe de structure sur lequel les actions mécaniques extérieures (poids, couple moteur,…)
et intérieures (vérins, ressort,…) apparaissent clairement. Sur ce graphe, il peut être intéressant de faire
apparaître les particularités des différents torseurs qui modélisent les actions mécaniques inconnues. Par
exemple :
- guidage en translation de direction x entre 1 et 2 motorisé par un vérin :
R12 x 0 et R1
vérin
2
x F
- articulation d’axe ( A, z ) entre 2 et 3 motorisée par un moteur :
M A,32 z 0 et MA,3
moteur
2
z C
Ces informations ayant pour but d’aider à choisir l’isolement et les équations du PFD à utiliser, qui,
rappelons-le, doivent être fait simultanément.
Utilisation du PFD :
Pour ne pas faire apparaître une action mécanique inconnue dans l’équation du mouvement, il faut soit faire
en sorte que la frontière d’isolement ne coupe pas l’action mécanique inconnue, soit cibler l'équation scalaire
du PFD qui va faire apparaître les composantes nulles des éléments de réduction du torseur de l'action
mécanique inconnue.
L’inventaire des actions mécaniques extérieures à l’isolement doit être réalisé à l’aide de torseurs en prenant
soin de :
- les écrire en indiquant une zone de validité de leur forme ou de leur expression la plus large possible.
m g z 0
Exemple : pes i ou 1
moteur
2
. Cela doit permettre de faciliter le choix
P(G,z ) 0 P C z
du point d’écriture dans le cas de l’utilisation du théorème du moment dynamique.
- tenir compte des hypothèses proposées : problème plan, prise en compte du frottement,…
Il est souvent possible, d’obtenir l’équation du mouvement recherchée à l’aide d’une seule équation scalaire
du PFD. Les cas couramment rencontrés sont :
- guidage en translation de direction x d’un solide dont on cherche l’équation du mouvement, le
théorème de la résultante dynamique en projection sur x permet d’utiliser le fait que Ri j x 0 ;
- guidage en rotation d’axe (O, z ) d’un solide dont on cherche l’équation du mouvemnt, le théorème
du moment dynamique au point O et en projection sur z permet d’utiliser le fait que MO,i j z 0 ;
Parfois, il n'est pas possible avec une seule application du PFD d'obtenir le résultat. Il faut donc réaliser
plusieurs isolements successifs, de proche en proche, en recensant bien à chaque fois quelles sont les actions
mécaniques inconnues et quelles sont celles qui sont devenues connues grâce à un isolement précédent.
Attention toutefois, car le TEC n’est vraiment bien adapté que pour les mécanismes ayant un seul degré de
mobilité :
- solide guidé en translation ou en rotation directement par rapport au bâti ;
- dispositif de transformation de mouvement. Dans ce cas-là, les paramètres de mouvement du
mécanisme sont liés entre eux et on a l’habitude d’exprimer l’énergie cinétique de l’ensemble des
solides en fonction d’un seul de ces paramètres et de l’inertie (plus rarement, la masse) équivalente.
Pour le calcul de l’énergie cinétique d’un ensemble E de solides Si en mouvements par rapport à un
référentiel R , on peut proposer la démarche suivante :
n
On décompose le système de solides E en solides élémentaires Si : Ec E / R Ec S / R i
i 1
Simple Complexe
Quelle est la nature du mouvement considéré ?
Mouvement de rotation autour d’un axe fixe (O, x ) de R Mouvement de translation
En quels points sont données les inerties ? par rapport à R
En O 1 2
Ec S / R m VPS / R
2
1 En G
I( O , x ) (S )
2
Ec S / R
2
1 1
I( G , x ) (S )
2 2
Ec S / R m VGS / R
2 2
En A , un point à S
En G centre de gravité de S En B quelconque
et fixe dans R
Ec S / R
1
2
S / R I A ( S ) S / R
Ec S / R
1
2
m VGS / R
2 1
2
S / R I G (S ) S / R
1 1
Ec S / R Rc S / R VBS / R B ,S / R S / R
2 2
Afin d’estimer de manière cohérente la puissance que doit pouvoir délivrer l’actionneur dans les différentes
phases d’utilisations du système, il est nécessaire de tenir compte :
des grandeurs cinétiques (masses et inerties à mettre en mouvement) influentes lors des évolutions
transitoires (phases d’accélérations de l’actionneur) ;
des phénomènes dissipatifs (frottements, pesanteur…) influents lors des évolutions transitoires et
lors du régime permanent (phases à vitesse constante de l’actionneur en général).
Le rendement mécanique est une notion associée à l’estimation des pertes de puissance dues aux phénomènes
dissipatifs liés aux frottements dans les liaisons.
Ps
On définit alors le rendement du système, comme étant : avec 0 1
Pe
d Ec E / R
En régime permanent, on a Pe Pd Ps 0 car la variation d’énergie cinétique est nulle : 0
dt
On peut alors évaluer en régime permanent, c’est-à-dire lorsqu’il n’y a plus de variation d’énergie cinétique,
la puissance dissipée dans les liaisons : Pd Pe ( 1) 0
Selon les énoncés, il est parfois donné : le rendement d’une liaison, le rendement d’un transmetteur
(réducteur, dispositif poulie-courroie,…), le rendement global de la transmission mécanique,…
n
Le rendement global d’une transmission comportant n éléments de rendements i est : i
i 1
Retenons donc que la notion de rendement ne devrait être utilisé qu’en régime permanent, lorsqu’il n’y a
plus de variation d’énergie cinétique. Cela signifie que le calcul de cette dernière n’est pas nécessaire lors
d Ec E / R
de l’application du TEC puisque 0.
dt
Cela dit, en pratique, on voit régulièrement dans des ouvrages ou corrigés de sujet de concours, la notion de
rendement utilisée aussi pour dimensionner l’actionneur lors du régime transitoire.
Cette pratique, qui implique donc le calcul de l’énergie cinétique pour appliquer le TEC, peut avoir pour
conséquence, selon la façon dont est défini le rendement utilisé, de majorer les puissances dissipées et ainsi
de conduire à un surdimensionnement de l’actionneur. En effet, si les pertes sont localisées à un endroit de
la chaîne d’énergie, la prise en compte du rendement telle qu’elle est présentée précédemment conduit à
l’appliquer aussi sur le complément de puissance nécessaire pour mettre en mouvement les masses et
l’inertie des solides situés en amont des pertes.
4. Tapis de course....................................................10
Outil Axe X
On s’intéresse à un centre d’usinage possédant 3 translations (X, Y et Z) et deux rotations (B et C). Une
telle machine est appelée machine 5 axes (un axe est un ensemble qui gère un des mouvements
élémentaire, translation ou rotation).
Sur cette machine, 3 axes sont utilisés pour mettre en mouvement l'outil par rapport au bâti (ce sont les
translations Y et Z et la rotation A) et 2 axes sont utilisés pour mettre en mouvement la pièce par rapport
au bâti (ce sont la translation X et la rotation B).
Objectif
Déterminer la valeur du couple maximal du moteur pour la loi de mouvement imposée.
Travail demandé
1. Isoler l’ensemble E = vis sans fin 2 + coulisseau 1 et déterminer, uniquement en fonction ωm , l’énergie
cinétique de l’ensemble E dans son mouvement par rapport à 0.
2. Par application du théorème de l’énergie-puissance, donner l’expression de la puissance fournie par
le moteur lors d’une phase d’accélération de l’axe Y.
2. Portes automatiques
Présentation
Portes automatiques
Modèle cinématique
On note :
- g , l‘accélération de la pesanteur orientée suivant z1 ;
- Cm , le couple moteur exercé par le stator sur le rotor ;
- J , l’inertie équivalente, ramenée sur l’axe du moteur, de toutes les masses et inerties autres que
celles des deux vantaux.
Objectif
Déterminer la loi entrée-sortie en effort Cm f (M ) en vue d’adapter les caractéristiques du moteur
électrique aux performances souhaité.
Travail demandé
1. Déterminer la relation entre 42 et 52 qui sont les vitesses de rotation respectives de 4/2 et 5/2.
2. Donner :
- la relation entre 42 et u21 la vitesse de déplacement du vantail 2 par rapport au bâti 1 ;
- la relation entre u21 et u31 la vitesse de déplacement du vantail 3 par rapport au bâti 1.
3. Déterminer l’expression de l’énergie cinétique de l’ensemble 2,3,4,5 dans son mouvement par
rapport au bâti 1.
4. Appliquer le théorème de l’énergie cinétique à dans son mouvement par rapport au bâti 1. En
déduire la loi entrée-sortie en effort recherchée.
5. Interpréter les différents termes de l’expression trouvée.
Schéma cinématique
Les barres A1B1 et A2B2 sont de même longueur et de masse négligeable. La barre A1B1 est liée à l’arbre
d’un moteur qui délivre un couple noté Cm . La matrice d’inertie de l’ensemble 1 = arbre moteur +
barre A1B1 est :
A F 0
I A1 (1) F B 0
0 0 C ( x ,y ,z )
1 1 1
Le mouvement imposé par le cahier des charges est défini par la caractéristique de vitesse représentée ci-
dessous :
Le temps T correspond au
temps de cycle pour que
évolue de 0 à 90 . Le temps
Ta correspond aux phases
d’accélération et de
décélération.
Travail demandé
1. Justifier, que dans cette étude, l’utilisation du théorème de l’énergie-puissance est particulièrement
adaptée.
2. Exprimer les torseurs d’actions mécaniques T13 et T23 dans la base (x1 , y1 , z1 ) , puis proposer,
sans la mettre en œuvre, la démarche utilisant le principe fondamental de la dynamique qui
permettrait de répondre à la problématique posée. On prendra soin d’indiquer la succession
d’isolements et d’équations du PFD utilisées.
3. Déterminer, à l’aide du théorème de l’énergie-puissance, l’expression du couple moteur Cm en
fonction de , de ses dérivées successives, des dimensions, des caractéristiques de masses et d’inertie
du mécanisme.
4. Pour chacune des phases lors de la montée de la marche, compléter numériquement le tableau ci-
dessous. On prendra M3 130kg , a 20cm , A 2,2 kg m , T 4,2s et Ta 1 s .
2
t (s) t t t
(rad)
( rad s -2 )
( rad s -1 )
(rad)
Cm f (t)
(N.m)
Énergie
dépensée (J)
4. Tapis de course
Présentation
On s’intéresse à un tapis de course dont on
donne une description structurelle ainsi qu’un
extrait de cahier des charges fonctionnel.
Moteur Poulie 1 A B C
Crémaillère
Hypothèses et données :
on se place dans le cas où le tapis est réglé à l’horizontale ;
la courroie 3, d’épaisseur négligeable, s’enroule sans glisser sur le rouleau 2. Le rayon d’enroulement
de la courroie 3 sur le rouleau 2 est Re 24,5 mm . La poulie 2 est liée au rouleau 2.
la courroie 4, d’épaisseur négligeable, s’enroule sans glisser sur les poulies 1 et 2, ainsi que sur le galet.
Les rayons primitifs de la poulie motrice 1 et de la poulie 2 sont respectivement Rp1 27 mm et
Rp2 44 mm ;
une étude préliminaire a montré que la présence d’un coureur de 115 kg entraine un effort résistant
tangentiel Tcoureur 3 230 N sur la courroie 3 ;
l’inertie équivalente des pièces en mouvement ramenée sur l’arbre moteur est Ieq 0,1 kg m2 ;
le rendement global du système mécanique est 0,9 .
Objectif
Valider le choix de la motorisation de la chaine fonctionnelle 1 vis-à-vis du cahier des charges.
Travail demandé
1. Déterminer la vitesse de rotation du moteur m en rad/s en fonction de la vitesse de déplacement
V30 en m/s de la courroie 3. En déduire la vitesse maximale du moteur m max lorsque la courroie se
déplace à la vitesse maximale indiquée dans le cahier des charges.
2. Déterminer l’expression du couple moteur C m nécessaire pour mettre en mouvement la courroie 3 en
régime permanent.
5. Grue de chantier
Présentation
On s’intéresse à une grue de chantier pour laquelle on distingue quatre
principales phases d’utilisation :
la distribution, déplacement du chariot le long de la flèche ;
le levage, déplacement vertical vers le haut ou vers le bas du crochet,
suspendu par l'intermédiaire du chariot ;
l'orientation, rotation de l'ensemble autour d’un axe vertical ;
la translation, déplacement de l'ensemble sur rail fixé au sol.
Le réducteur épicycloïdal, de rendement 1 , comporte trois étages cinématiquement équivalents dont les
caractéristiques sont les suivantes :
- les planétaires centraux, dont le premier est entrainé par le moteur, ont 18 dents ;
- les satellites 36 dents ;
- la couronne commune aux trois étages possède 90 dents, et est fixe par rapport au mât 0.
Le réducteur à axes fixes, de rendement 2 , est constitué d’un pignon B de 18 dents et d’une roue A de 153
dents.
L’ensemble 2 = porte flèche + contre flèche de centre de gravité supposé sur l’axe (O, z f ) , de masse
M2 et de matrice d’inertie :
A2 0 E2
IO (2) 0 B2 0
E 0 C2
2 xf ,yf ,zf
le contre poids 3 de masse volumique , en forme de parallélépipède rectangle dont les dimensions
sont indiquées sur la figure ci-après ;
la charge située à l’extrémité du crochet de levage (non représentée sur la figure ci-après) de masse
M supposée ponctuelle située en P telle que OP R x f H z f
Ensemble tournant
0
L’action du vent sur l’ensemble E est modélisée par un couple résistant : Tvent E avec CV 0 .
O CV z f
On néglige le moment d’inertie du rotor du moteur et des roues dentées des réducteurs par rapports aux
moments d’inertie des autres solides en mouvement.
La liaison pivot entre l’ensemble tournant E et le mât fixe 0 de la grue est supposée parfaite.
Objectif
Déterminer l’expression du couple moteur du dispositif d’orientation lors d’une phase d’accélération
angulaire.
Travail demandé
E /0
1. Déterminer le rapport de réduction global k .
rotor /0
2. Pour quelle raison l’épaisseur des pignons varie-t-elle d’un étage à l’autre ?
3. Justifier la forme des matrices d’inertie des solides 1 et 2.
4. Déterminer le moment d’inertie équivalent Ieq de l’ensemble tournant ramené sur l’arbre de sortie
du moto-réducteur.
5. Proposer et mettre en œuvre une démarche afin de déterminer le couple moteur Cm nécessaire pour
obtenir une accélération angulaire E /0 .
6. Barrière de parking
Présentation
Barrière A
Maquette numérique
Modèle cinématique
0 0 m
2
( x , y ,z )
Objectif
Comparer le couple nécessaire lors de la phase d’ouverture de la barrière.
Travail demandé
1. Déterminer, à l’aide du principe fondamental de la dynamique, l'expression du couple moteur CA .
2. Déterminer, à l’aide du théorème de l’énergie cinétique, l'expression du couple moteur C B .
3. Dans chacune des expressions du couple moteur, identifier le terme caractérisant le complément de
puissance à apporter par l’actionneur pour mettre en mouvement les masses et les inerties des solides
du système.
On se place dans le cas d’un mouvement d’ouverture de la barrière pendant laquelle l’angle passe de 0
à 90 en 2 secondes. On suppose une évolution de la vitesse angulaire suivant une loi en trapèze pour laquelle
les phases d’accélération et de décélération durent 0,2 seconde.
4. Comparer, sous la forme d’un tableau, les valeurs des deux couples moteurs lors des différentes phases
de ce mouvement d’ouverture. On prendra : L 1,3m et M 2,4 kg .
5. Faire un bilan de la dépense énergétique pour chacune des deux barrières qui ne possèdent pas de
dispositif de récupération d’énergie. On prendra un couple moyen constant pour la phase
d’accélération. Conclure.
Pour simplifier l’étude dans une première approche, on se limite à une étude avec troix axes dont on donne
une modélisation cinématique ci-dessous :
z0
0
1
z3
O1
y3
x0 O2
3 y0
θ O3
z x3
φ C
x1 2
x2
Modèle cinématique
La configuration du manipulateur est donc fixée par les trois coordonnées articulaires θ, φ et z qui fixent la
position du repère R3 (O3 , x3 , y3 , z3 ) lié au poignet 3, par rapport au repère R0 (O1, x0 , y0 , z0 ) lié à la base 0 du
bras manipulateur. Le vecteur position du point O3 est défini dans l’espace opérationnel par ses coordonnées
dans le repère R0 telles que : O1O3 x0 .x0 y0 . y0 z0 .z0 .
L’accélération de la pesanteur g est telle que g g.z0 et le repère R0 (O1, x0 , y0 , z0 ) sera considéré comme
galiléen.
L’optimisation du volume atteignable par l’organe terminal a conduit à adopter les longueurs suivantes
O1O2 O2O3 L 0,5 m .
L'organisation des calculs à effectuer pour dimensionner ou pour piloter le manipulateur peut être
décomposée suivant le graphe suivant :
Dans un premier temps, la trajectoire du poignet 3 est définie dans le repère (O1, x0 , y0 , z0 ) lié à la base 0 du
robot. Le mouvement est alors élaboré de façon à obtenir une évolution régulière entre le point de départ et
le point d'arrivée. Cet objectif est réalisé en adoptant un profil d'accélération trapézoïdal.
Le modèle dynamique qui lie les accélérations articulaires aux accélérations opérationnelles ainsi qu'aux
vitesses et positions articulaires permet de déterminer les couples à fournir par les moteurs pour réaliser le
mouvement désiré. Ces calculs permettent de dimensionner les moteurs ou de procéder à une anticipation
lors de leur commande.
Des résultats, obtenus par simulation assistée par logiciel, présentent l’évolution de différents paramètres
lorsque le point O3 suit exactement une trajectoire rectiligne suivant l’axe (O1 , x0 ) .
Objectif
Déterminer l’expression des couples moteur des articulations afin d’assurer un mouvement particulier.
Travail demandé
7.3.1. Etude géométrique
1. Etablir le modèle géométrique direct du manipulateur, c'est-à-dire le système d’équations donnant les
coordonnées opérationnelles x0, y0 et z0 en fonction des coordonnées articulaires θ, φ et z.
1 pas
2
1. Ec E /0 I m1 m
2
2 2
pas
2
2. Pmot I m1
m m F y
2
pas
2
pas
3. Cm I m1 m F Cm 758 N m
2 2
2. Porte automatiques
1. 42 52
3. Ec /1
1
2
5 M R 2 J 422
4.
Cm 5 M R 2 J 42
5.
3. Marche motorisée
1.
2.
3.
Cm A M3 a2 M3 g a cos
4.
t (s) 0 t Ta 1 1 t T Ta 3,2 3,2 t T 4,2
Ta max
(rad) 0 0,25 0,25 0,25 (T 2 Ta ) max 1,35 1,35
2 2
max max
( rad s -2 ) 0,5 0 0,5
Ta Ta
4. Tapis de course
Rp2 V30
1. m mmax 351 rad s-1
Rp1 Re
1 Rp1
2. Cm Tcoureur 3 Re
Rp2
1 R
3. P 0 T Re p1 max 1349 W
0,9 Rp 2
m
1/0
4.
5. Grue de chantier
E /0 A/0 A/0 B/0
1. k k1 k2 k1 k '3 k 0,000545
rotor /0 m B/0 m
2.
3.
Lf 2 (a 2 b 2 ) a
2
4. Ieq C1 M1 C2 a b c d M R2
4 12 2
5. Cm
k
I eq E /0 CV
6. Barrière de parking
4 L2
1. CA 2 M L g cos
3
4 L2 3L
2. CB M g cos
3 2
4 L2 4 L2 3L
3. CA 2 M 2 M L g cos CB M M g cos
3 3 2
4.
5.
0 t 0,2 s 0,2 s t 1,8 s 1,8 s t 2 s
CA cte 108,3 N m
et cte 0 Pm Cm m CAou B 0
CB cte 76,7 N m
0,2 0,2 1,8
EA C A dt CA dt E A 0 C
0,2
A dt EA 0
0 0
EB CB dt CB dt E A 0 C
0,2
A dt
EB 0
0 0