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1*Suite

On considère la suite numérique I n   ln(1  x n ) dx avec n  IN * et x  0


0

1- Calculer I 0 et I 1
2- Montrer que I n  0 , pour tout n
3- Montrer que la suite ( I n ) est décroissante.
4- En déduire que cette suite est convergente.
5- Soit la fonction f ( x)  ln(1  x)  x où x est un réel dans l'intervalle [0,1].
a- Etudier les variations de f (x) sur [0,1]
b- Déduire que f (x)  0 et que ln(1  x n )  x n
c- Déduire la limite de ( I n ).

2*Fonction de la borne supérieure

A- On considère la fonction f ( x)  x 2  1 où x est un réel.


1- Calculer xlim f ( x) et lim f ( x)  x et donner une interprétation graphique des résultats.
  x  

2- Calculer xlim f ( x) et lim f ( x )  x et donner une interprétation graphique des résultats.


  x  

3- Etudier les variations de f (x) et dresser le tableau de variations.


4- Tracer le graphe (  ) de f (x) dans un repère orthonormé.
x

B- Soit la fonction F ( x)   f (t )dt où x est un réel, et (C) son graphe dans un repère orthonormé
1

1- Etudier le signe de F (x )
1

2- Utiliser le graphe (  ) pour donner une valeur approchée de 


0
f (t ) dt . Dans la suite on prendra
F ( 0)  b
avec b  1,1478
3- a)Montrer que F ( x)  2b  F ( x) . Que représente le point I(0,b) pour (C).
b) Ecrire une équation de la tangente en I à (C).
F ( x)
4- Montrer que si t>0 alors f (t )  t et en déduire xlim F ( x) et lim et donner une interprétation
  x   x
graphique des résultats.
F ( x)
5- Calculer xlim F ( x) et lim et donner une interprétation graphique des résultats.
  x   x
6- Montrer que F ( 1)  2b et tracer (C).
1
7- a) Montrer que F ( x)  2 [ x x 2  1  ln( x  x 2  1)  2  ln(1  2 )] .
x  x2 1
b) En déduire que si x  1 alors ln( )  2  x x2 1 .
1 2

3*Parabole et ellipse.
Soit (d) une droite et O un point du plan tel que la distance de O à (d) est égale à 4cm.
1- Trouver l'ensemble des points F foyers des paraboles passant par O et de directrice (d).
2- On considère le système orthonormé (x'Ox,y'Oy) tel que (x'Ox) est perpendiculaire à (d)
et (y'Oy) est parallèle à (d) et (d) est d'équation x=-4 dans ce repère.
a- Ecrire une équation de l'ensemble des points F déjà trouvé.
1
b- Ecrire une équation de l'ensemble (E) des points S sommets des paraboles.
c- Quelle est la nature de l'ensemble (E).Trouver son centre et son axe focal. Tracer (E).
d- Trouver les sommets, les foyers et les directrices de (E) et calculer son excentricité
Et son paramètre.

4-Logarithme et suite:

A-Soit la fonction f définie sur IR par f ( x)  x  1  ln( x  1) et (C) sa courbe représentative


2

dans un repère orthonormé.


f ( x)
1- Calculer xlim f ( x) et lim et lim ( f ( x)  x) et donner une interprétation graphique des résulta
  x   x x  

f ( x)
2- Calculer lim f ( x) et lim et lim ( f ( x)  x) et donner une interprétation graphique des résulta
x   x   x x  

3- Montrer que f (x) est croissante.


4- Déterminer une équation de la tangente (T) au point d'abscisse 0.
5- Montrer que l'équation f (x) =0 admet une seule racine notée x1 , et que 0< x1 <1.
6- Tracer (T) et la droite (d) d'équation y=x et (C).
7- Calculer en fonction de x1 l'aire du domaine limité par (x'x), (y'y), et la courbe (C).

ln( x 2  1)
B- On considère la fonction fn définie sur IR par f n ( x)  x  1  , n  IN *
n
1- Montrer que f n (x) est croissante.
2- Montrer que l'équation f n ( x)  0 admet une seule solution notée x n et que 0< x n <1.
3- Soit la suite ( x n ) , n  IN * , Montrer que f n ( x n1 )  f n ( x n )  0 et en déduire que cette suite
est croissante.
4- Montrer que cette suite est convergente.
5- Calculer sa limite.

5- Suite convergente:
2n
1 1 1 1
Soit la suite (u n ) définie sur IN * par u n   k  n  n  1  ...  2n
k n
 3n  2
A- 1) Montrer que u n 1  un  et déduire le sens de variations de (u n ) .
n(2n  2)( 2n  1)

2) Montrer que (u n ) est convergente.


B- Trouvons la limite de cette suite.
1 x
Soit la fonction f ( x)   ln( ), x0
x x 1
n 1
1 1 1
1) a- Justifier que   dx 
n 1 n x n
n 1
1 1
b- Vérifier que n
x
dx   f (n)
n
1
c- En déduire que 0  f ( n) 
n(n  1)
2n
1
2) Soit la suite ( S n ) définie par S n  
k  n k ( k  1)

a- Montrer que 0  f (n)  f (n  1)  ...  f (2n)  S n

2
1 a b
b- Déterminer a et b tels que pour tout x différent de 0 et de 1 on a:  
x( x  1) x x  1
2n
n 1
c- En déduire que Sn 
n(2n  1)
et déterminer lim
n 
 f (k ) k n
2n
1
d- Vérifier que 
k n
f (k )  u n  ln(2  )
n
e- Déterminer la limite de (u n ) .

6- Logarithme et exponentielle et accroissements finis:

ln x
Partie A: le but de cette partie est d'étudier la fonction f définie sur ]0,[ par f ( x)  x  2
x
(C) est la courbe représentative de f dans un repère orthonormé d'unité 2cm.
1- Etudions la fonction auxiliaire g définie sur ]0,[ par g ( x)  x 2  2  2 ln x
a- Etudier le sens de variation de g et calculer g(1)
b- Déduire le signe de g.
2- a- Calculer les limites de f en 0 et en + 
b- Etudier les variations de f et dresser le tableau de variations.
c- Montrer que la droite (d): y=x est asymptote à (C) et étudier la position
de (C) par rapport à (d).
d- Trouver le point A de (C) sachant que la tangente (T) en A à (C) est parallèle à (d).
e- Tracer (d),(T) et (C).
3- Calculer en cm 2 l'aire du domaine limité par (C) , (d) et x=1 et x=e.
1
4- Montrer que l'équation f ( x)  0 admet une seule solution x0 et vérifier que  x0  1 .
2
Partie B: Trouvons une valeur approchée de x0
x2
On désigne par h la fonction définie sur ]0,[
par h( x)  e  2
1- Montrer que x 0 est l'unique solution de l'équation h(x)=x .
1
2- On note I l'intervalle [
2
.1] . Montrer que pour tout x appartenant à I, h(x) appartient aussi à I.
3- a- Calculer h'(x) et h"(x).
b- Etudier les variations de h' sur I.
1
c- En déduire que pour tout x de I h' ( x)  e  2 .
4- On considère la suite u 0  1 et u n1  h(u n ) pour tout entier naturel n.
1
a- Montrer que pour tout n on a:  un  1
2
1
b- En utilisant l'inégalité des accroissements finis que pour tout n on a u n1  x0  e  2 u n  x0
n
1 
c- En déduire que pour tout n on a u n  x0  e 2 .
2
n
n  n0 1 
5- a- déterminer le plus petit entier naturel n0 tel que pour tout entier on a e 2  10  2
2
b- Déduire une valeur approchée de x0 .

3
7*Logarithme et suite :

A- Soit la fonction f 1 ( x)  x  3  ln( x  1) , x ]  1,[


1) Calculer xlim
 1
f 1 ( x) et interpréter graphiquement ce résultat.

f 1 ( x)
2) Calculer xlim f 1 ( x) , lim et lim ( f 1 ( x)  x) et interpréter graphiquement ces résultats.
  x   x x  

3) Montrer que f1 ( x) est croissante.


4) Montrer que l'équation f1 ( x)  0 admet une seule racine notée  1 et vérifier que 1   1  2 .
5) Tracer le graphe de f 1

B- Soit la fonction f 2 ( x)  x  3  ln( x 2  1) , x  IR


f 2 ( x)
1) Calculer xlim f 2 ( x) , lim et lim ( f 2 ( x)  x) et interpréter graphiquement ces résultats
  x   x x  

f 2 ( x)
2) xlim f 2 ( x) , lim et lim ( f 2 ( x)  x) et interpréter graphiquement ces résultats.
  x
x   x  

3) Montrer que f 2 ( x) est croissante


4) Montrer que l'équation f 2 ( x)  0 admet une seule racine notée  2 et vérifier que 1   2  2 .
5) Montrer que  2   1
6) Tracer le graphe de f 2

C- Soit la fonction f n ( x)  x  3  ln( x n  1) , x  [0,[ et n  IN *


1) Montrer que f n (x) est croissante.
2) Montrer que l'équation f n ( x)  0 admet une seule racine notée  n et vérifier que 1   n  2 .
3) Montrer que la suite ( n ) est décroissante et en déduire qu'elle est convergente.

8*Similitude:

Dans le plan orienté, on donne le triangle ABC tel que AB=2 , AC=1+ 5 et ( AB, AC )  [ 2 ]
2
Soit S la similitude directe qui transforme B en A et A en C.
.Déterminer le rapport et une mesure de l’angle de S (1
2) On appelle Ω le centre de S. Montrer que Ω appartient au cercle de diamètre [AB]et à la
droite (BC).
Construire le point Ω.
.On note D l’image du point C par la similitude S (3
a) Démontrer que les points A, Ω et D sont alignés ainsi que les droites (CD) et (AB) sont
parallèles.
Construire le point D.
b) Montrer que CD = 3+ 5 .

Probabilité:*9

.Une petite entreprise de textile commercialise des pantalons et des chemises


.Quand un client se présente, il achète au plus un pantalon et une chemise
La probabilité pour qu’un client achète un pantalon est 0,2. La probabilité pour qu’un .1

4
client achète la chemise quand il a acheté le pantalon est 0,7 et la probabilité
qu’il achète la chemise quand il n’a pas acheté le pantalon est 0,1.
.«On note P l’événement « un client achète le pantalon
.«On note C l’événement « un client achète la chemise
a)Montrer que la probabilité de l’événement P∩C est égale à 0,14.
b) Calculer la probabilité de l’événement C.
c) Calculer la probabilité pour qu’un client achète le pantalon quand il a acheté la chemise.
2. Le pantalon est vendu à 45 dollars et la chemise à 25 dollars.
a) Soit X la variable aléatoire qui prend pour valeurs les dépenses d’un client
Vérifier que l’ensemble des valeurs prises par X est {0, 25 , 45, 70 }. Déterminer ainsi la
loi de probabilité de X
b) Calculer l’espérance mathématique de X.

10-Exponentielle et suite:

Partie A

Soit g la fonction définie sur IR par g ( x)  ( x  2)e x  2


1) Calculez la limite de g en   , et donnez une interprétation graphique de cette limite
g ( x)
2) Calculez les limites de g ( x) et de en +  , et donnez une interprétation graphique
x
de ces limites.
3) Etudiez les variations de g
4) Montrez que l’équation g(x)=0 admet deux solutions 0 et  , et montrer que 1,5<  <2
5) Etudiez le signe de g(x).
6) Construisez le graphe (G) de g(x).
Partie B
x2
Soit f la fonction sur IR par f ( x)  si x  0 et f (0)  0 , et (C) son graphe
ex 1
dans un repère orthonormé.
ex 1
1- a) Montrez que lim 1
x 0 x
x x2
b) En déduire les limites : lim et lim
x0 ex 1 x0 e x  1

c) Montrez que f est continue et dérivable en 0.


2- Précisez une équation de la tangente (T) à (C) en O.
f ( x)
3- Calculez les limites de f ( x) et de en -  , et donnez une interprétation
x
graphique de ces limites
4- Trouvez la limite de f en +  , et donnez une interprétation graphique de cette limite.
5- a) Calculez f ’(x) et montrez que f ’(x) a le signe de x.g(x)
b) En déduire le tableau de variations de f , et montrez que f ( )   (2   ) ,
(où  est le est le réel défini au A.4)
6- Tracez (T) la courbe (C) (Prendre   1.6 )
Partie C
Dans cette partie on prend x  [0;+  [

5
1- Montrez que f ([0;1])  [0;1]
2- Soit h ( x)  e x  x  1 Montrez que f ( x)  x équivaut à h ( x)  0
3- Etudiez les variations de h(x) sur [0;+  [ pour étudiez le signe de h(x).
4- Soit la suite ( u n ) , définie par u 0  1 et u n1  f (u n ) ,pour tout entier naturel n.
a- Montrez par récurrence que pour tout entier n on a 0< u n  1
b- Montrez que cette suite est décroissante.
c- En déduire que la suite est convergente et trouver sa limite.

11-Exponentielle:

ex 1
On considère la fonction f définie par f ( x)  ,et on désigne par (C) sa courbe
xe x  1
représentative dans un repère orthonormé.
Partie A : Etude de fonctions auxiliaires.
1) Soit la fonction h définie sur IR par h(x)= xe x  1
a- Calculer la limite de h en -  ,et étudier les variations de h.
b- Démontrer que h(x)>0 et en déduire le domaine de définition de f .
2) Soit g la fonction définie sur IR par g(x)= x  2  e x .
a- Déterminer les limite de g en -  et en +  .
.b- Etudier les variations de g et dresser le tableau de variations de g
c- Montrer que l’équation g(x)=0 admet deux solutions  et  tels que
-1,85<   -1,84 et 1,14<  <1,15.
d- En déduire le signe de g(x).
Partie B : Etude de la fonction f .
1) Déterminer les limite de f en -  et en +  , et interpréter graphiquement les résultats.
e x g ( x)
2) a) Montrer que f ' ( x)  .
( xe x  1) 2
b) En déduire le sens de variation de la fonction f et dresser le tableau de variations.
1
c) Montrer que (  )=   1
f

3) a) Déterminer une équation de la tangente (T) à la courbe (C) au point d’abscisse 0.


( x  1)u ( x)
b) On donne u(x)= e x  xe x  1 , vérifier que f ( x)  x 
xe x  1
c) Etudier le sens de variation de la fonction u(x) et en déduire son signe.
d) Déduire la position de (C) par rapport à (T)
4) Tracer (T) et (C).

12-*Similitude et homothétie et complexe:



ABCD est un carré de centre I tel que ( AB, AD)  [ 2 ] , et J est le milieu de [CD].
2
.S est la similitude plane directe qui transforme A en I et B en J
1) a- Trouver le rapport k et l’angle  de S.
b- Faire une figure et construire le centre  de S.
2) a- Construire S(BC)
b- En déduire S(C) puis le point E =S(I)
3) Soit h=SoS
a- Préciser la nature de h et donner ses éléments.
6
b- Trouver l’image de A par h, et déduire que A,  et E sont alignés.
4) Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé (A, AB, AD)
a- Utiliser S(A)=I et S(B)=J pour trouver la forme complexe f(z) de S.
b- Retrouver K,  et l’affixe de 
c - Calculer l’affixe du point E et Montrer que A,  et E sont alignés.

13-*Parabole:
Dans le plan rapporté à un repère orthonormé (O, i, j ) ,On donne la conique (P)
d’équation y 2  4 x  4
a- Montrer que (P) est une parabole, et préciser son axe focal, son foyer et sa directrice (d)
b- Tracer (P).
c- Soit la droite (  ) d’équation y=x
1- Montrer que (  ) coupe (P) en deux points M’ et M’’ et trouver leurs coordonnées.
2- Trouver les équations des tangentes (T’) et (T’’) en M’ et M’’ à (P).
3- Montrer que (T’) et (T’’) sont perpendiculaires.
4- Montrer que (T’) et (T’’) se coupent en un point E de (d)
5- Montrer que (OE) et (  ) sont perpendiculaires.
d- Calculer l’aire du domaine limité par (P) et (y’y).

14- Logarithme et exponentielle et suite:


Dans le plan rapporté à un repère orthonormé (O, i, j ) ,On donne la courbe (C)
1
d’équation f ( x)  ln(1  e  x )
2
a- Montrer que le domaine de définition de f est IR.
x
b- Calculer xlim
 
f ( x ) et lim f ( x )  et donner une interprétation graphique des résultats.
x   2
c- Calculer xlim
 
f ( x) et donner une interprétation graphique du résultat.
1 1
d- Montrer que f ' ( x)   ( ) et dresser le tableau de variations de f .
2 1 ex
e- 1) Montrer que (C) coupe la droite (d) d’équation y=x en un seul point d’abscisse 
2) Montrer que 0<  <1
3) Tracer (C) et(d).
f- 1) Montrer que f admet une fonction réciproque f 1 .
2) Trouver le domaine de définition de f 1 et f 1 (x).
3) Tracer le graphe de f 1 .
1
g- 1) Montrer que pour x  0 on a: f ' ( x) 
4
.
1
2) Déduire que pour x  0 on a: f ( x)   
4
x  .

h- On définit la suite ( u n ) par u 0  0 et u n 1  f (u n ) pour n 0.


1) Montrer que u n  0 pour tout n.
1
2) Montrer que u n 1    un  
4
1
3) En déduire que u n    ( ) n et
4
calculer lim
n 
un .

15-Homothétie

7
ABC est un triangle rectangle en A. H est le pied de la hauteur issue de A. I et J sont les projetés
orthogonaux de H sur les droites (AB) et (AC).
(AH) et (IJ) se coupent en O.
1) Quelle est la nature du quadrilatère AIHJ?
La parallèle à (IJ) passant par A coupe (HI) en P et (HJ) en Q.
On note h l'homothétie de centre H qui transforme J en Q.
2) Déterminer h(I) et montrer que h(O)=A.
3) En déduire que I et J sont les milieux respectifs de [PH] et [HQ]

16-*Géométrie dans l'espace:

Dans l'espace d'un repère orthonormé Oxyz, on considère le point A(1,0,4) et les plans
(P m ) :(m+3)x+(m-3)y+(1-m)z-1-m=0 , m est un paramètre réel .
1) Montre que, quelque soit m, le plan (P m ) contient une droite fixe (D).
2) Trouver un système d’équations paramétriques de (D) .
3) Démontre que (P 1 ):2x-4y+2z=0 et (P 5 ):8x+2y-4z-6=0 sont perpendiculaires.
4) Calcule les distances de A à (P 1 ) et (P 5 ) et Déduis la distance de A à (D).
5) Soit L le projeté orthogonal de A sur (P m )
a) Démontre que, lorsque m varie, L décrit un cercle fixe (C) dont on déterminera le
rayon les coordonnées de son centre I, et une équation de son plan.
b) Ecris une équation du plan (P m ) qui correspond à la plus grande valeur de AL.

17-Complexe et suite.
1 i
On considère la suite complexe ( z n ) nIN définie par z0  1 et, pour tout entier n, z n 1  zn .
2
Pour n entier naturel, on appelle Mn le point d’affixe zn. Démontrer que :
1
a. La suite ( z n ) nIN est une suite géométrique de raison 2
.
b. Quel que soit n entier naturel, les triangles OM n 1 M n sont rectangles en M n 1 .
n
1 i
c. Pour tout n entier naturel, z n  e 4
.
( 2)n
d. Mn appartient à l’axe des abscisses si et seulement si n est un multiple de 4.

18-Exponentielle et logarithme.
A- On considère la fonction f définie, pour tout réel x, par : f ( x )  e2x  4ex  3 .
Soit C la courbe représentant f dans un repère orthonormé (O ; ir , rj ) .
1. a- résoudre l’équation : f ( x )  e2x  4ex  3 =0

f ( x)
b- Déterminer xlim f ( x) et lim et interpréter graphiquement ces résultats
  x   x
c- Déterminer xlim
 
f ( x ) et déduire que C admet alors une asymptote D .

2. a- Déterminer la dérivée f ' ( x) .


b- Etudier les variations de f(x).
c- Dresser le tableau de variation de la fonction f et étudier le signe de f (x) .
d- prouver que le point O(0,0) est un point d’inflexion. Puis trouver l’équation de la

8
tangente (T) en O.
3. Démontrer que f admet une fonction réciproque pour x> ln(2) , puis expliciter f 1 .
4. Démontrer que f ( x)  x possède deux racines 0 et α tel que 1< α < 1,5 .
5. Tracer (C) , (C-1 ) et la tangente en O .
6. Donner le nombre et le signe des racines de l’équation suivante : -4 =(m-3) .
7. Démontrer que f ' ( x) ≥ -2 pour x  IR puis déduire que si x   on a f ( x)  2 x  3
8. f ( n ) ( x) est la dérivée d'ordre n de f (x) , n  IN * .Montrer que f ( n ) ( x)  e x (2 n e x  4) .
B- On considère la fonction gr définie r
par g ( x)  ln( f ( x) ) et () la courbe représentant g dans
un repère orthonormé (O ; i , j ) .
1. Trouver le domaine de définition de g.
2. Déterminer xlim  
g ( x ) et interpréter graphiquement ce résultat.

3. Déterminer xlim g ( x ) et lim ( g ( x )  2 x ) et interpréter graphiquement ces résultats.


  x  

4. Déterminer lim
x 0
g ( x) et lim g ( x) interpréter graphiquement ces résultats.
x  ln 3

5. Etudier les variations de g et dresser le tableau de variations.


6. Construire () .

19-*Géométrie dans l'espace:


Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé (O, i , j,k ) ,On donne le point A(1;-1;1)
et les deux droites :
x  t  1  x  2m  1
 
(d):  y  2t  1 et (d’):  y  m  2
 z  t  1 z  m
 
a) Montrez que ces deux droites sont concourantes en A.
b) Trouvez une équation du plan (P) formé par (d) et (d’).
c) Trouvez une équation du plan (Q) contenant (d) et perpendiculaire à (P).
d) Soit le point E(4;2;1)
1- Vérifiez que E est un point de (P).
2- Trouvez une équation du plan (R) passant par E et perpendiculaire à (d).
3- Trouvez les coordonnées du point B intersection de (d) et (R) et déduisez
la distance de E à (d).
4- Trouvez les coordonnées du point C de (d’) si EC.V '  0 où V ' est un vecteur
directeur de (d’).
5- Que représente C pour E? , En déduire la distance de E à (d’) et vérifiez
qu’elle est égale à la distance de E à (d).
6- Trouvez des équations des deux bissectrices de l’angle formé par (d) et (d’)
20-Complexe:
Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé (O; u; v ) , les points A et B ont
respectivement pour affixes 1 et 4, (d) est la droite (OA) privée de A, (∆) la droite
perpendiculaire en A à (d) privée de A et (Г) le cercle de centre A et de rayon 1.
f est l’application qui à tout point m d’affixe z différent de 1 associe le
z2
point M d’affixe: Z=f(z)=
z 1
A- On note g et h les fonctions :

9
x2 x2 1
g( x)  avec x  D ]  ;1[]1;[ et h( x)  avec x  D ' ]  ;0[]0;[
x 1 x
1- Etudiez les variations de g et h sur leurs domaines de définition D et D’.
2- Etudiez les limites de g et h aux bornes des domaines.
3- Dressez les tableaux de variations de g et h.
4- Déterminez g(D) et h(D’)
B- 1- On suppose dans cette question que M a pour affixe 3.Ecrivez sous forme algébrique,
puis sous forme exponentielle les affixes z de m telles que f(z)=3.
2- On suppose dans cette question que z=1+ e i (   IR )
a- Calculez, en fonction de  , l’affixe Z de M.
b- Déduisez l’ensemble des points M quand  varie.

3- On pose z=x+ i y et Z=X+ i Y où x ,y ,X et Y sont réels.


a- Calculez X et Y en fonction de x et y.
b- Quel est l’ensemble des points M lorsque le point m décrit (d).
c- Quel est l’ensemble des points M lorsque le point m décrit (∆).
d- Quel est l’ensemble des points m lorsque le point M décrit l’axe (O, u ).
21-Lecture graphique.

Dans la figure ci-dessus on a représenté le graphe d'une fonction dérivable f (x) et celui de sa
fonction dérivée f ' ( x) , f ' ( x) est dérivable sur IR et (x'x) est asymptote à (C') en   et   et
les droites d'équations y=-1 et y=1 sont asymptotes à (C).
1- Justifier que (C) est la courbe représentative de f .
2- Dresser les tableaux de variations de f et f '.
3- Ecrire une équation de la tangente (T) en O à (C).
1
4- Soit la fonction g ( x)  f ( x)  x, x  IR
2

10
a- Etudier les variations de g et dresser le tableau de variations.
b- En déduire le signe de g(x), puis déterminer les positions relatives de (C) et (T).
c- Montrer que O est un point d'inflexion de (C).
1
5- Montrer que pour tous réels a et b on a: f (b)  f (a )  ba .
2
6- Soit la suite (u n ) , n  IN définie par u 0  1 et u n 1  f (u n )
a- Montrer que pour tout n on a: 0  u n  1
b- Appliquer les inégalités des accroissements finis pour démontrer que
1
0  u n 1  un , et prouver alors que (u n ) est décroissante et convergente.
2
1
c- En déduire que : 0  u n  et trouver la limite de (u n ) .
2n

22-Transformations.
Dans le plan orienté, on considère un carré ABCD de centre O tel que

( AB, AD)  [2 ] et on désigne par E le symétrique de A par rapport à la droite (BC)
2
1. Soit r la rotation définie par r(B) = C et r(C) = D. Préciser l’angle et le centre de r.
2. Soit S la similitude directe telle sue S(A) = B et S(E) = C
a. Déterminer l’angle et le rapport de S. Construire son centre .
b. Déterminer r 1oS ( A) , puis montrer que r 1oS est une homothétie que l’on
caractérisera.
c. Montrer que S ((CE)) = (CA) , en déduire que S(C) = O.
d. Montrer que , O et E sont alignés.
4. Soit S’ la similitude directe de centre C, qui transforme B en A .
a. Déterminer le rapport et l’angle de S’.
b. Déterminer S ' oS ' oS ( E ) puis caractériser S ' oS ' oS .

23-Similitude :
ABCD est un carré directe de centre O, soient I et J les milieux respectifs de [AB] et [AD]
On désigne par S la similitude directe de centre  telle que S(D)=O et S(C)=I.
1- Déterminer le rapport et une mesure de l'angle de S.
2- a- Préciser les images des droites (BD) et (BC) par S.
b- Préciser S(B) puis déduire que S(A)=J.
3- Caractériser SoS et en déduire que B,  et J sont alignés.
3- On munit le plan complexe par le repère orthonormé direct ( A, AB, AD )
a- Préciser les affixes de A,B,C,D ,O,I et J.
b- Déterminer l'expression complexe de S.
c- Déterminer l'affixe de  .

24-Parabole:

On donne une droite fixe D et un point F non situe sur D , H est un point variable de (D)
La perpendiculaire à D en H coupe la perpendiculaire menée de F à (FH) en N.
Soit M le milieu de [NH].
1- Montrer que M varie sur une parabole (P) dont on précisera le foyer et la directrice.

11
r r 3
2- On rapporte le plan à un repère orthonormé (O ; i , j ) . On donne F( ,1) et D: x =-1
2
9
a) Montrer que (P) a pour équation : y²-5x+2y+ 4 0

b) Préciser le sommet de (P). Tracer (P).


21
3- a) Vérifier que le point A( 20 ,1) appartient à (P) puis écrire une équation de la tangente
T à (P) en A.
b) La droite T coupe D en point K. Montrer que le triangle AFK est rectangle en F.

25-Similitude:

Dans le plan orienté on considère un carré ABCD tel que ( AB, AD) 
2
[2 ]

On désigne par I , K et E les milieux respectifs des segments AC; CDet IC
Soit S la similitude directe qui transforme A en I et C en K
2
1- a- Montrer que le rapport de S est 4
et déterminer son angle.
b- Montrer que le centre de S est un point d’intersection des cercles de diamètres ADet
ICautre que I et construire .
IE
c- Calculer ( AB, IE ) et
AB
et en déduire que S(B)=E
2- On rapporte le plan au repère orthonormé ( A, AB, AD )
a- Déterminer les affixes des points I , K et E
b- Déterminer l’écriture complexe de S
2 4
c- En déduire que l’affixe de est  i
5 5
d- Montrer que S(B) = E.

26-Similitude:

Dans le plan orienté, on considère un triangle rectangle en A et tel que ( AB, AC )  [2 ] et
2
.on désigne par J le projeté orthogonal de A sur (BC)
.Soit S la similitude directe qui transforme A en B et C en A (1

.a) Déterminer le rapport et l’angle de S


.b) Montrer que le centre de S est le point J
. c) Construire l’image B’ du point B par S
Soit D le point de la demi droite [AC) tel que AD=AB. On rapporte le plan au repère (2
( A, AB, AD ) orthonormé direct

.a) Déterminer les affixes des points B et C selon le repère R


.b) Déterminer l’écriture complexe de S
c) Retrouver alors le rapport et l’angle de S et déterminer l’affixe du point J .

27-Rotation et similitude:
Dans le plan orienté, on considère un triangle isocèle ABC tel que AB=AC et

( AB, AC )  [2 ]
4

12
Soit I le point tel que le triangle CAI soit isocèle rectangle avec

(CA, CI )  [2 ]
2
1- On appelle R A la rotation de centre A qui transforme B en C et RC la

rotation de centre C et d'angle 
2
. On pose f  RC oR A

a) Déterminer les images par f de A et de B.


b) Démontrer que f est une rotation dont on précisera l'angle et le centre O
.Placer O .
c) Quelle est la nature du quadrilatère ABOC ?
2-Soit S la similitude directe de centre O qui transforme A en B. On appelle
C ' l'image de C
par S et H le milieu du segment BCet H ' son image par S.
a) Donner une mesure de l'angle de S et montrer que C' appartient à la
droite (OA).
b) Donner l'image par S du segment OAet montrer que H ' est le milieu
de OB.
c) Montrer que (C 'H ') est perpendiculaire à (OB).
En déduire que C ' est le centre du cercle circonscrit au triangle OBC.

28-Similitude et complexe:

Dans le plan orienté on considère un rectangle ABCD tel que ( AB, AD)  [2 ]
2
et AB=2AD, et soit I le milieu de [AB].
A- Soit S la similitude plane directe telle que S(B)=A et S(A)=D.
1- Trouver le rapport et un angle de S.
2- Soit D'=S(D) ,montrer que D' appartient à la droite (CD) et que (AD') est
Perpendiculaire à la droite (BD). Construire D'.
3- Montrer que le centre  de S est l'intersection des droites (AD') et (BD).
4- C' est le pied de la perpendiculaire menée de D' à (AB). Montrer que
Le triangle  CC' est rectangle.
B- Le plan est muni du repère direct ( A, AI , AD )
1- Trouver les affixes des points A, B, C et D.
2- Trouver l'expression complexe f de S.
3- Déduire les affixes de D', C' et  .

29-Homothétie et similitude.

On donne un triangle ABC tel que AB = 6, AC = 4 et ( AB, AC )  [2 ] .
2
Soit I le projeté orthogonal de A sur (BC).
1- Soit h l’homothétie de centre I qui transforme C en B.
Construire l’image (d) de la droite (AC) par h.
Déduire l’image D de A par h.
2- Soit S la similitude qui transforme A en B et C en A.
a) Déterminer le rapport et un angle de S.
b) Déterminer l’image par S de chacune des deux droites
(AI) et (CB). En déduire que I est le centre de S.
c) Déterminer l’image de (AB) par S. En déduire que S(B) = D.
13
3- a) Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de SoS.
b) Montrer que SoS(A) = h(A).
c) Montrer que SoS = h.
4- Soit E le milieu de [AC].
a) Déterminer les points F et G tels que F = S(E) et G = S(F).
b) Montrer que les points E, I et G sont alignés.

30-Similitude.

Soit I AB un triangle rectangle en I direct tel que I A < I B, on note J le


symétrique de I par rapport à B.
Soit f la similitude directe telle que f (A) = B et f (I ) = J .
a) Déterminer l’angle de f .
b) Soit O le symétrique de I par rapport à (AB), déterminer f (OA) et f (OI
).
En déduire le centre de f .
c) Construire f (AB) , puis f (B).

31-Similitude.
Dans le plan orienté , On donne un carré ABCD de centre O tel que

( AB, AD)  [2 ]
2
S1 est la similitude directe de centre C qui transforme D en A.
1. Déterminer le rapport et une mesure de l’angle de S1 .
2. On note B′ l’image du point B par S1 .
a) Montrer que S1 (DB)〉 = (AB).
b) Montrer que la droite (CB′) est tangente au cercle circonscrit au carré
ABCD.
c) Construire alors le point B′.
3. S 2 est la similitude directe qui transforme O en A et A en B.
a) Déterminer et construire B1 = S 2 (C).
b) Déterminer le rapport et une mesure de l’angle de S 2 .
c) En déduire que S 2 oS1 est une homothétie dont on déterminera le
rapport.
4. Soit E le milieu du segment [DC], la droite (AE) coupe la droite (DB) en I.
Montrer que les points C , I et B1 sont alignés.

32-Similitude.


ABCD est un rectangle de centre O tel que ( AB, AC )  [2 ] et E est le
6
symétrique de
1 
A par rapport à D. Soit S la similitude de centre C, de rapport 2
et d'angle 3
.

14
1- a- Justifier que S(A)=B.
b- Montrer que le triangle ACE est équilatéral et en déduire que
S(E)=O.
2- Soit I un point du segment [EO], distinct de E et de O, et soit () le
cercle de centre I
Qui passe par A. Les droites (AD) et (AB) recoupent () en M et P
respectivement.
a- Justifier que C appartient - Justifier que C appartient à () .

b- Montrer que ( MP, MC )  [ 2 ] .
6
c- En déduire que S(M)=N où N est le projeté orthogonal de C sur (MP).
d- Montrer que B, D et N sont alignés.

33-Similitude.
Dans un plan orienté, on donne un rectangle direct AEFD

.tel que : ( AE , AD)  [ 2 ] ,AE = 2 2 et AD = 2
2
.On désigne par B et C les milieux respectifs de [AE] et [FD]
.Soit S la similitude plane directe qui transforme A en C et E en B
.a- Déterminer le rapport k et un angle de S (1
.b- Montrer que S (F) = E et déduire S (D)
.Soit W le centre de S et soit h la transformation définie par h = SoS (2
.a- Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de h
.b- Trouver h (D) et h (F) et construire le point W
.On désigne par I le milieu de [BE] (3
.a- Démontrer que W, C et I sont alignés
. WI b- Exprimer WC en fonction de
. z D  2 Le plan complexe est rapporté au repère orthonormé ( A, u , v) avec zB  2 et (4
.a- Trouver la forme complexe de S
.b- Déterminer l'affixe de W

.Conique-34
Dans le plan d'un repère orthonormé ( O, i, j ) on donne le cercle (C) d'équation x 2  y 2  a 2 de
diamètre [AB] tel que A(a,0). P un point de (C), la tangente (T) en P à (C) coupe la
.tangente (D) en A à (C) en S. La perpendiculaire menée de P à (AB) coupe (BS) en M
. Trouver le lieu de M lorsque P décrit (C)

.Logarithme et suites-35
x 1  ln x f ]0,[
f ( x)   On considère la fonction définie sur par
2 x
g ( x)  x 2  2 ln x A- Soit la fonction g définie sur ]0,[ par
.Etudier les variations de g(x) -1
.En déduire le signe de g(x) -2
.B- On appelle (C) la courbe représentative de f (x) dans un repère orthonormé d'unité 2cm
.Déterminer la limite de f en 0 et donner une interprétation graphique du résultat -1
.   a- Déterminer la limite de f en -2
x
b- Montrer que la droite (d ) : y  est asymptote à (C) et étudier la position de (C)
2
15
.par rapport à (d) et trouver leur point d'intersection A
.Etudier les variations de f et dresser le tableau de variations -3
.Trouver le point B de (C) où la tangente (T) est parallèle à (d) -4
. 0,34    0,35 Montrer que l'équation f ( x)  0 admet une seule solution  et que -5
.Tracer (d),(T) et(C) -6
n2
.C- On considère la suite ( x n ) définie
par x n  e 2 pour tout entier naturel
.a- Montrer que ( x n ) est géométrique dont on déterminera la raison et le premier terme -1
.b- Montrer que ( x n ) est croissante
xn 1
x
. a n  4  ( f ( x)  )dx Pour tout entier n on pose -2
xn
2
. a n a- Donner une interprétation géométrique de
2n  1
.b- Montrer que an  et en déduire que cette suite est arithmétique
2

.Similitude-36

ABCD est un rectangle direct de centre I tel que ( AB, AC )  [2 ] et AB=a
3
.Soit H le projeté orthogonal de A sur (BD)
. 3 a- Justifier que le triangle AIB est équilatéral et que BC=a -1
.b- Déterminer l'angle et le rapport de la similitude directe S qui transforme D en C et H en B
.c- Montrer que A est le centre de S
.a- Déterminer S((DB)) -2
.b- Construire le point E=S(I) et montrer que le triangle EAC est isocèle
.c- Déduire le point B'=S(B) et montrer que le triangle ACB' est rectangle
.a- Déterminer le point J tel que S(J)=I -3
.b- Montrer que les points A,H,I et J sont cocycliques

.Homothétie-37
On donne un triangle ABC et A',B' et C' sont les milieux respectifs de [BC],[AC] et [AB]
.et G son centre de gravité. M est un point quelconque du plan
Montrer que la parallèle menée de A à (MA') et la parallèle menée de B à (MB')
et la parallèle menée de C à (MC') se coupent en un même point. (Utiliser h(G,-2))

.Homothétie-38
On donne un triangle ABC et A',B' et C' sont les milieux respectifs de [BC],[AC] et [AB]
et G son centre de gravité. M est un point quelconque du plan. Les points P,Q et R sont les
.'symétriques respectifs de M par rapport à A',B' et C
1
.Montrer que les segments [AP],[BR] et [CQ] ont même milieu.(utiliser h(M, 2 ) et h(G,-2)

.Similitude et homothétie*-39

Dans la figure ( AB, AC )  ( 2 ) et (AH) est hauteur et (AM) est médiane,HPAQ est un
2
rectangle de centre I ,la perpendiculaire en B à (AB) coupe (AH) en D et M' est milieu de [AD]

16
On va démontrer que (AM) et (PQ) sont perpendiculaires

Soit la similitude S telle que S(A)=B et S(C)=A


1- Trouver l'angle de S
2- Montrer que H est le centre de S
3- Montrer que S(B)=D
4- Montrer que S(M)=M' et en déduire que (AM) et (BM')sont perpendiculaires.
5- Soit h l'homothétie de centre A telle que h(Q)=B
a- Montrer que h(H)=D
b- Montrer que h(I)=M' et en déduire que (AM) et (PQ) sont perpendiculaires

.Complexe et géométrie-40
z 3  (3  a 2 ) z  2i (1  a 2 )  0 :Dans l'ensemble des nombres complexes on considère l'équation(E)
.où a est un nombre complexe de module 2
.a- Vérifier que 2i est solution de (E) -1
.b- Résoudre (E)
Dans le plan complexe muni du repère orthonormé (O, u , v) on considère les points -2
2i,  i,  i  a et  i  a A, B, M et N d'affixes respectives
.a- Calculer MN et déterminer le milieu de [MN]
.b- En déduire que lorsque a varie, les points M et N se déplacent sur un cercle fixe
.c- Dans le cas où AMN est un triangle, montrer que O est son centre de gravité
.d- En déduire les valeurs de a pour lesquelles AMN est un triangle isocèle de sommet A

.Rotations-41

Dans le plan orienté on considère un losange OABC tel que (OA, OC )  [2 ] , et le cercle
3
(de centre O qui passe par A et coupe (OB) en E. Soit F le point de la demi-droite [OC ) )

6
tel que CF=EB et C appartient au segment [OF]. r1 est la rotation de centre O et d'angle
2
.et r2 est la rotation de centre de centre A d'angle  et g=r1or2
3
.Déterminer les images de O et A par g -1
.Préciser la nature de g et en déduire que (EF) et (OA) sont perpendiculaires et que EF=OA -2
.Déterminer ( ' ) image de ( ) par g -3
.La perpendiculaire passant par E à (OC) coupe (AB) en I -4

.a- Montrer que ( IA, IE )   [2 ] et que IA=IE
2
.b- En déduire le centre de g

17
c- Soit H l'orthocentre du triangle OAE. Montrer que les droites (OI), (AC) et (FE)
.se coupent en H

.Transformations-42
Dans le plan orienté , On donne un carré ABCD de centre O tel que

. ( AB, AD)  [2 ]
2

r est la rotation de centre A et d'angle 2
, t est la translation de vecteur AB et h est
.l'homothétie de centre C de rapport 3 . On pose r'=tor
.a- Déterminer les images par r' de A et de B -1
'b- Caractériser alors r
Soit la transformation f=r'oh -2
.a- Montrer que f est une similitude directe dont on précisera le rapport et l'angle
b- Soit I le centre de f. Déterminer f(C) et en déduire une mesure de ( IC , ID) et
.exprimer ID en fonction de IC

. ( MC , MD)  [2 ] c- Déterminer l'ensemble des points M du plan tels que
2
.d- Trouver une mesure de l'angle (CD , CI ) et placer I

43-Complexe et suites.
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé (O, u , v) . On poseZ0= 2,
1 i
et pour tout entier naturel n,Zn+1= 2
Zn. On note An le point du plan d’affixe Zn.
On définit la suite (Un) par Un=|Zn|.
1. Donner le nom et les éléments caractéristiques de la transformation qui
Transforme An en An+1.
2. a) Démontrer que (Un) est une suite géométrique puis exprimer Un en fonction de n.
b) A partir de quel rang n0 tous les points An appartiennent-ils au disque de centre
O et de rayon 0,1 ?
Z n 1  Z n
3. a) Etablir que pour tout entier naturel n ona i
Z n 1
b) En déduire la nature du triangle OAnAn+1 .
4. On donne Ln=A0A1+A1A2+A2A3+···+An-1An.
Exprimer Ln en fonction de n puis étudier la convergence de (L n).

.Complexes-44
Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé direct (O, u , v) ; unité graphique : 4 cm.
On considère le point A d'affixe zA= 2 + i et le cercle () de centre A et de rayon 2 .
1. Faire une figure qui sera complétée tout au long de l'exercice.
2. a) Déterminer les affixes des points d'intersection de () et de l'axe (O, u ) .
b) On désigne par B et C les points d'affixes respectives zB= 1 et zC= 3.
Déterminer l'affixe zD du point D diamétralement opposé au point B sur le cercle () .
3 6
3. Soit M le point d'affixe  i.
5 5
zD  zM
a) Calculer le nombre complexe z  z .
B M

18
zD  zM
b) Interpréter géométriquement un argument du nombre z  z ; en déduire que le point
B M

M appartient au cercle ( ) .
4. On note le cercle ( ' ) de diamètre [AB].La droite (BM) recoupe le cercle ( ' ) en un point
N.
a) Montrer que les droites (DM) et (AN) sont parallèles.
b) Déterminer l'affixe du point N.

5. On désigne par M' l'image du point M par la rotation de centre B et d'angle 
2
a) Déterminer l'affixe du point M'.
b) Montrer que le point M' appartient au cercle (  ' ) .

.Géométrie dans l'espace-45


Dans l’espace muni d’un repère orthonormé (O, i , j , k ) , on considère les points
 x  2  t

A(0,1,−1) et B(−2,2,−1) et la droite (d) de représentation paramétrique:  y  1  t
 z  1  t

1) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (AB).
2) a) Montrer que les droites (AB) et (d) ne sont pas parallèles.
b) Montrer que les droites (AB) et (d) ne sont pas sécantes.
Dans la suite la lettre u désigne un nombre réel. On considère le point M de la droite (d)
de coordonnées(−2 +u,1 +u,−1−u).
3) Vérifier que le plan (P) d’équation x+y−z−3u= 0 est orthogonal à la droite (d)
et passe par le point M.
4) Montrer que le plan (P) et la droite (AB) sont sécants en un point N
de coordonnées (−4 + 6u,3−3u,−1).
5) a) Montrer que la droite (MN) est perpendiculaire à la droite (d).
b) Existe-t-il une valeur du nombre réel u pour laquelle la droite (MN) est
perpendiculaire à la droite(AB)?
6) a) Exprimer MN 2 en fonction de u.
b) En déduire la valeur du réel u pour laquelle la distance MN est minimale.

46-Probabilité.
En prévision d’une élection entre deux candidats A et B, un institut de sondage recueille
les intentions de vote de futurs électeurs. Parmi les1200 personnes qui ont répondu au
sondage, 47 % affirment vouloir voter pour le candidat A et les autres pour le candidat B.
Compte tenu du profil des candidats, l’institut de sondage estime que 10 % des personnes
déclarant vouloir voter pour le candidat A ne disent pas la vérité et votent en réalité pour
le candidat B, tandis que 20 % des personnes déclarant vouloir voter pour le candidat B
ne disent pas la vérité et votent en réalité pour le candidat A. On choisit au hasard une
personne ayant répondu au sondage et on note :
•A l’évènement « La personne interrogée affirme vouloir voter pour le candidat A»;
•B l’évènement « La personne interrogée affirme vouloir voter pour le candidat B » ;
•V l’évènement « La personne interrogée dit la vérité ».
19
1) Construire un arbre de probabilités traduisant la situation.
2) a) Calculer la probabilité que la personne interrogée dise la vérité.
b) Sachant que la personne interrogée dit la vérité, calculer la probabilité qu’elle
affirme vouloir voter pour le candidat A.
3) Démontrer que la probabilité que la personne choisie vote effectivement pour le
candidat A est 0,529.
47-Exponentielle et suite.
I- Soit la fonction g définie sur R, qui à tout x associe : g ( x)  e x ( x  1)  x 2 .
1. a. Montrer que la dérivée de la fonction g sur R est g ' ( x)  x(e x  2) .
b. Déterminer les limites de g en +∞ et en −∞.
c. Étudier le signe de g′(x) sur R, et dresser le tableau de variation de g sur R.
2. Montrer que l’équation :g(x)=0 admet une solution α et une seule sur l’intervalle
1
[0 ;+∞[. Montrer que α est dans l’intervalle I=[ 2 ,1 ];
ex
II- Soit la fonction f définie sur [0 ;+∞[ par :f(x)= x
e x
1. Montrer que les équations :f(x)=x et g(x)=0 sont équivalentes sur [0 ;+∞[,et que,
par suite, l’équation f(x)=x admet α pour solution unique sur I.
2. a. Calculer la dérivée de f et en déduire le sens de variation de f sur [0 ;+∞[.
b. Déterminer la limite de f en +∞.
c. Dresser le tableau de variation de f.
d. Construire la courbe représentative C de f sur [0 ;+∞[ dans un repère
orthonormé (unité 2 cm). On indiquera en particulier les tangentes à C aux
points d’abscisses 0 et 1.
III
1. Montrer que, pour tout x appartenant à I,f(x) appartient à I.
1
2. Soit la suite ( u n ), définie par u1 
2
et u n 1  f (u n ) pour tout entier n  1.
a. Montrer que, pour tout n∈N*,un∈I.
1
b. Montrer que, pour tout x∈I, |f′(x)|  2 .
c. En appliquant le théorème de l’inégalité des accroissements finis, démontrer que :
1
pour tout n>1,|un−α|  2 |un−1−α|.
d. En déduire, par un raisonnement par récurrence, que pour tout n∈N∗,
1
|un−α|  ( 2 ) n .
e. En déduire que (un) converge vers α.

48-Probabilité.
Pour un examen, dix examinateurs ont préparé chacun 2 sujets. On dispose donc
de vingt sujets que l’on place dans 20 enveloppes identiques. Deux candidats se
présentent : chacun choisit au hasard deux sujets; de plus, les sujets choisis par le
premier candidat ne seront plus disponibles pour le deuxième.

20
On note A1 l’évènement : « les deux sujets obtenus par le premier candidat proviennent
du même examinateur » et A2 l’évènement « les deux sujets obtenus par le deuxième
candidat proviennent du même examinateur ».
On note A l’évènement contraire de l’évènement A.
1
1. Montrer que la probabilité de l’évènement A 1 est égale à 19 .
2. a. Calculer directement la probabilité conditionnelle p(A 2/A1) de l’évènement
A2 sachant que A1 est réalisé.
b. Montrer que la probabilité que les deux candidats obtiennent chacun deux sujets
1
provenant d’un même examinateur est égale à 323
.
3. a. Calculer la probabilité p ( A2 / A1 ) .
b. En remarquant que A2=(A2∩A1)∪(A2∩ A1 ) , calculer la probabilité p(A2)
33
puis en déduire que p(A2∪A1)= 323 .
4. Soit X la variable aléatoire égale au nombre de candidats qui ont choisi chacun
deux sujets provenant d’un même examinateur. La variable aléatoire X prend
donc les valeurs 0, 1 ou 2.
a. Déterminer la loi de la probabilité de la variable aléatoire X.
b. Calculer l’espérance mathématique de la variable aléatoire X.

49-Probabilité.
Dans tout l’exercice, A et B étant deux évènements, P(A) désigne la probabilité de A;
P(B / A) la probabilité de B sachant que A est réalisé.
1. Le nombre de clients se présentant en cinq minutes dans une station-service est
une variable aléatoire X dont on donne la loi de probabilité :
i 0 1 2
P( X  i) 0,1 0,5 0,4

a. Définir et représenter graphiquement la fonction de répartition de X.


b. Calculer l’espérance mathématique de X.
2. Dans cette station-service, la probabilité qu’un client achète de l’essence est 0,7;
celle qu’il achète du gazole est 0,3. Son choix est indépendant de celui des autres
clients. On considère les évènements suivants :
C1 « en cinq minutes, un seul client se présente » ;
C2 « en cinq minutes, deux clients se présentent » ;
E « en cinq minutes, un seul client achète de l’essence».
a. Calculer P(C1∩E).
b. Montrer que P(E/C2) = 0,42 et calculer P(C2∩E) .
c. En déduire la probabilité qu’en cinq minutes un seul client achète de l’essence.
3. Soit Y la variable aléatoire égale au nombre de clients achetant de l’essence
en cinq minutes; déterminer la loi de probabilité deY.

50-*Conique.
Dans le plan d'un repère orthonormé (O, i, j ) , on donne le point A(-6,0) et (C) le cercle
de diamètre [AO]. Soit P un point variable de (C) et soit K sa projection orthogonale
sur (AO), on construit le point M tel que KM  AP
21
1- Ecrire une équation de (C).
2- Montrer que l'ensemble des points M, lorsque P décrit (C), est la conique
(E) d'équation : x2+4y2-36=0.
3- Préciser la nature de (E), son centre, l'axe focal, les sommets, les foyers,
les directrices, et l'excentricité.

51-Probabilité.
Une urne A contient 2 boules rouges et 3 boules noires, une urne B contient 3 boules
rouges et deux boules noires. On tire au hasard une boule de l’urne A :
•si elle est noire, on la place dans l’urne B,
•sinon, on l’écarte du jeu. On tire au hasard ensuite une boule de l’urne B. On
considère les événements suivants :
R1: « La boule tirée de A est rouge ».
N1: « La boule tirée de A est noire ».
R2: « La boule tirée de B est rouge ».
N2: « La boule tirée de B est noire ».
1. a. Calculer les probabilités des événements R1 et N1.
b. Calculer les probabilités des événements « R2 sachant R1» et
27
« R2 sachant N1». En déduire que la probabilité de R2 est de 50
.
c. Calculer la probabilité de N2.
2. On répète n fois l’épreuve précédente (tirage d’une boule de A, suivie du tirage
d’une boule de B dans les mêmes conditions initiales indiquées ci-dessus),
en supposant les différentes épreuves indépendantes. Quel nombre minimum
d’essais doit-on effectuer pour que la probabilité d’obtenir au moins une fois une
boule rouge de l’urne B soit supérieure à 0,99?

52- Exponentielle.
Partie A : Résolution d’une équation différentielle

1. Déterminer les fonctions définies sur R solutions de l’équation différentielle


(E1) :y′′+2y′+y=0.
2. On considère l’équation différentielle (E2) :y′′+2y′+y=x+3.
a. Vérifier que la fonction p définie sur R par p(x)=x+1 est solution de(E2).
b. Démontrer qu’une fonction g est solution de (E2) si, et seulement si,
la fonction g- p est solution de (E1).
c. Déduire de1.et 2.(b) les solutions de (E2)
d. Déterminer la solution générale de (E2) qui vérifie :g(0)=1 et g′(0)=2.
Partie B : étude d’une fonction f et courbe représentative

On appelle f la fonction définie sur l’intervalle [0,+∞[ par :f(x)=x+1+xe -x.


On note (C) la courbe représentative de f dans le plan muni du repère
Orthonormé (O, i, j ) (́ unité graphique 2 cm).
1. a. f′et f′′ désignant respectivement les dérivées première et seconde def,
calculer, pour tout réel x,f′(x) et f′′(x).
b. étudier le sens de variation de la dérivée f′.
22
c. Démontrer que, pour tout réel x, f′(x)>0.
d. Calculer la limite de f en +∞.
e. Dresser le tableau de variation de la fonction f.
2. a. Démontrer que la droite (D) d’équation y=x+1 est asymptote à (C) et préciser
la position relative de (D) et (C).
b. La courbe (C) admet en un point A une tangente parallèle à la droite (D).
Déterminer les coordonnées de A.
3. Démontrer que l’équation f(x)=2 admet sur [0,+∞[ une unique solution notéeα,
puis vérifier que 0<α<1.
4. a. Construire la droite (D), le point A défini au2. b, la courbe (C) et la tangente
en A à la courbe (C).
b. Donner par lecture graphique une valeur approchée deα.

Partie C : Recherche d’une approximation décimale deα

ex
1. Démontrer que, sur [0 ;+∞[, l’équation :f(x)=2 équivaut à l’équation :  x.
ex 1
ex
2. On appelle h la fonction définie sur l’intervalle [0; 1] par :h(x)= .
ex 1
a. Calculer h′(x) pour tout réel x de l’intervalle [0; 1] et réaliser le tableau
de variations de la fonction h.
b. En déduire que, pour tout réel x de [0; 1], h(x) appartient à [0; 1].
c. Calculer h′′(x) pour tout réel x de l’intervalle [0; 1] et étudier le sens
de variations de h′.
1
d. En déduire que, pour tout réel x de [0; 1], on a 0  h' ( x ) 
4
3. On définit la suite (un) n∈N par :u0=0 et un+1=h(un) pour tout entier naturel n.
a. Démontrer que, pour tout entier naturel n,u n appartient à l’intervalle [0; 1].
1
b. Démontrer que, pour tout entier naturel n, |u n+1−α|  4 |un−α|
1
c. En déduire que, pour tout entier naturel n, |u n+1−α|  ( 4 ) n
puis que la suite(un) n∈N converge vers α.
d. Déterminer un entier p tel que up soit une valeur approchée à 10-6 près
de α et, à l’aide de la calculatrice, proposer une approximation décimale
de up à 10-6 près. Que peut-on en déduire pour α ?

53-Exponentielle.
Partie A
⋆ Étude d’une fonction auxiliaire
x
La fonction d est définie sur ]−1 ;+∞[ par :d(x)= e x 1 .
1. Calculer la fonction dérivée d′. En déduire les variations de d.
2. Déterminer les limites deden−1 et en+∞.3.Montrer que, pour tout x>−1,

23
on a : 0<d(x)<e.
Partie B
⋆ Étude de la fonction f
Dans cette partie on s’intéresse à la fonction f définie sur l’intervalle ]−1 ;+∞[
x
par :f(x)= x  1  e x 1
On appelle (C) la courbe représentative de f dans un repère orthonormé,
l’unité graphique étant 5 cm. On désigne par f′et f′′ les dérivées première et
seconde de f.
1. Démontrer que la droite (D) d’équation y=x−e+1 est asymptote à la
courbe(C).Préciser la position relative de (D) et (C).
x
2 x  1 x 1
2. a. Pour x∈]−1 ;+∞[, calculer f′(x) et f′′(x).Vérifier que f′′(x)= e .
( x  1) 4
En déduire le sens de variations de f′.
b. Dresser le tableau de variations de f′.(On admettra que lim f ' ( x)  lim f ' ( x)  1 .)
1 

3. Démontrer que l’équation f′(x)=0 admet sur ]−1 ;+∞[ deux solutions dont
l’une est 0.Dans la suite du problème, on notera α la solution non nulle.
Vérifier que -0,75<α<-0,7.
4. a. Étudier les variations de f.
b. Calculer les limites de f aux bornes de son ensemble de définition.
c. Dresser le tableau de variations de f
Partie C
⋆ Prolongement de la fonction f en −1
On considère la fonction g définie sur ]−1 ;+∞[ par :
g(−1)=0 et g(x)=f(x) pour tout x>−1. On appelle (C′) la courbe représentative
de la fonction g dans le repère de la partie B.
1. Montrer que g est continue en -1.
x
g ( x)  g (1) 1 x
2. a. Montrer que l’on peut écrire  1 ( e x 1 ) .
x  (1) x x 1
x
b. Pour x∈]−1 ;+∞[, déterminer la limite lorsque x tend vers−1 de x 1
puis
x
x
de e x 1 .
x 1
c. En déduire que g est dérivable en - 1 et préciser son nombre dérivé g′(−1).
3. Construire (D) et (C′). Préciser les tangentes à (C′) aux points d’abscisses -1, α , 0.

54-Probabilité.
Un meuble est composé de 10 tiroirs T1, T2, ..., T10.
Une personne place au hasard une boule dans un des tiroirs et une autre est chargée
de trouver le tiroir contenant la boule à l’aide de la stratégie suivante :
la personne ouvre le tiroir T1.Si la boule est dans le tiroir T1, la recherche est achevée,
sinon la personne ouvre le tiroir T2, et ainsi de suite ...en respectant l’ordre des

24
numéros de tiroirs. On remarquera qu’avec cette stratégie, le tiroir T 10 n’est jamais
ouvert. Pour i entier compris entre 1 et 10 (1  i  10), on appelle Bi l’évènement
« La boule se trouve dans le tiroir Ti».
On note X la variable aléatoire égale au nombre de tiroirs qui ont été ouverts afin de
localiser la boule avec cette stratégie.
1. Donner l’ensemble des valeurs possibles de X.
2. a. Montrer que, pour i entier compris entre 1 et 8 (1  i  8),
l’évènement (X=i) est l’évènement Bi.
b. Justifier que l’évènement (X=9) est la réunion des évènements B 9 et B10.
c. Déterminer la loi de probabilité de X.
d. Calculer l’espérance mathématique de X.

55-Probabilité.
Un joueur dispose d’une urne contenant 3 boules rouges, 4 boules blanches et
n boules vertes (0  n  10). Les boules sont indiscernables au toucher.
1. Le joueur tire au hasard une boule de l’urne.
Calculer la probabilité de chacun des évènements suivants :
a. R : « la boule tirée est rouge » ;
b. B : « la boule tirée est blanche » ;
c. V : « la boule tirée est verte ».
2. Le joueur décide de jouer une partie. Celle-ci se déroule de la manière indiquée
ci- dessous.
Le joueur tire une boule de l’urne
•si elle est rouge, il gagne 16 F :
•si elle est blanche, il perd 12 F;
•si elle est verte, il remet la boule dans l’urne, puis tire une boule de l’urne;
. si celle boule est rouge, il gagne 8 F;
. si cette boule est blanche, il perd 2 F;
. si cette boule est verte, il ne perd rien ni ne gagne rien.
Les tirages sont équiprobables et deux tirages successifs sont indépendants.
Au début de la partie, le joueur possède 12 F. Soit X la variable aléatoire qui prend
pour valeur la somme que le joueur possède à l’issue de la partie (un tirage ou deux
tirages selon le cas).
a. Déterminer les valeurs prises par X.
b. Déterminer la loi de probabilité de X.
n
c. Montrer que l’espérance mathématique de X est 12  16 .
( n  7) 2
x
3. On considère la fonction f définie sur l’intervalle [0; 10] par f(x)= ( x  7) 2 .
Étudier les variations de f.
4. En déduire la valeur de n pour laquelle l’espérance mathématique X est maximale.
Calculer celle valeur maximale (on donnera le résultat sous la forme d’une fraction

56-Conique.
Le plan est rapport un repère orthonormé direct (O, i , j )

25
́́.L’unité graphique est 4 cm. On considère les points A(1; 0), C(0; 1), D(0 ;−1) et le
cercle (Γ) de centre O et de rayon 1. Soit M un point du cercle (Γ), d’ordonnée positive
ou nulle, et distinct de C. La droite (DM) rencontre l’axe des abscisses au point I.
Le point N est le point d’intersection de la droite (OM) et de la parallèle la droite(CD)
passant par I.
1. Réaliser la figure.
2. On note t une mesure de l’angle orienté (i, OM )
On se propose de déterminer l’ensemble (F) décrit par le point N lorsque t

décrit l’intervalle [0;π] privé de 2
.
a. Déterminer les coordonnées de M en fonction de t.
cos t
b. Montrer que les coordonnées de I sont (
1  sin t
,0) ; puis que les coordonnées
cos t sin t
x(t) et y(t) de N sont : x(t)= 1  sin t et y(t)= 1  sin t .
3. a. Comparer d’une part x(t) et x(π−t), puis d’autre part y(t) et y(π−t).
En déduire une propriété géométrique de l’ensemble (F).

b. Faire l’étude des variations des fonctions x(t) et y(t) sur [0,
2
[

c. Déterminer les limites de x(t) et y(t) quand t tend vers 2
.
4. a. Calculer, en fonction de t, la distance ON puis la distance de N à la
Droite d’équation y=1.
b. En déduire que (F) est inclus dans une conique dont on précisera a nature
et les éléments.
c. Tracer l’ensemble (F).
57-Exponentielle et probabilité.
Partie A
* Résolution d’une équation différentielle
1. Résoudre dans IR l’équation différentielle (E0) :y′′−2y′+y=0.
2. Soit l’équation différentielle (E) :y′′−2y′+y=x2−4x+2.Vérifier que le polynôme h
défini sur IR par h(x)=x2 est une solution particulière de (E), c’est-à-dire que,
pour tout x de IR, h′′(x)−2h′(x)+h(x)=x2−4x+2.
3. a. Montrer que si f est solution de (E), c’est-à-dire, si pour tout x réel,
f′′(x)−2f′(x)+f(x)=x2−4x+2, alors la fonction g, telle que g=f−h, est solution de (E 0).
b. Réciproquement, montrer que si g est solution de (E 0) alors la fonction f,t elle
que f=g+h, est solution de (E).
c. En déduire la forme générale des solutions de (E) sur IR.
4. En déduire une solution φ de (E) satisfaisant φ(1)=1 et φ′(1)=0.
Partie B
⋆ Étude de la fonction f et tracé de sa courbe représentative.
On considère la fonction définie sur IR, par f(x)=x2−2(x−1)e(x-1).
On note (C) sa courbe représentative dans un repère orthonormé (O, i, j )
(unité graphique : 2 cm).
x 2 2x 2
1. a. Déterminer la limite de f en +∞. On pourra montrer que :f(x)= e(   ).
e e e
b. Déterminer la limite de f en -∞.
c. Calculer f′(x) pour tout x réel et en déduire le sens de variation de f sur IR.

26
2. a. Montrer que l’équation f(x)=0 admet sur IR une solution unique.
On note α cette solution.
b. Montrer que α appartient à l’intervalle ] 1,7; 1,8[.
3. On appelle (Γ) la parabole d’équation y=x2.
a. Étudier la position relative de (C) et de (Γ).
b. Calculer la limite de f(x)−x2 quand x tend vers −∞.
4. Tracer sur une feuille de papier millimétré, la courbe (C) et la parabole (Γ).
Partie C
⋆ Calculs d’aires
Soit a un nombre réel strictement inférieur à 1. On appelle D a le domaine du plan
limité par les courbes (C) et (Γ) et les droites d’équations x=a et x=1.
On note A(a) l’aire du domaine Da, exprimée en unités d’aire.
1. Montrer que A(a)=2(a−1)e(a-1) −2e(a-1)+2.(utiliser une intégration par parties).
2. Calculer l’aire A(0) du domaine D0.
3. Déterminer la limite de A(a) quand a tend vers −∞.
Partie D
⋆ Calcul de probabilités
Sur la feuille de papier millimétré de la partie B, on place les points I(1; 0), J (0; 1)
Et K(1; 1). On utilise cette feuille comme cible. On admet que, pour chaque essai :
1
• La probabilité d’atteindre un point du carré OIKJ est égale 2
.
• Sachant qu’un point du carré est atteint, la probabilité que ce point appartienne
à D0 est égale à A(0).
1. Pour un essai, montrer que la probabilité d’atteindre un point du domaine D 0 est
2
égale à 1 .
e
2. On effectue n essais (n entier naturel non nul), tous indépendants.
a. Exprimer, en fonction de n, la probabilité p n d’atteindre au moins une fois un point
du domaine D0 au cours de ces n essais.
b. Déterminer le nombre minimal n d’essais pour que cette probabilité p n soit
supérieure ou égale à 0,99

58-*Similitude.


Dans le plan orienté, On donne un rectangle ABCD tel que ( AB, AD)  [2 ] ,
2
et AB=4 2 et AD=4. S est la similitude directe telle que S(D)=C et S(C)=B.
1- Trouver le rapport et un angle de S.
2- Soit I le milieu de [AB], montrer que S(B)=I.
3- En déduire que le centre Ω de S est l'intersection des droites (DB) et (CI).
4- Montrer que (A Ω) coupe [BC] en son milieu.
5- Soit J le symétrique de C par rapport à B, montrer que S(J)=A.
6- Soit K le milieu de [DC], Montrer que S(A)=K et que J, Ω et K sont alignés.
7- Montrer que (K Ω) coupe [IB] en son milieu.
8- Montrer que (A Ω) est tangente commune aux cercles de diamètres
[DC] et [BI].

27
9- Le plan complexe est rapporté au repère orthonormé (A, u , v) où
1 1
u AB et v  AD.
AB AD
a- Trouver la forme complexe de S.
b- En déduire les coordonnées de Ω .

59-Probabilité et suites.

Juliette débute un jeu dans lequel elle a autant de chances de gagner ou de perdre la
première partie. On admet que, si elle gagne une partie, la probabilité qu’elle gagne la
partie suivante est 0,6, et si elle perd une partie, la probabilité pour qu’elle perde la
partie suivante est 0,7. On note, pour n entier naturel ou nul :
Gn l’évènement « Juliette gagne la nième partie »
Pn l’évènement « Juliette perd la nième partie »
1. a. Déterminer les probabilités p(G1),p(G2/G1) et p(G2/P1). En déduire
La probabilité p(G2).
b. Calculer p(P2).
2. On pose, pour n entier naturel non nul, x n=p(Gn) et yn=p(Pn).
a. Déterminer pour n entier naturel non nul les probabilités
p(Pn+1/Gn) et p(Gn+1/Pn).
b. Montrer que pour tout n entier naturel non nul :
xn+1 =0,6xn+0,3yn et yn+1=0,4xn+0,7yn .
3. Pour n entier naturel non nul, on pose vn=xn+yn et wn=4xn−3yn.
a. Montrer que la suite (vn) est constante de terme général égal à 1.
b. Montrer que la suite (wn) est géométrique et exprimer wn en fonction de n.
4. a. Déduire du 3, l’expression de xn en fonction de n.
b. Montrer que la suite (xn) converge et déterminer sa limite.

60-Transformations.
Dans le plan orienté, ABC est un triangle rectangle en A, direct, non isocèle. H est
le pied de la hauteur issue de A. Le point D est tel que ACD est un triangle rectangle
en A, isocèle et direct. O est le pied de la hauteur issue de D dans le triangle DBC.
K est le pied de la hauteur issue de A dans le triangle DAO.
1. Faire une figure.

2. Montrer que la rotation r de centre A et d’angle  transforme la droite (CB) en
2
la droite (DO), puis le triangle AHC en le triangle AKD.
En déduire que AHOK est un carré.
3. Montrer que les droites (AB) et (KH) sont sécantes. (On pourra montrer que
l’hypothèse « (AB) et (KH) parallèles » conduit à l’égalité «AB = AC » et que ceci
est contradictoire avec les hypothèses de l’énoncé).
4. En déduire qu’il existe une homothétie h qui transforme le triangle AKD en le
triangle BHA.
5. On considère la transformation composée s=h◦r.
a. Déterminer l’image des points H, C et A par s.
b. Identifier cette transformation et donner ses éléments caractéristiques.

61-Probabilité.
28
1. Une urne contient deux boules blanches et n noires, indiscernables au toucher.
Un joueur tire simultanément deux boules de l’urne et on note
A2 l’évènement : « le joueur a tiré deux boules blanches ».
1
Déterminer n pour que la probabilité p(A2) de l’évènement A2 soit égale à 15
.
2. Dans toute la suite du problème on prend n=4.
A- Un joueur tire simultanément deux boules de l’urne et on note:
A0 l’évènement : « le joueur a tiré deux boules noires »
A1 l’évènement : « le joueur a tiré une boule noire et une blanche»
A2 l’évènement : « le joueur a tiré deux boules blanches ».
a. Calculer la probabilité des évènementsA0 et A1.
b. Lors de ce tirage, le joueur marque trois points pour chaque boule blanche
tirée et marque deux points pour chaque boule noire tirée.
Soit X le nombre de points marqués.
1- Déterminer la loi de probabilité de la variable aléatoire X.
2- Déterminer E(X).
B -Après ce premier tirage, le joueur remet les boules noires tirées dans l’urne et laisse
les boules blanches tirées de côté, puis effectue un nouveau tirage simultané de
deux boules.
Soit Bi l’évènement : « on obtient i boule(s) blanche(s) lors du deuxième tirage »
(i=0, 1 ou 2).
a. Donner p(B0/A2) et en déduire p(B0∩A2).
Calculer de même p(B0∩A1) et p(B0∩A0).
41
En déduire que p(B0)= 75 .
2
b. Montrer de même que p(B2)= 75 .
c. En déduire p(B1).

62-Homothétie.
On considère (C) et (C′) deux cercles de centres respectifs O et O′et de rayons r et 2r
tangents extérieurement en A, de diamètres respectifs [AB] et [AA′].
Soit M un point quelconque de (C), distinct de A et de B, et M′ le point de (C′) tel que le
triangle AM M′ soit rectangle en A (on prendra pour la figurer=2 cm)
1. a. Déterminer en justifiant les réponses :
— le rapport de l’homothétie h1 de centre A qui transforme (C) en (C′);
— Placer le centre I de l’homothétie h2 distincte de h1 qui transforme (C) en(C′).
b. On note M1=h1(M) Montrer que M1 est le point de (C′) diamétralement opposé à M′
et déterminer h2(M) et en déduire que la droite (M M′) passe par un point fixe,
lorsque M décrit le cercle (C) privé des points A et B.
2. La droite (M M′) recoupe (C) en N et (C′) en N′. Quelle est l’image de N par h 2?
Montrer que ( AN , AM )  ( AN ', AM ') mod(π) et en déduire que le triangle AN N′ est
rectangle en A.
3. Soit ω milieu de [M M′]. Montrer que ω appartient à un cercle fixe dont on donnera
le centre et le rayon (on pourra utiliser le milieu D de [OO′]).

63-Logarithmes,intégrales et suite.
29
Pour tout entier n strictement positif on considère la fonction f n définie sur ]0 ;+∞[ par
(ln x) n
fn(x)= .On note Cn a courbe représentative de fn dans un repère o
́ rthogonal
x2
(Unités graphiques 2 cm sur l’axe des abscisses, 10 cm sur l’axe des ordonnées).
Partie A - Étude pour n=1
1. Déterminer lim lim
x  0 f1(x) et x  f1(x). Que peut-on en déduire pour C 1?

2. Étudier le sens de variation de f1 et donner le tableau des variations de f 1.


3. Déterminer une équation de la tangente en x 0=1, à la courbe C1.
Étude pour n=2
4. Déterminer lim lim
x  0 f2(x) et x  f2(x).Que peut-on en déduire pourC 2?

5. Calculer f′2(x) et donner le tableau des variations de f 2.


Partie B
1. Étudier le signe de f1(x)−f2(x) ; en déduire la position relative de C1 et C2 .
2. Tracer C1 et C2.
Partie C
e

n étant un entier naturel non nul, on pose In  f


1
n ( x)dx .

1  ln x
1. On pose F(x)= x
. Calculer F′(x), en déduire I 1 .
1
2. En utilisant une intégration par parties montrer que : I n 1   (n  1) I n .
e
3. Calculer I 2 puis l’aire en cm2 du domaine compris entre les courbes C 1 et C2 et les
droites d’équations x=1 et x=e.
Partie D
1. En utilisant la question 2. de la partie C, montrer par récurrence que, pour tout n
1 1 1 1 1
entier naturel non nul : n! I n  1 (1    ...  )
e 1! 2! n!
2. En utilisant un encadrement de lnx sur [1 ; e], montrer que, pour tout n entier
naturel non nul on a 0  I n  1.
 1 1 1
3. En déduire lim1    ...   .
n
 1! 2! n! 

64-Probabilité.
On dispose de deux urnes U1 et U2 contenant des boules indiscernables au toucher.
U1 contient n boules blanches et 3 boules noires (n est un entier supérieur ou égal à1).
U2 contient 2 boules blanches et 1 boule noire.
On tire au hasard une boule deU1 et on la met dans U2, puis on tire au hasard une
boule de U2 et on la met dans U1; l’ensemble de ces opérations constitue une épreuve.
1. On considère l’évènement
A : « après l’épreuve, les urnes se retrouvent chacune dans leur configuration de
départ ».
3(n  2)
a. Montrer que la probabilité p(A) de l’évènement A peut s’écrire :p(A)= 4(n  3) .
b. Déterminer la limite de p(A) lorsque n tend vers +∞.
2. On considère l’évènement B : « après l’épreuve, l’urne U 2 contient une seule boule
blanche ».Vérifier que la probabilité p(B) de l’évènement B peut s’écrire
30
6
p(B)= 4(n  3)
3. Un joueur mise 20 francs et effectue une épreuve. À l’issue de cette épreuve, on
compte les boules blanches contenues dans U2.
— Si U2 contient 1 seule boule blanche, le joueur reçoit 2n francs;
— Si U2 contient 2 boules blanches, le joueur reçoit n francs;
— Si U2 contient 3 boules blanches, le joueur ne reçoit rien.
a. Expliquer pourquoi le joueur n’a aucun intérêt à jouer tant que n ne dépassepas10?
Dans la suite, on considère n>10 et on introduit la variable aléatoire X qui prend
pour valeurs les gains algébriques du joueur (par exemple, si, après l’épreuve,
l’urne U2 contient une seule boule blanche,X=2n-20).
b. Déterminer la loi de probabilité de X.
c. Calculer l’espérance mathématique de X.
d. On dit que le jeu est favorable au joueur si et seulement si l’espérance
mathématique est strictement positive. Montrer qu’il en est ainsi dès
que l’urne U1 contient au moins 25 boules blanches.

65-Probabilité.
Une usine est dotée d’un système d’alarme qui se déclenche en principe lorsqu’un
incident se produit sur une chaîne de production, il peut arriver toutefois que le système
soit mis en défaut. En effet, des études statistiques ont montré que, sur une journée :
— la probabilité que l’alarme se déclenche par erreur, c’est-à-dire sans qu’il y ait eu
1
incident, est égale à 50
;
— la probabilité qu’un incident survienne sans que l’alarme se déclenche est égale
1
à 500 ;
1
— la probabilité qu’un incident se produise est égale à 100 .
On pourra noter : A l’évènement « l’alarme se déclenche » ;
I l’évènement « un incident se produit » ;
Partie A
1. Calculer la probabilité que, dans une journée, un incident survienne et que l’alarme

se déclenche.
En déduire la probabilité que l’alarme se déclenche.
2. Quelle est la probabilité que, sur une journée, le système d’alarme soit mis en défaut?
3. L’alarme vient de se déclencher. Quelle est la probabilité qu’il y ait réellement un
incident?
Partie B
Les assureurs estiment qu’en moyenne, pour l’entreprise, le coût des anomalies est le
suivant :
— 5000 F pour un incident lorsque l’alarme fonctionne;
— 15000 F pour un incident lorsque l’alarme ne se déclenche pas;
— 1000 F lorsque l’alarme se déclenche par erreur.
On considère qu’il se produit au plus une anomalie par jour.
Soit X la variable représentant le coût journalier des anomalies pour l’entreprise.
31
1. Donner la loi de probabilité de X.
2. Quel est le coût journalier moyen des anomalies?

66-Conique.
Soit (O, i, j ) un repère orthonormé du plan. On considère la courbe (C) de représentation
paramétrique :x=3cost et y=2sint où t décrit l’intervalle [0 ; 2π].
1. Reconnaître la nature de la courbe (C) et en donner l’équation cartésienne.
Tracer (C) (unité graphique 2 cm).
2. Exprimer en fonction de t, l’affixe z d’un point M(t) de (C).
3. Soit A le point d’affixe 2. Pour tout point M de (C), on construit le point M′tel que le
1
triangle AM M′soit direct, rectangle en A et tel que : AM′= 2 AM.
a. Montrer que M′ est l’image de M par une similitude directe que l’on précisera.
b. Exprimer l’affixe z′ de M′ en fonction de t.
c. En déduire une représentation paramétrique de l’ensemble des points M′lorsque
M décrit (C).
d. Montrer que M′ appartient à la courbe (C′) d’équation cartésienne :
4
( x  2) 2  ( y  1) 2  1
9
e. Montrer que (C') est une conique dont on précisera le centre,les foyers et les
directrices.

67-Probabilité.
Six personnes jouent au bowling. On appelle «strike» le fait de renverser toutes les
quilles d’un seul lancer de boule .Parmi les six personnes, quatre d’entre elles, qui ont
3
l’expérience du jeu,réussissent le «strike» avec une probabilité égale à 4
. Les deux
1
autres débutantes, réussissent le « strike » avec une probabilité égale à 4
.
Partie A
Un des six joueurs désigné par le hasard se prépare à lancer la boule. On note
E l’évènement : « c’est un des quatre joueurs expérimentés ».
S l’évènement : « le joueur fait « strike » ».
1. Déterminer la probabilité de l’évènement E∩S: « le joueur est expérimenté et réussit
son « strike » ».
2. Déterminer la probabilité de l’évènement E ∩S: « le joueur est débutant et réussit
son « strike » ».
3. En déduire la probabilité de l’évènement S.
4. Un « strike » vient d’être réussi. Quelle est la probabilité pour que le joueur qui l’a
réussi soit un débutant?
Partie B
Parmi les six joueurs, on choisit un joueur A expérimenté, et un joueur B débutant.
Ils jouent chacun quatre parties; une partie consistant à lancer une seule boule :
si c’est « strike », la partie est gagnée, sinon, elle est perdue. La probabilité de gagner
3 1
une partie est donc égale à 4
pour le joueur A et à 4
pour le joueur B.
1. On note X le nombre de parties gagnées par le joueur A ; donner la loi de probabilité
De X.(on donnera les résultats sous forme de fractions de dénominateur 256).
32
2. On note Y le nombre de parties gagnées par le joueur B; on suppose que la loi de
probabilité de Y est donnée par le tableau suivant :

Y= y i 0 1 2 3 4
P(Y= y i ) 81 108 54 12 1
256 256 256 256 256

Si xi et yi sont des éléments de l’ensemble {0 ; 1 ; 2 ; 3 ; 4}, on suppose que les


évènements «X=xi» et «Y=yi» sont indépendants. Calculer la probabilité de
l’évènement «X<Y» c’est-à-dire que le joueur B gagne davantage de parties que le
joueur A

68-Géométrie dans l'espace.


Soit un repère orthonormé (O.OA, OB, OC ) de l’espace, supposé direct. Soit M un point
de l’espace de coordonnées (x;y;z), on note H son projeté orthogonal sur le plan (ABC)
et K son projeté orthogonal sur la droite(AB).
1.Soit G l’isobarycentre des points A, B, C.
a. Donner les coordonnées du point G.
b. Montrer que la droite (OG) est perpendiculaire au plan (ABC).
c. Donner une équation cartésienne de ce plan (ABC).
1
2. a. Montrer que : MA.OG  MH .
3
b. Calculer, en fonction de x, y, z, la distance de M au plan (ABC).
3. a. En interprétant la norme MA  MB , exprimer la distance MK en fonction de cette
norme.
1
b. En déduire que : MK= 2 z 2  (1  x  y ) 2 .
2
4. On se place dans le plan (OAB) d’équation z=0 et on considère l’ensemble (Γ) des
points du plan (OAB) qui sont équidistants du point O et du plan(ABC).
a. Montrer que (Γ) ne contient aucun point de la droite (AB).
b. Soit M(x;y; 0) un point du plan (OAB), n’appartenant pas à la droite(AB).
MH
En utilisant les résultats des questions 2. et 3. calculer la valeur du rapport MK
.
c. En déduire la nature de l’ensemble () ; en donner un foyer, la directrice associée et
l’excentricité.

69-Fonctions.
On considère, dans cette partie, la fonction numérique f définie sur IR par : f(x)=
( x  1)(1  e  x ) . On note (C) sa courbe représentative dans un repère orthonormé
(O, i , j ) d’unité graphique 4 cm.

1. a. Calculer f′(x) et f′′(x) pour tout x réel.


b. Étudier le sens de variation de la fonction f′.
c. En déduire le signe de f′(x),x appartenant à IR.
2. a. Déterminer le sens de variation de f.
b. Préciser les limites de f en +∞ et en −∞.
33
3. a. Montrer que la droite (∆) d’équation y=x−1 est asymptote à la courbe(C) en+∞.
b. Étudier le position relative de la courbe (C) et de la droite (∆).
4. a. Déterminer l’abscisse du point de (C) où la tangente est parallèle à (∆).
b. Écrire une équation de cette tangente (T).
5. Tracer dans le repère (O, i, j ) , les trois courbes (C), (∆) et (T). On se limitera aux
points dont l’abscisse est comprise entre 0 et 4.
6. Pour tout x réel supérieur ou égal à 1, on considère E l’ensemble des points M du
plan, de coordonnées (t;y) vérifiant1  t  x,t−1  y  f(t).
Exprimer, à l’aide d’une intégrale, l’aire de l’ensemble E (on ne cherchera pas à
calculer cette intégrale), en unités d’aire.
Partie B
x

Pour tout nombre réel x supérieur ou égal à 1, on note A(x) l’intégrale  (t  1)e t dt .
1

1. Préciser le sens de variation sur l’intervalle [1 ;+∞[ de la fonction A(x) qui, à x


Associe A(x).
1
2. Montrer à l’aide d’une intégration par parties, que A(x)= e  xe  x .
3. Calculer limite A(x) quand x→+∞.
1
4. a. Montrer que l’équation d’inconnue x réelle A(x)= 2e admet une seule solution α
dans l’intervalle [1 ;+∞[.
b. Vérifier que : 2,6<α<2,7.
5. Soit h la fonction définie sur [1 ;+∞[ par :h(x)=1+ln(2x).
a. Justifier que h est croissante sur [1 ;+∞[.
1
b. Montrer que l’équation A(x)= 2e équivaut à l’équation h(x)=x.
6. On considère les deux suites (un) et (vn) définies par :u0=2, v0=3 et pour tout entier
Naturel n,un+1=h(un) et vn+1=h(vn)·
(On admettra que pour tout entier naturel n,u n et vn appartiennent à l’intervalle [1 ;+∞[)
a. Établir par récurrence que, pour tout entier naturel n:u n  vn  α  un+1  vn+1.
(On pourra utiliser la croissance de la fonction h).
b. En déduire une valeur approchée de α à 10-3 près, par défaut.

70-Probabilité.
Une urne contient 8 jetons : trois jetons noirs et carrés, trois jetons noirs et ronds, un
jeton vert et carré, un jeton vert et rond. L’épreuve consiste à extraire, au hasard, deux
jetons de l’urne selon une procédure qui est déterminée par le lancer d’une pièce
truquée :
•si l’on obtient « PILE », on extrait les deux jetons simultanément,
•si l’on obtient «FACE», on extrait les deux jetons successivement avec remise.
7
Lors du lancer de la pièce, la probabilité d’apparition de « PILE » est 15
.
On note :
P l’évènement « on obtient PILE » ;
F l’évènement « on obtient FACE » ;
A l’évènement « les deux jetons tirés ont la même forme OU la même couleur »;
E1 l’évènement « obtenir deux jetons de la même couleur » ;
34
E2 l’évènement « obtenir deux jetons de la même forme » ;
E3 l’évènement «obtenir deux jetons de la même forme ET de la même couleur ».
Les résultats seront donnés sous forme de fractions.
1. On lance la pièce.
a. On suppose que l’on a obtenu « PILE ».
Déterminer la probabilité conditionnelle des évènements E 1, E2 et E3.
11
En déduire que la probabilité de l’évènement A, sachant que P est réalisé, est 14
.
b. On suppose que l’on a obtenu « FACE ».
Déterminer la probabilité conditionnelle des évènements E 1, E2 et E3.
13
En déduire que la probabilité de l’évènement A, sachant que F est réalisé est 16
.
2. Quelle est la probabilité de l’évènement A ?
3. Si n est un entier naturel supérieur ou égal à 2, on répète n fois l’épreuve, de
manière indépendante. Déterminer la probabilité p n pour que l’évènement A se
réalise à chaque épreuve.
1
Pour quelles valeurs de n, a-t-on pn> 2 .

71-Probabilité.
Trois dés cubiques sont placés dans une urne. Deux de ces dés sont normaux :
leurs faces sont numérotées de 1à 6.Le troisième est spécial : trois de ses faces sont
numérotées 6, les trois autres sont numérotées 1.
On tire de l’urne, simultanément et au hasard, deux dés parmi les trois et on les lance.
On note A l’évènement : « les deux dés tirés sont normaux ».
On note B l’évènement : « les deux faces supérieures sont numérotées 6».
1. a. Définir l’évènement contraire de A que l’on notera A .
b. Calculer les probabilités de A et de A ?
2. a. Calculer p(B/A), probabilité de B sachant que A est réalisé, puis p(B∩A).
b. Calculer p(B).
3. Calculer p(A/B), probabilité de A sachant que B est réalisé.

72-Fonctions et intégrales.

PARTIE A
Soit la fonction φ définie dans IR parφ(x)=ex+x+1.
1. Étudier le sens de variation de φ et ses limites en +∞ et −∞.
2. Montrer que l’équationφ(x)=0 a une solution et une seule α et que l’on a:
−1,28<α<−1,27
3. En déduire le signe deφ(x) sur IR.

PARTIE B
xe
Soit la fonction f définie sur IR par f(x)= et (C) sa courbe représentative dans un
e 1
x

repère orthonormé (O, i , j ) du plan (unité graphique : 4 cm).

35
e x ( x)
1. Montrer que :f′(x)= (e x  1) 2 . En déduire le sens de variation de f.
2. Montrer que f(α)=α+1 et en déduire un encadrement de f(α).
3. Soit T la tangente à (C) au point d’abscisse 0. Donner une équation de T et étudier
la position de (C) par rapport à T.
4. les limites de f en +∞ et −∞. Démontrer que la droite D d’équation y=x est
asymptote à (C) et étudier la position de (C) par rapport à D.
5. Faire le tableau de variations de f.
6. Tracer sur un même dessin (C), T et D. La figure demandée fera apparaître les
points de (C) dont les abscisses appartiennent à [−2 ; 4].
PARTIE C
On considère la fonction g, définie sur [0; 1] par :g(x)=ln (1  e x )
On note (L) la courbe représentative de g dans le repèré (O, i, j ) , I le point défini par
OI  i , A le point d’abscisse 0 de (L) et B son point d’abscisse 1.
1. Étudier brièvement les variations de g.
2. Donner une équation de la tangente en A à (L).
3. On note P l’intersection de cette tangente avec le segment [IB].
Calculer les aires des trapèzes OIPA et OIBA.
4. On admet que la courbe (L) est située entre les segments [AP] et [AB]. Montrer
1
1
alors que :ln2+ 4   g ( x)dx  ln(
0
2(1  e) .

1 1

5. Au moyen d’une intégration par parties, justifier que :  f ( x) dx  ln(1  e)   g ( x) dx .


0 0
1

6. En déduire un encadrement de  f(x)dx.


0

73-Probabilité.
Une classe de terminale S d’un lycée compte 30 élèves dont 10 filles.
1. À chaque séance du cours de mathématiques, le professeur interroge au hasard
trois élèves.
Déterminer la probabilité de chacun des évènements suivants :
A : « Exactement deux des trois élèves interrogés sont des garçons »
B : « Les trois élèves interrogés sont de même sexe »
C : « Il y a au plus une fille parmi les trois élèves interrogés. »
2. Parmi les 19 internes de la classe, on compte 4 filles.
On choisit au hasard dans cette classe deux délégués de sexes différents.
Déterminer la probabilité de chacun des évènements suivants :
D : « Les deux délégués sont internes »
E : « Un seul de deux délégués est interne ».
3. À la fin de chaque séance le professeur désigne au hasard un élève qui effacera le
tableau. Un même élève peut être désigné plusieurs fois.
a. Déterminer la probabilité pn pour que le tableau soit effacé au moins une fois par
une fille à l’issue de n séances.
b. Déterminer le nombre minimal de séances pour que p n>0,9999.

74-Probabilité.
36
On dispose de 3 urnes U1, U2, U3 contenant chacune 2 boules indiscernables.
Dans U1 une boule est marquée G, l’autre est marquée A ; dans U 2 une boule est
1
marquée 3, l’autre est marquée 5; dans U3 une boule est marquée 2 , l’autre est
marquée 2.
Une épreuve E consiste à tirer au hasard une boule dans chaque urne.
On définit une suite u de la façon suivante :si la boule tirée dans U 1 est marqué A, la
suite est arithmétique, si elle est marquée G, la suite est géométrique; la boule tirée
dans U2 désigne le premier terme u0 et la boule tirée dans U3 désigne la raison.
1. Calculer la probabilité d’avoir :
a. une suite u arithmétique;
b. une suite u convergente;
c. une suite u telle que u4 soit un nombre entier pair.
2. Calculer la probabilité d’avoir une suite u qui ne soit pas convergente sachant
qu’elle est géométrique.
3. Un joueur tire une boule dans chaque urne et définit ainsi une suite numérique u:
— si u est géométrique, il gagne 5 F;
— si u est arithmétique et u4  7, il perd 4 F;
— si u est arithmétique et u4>7, il perd 6 F.
Soit X la variable aléatoire égale au gain (algébrique) du joueur :
a- donner la « loi de probabilité » de X;
b- calculer l’espérance de X.

75-Exponentielle et rotation.
Partie A : Etude d’une fonction numérique
On considère la fonction numérique définie sur IR par :f(x)=x+e -x. Soit C la courbe
représentative de f dans un repère orthonormé direct́ (O, i, j ) du plan, l’unité graphique
est 1 cm.
1. a. Déterminer la limite de f en +∞.
b. Déterminer la limite defen−∞, [on pourra écrire f(x) sous la forme:f(x)=e -x(xex+1)].
2. Étudier les variations de f.
3. Montrer que la droite D d’équation y=x est asymptote à C. Étudier la position de C
par rapport à D.
4. Tracer D et C dans le repère (O, i, j ) .
Partie B : Étude d’une transformation du plan
Soit l’application r du plan (P) dans lui-même qui à tout point M d’affixe z fait
2 2
correspondre le point M′ d’affixe définie par z′  ( i )z
2 2
2 2
1. Calculer le module et l’argument de  i et reconnaître r.
2 2
2. On pose z=x+iy et z′=x′+iy′où x, y, x′ et y′ sont quatre réels.
Calculer z en fonction de z′. En déduire x et y en fonction de x′ et y′.
3. On suppose que le point M de coordonnées (x;y) appartient à C , montrer que les
Coordonnées x ′et y′ de M′ image de M par r vérifient la relation :
y′=−x′+ 2 ln(x' 2 ).
37
Partie C : Étude d’une fonction numérique
On considère la fonction g définie sur ]0 ;+∞[ par :g(x)=−x+ 2 ln(x 2 ). Soit C′ sa
représentation graphique dans le repère (O, i, j ) .
1. Étudier les limites de g en 0 et en +∞.
2. Étudier les variations de g.
3. En utilisant éventuellement les résultats obtenus dans la partie B, tracer la courbe C′
dans le même repère que la courbe C.
Partie D : Calcul d’aire
2

1. Calculer  ln(x
1
2 )dx en utilisant une intégration par parties.
2. Soit D l’ensemble des points M dont les coordonnées vérifient :
1  x  2 et g(x)  y  f(x).
Calculer en cm2 l’aire du domaine D; on en donnera une valeur approchée à 10 -2.

76-Probabilité.
Un gardien de but doit faire face, lors d’une démonstration, à un certain nombre de tirs
directs. Les expériences précédentes conduisent à penser que :
— s’il a arrêté le nième tir, la probabilité pour qu’il arrête le suivant [le (n+1) ième]
Est 0,8;
— s’il a laissé passer le nième tir,la probabilité pour qu’il arrête le suivant est 0,6;
— la probabilité pour qu’il arrête le premier tir est 0,7.
An est l’évènement « le gardien arrête le nième tir ».
On a donc P(A1)=0,7.
1. a. Donner, pour n>1, les valeurs de P(A n+1/An) et P(An+1/ A ). n

b. Exprimer P(An+1∩An) et P(An+1∩ A ) en fonction de P(An)·


n

c. En déduire que, pour tout entier strictement positif n>1, on a:


P(An+1)=0,2P(An)+0,6.
2. On pose à présent, pour n>1, pn=P(An) et un=pn−0,75.
a. Démontrer que (un) est une suite géométrique de raison 0,2.
b. En déduire une expression de pn en fonction de n.
c. Montrer que (pn) admet une limite que l’on calculera.

77-Probabilité.
Monsieur M est chargé de ventes à domicile pour le bénéfice d’une association.
À chaque personne sollicitée, il propose l’achat d’un livre seul, ou d’une cassette seule,
ou l’achat d’un livre et d’une cassette. Après un premier bilan de son activité, monsieur
M estime que la probabilité qu’une personne visitée choisie au hasard achète un livre
(évènement L) est 0,2, la probabilité qu’elle achète une cassette (évènement C) est 0,1
et la probabilité qu’elle n’achète rien (évènement R) est 0,75.
Partie A
1. Calculer les probabilités des évènements suivants :
D : « La personne visitée achète un livre ou une cassette ».
E : « La personne visitée achète un livre et une cassette ».
F : « La personne visitée achète seulement un livre ».
G : « La personne visitée achète seulement une cassette ».
38
2. Sachant que la personne visitée a acheté un livre, quelle est la probabilité qu’elle ait
acheté aussi une cassette?
Partie B
Monsieur M se présente successivement chez n personnes choisies au hasard.
Calculer la probabilité pn qu’une personne au moins lui achète un livre ou une cassette.
Comment faut-il choisir l’entier naturel n pour avoir p n>0,9?

78-Rotation.
Dans le plan orienté, on donne un triangle ABC direct dont les angles sont aigus.

AEB est le triangle équilatéral tel que ( AE , AB )  [2π].ACF est le triangle équilatéral
3

tel que ( AC , AF )  3
[2π].
On présentera les données sur une figure que l’on complétera progressivement.

1. En utilisant la rotation de centre A et d’angle 3
, démontrer que :

CE = BF et ( EC , BF )  [2π].
3
2. Les droites (EC) et (BF) se coupent en un point I. Démontrer que le cercle (C 1)
circonscrit au triangle AEB et le cercle(C2) circonscrit au triangle ACF passent
par le point I.
3. Soit M le milieu de [EC] et N le milieu de [BF].
a. Démontrer que le triangle AMN est équilatéral direct.
b. Démontrer que le cercle (C) circonscrit au triangle AMN passe aussi par le point I.
79-Probabilité.
Un artisan est contacté à domicile par ses clients sur appel téléphonique et dispose
d’un répondeur. Quand l’artisan est absent, il branche systématiquement son
répondeur. Quand il est présent, il le branche une fois sur trois. Quand un client
téléphone, il a quatre chances sur cinq d’obtenir le répondeur et une chance sur cinq
d’obtenir l’artisan.
Un client téléphone à l’artisan. On note :
R l’évènement « le client obtient le répondeur » ;
A l’évènement « l’artisan est présent » ;
1. Déterminer la probabilité P(R), ainsi que les probabilités conditionnelles P(R/A) et
P ( R / A) .
2. a. Exprimer P(R) en fonction de P(R/A), P( R / A) et P(A).
4 2
b. En déduire l’égalité 5
=− 3 P(A)+1 et calculer la probabilité que l’artisan soit
présent.
3. Un client téléphone; il obtient le répondeur. Déterminer la probabilité que l’artisan
soit présent.

80-Fonctions.
On considère les fonctions f et g définies sur IR par :
1 1
f(x)= x et g(x)= . On note C et Γ les courbes représentatives des fonctions
1 e 1  ex
f et g dans un repère orthonormé (O, i , j ) . (unité graphique 4 cm).

39
A. Étude des fonctions f et g
1. a. Étudier les variations de f sur IR.
b. Calculer les limites de f en +∞ et −∞. Préciser les éventuelles asymptotes à C.
1
c. Prouver que le point Ω de coordonnées(0, 2 ) est centre de symétrie de C.
d .On note T la tangente à C au point Ω. Déterminer le coefficient directeur de T.
e. Représenter T et C.
2. a. En observant que, pour tout nombre réel x, on a g(x)=f(−x) , montrer que Γest
l’image de C par une symétrie que l’on déterminera.
b. Vérifier que, pour tout nombre réel x, on a f(x)+g(x)=1. En déduire queΓest l’image
de C par une autre symétrie que l’on déterminera.
c. Déterminer le coefficient directeur de la tangente T′à Γau point Ω.
d. Représenter T′et Γsur la figure de la question 1.
B. Calcul d’une aire
1 1

On note I=  f(t)dt et J=  g(t)dt.


0 0

1. En utilisant l’égalité de la question A. 2. b. calculer I+J.


1 et
2. a. Montrer que, pour tout nombre réel t, t peut s’écrire sous la forme .
1 e 1  et
b. En déduire une primitive G de g sur IR, puis la valeur de J.
3. Calculer la valeur de I.
4. a. Prouver que, pour tout nombre réel x appartenant à [0 ;+∞[, f(x)  g(x).
b. On note ∆ l’ensemble des points du plan dont les coordonnées (x;y) vérifient
0  x  1 et f(x)  y  g(x)
On note A l’aire, exprimée en cm2, du domaine A. Exprimer A en fonction de I et J.
Donner une approximation décimale de A à 10 -2 près.
C. Étude d’une fonction définie par une intégrale
On considère les fonctions h et H définies sur [0 ;+∞[ par :
x

h(x)=e ln( 1+e ) et H(x)=  h(t)dt.


x -x
0

1. a. Montrer que, pour tout nombre réel x appartenant à [0,+ ∞[ h(x) est strictement
positif.
b. En déduire que H est strictement croissante sur [0,+∞[.
2. On note h′ la fonction dérivée de h.
Vérifier que, pour tout nombre réel x appartenant à [0 ;+∞[, h(x)=h′(x)+g(x).
En déduire H(x) en fonction de x.
ln(1  e  x )
3. a. Vérifier que, pour tout nombre réel x appartenant à [0,+∞[, h(x)=
e x
En déduire la limite de h en +∞.
b. Déterminer la limite de H en +∞. Prouver finalement que
lim
x   [H(x)−x]=1−2ln2.Interpréter graphiquement ce dernier résultat.

81-Probabilité.
Partie I
Lors de la préparation d’un concours, un élève n’a étudié que50 des 100 leçons.

40
On a mis 100 papiers contenant chacun une question dans une urne, ces questions
portant sur des leçons différentes. Le candidat tire simultanément au hasard 2 papiers.
On donnera les réponses sous forme de fractions irréductibles.
1. Quelle est la probabilité qu’il ne connaisse aucun de ces sujets?
2. Quelle est la probabilité qu’il connaisse les deux sujets?
3. Quelle est la probabilité qu’il connaisse un et un seul de ces sujets?
4. Quelle est la probabilité qu’il connaisse au moins un de ces sujets?
Partie II
On considère maintenant que l’élève a étudié n des 100 leçons (n étant un entier
naturel inférieur ou égal à 100)
1. Quelle est la probabilité pn qu’il connaisse au moins un de ces sujets?
2. Déterminer les entiers n tels que pn soit supérieur ou égal à 0,95.

82-Probabilité.
Lors d’un examen, un questionnaire à choix multiple (Q. C. M.) est utilisé.
On s’intéresse à cinq questions de ce Q. C. M. supposées indépendantes.
À chaque question sont associées quatre affirmations, numérotées 1,2, 3 et 4, dont
une seule est exacte. Un candidat doit répondre à chaque question en donnant
seulement le numéro de l’affirmation qu’il juge exacte; sa réponse est correcte si
l’affirmation qu’il a retenue est vraie, sinon sa réponse est incorrecte.
Dans cet exercice, les probabilités demandées seront données sous forme fractionnaire.
1. Un candidat répond à chaque question au hasard, c’est-à-dire qu’il considère que
les quatre affirmations correspondantes sont équiprobables.
a. Calculer la probabilité de chacun des évènements suivants :
A : « Le candidat répond correctement à la première des cinq questions » ;
B : « Le candidat répond correctement à deux questions au moins sur les cinq ».
b. On attribue la note 4 à toute réponse correcte et la note - 1 à toute réponse
incorrecte. Calculer la probabilité de l’évènement
C : « Le candidat obtient une note au moins égale à 10 pour l’ensemble des cinq
questions ».
2. On suppose maintenant qu’un candidat connaît la réponse correcte à deux
questions et qu’il répond au hasard aux trois autres questions. Quelle est alors la
probabilité de l’évènement C décrit au1 b.

83-Fonction.
L’objet de ce problème est d’étudier une fonction à l’aide d’une fonction auxiliaire et de
calculer l’aire d’un domaine plan.
Partie A
x
Soit f la fonction définie sur l’intervalle ]−1 ;+∞[ par :f(x)= x  1  2 ln( x  1) .
1. Calculer f′(x),étudier son signe et en déduire le tableau de variations de la fonction f.
2. Calculer f(0). Montrer que l’équation f(x)=0 admet exactement deux solutions dont
l’une, que l’on désigne par α, appartient à [−0,72 ;−0,71].
3. Donner le signe de f(x), pour x appartenant à ]−1 ;+∞[.
Partie B

41
ln( x  1)
Soit g la fonction définie sur l’ensemble ]−1 ; 0[∪]0 ;+∞[ par : g ( x)  .
x2
1. Étude de g aux bornes de son ensemble de définition
a. Calculer les limites de g(x) quand x tend vers 0 par valeurs inférieures et quand x
tend vers 0 par valeurs supérieures.
b. Calculer limite de g(x) quand x→−1 et limite de g(x) quand x→+∞.
2. Sens de variation de g
a. Calculer g′(x) et déduire, à l’aide de la partie A, son signe.
1
b. Montrer que g(α)= 2 (  1) . En déduire une valeur approchée de g(α) en prenant
α=−0,715.3.
3. Tableau de variations et représentation graphique de g
a. Dresser le tableau de variations de la fonction g.
b. Représenter graphiquement la fonction g dans le plan rapporté à un repère
orthonormé (unité graphique : 2 cm).
4. Calcul d’aire
a

Soit a un réel strictement supérieur à 0. On pose :I(a)=  g(x)dx.


1

a. Donner, suivant les valeurs de a, une interprétation géométrique du réel I(a).


1 1 1
b. En remarquant que, pour x appartenant à ]0 ;+∞[ : x(1  x)  
x x 1
calculer I(a) à
l’aide d’une intégration par parties.
c. Calculer limite de I(a) quand a→+∞ et limite de I(a) quand a→0.

84-Probabilité.
1. Une urne U1 contient deux jetons numérotés 1 et 2. Une urne U 2 contient 4 jetons
numérotés 1, 2, 3 et 4. On choisit au hasard une urne, puis un jeton dans cette urne.
(Les choix sont supposés équiprobables).
a. Quelle est la probabilité de tirer un jeton portant le numéro 1?
b. On a tiré un jeton portant le numéro 1. Quelle est la probabilité qu’il provienne de
l’urne U1?
2. On rassemble maintenant les deux urnes en une seule, qui contient donc les 6
jetons précédents. On tire simultanément et au hasard 2 jetons de cette urne. Les
tirages sont supposés équiprobables.
a. Calculer la probabilité de tirer 2 jetons identiques.
b. Soit S la variable aléatoire, qui, à chaque tirage, associe la somme des numéros
des 2 jetons tirés. Déterminer la loi de probabilité deS.
c. Deux joueurs, Claude et Dominique, décident que si la somme des numéros tirés
est impaire, Claude donne 10 euros à Dominique et que, dans le cas contraire,
Claude reçoit λ euros de Dominique. On note X la variable aléatoire qui, à chaque
tirage, associe le gain algébrique de Claude.
Calculer l’espérance mathématique de X en fonction deλ, puis déterminer λ
pour que le jeu soit équitable (c’est-à-dire pour que E(X) soit égale à 0).

85-Fonctions.
42
Partie I
Soit a et b deux nombres réels. La fonction φ est définie sur R par :φ(x)=(ax+b)e-x.
1. a. Calculer φ′(x) et φ′′(x).
b. Vérifier que, pour tout réel x: φ(x)=−φ′′(x)−2φ′(x).
2. Démontrer que φ admet une primitiveΦ, définie sur R par :Φ(x)=(Ax+B)e-x où
A et B sont des nombres réels que l’on exprimera à l’aide de a et b.
3. Déterminer a et b pour que :φ(0)=5 et φ′(0)=−3.Donner alorsφ′(x),φ′′(x) etΦ(x).
Partie II
Le plan est muni d’un repère orthogonal (O, i, j ) ́. L’unité graphique est de 2 cm sur
l’axe des abscisses et de 1 cm sur l’axe des ordonnées. Soit f la fonction définie sur R
par :
f(x)=(2x+5)e-x. On note (C) la courbe représentative de f.
1. Déterminer les limites de f en −∞ et en +∞.Donner une interprétation graphique de
cette deuxième limite.
2. Déterminer les coordonnées des points d’intersection de la courbe (C) avec les axes
du repère.
3. Calculer f′(x), déterminer le signe de f′(x) et donner le tableau des variations de la
Fonction f.
1
4. Soit I le point de la courbe (C) d’abscisse− 2 .Une équation de la tangente (T) à la
courbe (C) au point I est y=g(x). Déterminer g(x).
5. On pose d(x)=f(x)−g(x).
1
a. Étudier le sens de variation de d′, calculer d′( 2
) et donner le signe de d′.
1
b. Étudier le sens de variations de d, calculer d( 2 ) et donner le signe de d.
c. Donner la position de la tangente (T) par rapport à la courbe (C).
6. Tracer la courbe (C) et la tangente (T).
7. Soit α un réel strictement positif. On note A(α) l’aire en cm2 de la région du plan
limitée par l’axe des abscisses, la courbe (C) et les droites d’équations
5
x=− 2 et x=α.
Calculer A(α). (On peut éventuellement utiliser le résultat de la partie I.)
Déterminer la limite de A(α) quandαtend vers +∞.

86-Probabilité.
On dispose d’un cube en bois de 3 cm d’arête, peint en bleu. On le découpe,
parallèlement aux faces, en 27 cubes de 1 cm d’arête. On place ces 27 cubes
dans un sac.
Partie A
On tire au hasard l’un des 27 cubes du sac. On suppose que les tirages sont
équiprobables. Soit X la variable aléatoire qui, à chaque tirage, associe le nombre de
faces peintes sur le cube tiré.
1. Déterminer la loi de probabilité de la variable aléatoire X.
2. Calculer l’espérance mathématique de la variable aléatoire X.
Partie B

43
On tire maintenant, au hasard, simultanément deux des 27 cubes du sac. On suppose
que les tirages sont équiprobables.
28
1. Montrer que la probabilité d’avoir, au total, six faces peintes est égale à 351 .
2. On désigne par n un nombre entier naturel non nul; après avoir noté le nombre de
faces coloriées sur les deux premiers cubes tirés, on les remet dans le sac et on
recommence l’opération de manière à effectuer n tirages successifs et indépendants
de deux cubes.
a. Calculer la probabilité pn pour que l’on obtienne, au total, 6n faces peintes.
b. Déterminer la plus petite valeur de n pour que p n soit inférieur à 10-12.
Les résultats des calculs de probabilités seront donnés sous forme fractionnaire.

87-Probabilité.
Une urne contient 5 boules noires et 5 boules blanches. On en prélève n successive-
ment et avec remise, n étant un entier naturel supérieur ou égal à 2. On considère les
deux évènements suivants :
A: « On obtient des boules des deux couleurs » ;
B: « On obtient au plus une blanche ».
1. a. Calculer la probabilité de l’évènement : « Toutes les boules tirées sont de même
couleur ».
b. Calculer la probabilité de l’évènement : «On obtient exactement une boule
blanche ».
c. En déduire que les probabilités p(A∩B), p(A), p(B) sont:
n 1 n 1
p(A∩B)= , p(A)= 1  n 1 , p(B)= .
2n 2 2n
2. Soit (un) la suite définie pour tout n entier naturel supérieur ou égal à deux par
un=2n-1−(n+1)
Calculer u2,u3,u4.
Démontrer que la suite (un) est strictement croissante.
3. En déduire la valeur de l’entier n tel que les évènements A et B soient indépendants.

88-Probabilité.
Dans tout l’exercice on considère 20 boules indiscernables au toucher (10 noires et10
blanches) et deux urnes A et B dans chacune desquelles on placera 10 boules suivant
un mode qui sera précisé dans chaque question.
1. On choisit dix boules au hasard et on les met dans l’urne A. On place les dix autres
boules dans l’urne B.
a. Quelle est la probabilité pour que les deux urnes ne contiennent chacune que des
boules de même couleur ?
b. Quelle est la probabilité pour que les deux urnes contiennent chacune 5boules
blanches et 5 boules noires?
2. Soit x un entier tel que 0  x  10. On place maintenant x boules blanches et
10−x boules noires dans l’urne A et les 10−x boules blanches et x boules noires
restantes dans l’urne B.
On procède à l’expérience E : On tire au hasard une boule de A et on la met dans B,
puis on tire au hasard une boule de B et on la met dans A. On désigne par M

44
l’évènement « chacune des deux urnes a la même composition avant et après
l’expérience ».
a. Pour cette question a., on prend x=6. Quelle est la probabilité de l’évènement M?
 x 2  10 x  5
b. Montrer que la probabilité de l’évènement M est égale à :
55
c. Pour quelles valeurs de x l’évènement M est-il plus probable que l’évènement
contraire M .

89-Probabilité.
Dans tout l’exercice, on donnera les résultats sous forme de fractions irréductibles.
Une urne contient trois boules noires et une boule blanche. On considère l’expérience
suivante: On lance un jeton parfaitement équilibré, présentant une face noire et une
face blanche. Si le jeton tombe sur la face blanche, on ajoute une boule blanche dans
l’urne; si le jeton tombe sur la face noire, on ajoute une boule noire dans l’urne.
Puis on tire simultanément, et au hasard, trois boules de l’urne.
1. On appelle E0 l’évènement : « Aucune boule blanche ne figure parmi les trois boules
tirées » et B l’évènement : « Le jeton est tombé sur la face blanche ».
a. Calculer P(E0∩B), P (E0∩ B ), puis P(E0).
b. On tire trois boules de l’urne, aucune boule blanche ne figure dans ce tirage.
Quelle est la probabilité que le jeton soit tombé sur la face noire?
2. On appelle E1 l’évènement : « Une boule blanche et une seule figure parmi les trois
boules tirées » et B l’évènement : « Le jeton est tombé sur la face blanche ».
a. Calculer la probabilité de l’évènement E1.
b. On effectue successivement quatre fois l’expérience décrite au début, qui consiste
à lancer le jeton, puis à tirer les trois boules de l’urne.
Quelle est la probabilité d’obtenir, au moins une fois, une et une seule boule blanche?

90-Probabilité.
Une urne contient quatre boules rouges, quatre boules blanches et quatre boules
noires. On prélève simultanément quatre boules dans l’urne. Les prélèvements sont
supposés équiprobables.
1. Calculer la probabilité d’un prélèvement unicolore (les 4 de même couleur).
2. a. Quelle est la probabilité d’un prélèvement bicolore composé de boules rouges
et blanches?
68
b. Démontrer que la probabilité d’un prélèvement bicolore est 165 .
3. Déduire des résultats précédents la probabilité d’un prélèvement tricolore.
4. Quelle est la probabilité d’avoir exactement deux boules rouges sachant que le
prélèvement est bicolore?

91-Probabilité.
Un appareil électronique envoie à une imprimante un code qui est un nombre de
quatre chiffres, chaque chiffre ne pouvant prendre que les valeurs 0 ou 1 (par
exemple:1011).
1. a. Combien l’appareil peut-il fabriquer de codes distincts?
On supposera dans ce qui suit que tous ces codes ont la même probabilité d’être

45
produits.
b. Soit X la variable aléatoire représentant le nombre de 1 figurant dans le code.
Donner la loi de probabilité de X et calculer son espérance mathématique.
2. Une imprimante a été choisie au hasard dans une série.
À la suite d’études antérieures, on a observé cinq cas possibles. Dans le casE 0,
l’imprimante n’écrit que des 0, quel que soit le code émis par l’appareil. Pour chaque
élément n de l’ensemble { 1, 2, 3}, dans le cas E n l’imprimante écrit correctement les n
premiers caractères du code et n’écrit ensuite que des 0.Par exemple, lorsque E 2
survient, tous les codes commençant par 01 sont imprimés 0100. Dans le cas E 4,
l’imprimante fonctionne correctement. L’état de l’imprimante sera donc considéré
comme le résultat d’une épreuve aléatoire ayant cinq issues possibles E 0, E1, E2, E3,E4.
On admet que, pour chaque élément n de l’ensemble { 0, 1, 2, 3},P(E n)=32×10-3.
Le code émis par l’appareil est indépendant de l’état de l’imprimante.
a. Calculer la probabilité P(E4). Pour la suite, C désigne l’évènement : « le code
imprimé est identique à celui émis par l’appareil ».
b. On suppose que E0 se produit. Quelle est la probabilité P(C/E0) que le code
imprimé soit quand même celui que l’appareil a envoyé?En déduire la probabilité
P(C∩E0).
c. Déterminer de même P(C/En) puis P(C∩En) pour tout élément n de l’ensemble
{1, 2, 3, 4}. En déduire P(C).
d. Si le code imprimé est exactement celui émis par l’appareil, quelle est la probabilité
que E2 se soit produit?

92-Probabilité.
Un professeur se trouve en possession de 5 clefs de salles. Il se tient devant une porte
et il sait que, parmi ses 5 clefs, 2 n’ouvrent pas la porte parce qu’elles sont
défectueuses mais les autres le peuvent. Il veut alors les tester toutes, une à une. Le
choix des clefs est effectué au hasard et sans remise. On appelle clef numéro x la clef
utilisée au x-ième essai.
1. On appelle D1 l’évènement : «La clef numéro 1 n’ouvre pas la porte».
Calculer sa probabilité.
2. On appelle D2 l’évènement : «La clef numéro 2 n’ouvre pas la porte». Calculer la
probabilité que l’évènement D2 se réalise, sachant que l’évènement D1 est réalisé.
En déduire la probabilité de l’évènement D1∩D2.
3. Quelle est la probabilité de l’évènement : « Les clefs numéros 1 et 2 ouvrent la porte
et la clef numéro 3 ne l’ouvre pas » ?
4. Pour 1  i<j  5, on note (i;j) l’évènement : « Les clefs qui n’ouvrent pas la porte sont
les clefs numéros i et j», et P(i;j) la probabilité de cet évènement.
a. Calculer P(2 ; 4).
b. Calculer P(4 ; 5).

93-Probabilité.
Un groupe de vingt-deux personnes décide d’aller au cinéma deux samedis de suite
pour voir deux films A et B. Le premier samedi, huit personnes vont voir le film A, et les
autres vont voir le film B. Le deuxième samedi, quatre personnes décident de revoir le

46
film A, deux vont revoir le film B, et les autres vont voir le film qu’elles n’ont pas vu la
semaine précédente.
Après la deuxième séance, on interroge au hasard une personne de ce groupe. On
considère les évènements suivants :
A1« la personne interrogée a vu le film A le premier samedi » ;
A2« la personne interrogée a vu le film A le deuxième samedi » ;
B1« la personne interrogée a vu le film B le premier samedi » ;
B2« la personne interrogée a vu le film B le deuxième samedi ».
1. a. Calculer les probabilités suivantes :p(A1) et p(B1).
b. Calculer les probabilités de chacun des évènements suivants :p(A 2/A1),p(A2/B1)
et en déduire p(A2).
c. Calculer P(B2).
Le prix du billet pour le film A est de 30 F et de 20 F pour le film B.
On appelle X la variable aléatoire égale au coût total, pour la personne interrogée, des
deux séances de cinéma.
a. Déterminer la loi de probabilité de la variable aléatoire X.
b. Déterminer l’espérance mathématique de la variable aléatoire X.

94-Probabilité.
Alice débute au jeu de fléchettes. Elle effectue des lancers successifs d’une fléchette.
Lorsqu’elle atteint la cible à un lancer, la probabilité qu’elle atteigne la cible au lancer
1
suivant est égale à 3 . Lorsqu’elle a manqué la cible à un lancer, la probabilité qu’elle
4
manque la cible au lancer suivant est égale à 5 . On suppose qu’au premier lancer elle
a autant de chances d’atteindre la cible que de la manquer.
Pour tout entier naturel n strictement positif, on considère les évènements suivants:
An: « Alice atteint la cible au nième coup ».
Bn: « Alice rate la cible au nième coup ».
On pose Pn=p(An).
4
1. Déterminer p1 et montrer que p2= 15 .
2 1
2. Montrer que, pour tout entier naturel n>2, p n= 15 pn-1+ 5 .
3
3. Pour n>1 on pose un=pn− 13 . Montrer que la suite (un) est une suite géométrique,
dont on précisera le premier terme u1 et la raison q.
4. Écrire un puis pn en fonction den.
5. Déterminer limpn quand n→+∞.

95-Probabilité.
Les résultats numériques seront donnés sous forme de fractions.
Dans une classe de 30 élèves sont formés un club photo et un club théâtre. Le club
photo est composé de 10 membres, le club théâtre de 6 membres. Il y a deux élèves
qui sont membres des deux clubs à la fois.
1. On interroge un élève de la classe pris au hasard.
On appelle P l’évènement : « L’élève fait partie du club photo», et
T l’événement : « L’élève fait partie du club théâtre ».
47
Montrer que les évènements P et T sont indépendants.
2. Lors d’une séance du club photo, les 10 membres sont tous présents. Un premier
élève est tiré au sort. Il doit prendre la photo d’un autre membre du club qui sera lui
aussi tiré au sort.
a. On appelle T1 l’évènement : «Le premier élève appartient au club théâtre».
Calculer p(T1).
b. On appelle T2 l’évènement «L’élève pris en photo appartient au club théâtre».
Calculer p(T2/T1), puis p(T2/ T1 ) . En déduire p(T2∩T1) et p(T2∩ T1 ) .
c. Montrer que la probabilité que l’élève pris en photo appartienne au club théâtre
est 0,2.
3. Toutes les semaines, on recommence de façon indépendante la séance de
photographie avec tirage au sort du photographe et du photographié. Le même
élève peut être photographié plusieurs semaines de suite.
Calculer la probabilité qu’au bout de 4 semaines, aucun membre du club théâtre
n’ait été photographié.

96-Homothétie.
3
Dans le plan orienté, on considère deux points A et B et le point E tel que AE  AB .
4
Pour la figure, on prendra comme unité de longueur le centimètre et AB = 16. Cette
figure sera complétée au fur et à mesure. Soit un point C, distinct de A, tel que

( AB, AC )  [2 ] .La droite parallèle à (BC) passant par E coupe la droite (AC) en F.
4
On appelle I le milieu de [BC], J le milieu de [EF] et D le point d’intersection des droites
(EC) et (BF).
On note hA l’homothétie de centre A qui transforme B en E et
hD l’homothétie de centre D qui transforme E en C.
1. Déterminer hA(C) puis hD(F).
2. En déduire la nature et les éléments caractéristiques de h D◦hA puis de hA◦hD.
3. On appelle E′ l’image de E par hA et E′′ l’image de E′ par hD.
Représenter E′, puis construire E′′en justifiant la construction.
4. Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de h D◦hA◦hA◦hD.
5. Montrer que le quadrilatère BEC E′′est un parallélogramme.

6. On appelle (∆) l’ensemble des points M tels que ( AB, AM )  [2 ] . (∆) est donc une
4
demi-droite ouverte d’origine A. Pour la suite, les points A, B, E sont fixes et le point
C décrit (∆).Déterminer et construire le lieu géométrique (∆") du point E′′.

97-Complexe.
Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé direct³O, (O, u , v) (unité :2 cm).

On dit qu’un triangle équilatéral ABC est direct si et seulement si ( AB, AC )  [2π].
3
2
On pose j= e i 3 .
1. a. Vérifier que 1 , j et j2 sont solutions de l’équation z3=1.
b. Calculer (1−j)(1+j+j2) ; en déduire que 1+j+j2=0.

c. Vérifier que e i 3 +j2=0.
2. Dans le plan complexe, on considère trois points A, B, C, deux à deux distincts,
48
d’affixes respectives a, b, c.

ca i
a. Démontrer que le triangle ABC est équilatéral direct si et seulement si e 3.
ba
b. En utilisant les résultats des questions précédentes, montrer que le triangle ABC
est équilatéral direct si et seulement si :a+bj+cj 2=0.
3. À tout nombre complexe z  1 , on associe les points R, M et M′ d’affixes respectives
1,z et z .
a. Pour quelles valeurs de z les points M et M′sont-ils distincts?
b. En supposant que la condition précédente est réalisée, montrer que l’ensemble
(∆) des points M d’affixe z tels que le triangle RM M′soit équilatéral direct est une
droite privée d’un point.

98-Probabilité.
Un sac contient 10 jetons indiscernables au toucher :
4 jetons blancs marqués 0;
3 jetons rouges marqués 7;
2 jetons blancs marqués 2;
1 jeton rouge marqué 5.
1. On tire simultanément 4 jetons du sac. Quel est le nombre de tirages possibles?
2. On suppose que tous les tirages sont équiprobables, et on considère les
évènements suivants :
A: « Les quatre numéros sont identiques ».
B: « Avec les jetons tirés, on peut former le nombre 2000 ».
C: «Tous les jetons sont blancs».
D: «Tous les jetons sont de la même couleur ».
E: « Au moins un jeton porte un numéro différent des autres ».
4
a. Montrer que la probabilité de l’évènement B, est 105
.
b. Calculer la probabilité des évènements A, C, D, E.
c. On suppose que l’évènement C est réalisé, calculer alors la probabilité de
l’évènement B.
3. On établit la règle de jeu suivante :
— Si le joueur peut former 5000, il gagne 75 F.
— Si le joueur peut former le nombre 7000, il gagne 50 F.
— Si le joueur peut former le nombre 2000, il gagne 20 F.
— Si le joueur peut former le nombre 0000, il perd 25 F.
Pour tous les autres tirages, il perd 5 F.
G est la variable aléatoire égale au gain algébrique du joueur.
Établir la loi de probabilité de G et calculer l’espérance mathématique de G.

99-Probabilité.
1. Une fourmi se déplace sur les arêtes de la pyramide ABCDS de sommet S et de
base ABCD. Depuis un sommet quelconque, elle se dirige au hasard (on suppose qu’il
y a équiprobabilité) vers un sommet voisin; on dit qu’elle « fait un pas ».
La fourmi se trouve en A.
a. Après avoir fait deux pas, quelle est la probabilité qu’elle soit :
49
•en A ?
•en B?
•en C?
•en D ?
● en S?
b. Pour tout nombre entier naturel n strictement positif, on note :
Sn l’évènement «la fourmi est au sommet S après n pas»,
et pn la probabilité de cet évènement.
Donner p1.
1
En remarquant que Sn+1=Sn+1∩ S , montrer que pn+1= 3 (1−pn).
n

2. On considère la suite (pn), définie pour tout nombre entier n strictement positif par
1 1
P1= 3 et pn+1= 3 (1−pn).
a. Montrer par récurrence que, pour tout entier naturel n strictement positif,
1 1
on a pn  (1  ( ) n ) .
4 3
b. Déterminer lim(pn) quand n→+∞.

100-Probabilité.
Une entreprise confie à une société de sondage par téléphone une enquête sur la
qualité de ses produits. Chaque enquêteur a une liste de personnes à contacter.
Lors du premier appel téléphonique, la probabilité pour que le correspondant soit
absent est 0,4. Sachant que le correspondant est présent, la probabilité pour qu’il
accepte de répondre au questionnaire est 0,2.
1. On note :
• A1 l’évènement « la personne est absente lors du premier appel »;
• R1 l’évènement « la personne accepte de répondre au questionnaire lors du premier
appel ».
Quelle est la probabilité de R1?
2. Lorsqu’une personne est absente lors du premier appel, on lui téléphone une
seconde fois, à une heure différente, et, alors, la probabilité pour qu’elle soit absente
est 0,3. Et, sachant qu’elle est présente lors du second appel, la probabilité pour
qu’elle accepte de répondre au questionnaire est encore 0,2.
Si une personne est absente lors du second appel, on ne tente plus de la contacter.
On note :
A2 l’évènement « la personne est absente lors du second appel » ;
R2 l’évènement « la personne accepte de répondre au questionnaire lors du second
appel » ;
R l’évènement « la personne accepte de répondre au questionnaire ».
Montrer que la probabilité de R est 0,176.
3. Sachant qu’une personne a accepté de répondre au questionnaire, quelle est la
probabilité pour que la réponse ait eu lieu lors du premier appel?
4. On suppose que les sondages auprès des personnes d’une même liste sont
indépendants. Un enquêteur a une liste de 20 personnes à contacter.
Quelle est la probabilité pour qu’une au moins des 20 personnes de la liste accepte
de répondre au questionnaire?

50
101-Probabilité.
On dispose d’un dé cubique dont les faces sont numérotées de 1 à 6.
On désigne par pk la probabilité d’obtenir, lors d’un lancer, la face numérotée k(k est un
entier et 1  k  6).Ce dé a été pipé de telle sorte que :
•les six faces ne sont pas équiprobables,
•les nombres p1,p2,p3,p4,p5,p6, dans cet ordre, sont six termes consécutifs d’une suite
arithmétique de raison r,
•les nombresp1,p2,p4 dans cet ordre, sont trois termes consécutifs d’une suite
géométrique.
K
1. Démontrer que :pk= 21 pour tout entier k tel que 1  k  6.
2. On lance ce dé une fois et on considère les évènements suivants :
— A : « le nombre obtenu est pair »
— B : « le nombre obtenu est supérieur ou égal à 3 »
— C : « le nombre obtenu est 3 ou 4 ».
a. Calculer la probabilité de chacun de ces évènements.
b. Calculer la probabilité que le nombre obtenu soit supérieur ou égal à 3, sachant qu’il
est pair.
c. Les évènements A et B sont-ils indépendants? Les évènements A et C sont-ils
indépendants?
3. On utilise ce dé pour un jeu. On dispose :
•d’une urne U1 contenant une boule blanche et trois boules noires,
•d’une urne U2 contenant deux boules blanches et une boule noire.
Le joueur lance le dé :
•s’il obtient un nombre pair, il extrait au hasard une boule de l’urne U 1,
•s’il obtient un nombre impair, il extrait au hasard une boule de l’urne U 2.
On suppose que les tirages sont équiprobables et le joueur est déclaré gagnant
lorsqu’il tire une boule blanche, on note G cet évènement.
a. Déterminer la probabilité de l’évènement G∩A, puis la probabilité de l’évènement G.
b. Le joueur est gagnant. Déterminer la probabilité qu’il ait obtenu un nombre pair lors
du lancer du dé.

102-Probabilité.
Un sac contient trois boules numérotées respectivement 0, 1et 2, indiscernables au
toucher. On tire une boule du sac, on note son numéro x et on la remet dans le sac,
puis on tire une seconde boule, on note son numéro y et on la remet dans le sac.
Toutes les boules ont la même probabilité d’être tirées. À chaque tirage de deux
boules, on associe dans le plan, muni d’un repère orthonormé (O, i, j ) , le point M de
coordonnées (x;y). On désigne par D le disque de centre O et de rayon 1,7.
Les résultats seront donnés sous forme de fraction irréductible.
1. Placer dans le plan muni du repère (O, i, j ) les points correspondant aux différents
résultats possibles.
2. Calculer la probabilité de chacun des évènements suivants :
A « Le point M est sur l’axe des abscisses » ;
B « Le point M appartient au cercle de centre O et de rayon 1 ».
3. a. Soit X la variable aléatoire qui, à chaque tirage de deux boules, associe la
51
somme x2+y2.
Déterminer la loi de probabilité de la variable aléatoire X.
Calculer son espérance mathématique E(X).
b. Montrer que la probabilité de l’évènement «le point M appartient au disque D»
4
est égale à 9 .
4. On tire 5 fois de suite, de façon indépendante, deux boules successivement et avec
remise. On obtient ainsi 5 points du plan. Quelle est la probabilité de l’évènement
suivant : C « Au moins un de ces points appartient au disque D» ?
5. On renouvelle n fois de suite, de façon indépendante, le tirage de deux boules
successivement et avec remise. On obtient ainsi n points du plan.
Déterminer le plus petit entier n strictement positif tel que la probabilité de
l’évènement « au moins un de ces points appartient à D» soit supérieure ou
égale à 0,9999.

103-Fonctions.
Partie A étude préliminaire : mise en place d’une inégalité.
1. Le plan est muni d’un repère orthonormé́ (O, i, j ) .On désigne par ∆ l a droite
d’équation y=x+1 et par Γla courbe d’équation y=ex.
a. Que représente la droite ∆ pour la courbe Γ?
b. Tracer dans le repère (O, i, j ) ́la droite ∆ et donner l’allure de Γ.
2. a. Démontrer que pour tout réel t, et>t+1. Interpréter graphiquement ce résultat.
b. En déduire que pour tout réel t, e-t+t+1>2, et que pour tout x de R*+ on a:
1
x
+lnx+1>2.
Partie B étude d’une fonction.
On considère la fonction g définie sur ]0 ;+∞[ par g(x)=(x+1)lnx.
On appelle C la courbe représentative de g dans le plan muni d’un repère orthonormé
(O , u , v ) (unité graphique : 2 cm).

1. a. Étudier le sens de variations de g en utilisant la partie A.


b. Déterminer les limites de la fonction g en 0 et en +∞.
2. a. Déterminer une équation de la tangente D à C au point d’abscisse 1.
b. On appelle h la fonction définie sur ]0 ;+∞[ par :h(x)=g(x)−2x+2.étudier le sens de
variations de h. On pourra utiliser la question A 2 b.
En déduire le signe de h(x) suivant les valeurs de x.
c. étudier la position de C par rapport à D.
3. Tracer C et D dans le repère (O, u , v) .
n 1

4. Pour tout n de N , on pose Un=


*
 g(x)dx.
n

a. Donner une interprétation géométrique de U n.


b. Montrer que, pour tout entier naturel n non nul on a :g(n)  Un  g(n+1).
c. En déduire le sens de variation de la suite (Un).
d. La suite (Un) est-elle convergente?
Partie C étude d’une primitive.
G désigne la primitive de g sur ]0 ;+∞[ qui s’annule en 1.On a donc : pour tout x
x

appartenant à l’intervalle ]0 ;+∞[, G(x)=  g(t)dt.


1

52
1. Quel est le signe de G(x) suivant les valeurs de x?
2. Calculer G(x) à l’aide d’une intégration par parties.
3. Déterminer les limites de G en 0 et en +∞.

104*-Conique
On donne dans le plan un cercle (C) et [AA'] et [BB'] deux diamètres perpendiculaires
de (C). M est un point variable de (C), N est la projection orthogonale de M sur (BB'),
les droites (OM) et (AN) se coupent en un point I.
La perpendiculaire menée de I à (BB') coupe (BB') en K et la tangente en A à (C) en H.
1) Faire une figure
NK
2) Evaluer le rapport NO
par deux manières pour déduire que IM=IK et IO=IH.
(On distingue deux cas M sur l'arc (BB') contenant A, et sur l'arc (BB') contenant A')
3) En déduire que I se déplace sur une parabole dont on déterminera
le foyer et la directrice.
1 1
4) On considère le repère du plan (O, i , j ) tel que i .OA et j  .OB alors on aura
OA OB
A(R,0) où R est le rayon de (C) et M ( x0 , y 0 ) tel que x02  y 02  R 2
a) Trouver des équations des droites (OM) et (AN), et en déduire les coordonnées
de I en fonction de x0 et y0 et R
b) Trouver x0 et y0 en fonction de xI et yI .
c) Trouver une relation entre xI et yI et retrouver le résultat de la question (3).
d) Trouver le sommet et tracer cette parabole sur la figure.

105*similitude

Dans le plan orienté on donne un rectangle ABCD tel que AB= 2 2 et AD=2

et ( AB, AD )  [2 ] , soit I le milieu de [AB] et soit J le milieu de [BD].
2
Partie A : On note par (E) l’ensemble des points M du plan tels que MD 2-MB2=4
1- Vérifier que C et I sont deux points de (E) .
2- a- Montrer que si M est un point de € alors MJ .BD  2
b- Soit H le pied de la perpendiculaire menée de M à (BD), montrer que H reste
fixe lorsque M décrit (E) .
c- En déduire que (E) est la droite (IC).
Partie B : Soit S la similitude plane directe telle que S(D)=C et S(C)=B.
1- Trouver un angle et le rapport de S.

2- Soit B’=S(B). Montrer que (CB, CB')  
2
[ 2 ] et CB’= 2 , en déduire que S(B)=I.
3- Montrer que les droites (BD) et (CI) sont perpendiculaires.
4- Montrer que H est le centre de S
1
Partie C : Le plan est rapporté au repère orthonormé ( A, u , v ) ,où u AB et v  AD
2
1 1
1- Soit f(z) la forme complexe de S. Montrer que f(z)=  2
iz 
2
i.

2- Trouver l’affixe de H.
3- Montrer que S(A) est le milieu de [CD].

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