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LA TYPOLOGIE ANALITIQUE ET STRUCTURALE Base rationnelle d’étude des Industries lithiques et osseuses Georges LAPLACE C.N.R.S. Colloques nationaux CNRS. 932 - BANQues DE DONNEES ARCHEOLOGIOUES ao LA TYPOLOGIE ANALYTIQUE ET STRUCTURALE : Base rationnelle d’étude des industries lithiques et osseuses Georges LAPLACE | Centre National de la Recherche Scientifique Centre de Palethnologie Stratigraphique ~ Arudy © A ce dont un esprit se satisfait on mesure Ja grandeur de sa perte * Hece, RESUME G. Laplace trace d'abord un bref historique de la typologie scientifique, de son évolution de T'empitisme a ta tneihode dislectique, I met en Evidence le fait que tout langage scientifique (et les nomenclatures participent da langage scientifique) ne peut le rester qu’en changeant, que toute typologic doit Ge steute varie en cause, Aprts avoir montré quelques-unes des contradietions qu’on trouve dans nombre de typologies plus ou moins empiriques, il expose largement Tétat de ses travaux actuels sur le paléolithigue Citar de forme et criteres de fonction, plus ou moins hasardeusement dérivés des premiers, s'entre- nélent et rendent les typologies d’autrefois difficiles & utiliser, Celles-ci, empiriques, débouchent en outre, sur sent demiome tel que. morcelant la réalité, on va avec elles & Fencontre du savoir. Au contraire la typologie marche scientifique: «de toute évidence, seule la méthode dialectique peut parvenit eee ae des criteres expérimentaux les énoncés rationnels concernant les formes et les associations pmacterisiques >. G. LAPLACe définit son langage descriptif puls reconstitue « Voutil par exposition synthétique Se ace carcnttres techniques (mode et ampleur de la retouche) et de ses earactéres morphologiques (orientation tet forme de la retouche) » (typologie « morphotechnique »). ABSTRACT “The author first gives a short historical account of scientific typology, of its evolution from empl dialectic. methodology. He shows that scientific language (and nomenclatures are to be considered as caeetihe Iesgeages) can remain such only by undergoing changes, that a typology must be questionned after being created. After showing some of the contradictions that one can find in many typologies that appear fo be more or less empirical, he gives a detailed account of this present paleolithic studies, Therm clterie and function eriteria, the latter more or less derived from the forme, are intermingling in ‘ld typologies making them almost useless. Moreover being empirically founded they sink into a Kind. oF ce donime cach that splitting up reality, they bring us no Kind of knowledge. On the contrary an analytical 2 scientific approach : «It is obvious that only a dialectic method is able to found on a rational discourse concerning forms and their characteristic associations >. G- Laplace Tanguage, then reconstrocts «the tool through the synthetic description of its technical features (kind and size of the retouch) and of its morphological features (orientation and shape of the retouch (« morphotechnical > typology). TYPOLOGIE EMPIRIQUE ET TYPOLOGIE ANALYTIQUE Quest-ce qu'une typologie ? Ce mot, qui compte un peu plus d’un sidcle d'existence (1841), prend d'abord la signification de « science des types humains, considérée du point de vue des Tapports entre caractéres organiques et mentaux », mais son contenu sémantique s'enrichira de deux acceptions plus larges que le sens originel rclativement tombé en désuétude : d’une part celle de «science de lélaboration des types, facilitant l'analyse d'une réalité complexe et Ia classification (systématique ou taxonomic) », d’autre part celle de « systéme de types », c'est-A-dire densemble structuré de types (« typique »). Ainsi, le méme terme de typologie signifie indifféremment science de élaboration des types et systéme de types. Or, en archéologie préhistorique, durant ces vingt demiéres années, plusieurs auteurs ont proposé sous le générique de typologie divers systémes ou listes de types lithiques ow osseux dont Ia plupart, rapportés a des périodes et des provinces archéologiques définies, présentent, de ce fait, des champs d’application restreints 4 des entités spatio-temporelles dérivant d'un fractionnement arbitraire du réel. Ces réductions, délibérément énoncées comme prin- cipes méthodologiques, reflétent en vérité les difficultés et les limitations imposées par la morpho- logie traditionnelie dont les listes de types ne représentent, pour chague période et chaque province considérées, qu'une codification et un développement plus ou moins heureux et structuré. En effet, étude critique de ces listes types ou lexiques démontre que, loin d’étre le fruit d'une véri- table élaboration, elles sont immédiatement issues des données d'une, typologie empirique. Préci- sons bien, a ce sujet, que « la connaissance empirique n'est qu’un premier pas pour le rationaliste, et ne prend un caractére véritablement rationnel qu’au prix d'une élaboration par laquelle elle entre dans Je systéme logique, intelligible et coordonné qui constitue la science » (Kahane, 1964). On ne saurait donc qualifier ces lexiques de systématiques que sous réserve qu’on les tient pour des systémes trés rudimentaires oii Je classement des types n’atteint pas la qualité d'une véritable classification. En conséquence, nous distinguerons la typologie empirique ou spontanée de la typo- logic rationnelle ou systématique. La typologie empirique ou spontanée est largement représentée par les travaux de F, Bordes Bordes, 1950, 1961), D. de Sonneville-Bordes et J. Perrot (Sonneville-Bordes et Perrot, 1954, 1955, 1956), C.A. Althin (Althin, 1954), M, Escalon de Fonton et H. de Lumley (Escalon de Fonton et Lumley, 1955), A. Bohmers et Aq. Wouters (Bohmers et Wouters, 1957), J. Roche (Roche, 1963), J. Tixier (Tixier, 1963), J. Koslowski (Koslowski, 1965), J.G. Rozoy (Rozoy, 1967) et J. Fortea (Fortea, 1971). Par contre, la typologie rationnelle ou systématique s‘identifie avec 1a seule « typo- logie analytique » (Laplace, 1954, 1956, 1957, 1964ab, 1966ab, 1968). Cependant il est Iégitime d'y rattacher certaines recherches de A. Bohmers et Aq. Wouters (Bohmers et Wouters, 1957), de A, Leroi-Gourhan (Leroi-Gourhan, 1965, 1966) et de I, Barandiaran (Barandiaran, 1967). Quoique utilisant une typologie empirique, A. Bohmers ct Aq. Wouters font vraiment euvre nouvelle en jetant les bases théoriques et pratiques de ce que nous avons dénommé la « typo- métrie >. Ils créent un ensembie d’'instruments adéquats et ingénieux destinés a évaluer rapidement les modules des artefacts, c’est-A-dire leurs dimensions absolues et relatives, et A mesurer les angles des grattoirs et des burins (fig. 1). N.B. On retrouvera dans ie présent mémoire une partie de Vexposé de méthodologie générale présenté dans «Recherches de typologie analytiques 1968 » (LAPLACE, 1968), texte qui servit de cadre A la discussion au cours des colloques de typologie analytique tenus en 1969, 1970, 1971 et 1972 au Centre de Palethnologie Stratigraphique d'Arudy (Pyrénées-Atlantiques). Lillustration est de Jean-Bernard AUDOIN. 5] 04 15 20-4 Jenn QE meal bo Fig, 1. ~ Compas et caibres typométriques de A. Bohmers (facsimilé), 93 94 Si A. Leroi-Gourhan se propose de reprendre et d'adapter Jes classifications et esquisses de terminologies publiées par divers auteurs pour établir sa « morphologie descriptive », force nous est de constater que cette adaptation ne présente aucur. caractére doriginalité dans ses principes, Jes « modules de débiaye > étant analogues aux modules typométriques proposés par A. Bohmers et Ag. Wouters (fig. 1), la « morphologie analytique > n’apparaissant pas différente, dans son projet et dans sa dénomination, de la typologie analytique. Cependant, la « morphologie analytique >, dont le dessein est de « mobiliser les éléments de Ia description > & exclusion de toute construction d'un systéme de types significatifs, n’aboutit en fait qu’a V'énoneé Pune terminologie de caractére exhaustif dont 1a précision et Ia pertinence sont noyées dans une certaine prolixité. C'est que, selon notre expérience, I"élaboration des types et 1a composition d’un systme de types ne peuvent progresser que simultanément dans une interdépendance continue, toute recherche unilatérale demeurant vouée & Penlisement, Enfin, dans un ouvrage récent, I. Barandiaran expose les résultats de ses recherches sur les instruments osseux du Paléomésolithique. Son « essai de systématisation typologique » se présente comme Vapplication originale de la méthode typologique analytique tant & Pélaboration des types qu’s Ja systématique (*). LA METHODE DIALECTIQUE L@aboration continue de le typologie analytique représente 'application & un projet de recher- che particulier des régles pratiques de la méthode dialectique (Lefebvre, 1969), méthode rigou- reuse et féconde que Paul Langevin (Langevin, 1962) définissait comme Je fondement du ratio- nalisme scientifique. 1, René Descartes, dans le Discours de la méthode, avait énoncé les régles pour J’atteinte des éléments de l'objet considéré, c’est-a-dire pour lanalyse, et pour la reconstruction de l'ensemble, Cest-d-dire pour Ja synthése. Par Ja suite, Emmanuel Kant et Auguste Comte, notamment, devaient insister sur Vexigence essentielle de la recherche et du rationalisme scientifiques qui est de rompre Tisolement de l'objet étudié pour lexaminer en corrélation avec les phénoménes de l’environne- ment, La contradiction dialectique dont importance avait échappé a René Descartes, Emmanuel Kant et Auguste Comte, fondera la Logique de Georg Hegel, mais il reviendra & Karl Marx et 4 Friedrich Engels d’approfondir la Jogique hégélienne et de poursuivre I’élaboration de la méthode dialectique pressentie, soulignons-le, par Claude Bernard (Kahane, 1961). Insistant avec force sur la perpétuelle évolution et sur Vinterdépendance des phénoménes, données objectivement fondées, la méthode dialectique soutient que analyse suffisamment appro- fondie atteint, par la médiation de dijférences, des éléments contradicioires spécifiques, que la & toucher par Vanalyse et & reconstruire par la synthése se présente toujours comme une en mouvement, que ce mouvement ou devenir original, c’est-A-dire la loi propre de objet considéré, caractérisé par des changements quantitatifs graduels aboutissant & des discontinuités ou changements de déterminations qualitatives, est un processus & Ja fois continu et jalonné de mutations. En nous proposant une orientation pour ja raison dans Ja recherche, puisqu’elle incite 8 découvrir dans tout objet examiné ses différences, ses contradictions et son mouvement internes (1) Sil revient_& A, BRotIo (BROGLIO, 1961) et & J.M, MERINO (MERINO, 1969) d'avoir_souligné Voriginalité de In typologie snalytique relativement aux autres aystimes, il ne semble por que M. Bafzittow (Bnéz1LLoN, 1968) soit parven & saisir cette singularilé et sa signification. 95 propres, sa qualité originale et ses transformations brusques, la méthode dialectique ne substitue jamais une construction abstraite a la recherche scientifique, la synthése ou exposition coordonnant les résultats de analyse de maniére & reconstituer le devenir dans sa totalité Pour ce qui concerne toute terminologic scientifique, .cclle-ci, comme tout langage, pratique puisqu'elle permet la communication et théorique puisqu’elle autorise la spéculation abstraite, naft, se développe et meurt selon un processus spontané, naturel, Conscience et pensée participent évi- demment a ce processus, mais elles s'y manifestent naturellement sans en détruire ou perturber Ja spontanéité. Néanmoins, parvenue A un certain degré de développement jusqu’d atteindre un seuil critique, la nomenclature peut devenir Vobjet, dans Jes conditions les plus favorables, d'une Glaboration consciente par ies spécialistes qui Tutilisent, Si les problémes complexes liés & son devenir sont résolus, Ja terminologie acquiert Ja qualité d'un langage conscient et rationnel tout en conservant, approfondis, ses caractéres spontanés. Le dépassement vers la cohérence rationnelle et une plus haute conscience sauvegarde toute sa vivacité tandis qu'elle parvient A un degré supé- rieur de compréhension a travers.un bond et une épreuve décisive. Dans le cas contraire, la termino- logic décline par dégénérescence et confusion ou par abstraction et académisme. Cependant, au cours de ce processus se manifeste un autre facteur de complexité : I’élément apparent des théories, Alément essenticllement abstrait, tendant abusivement A devenir un concret illusoire et pourtant trop réel, celui du fétichisme, qui accable, masque et évince Je véritable concret. Ainsi, Phistoire d'une nomenclature apparait-elle comme T’interpénétration et J'interaction incessantes de trois élé- ments : spontané, réfiéchi et apparent. Seule, I'analyse dialectique qui distingue ces éléments en conflit perpétuel peut, en éclairant ce processus complexe & triple aspect, préparer et assurer, Aun moment critique, & un point décisif, la domination de Vélément spontané et Ja critique de Vélément illusoire par I'élément conscient 2. Le rapport de Yentendement avec élément illusoire du fétichisme se traduisant comme une altération, une aliénation, leur conflit ne peut se résoudre que par la destruction du fétichisme, C'est-A-dire par le dépassement de Valiénation, Or, l’analyse cialectique de la typologic traditionnelle, particuligrement facilitée par celle des systémes qui en sont immédiatement issus, montre qu'elle se présente comme la résultante de plusieurs tendances composantes plus ou moins profondément intriquées aux divers moments de son devenir. Cette intrication, non contestée par les auteurs des récentes tentatives dorganisation, se traduit en fin de compte par des ambiguités, de l'incohérence et une relative stérilité. En effet, on distingue essentiellement trois tendances composantes : descrip- tive fonctionnelle, descriptive stricte et stratigraphique. La tendance descriptive fonctionnelle, primitive, a marqué profondément la naissance de Ia typologie, Ainsi, elle se manifeste spontanément dans Veifort de Jacques Boucher de Perthes de créer une typologie fonctionnelle qu’Adrien de Mortillet tentera de rationaliser, sans en criti- quer le caractére partiellement fictif, en Yordonnant tout naturellement en « outils & couper, & riper, & écraser et casses, perforer >. Cette nomenclature, établie simplement sur des analogies plus ou moins conjecturales avec les matériaux de Ja technologie ethnographique, tout en se fixant largement dans le vocabulaire, subira & usage d'importants glissements sémantiques vers la compo- sante descriptive stricte. Cependant, le fétichisme fonctionnel perdure généralement en dépit du fait que le projet, encore actuel, de fonder une classification technologique sur la fonction des objets demeure d’autant plus illusoire que notre connaissance ne s'est guére enrichie d’éléments susceptibles de nous permettre d'identifier avec une certitude suffisante leur mode d’emploi et que les progrés de l'ethnographie nous ont amplement confirmé qu'un méme outil peut servir A des fins multiples et trés différentes (polytélisme). La composante descriptive stricte ne devait s'épanouir que progressivement dans les domaines complémentaires de 1a morphologie et de la technique de faonnage sans toutefois parvenit & une 96 généralisation rationnelle qui puisse engager la recherche sur la voie d'une véritable typologie systématique, parce que placée trés t6t sous Ja dépendance du point de vue stratigraphique. En Outre, & cette composante se rattache une tendance comparative, premitre manifestation de la typo- métrie, fixant pour certains objets ou catégories d’objets des discriminations basécs sur leurs dimen- sions ou leurs grandeurs relatives et établies, le plus souvent, en fonction de considérations strati- sgraphiques. La composante stratigraphique, d’extension plus tardive, se développe spontanément comme un double reflet, celui des connaissances nouvelles concernant Jes séquences culturelles et celui des théories explicatives qu’elles suscitent, jusqu’d supplanter, en les intégrant, les autres composantes. Empruntée & Ja systématique des sciences naturelles, la notion empirique de «fossil directeur > se généralise. Les dénominations, habituellement dérivées de toponyrmes significatifs d'un gisement, dune culture ou d'une période, se multiplient, envahissant la nomenclature. Cette prolifération désordonnée, génératrice de confusion et d'immobilisme, devait susciter une réaction vers la ratio nalisation de la terminologie, Cette réaction se manifeste par l'apparition de listes types construites pour conduire des recherches circonscrites A des aires et des périodes plus ou moins étendues mais toujours nettement définies. Leur élaboration résulte de deux efforts interdépendants de codification et de classement, En absence d'une critique fondamentele des « fossilos directeurs >, Veffort de codification aboutit & I"énoneé de définitions fonciérement hétérogines, étriquées ou floues, reflets fidéles de état de 1a typologie, empreints de dogmatisme et dont le trop fréquent hermétisme ne saurait faire illusion, Quant au classement sélectif, il se conforme strictement & Timpératif de séquences culturelles, établics par Vexpérience ou suggérées par des théories, afin de mettre en Evidence des associations caractéristiques empiriques. Dans les listes types ainsi établies, les préjugés théoriques se manifestent non seulement par des lacunes, par des qualificatifs complémentaires tels que « atypique, pseudo, grossier » exprimant Ja plus ou moins grande conformité de Tobjet au «type », mais encore par Je fait que certains objets, & défaut de contexte culture! défini, peuvent étre délibérément rapportés, sous des dénominations diverses, a des associations caractéristiques différentes. C'est que Ia transposition directe de la paléontologie A la palethnologie de la notion de « fossile directeur » ne s'est pas effectuée sans changement sémantique. En effet, on ne saurait assimiler les, formes étudiées par 1a typologie palethnologique aux espaces paléontologiques car les formes de Ja typologie, résultant de interaction complexe de Ja culture et des impératifs de Ja matitre et du geste technique, demeurent soumises 2 des phénoménes de récurrence et de convergence. Ainsi, on ne peut envisager qu’un certain parallélisme dont il importe de préciser exactement les limites. Il apparait done inévitable que la typologie empirique traditionnelle, sous Timpulsion de la tendance stratigraphique, créatrice d'une nomenclature académique dominée pat le fétichisme du « fossile directeur » et de théories phylétiques, débouche sur une vision fragmen- tare et figée d'un réel morcelé en entités culturelles closes et isolées. Parvenue & ce point crucial oii ’élément conscient doit dominer élément spontané et critiquer Vélément illusoire, la recherche texonomique doit s'engager hardiment sur une voie qui la dégage de Vempitisme, Tel est Je projet de la typologie analytique qui s'efforce d’élaborer une termino- logie valable pour tous les ensembles industriels, indépendamment de leur Age et de leur distribu- tion, On ne saurait trop s'étonner qu'une telle entreprise démystifiante, perturbatrice de Ia quiétude dogmatique oli se réfugie Vincompétence, se heurte aux résistances suscitées tant par Pinertie de Vidéologie traditionnelle que par la garence de formation et d'information. Pourtant, de toute évi- dence, seule 1a méthode dialectique peut parvenir & fonder sur des critéres expérimentaux les énoncés tationnels concernant les formes et les associations caractéristiques, Dans Vétat actuel de son déve~ loppement, 1a typologie analytique a déji permis non seulement une meilleure compréhension entre spécialistes, mais encore de pressentir et de déceler Vexistence de phénoménes de conver- gence ou de récurrence, morphologiques et structuraux, inaccessibles par le moyen unique d'une

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