N° 6-2009

Le magazine d’information de la construction métallique

Sur le terrain Ingénierie Informations

Odysseum, incendie techniques
quand l’acier La sécurité incendie La construction
se prête au jeu dans les bâtiments métallique se met à la
classés « Monuments basse consommation
Historiques »
d’énergie
www.cticm.com
 L’acier galvanisé,
une valeur sûre
en toutes circonstances
L ’acier possède des propriétés
de résistance exceptionnelles.
La galvanisation à chaud permet
de les conserver très longtemps,
rendant ainsi les constructions
fiables. La surveillance et la
maintenance des ouvrages sont
réduites, ce qui allège le budget
des exploitants.

Retrouvez l’ensemble des

acteurs de la filière sur
www.galvazinc.com

DURABLE ET ECOLOGIQUE
Comme l'acier, le zinc utilisé pour protéger
ce métal au travers de la galvanisation
Maintenance est recyclable. Il provient de la nature et
Sécurité peut être réutilisé indéfiniment, tout en
conservant ses propriétés.
Durabilité Economie Economie de Recyclage
d’énergie matière première

Passerelle sur lʼEbron et passerelle sur le Drac - Maître dʼouvrage : SIVOM du Lac de Monteynard-Avignonet (38) - Photos : V. Thiebaut

La galvanisation :
une solution qui va dans le sens du Développement Durable.

Tél. : 01 55 95 02 02 - Email : info@galvazinc.com

 Édito

2010 : un nouvel
élan pour la
construction
métallique
© DR

U ne nouvelle décennie s’ouvre et le CTICM entend rester en mouvement,

plus que jamais mobilisé malgré les fortes incertitudes liées à la crise.
Lors du conseil d’administration de décembre, la présentation de ce que
nous appelons le plan d’actions commerciales (PAC) a permis de confor-
ter une démarche stratégique qui s’avère indispensable aujourd’hui, compte tenu des
évolutions probables de la taxe en 2010.
Certes, le Centre a toujours eu dans son portefeuille d’activités la réalisation de
prestations techniques selon les demandes des industriels, qu’il a su développer
avec professionnalisme et rigueur. Et ce n’est surement pas aujourd’hui que nous
découvrons l’approche client. Cet effort s’appuie sur une bonne valorisation de nos
missions inscrites dans le Contrat de Performances, que nous comptons bien conti-
nuer à assumer en totalité.
Il s’agit pour nous de donner une cohérence renforcée et un nouvel élan à la part d’ac-
tivités de nature commerciale, qui représente près de la moitié de nos ressources.
Ainsi, depuis l’été dernier, des actions ont été identifiées avec l’approche classique
« forces, faiblesses, menaces et opportunités ». Elles ont été répertoriées puis prio-
risées selon leur faisabilité plus ou moins immédiate et leur impact potentiel sur la
dynamique économique du Centre.
On peut citer à titre d’exemples :
- la réalisation de notes de calculs d’ouvrage selon les Eurocodes,
- l’élargissement du panel de nos clients dans le domaine des ouvrages d’art et
maritimes,
- l’organisation de rencontres régionales dès 2010, afin de présenter les dé-
marches nécessaires en matière de certification de produit et de construction
durable,
- notre souhait de devenir, sur un sujet en plein développement au CTICM, un gui-
chet unique pour la réalisation d’études liées à la création d’un parc énergétique,
utilisant notamment le photovoltaïque.
Une vision plus exhaustive de nos grands axes d’effort au sein du PAC sera présentée
lors d’un prochain CMI.
Les challenges ne manquent pas et pour ce faire, des moyens ont déjà été identifiés
et inscrits dans notre budget 2010.
En définitive, un CTICM fort et pertinent pour chacun de ses clients sera un CTICM
fort et pertinent pour l’ensemble de la profession, qui pourra toujours s’appuyer sur
« son » CTI.
Je vous souhaite à toutes et à tous une bonne et heureuse année 2010.

Christophe Mathieu,
Directeur général du CTICM

3
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations

Informations techniques 6
La construction métallique se met à
la basse consommation d’énergie 6
Assurance construction 8
steelbizfrance.com 9
Ingénierie incendie 10
La sécurité incendie dans les
bâtiments classés « Monuments
Historiques » à travers l’exemple
de l’Hôtel de Ville de Paris 10
Portrait 12
DL Aquitaine, réactivité
et proximité 12
Agenda 16
Rendez-vous 2010/2011 16
Sur le terrain 20
Odysseum,
quand l’acier se prête au jeu 20
Publications - Formation 24
Revue Construction Métallique 24
Votre bibliothèque 24
Formations en février
et mars 2010 au CTICM 26
Assistance technique 33
Contacts construction
métallique et mixte 33
Contacts incendie
et certification 34
Sommaire
N° 6-2009
Le magazine d’information de la construction métallique
© ConstruirAcier
Sur le terrain Ingénierie Informations
Odysseum, incendie techniques
quand l’acier La sécurité incendie La construction
se prête au jeu dans les bâtiments métallique se met à la
classés « Monuments basse consommation
Historiques »
d’énergie
www.cticm.com
Photo de couverture :
Le parking Odysseum à
Montpellier.
Architecte mandataire :
Brullmann Crochon et Associés.
Architectes :
Atelier Patrice Genet.
Charpente métallique :
Cabrol/Fondeville.
Voir notre article en page 20
Éditeur :
CTICM - Centre Technique
Industriel de la Construction
Métallique
Directeur
de la publication :
Christophe Mathieu
directeur général du CTICM
Rédaction :
CTICM – Service publications
Journaliste : FL Communication,
Françoise Leroy
Contact : Isabelle Pharisier,
Tél. : 01 60 13 83 00
E-mail : ipharisier@cticm.com
Imprimé en France
Fabrication et réalisation :
RG Solutions,
Tél. : 01 53 19 82 00
CTICM
Espace technologique
L’Orme des Merisiers
Bâtiment Apollo
91193 Saint-Aubin
Tél. : 01 60 13 83 00
Fax : 01 60 13 13 03
CMI est diffusé gracieusement
à 8 500 exemplaires.
CMI, dans un souci de
préservation de l’environnement,
est imprimé sur papier
recyclable. La reproduction
même partielle de tout matériel
publié dans CMI est strictement
interdite. Les annonceurs
prennent l’entière responsabilité
des informations qu’ils insèrent
et déclarent être autorisés à les
utiliser.
Informations techniques

La construction
métallique se
Acieco : projet ANR-PREBAT
(2008-2011)
Partenaires : CTICM
(coordinateur), CSTB, CETE de

met à la basse
Lyon et Leptiab de l’université
de la Rochelle
Industriels associés : Soprema
et SMAC

consommation
Aide financière de l’Ademe

d’énergie
Dans le cadre du projet de recherche Prebat-Acieco
« Bâtiments en aciers économes en énergie : réduction
de la perméabilité à l’air et traitement des ponts
thermiques », le premier bâtiment basse consommation
(BBC) d’activité industriel en acier en France vient d’être
construit par l’entreprise Soprema à Brest.
Ce bâtiment de 400 m² SHON* est composé d’un hall
d’activité et de bureaux intégrés. Une demande
de labellisation BBC-Effinergie a été déposée auprès
de Certivéa, organisme accrédité par l’État.

L’analyse de l’existant, bâtiment (acrotère, lanterneaux, portes,…).

comme première étape
Avant de se lancer dans la conception et la
construction de bâtiments basse consom-
mation d’énergie, la première étape du pro-
jet Acieco à été consacrée à l’évaluation de
l’état actuel de la construction de bâtiments
en acier en France. Plusieurs bâtiments du
secteur tertiaire ont été mesurés et dia-
gnostiqués (7 au total) avec pour objectif de
localiser les lieux de fuites d’air ainsi que
les ponts thermiques présents dans les en-
veloppes de ces bâtiments. Des mesures
quantitatives de la perméabilité à l’air ont
permis de situer le niveau de performance
actuel de ce type de bâtiment. D’autres
tests ont été effectués pour évaluer l’im-
pact de différents composants de l’enve-
* SHON : surface hors œuvre loppe dans les déperditions globales du
nette
Généralement, se sont les jonctions entre
parois qui posent le plus de problèmes aus-
si bien pour l’isolation thermique que pour
l’étanchéité à l’air.
Un premier bâtiment
d’activité industriel en
acier BBC en France
En s’appuyant sur les résultats des diagnos-
tics de l’existant effectués dans la première
partie du projet Acieco, des solutions pour
améliorer l’isolation thermique et réduire
la perméabilité à l’air ont été proposées et
mises en oeuvre sur un nouveau bâtiment.
L’enjeu était de développer des solutions
performantes, reproductibles avec un coût
maîtrisé.

6 Construction Métallique Informations

CMI N°6 – 2009
 Mesures pour évaluer l’impact de différents composants de l’enveloppe dans les déperditions globales du bâtiment
Avec une consommation conventionnelle
en énergie primaire, tenant compte d’une
production d’électricité photovoltaïque as-
surée par des modules intégrés à la toi-
ture, de 1 kWhep/m²/an (environ 0,7 % la
consommation référence RT 2005, sachant
que le label BBC requiert une consomma-
tion d’énergie primaire du bâtiment infé-
rieure ou égale à 50 % de la consommation
conventionnelle de référence définie dans
la RT 2005), ce bâtiment représente une
première pour les bâtiments d’activités en
acier en France.
Enveloppe
En plus du choix d’une forme compacte
pour le bâtiment (surface de l’enveloppe/
volume = 0,52), ce qui permet de réduire
les surface déperditives (surfaces don-
nant sur l’extérieur) et par conséquent les
fuites de chaleur, un travail important a été
effectué sur l’enveloppe. Au renforcement
de l’isolation au niveau du dallage, de la
façade et de la toiture, s’ajoutent des solu-
tions efficaces pour réduire les ponts ther-
miques. L’étanchéité à l’air est assurée par
un écran pare-vapeur en partie courante de
la toiture et une membrane pare-air en fa-
çade avec une continuité aux niveaux des
jonctions entre parois et surtout au niveau
de l’acrotère. À cette occasion, un brevet
sur la mise en œuvre du pare-air a été dé-
posé par Soprema.
Les différentes solutions retenues ont
Mesures de la perméabilité et diagnostic thermographique en cours de chantier
permis une réduction d’environ 25 % des
déperditions thermiques par rapport au
même bâtiment conçu selon la RT 2005.
Équipements
Pour le chauffage du bâtiment, le choix a
porté sur une pompe à chaleur air/eau pour
la partie bureaux et des aérothermes élec-
triques pour le hall d’activité. La ventilation
est assurée par un système double flux 1 5 .5 ° C
avec récupération de chaleur pour les bu-
reaux et un système simple flux pour le hall. 1 4
Pour l’éclairage, le choix a porté sur des
ampoules fluocompactes basse consom- 1 2
mation d’énergie avec détecteurs de pré-
sence. Un système photovoltaïque intégré 1 0
à la toiture assure une production d’environ 9 .2
25 kWh/m²/an d’énergie électrique raccor-
dée au réseau. Diagnostics thermogra-
phiques pour localiser les
Des mesures en cours ponts thermiques
de chantier
Des mesures de la perméabilité à l’air et des
diagnostics thermographiques du bâtiment
en cours de chantier ont permis d’apporter
d’ultimes améliorations à l’enveloppe.
Des mesures à la réception
Les mesures et diagnostics effectués sur
le bâtiment à la réception ont confirmé l’ef-
ficacité des solutions mises en œuvre sur
le bâtiment. La grande majorité des ponts
thermiques a été corrigée. Les solutions
Renforcement de l’isolation
en partie courante et traite-
ment des jonctions
7
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations
Informations techniques

Ventilation double flux PAC air/eau système photovoltaïque intégré à la toiture

d’amélioration de l’étanchéité à l’air mises disponibles sur le marché. Un travail en

en œuvre ont permis de diviser d’au moins amont sur les solutions à mettre en œuvre
par 10 les valeurs de perméabilité consta- et une coordination sur chantier entre les
tées dans la première étape du projet différents corps de métiers sont les clés
(I4 = 0,45 m3/h/m²). pour réussir une construction BBC.

Les premiers résultats du projet Acieco

nous laissent penser que l’on pourrait Amor Ben Larbi
construire et généraliser des bâtiments en Directeur de Recherche
acier basse consommation d’énergie avec Département construction
les matériaux et équipements aujourd’hui métallique CTICM

Assurance construction
L’arrêté du 19 novembre 2009, publié au
JO le 27/11/2009 et portant actualisa-
tion des clauses types en matière d’assu-
rance construction, précise en annexe III
les conditions de déchéance de droit en
cas d’inobservation des règles de l’art
définies comme «  réglementations en vi-
gueur, normes françaises homologuées
ou normes publiées par les organismes
de normalisation d’un autre État membre
de l’Union européenne ou d’un autre État
partie à l’accord sur l’Espace économique
européen offrant un degré de sécurité
et de pérennité équivalant à celui des
normes françaises ».
Il s’applique aux contrats conclus
ou reconduits postérieurement à sa
publication.
Il peut être téléchargé à l’adresse suivante :
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.
do;jsessionid=027CE4F46D838C6E7484
872A8BE33134.tpdjo14v_2?cidTexte=JO
RFTEXT000021339147&dateTexte=&oldA
ction=rechJO&categorieLien=id

Jean-Pierre Pescatore
Directeur du BNCM
CTICM

8 Construction Métallique Informations

CMI N°6 – 2009
STEELBIZFRANCE.COM

www.steelbizfrance.com est le site internet plancher selon l’Eurocode. Poutre isosta-

des ressources de la construction métal-
lique. Il met à votre disposition de la docu-
mentation sur la conception et le calcul et
des logiciels de calcul à utiliser en ligne ou
à télécharger.
Nous mettons en ligne une moyenne de
quatre nouveaux logiciels chaque année  ;
ce sont des formulaires de résistance des
matériaux, des outils de calcul de poutres
ou d’assemblages, selon les normes
CM 66 et NF P 22, et de plus en plus selon
l’eurocode EN 1993.
La dernière application – SoliveX – per-
met le dimensionnement d’une solive de
tique, en laminé ou PRS, charges réparties
ou ponctuelles, vérifications en section et
au déversement.
Le site reçoit environ 20 000 visiteurs
chaque mois.
Les prochaines mises en ligne prévues
concernent les propriétés des sections
minces profilées à froid et les assemblages
poutre-poteau par double cornière d’âme.
Bruno Chabrolin
Directeur scientifique et du transfert
des connaissances
CTICM

REVUE
CONSTRUCTION MÉTALLIQUE

La référence depuis plus de 40 ans

Tarifs de l’abonnement annuel 2009 (4 numéros) :

France 145 € TTC
Étranger 180 € TTC

Pour vous abonner : 01 60 13 83 00

Centre technique et industriel de la construction métallique

9
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations
 Incendie

La sécurité incendie dans

les bâtiments classés
« Monuments Historiques »
à travers l’exemple de
l’Hôtel de Ville de Paris
Dans une édition précédente, nous mettions en
évidence les difficultés rencontrées lors des mises en
conformité de bâtiments existants. L’Hôtel de Ville de
Paris en est un exemple concret.

C e bâtiment, classé « Monument

Exemple de bloc-porte de l’Hôtel
de Ville de Paris
Exemple de bloc-porte actuel
(avant essai de résistance au
feu)
Historique », a fait l’objet d’une
réhabilitation en matière de sé-
curité incendie, la réglementation appliquée
étant celle des installations classées, des
établissements de travail et des établisse-
ments recevant du public.
D’une manière générale, la réglementation
incendie vise à assurer la protection et
l’évacuation rapide et sûre des occupants.
Dans le cas de « Monuments Historiques »,
elle vise également la protection des biens
et la sauvegarde du patrimoine culturel
français.
Dans le cadre de cette réhabilitation, Efec-
tis France est intervenu à deux niveaux :
- expertise de laboratoire sur la résistance
au feu des bloc-portes,
- étude sur la stabilité au feu des structures
porteuses.
Expertise de laboratoire
sur la résistance au feu
des blocs-portes de l’Hôtel
de Ville de Paris
Le laboratoire d’Efectis France a été man-
daté pour étudier la résistance au feu de
blocs-portes présents dans le bâtiment, la
performance en résistance au feu recher-
chée étant E 30 (étanchéité aux flammes
et aux gaz chauds et/ou inflammables pen-
dant 30 minutes – PF ½ h).
Les paramètres prise en compte dans cette
mission étaient les suivants :
- blocs-portes datant de la construction de
l’édifice (fin du XIXe siècle), en chêne mas-
sif, à deux vantaux, parfois avec des par-
ties vitrées, des parties sculptées et des
paumelles en fer forgé,
- dimensions importantes pouvant atteindre
1,85 m x 4,05 m (l x h) de passage libre,
- aucun dispositif particulier susceptible de ré-
pondre à une exigence de résistance au feu,
- pas de procès-verbal de résistance au feu.
La solution triviale aurait consisté à les
remplacer par des blocs-portes actuels
ayant déjà fait l’objet d’un procès-verbal de
classement en résistance au feu. Toutefois,
pour des raisons architecturales (objectif
de conserver l’aspect originel des blocs-
portes) et dimensionnelles, illustrées par
les photos du bandeau, cette solution a ra-
pidement été écartée.
Une expertise de laboratoire a donc été
menée et a fait l’objet d’un avis de chan-
tier au sens de l’article 14 de l’arrêté du
22 mars 2004, relatif à la résistance au feu
des produits, éléments de construction et
d’ouvrages.
Cette expertise, valable uniquement pour
l’Hôtel de Ville de Paris, est basée sur des
résultats d’essais de résistance au feu réa-
lisés sur différents blocs-portes. Elle s’est
traduite par des prescriptions en termes
d’adaptations à apporter aux blocs-portes
anciens pour qu’ils puissent répondre aux
exigences de résistance au feu recher-
chées (E 30).
Les principales préconisations ont été les
suivantes :

10 Construction Métallique Informations

CMI N°6 – 2009
-m  ise en œuvre de dispositifs tels que
joints intumescents pour assurer l’étan-
chéité au feu périphérique et à la jonction
des ouvrants,
- mise en œuvre d’une protection thermique
sur toute la surface des vantaux (côté ex-
posé au feu) afin d’éviter une combustion
rapide du bois et le passage de flammes
aux points les plus sensibles (jonction de
profilés bois, assemblage des panneaux
bois avec le cadre bois, panneaux bois de
faible épaisseur),
- remplacement des vitrages existants par
des vitrages résistants au feu,
- remplacement des systèmes de fermeture
des vantaux (serrures et ferme-portes) par
des quincailleries dont le comportement
au feu est connu et assurant le maintien
en position fermée des vantaux en cours
d’un incendie,
- création de moulures et sculptures décora-
tives identiques et à rapporter sur les van-
taux modifiés afin de reproduire l’aspect
originel des blocs-portes.
La performance en résistance au feu régle-
mentaire (E 30) a donc été obtenue tout en
conservant l’aspect esthétique et le carac-
tère historique des blocs-portes.
Étude de la stabilité
au feu des structures
Le service ingénierie incendie d’Efectis
France a réalisé une étude sur la structure
porteuse de l’Hôtel de Ville de Paris afin de
déterminer sa durée de stabilité au feu.
Compte tenu de la nature de la structure por-
teuse – charpente métallique avec poutres
et poutrelles en profilés rivetés constituées
de plats et de cornières en fer, et planchers
remplis de hourdis en briques voutés – l’appli-
cation des règles ou méthodes « simplifiées »
(DTU ou Eurocode partie feu) était inadaptée
à la problématique, comme c’est souvent le
cas en réhabilitation de bâtiments existants.
La résistance au feu des éléments a donc
été étudiée à l’aide des modèles de calcul
« avancées » des Eurocodes partie feu.
Pour pallier les incertitudes sur les maté-
riaux et leur configuration, plusieurs hy-
pothèses sécuritaires ont été prises en
compte dans le cadre de ces calculs :
- propriété mécanique du fer : connaissant
la difficulté à cette époque pour conce-
voir du fer de qualité homogène, une hy-
pothèse sécuritaire a du être faite sur la
limite d’élasticité de ce matériau,
- chargement mécanique des structures : il
a été pris en compte de façon sécuritaire
un niveau de chargement maximal (facteur
de réduction du niveau de chargement
égal à la valeur forfaitaire de 0,64),
-p  rise en compte d’une protection à base
de plâtre rapportée en sous-face de cer-
taines poutres et poutrelles,
- prise en compte d’un matériau de remplis-
sage entre les profilés : du fait de la date
de construction de l’ouvrage et de l’incer-
titude sur l’homogénéité du remplissage,
l’hypothèse d’un remplissage homogène
en plâtre a été faite.
La figure ci-dessous présente un exemple
de section type rencontrée sur le bâtiment
et modélisée dans l’étude.
Remplissage plâtre
vide
encoffrement
Protection plâtre
Poutre caisson encoffrée Poutre en I non encoffrée
Exemple de types
de section rencontrés
Sur la base de ces différentes analyses,
l’étude a montré des durées de stabilité va-
riables suivant les zones. Notamment, les
poutrelles n’ayant aucune protection rap-
portée en sous-face ont fait l’objet d’une
préconisation de protection, ainsi que les
hourdis de briques attenants.
L’exemple de l’Hôtel de Ville de Paris pré-
sentée dans cet article met en lumière deux
types d’expertise qui, dans le cadre de bâ-
timent en réhabilitation, peuvent apporter
des solutions techniques aux contraintes
liées à la réhabilitation, tout en optimisant
le rapport « coût de la construction » / « ni-
veau de sécurité » :
- les appréciations de laboratoire qui offrent
la possibilité de statuer sur la performance
au feu d’un système constructif existant,
- les méthodes de calculs avancées des
Eurocodes partie feu qui permettent d’étu-
dier la résistance au feu de structures
pour des configurations complexes.
Agnès Blanguernon
Service ingénierie incendie
Efectis France
Jérome Klein
Service consultance du laboratoire
Efectis France
11
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations
 Portrait

Bertrand Deyris, président de
DL Aquitaine et du groupe DL
DL Aquitaine
réactivité et proximité
C’est en 1964 et sous le nom de Darrière & Lafourcade
que la société DL Aquitaine trouve ses origines.
Implantée à Tercis-les-Bains, non loin de Dax, cette
société, filiale du groupe DL (Deyris Lafourcade), emploie
aujourd’hui 65 collaborateurs et réalisera un chiffre
d’affaires de 14 millions d’euros en 2009, nonobstant la
crise.
Dans une interview accordée à CMI, Bertrand Deyris,
président de DL Aquitaine et du groupe DL, nous fait
partager son expérience.
Propos recueillis par Françoise Leroy

CMI : Quelle est l’origine   aujourd’hui 65 salariés dont 5 ingénieurs,

de DL Aquitaine ?
Bertrand Deyris : L’origine de DL Aquitaine
tient à deux artisans serruriers qu’étaient
Roland Lafourcade, mon beau-père, et
Georges Darrière qui, en 1964, se sont
associés. En 1978, ils ont souhaité se re-
tirer des affaires et c’est à ce moment là
que j’ai repris la société qui comptait alors
10  salariés. J’étais âgé de 32 ans avec
une formation d’ingénieur centralien et une
expérience professionnelle de 9 ans chez
Bouygues. En 1984, j’ai créé une agence à
Bayonne puis une seconde à Bordeaux en
1987.
En 1988, le groupe DL se construit : la so-
ciété Darrière & Lafourcade devient holding,
elle s’appellera plus tard Deyris Lafourcade.
L’unité de production historique de Tercis
devient la première filiale : DL Aquitaine, les
agences de Dax et de Bordeaux deviennent
les deuxième et troisième filiales : DL Pyré-
nées et DL Océan.
CMI : Quel est le profil  
Gare du Téléphérique de DL Aquitaine?
de la Vanoise reliant les Arcs à
Bertrand Deyris  : DL Aquitaine compte
La Plagne (73)
des ouvriers charpentiers et des ouvriers
métalliers polyvalents intervenant aussi
bien en atelier que sur les chantiers. Nous
disposons de notre propre bureau d’études
et d’un atelier de production de 11 000 m2
environ.
Compte tenu de l’organisation et de l’im-
plantation géographique du groupe, DL Aqui-
taine intervient essentiellement sur le
département des Landes et sur les dépar-
tements limitrophes. Le rayonnement géo-
graphique du groupe DL dépasse rarement
la ligne «La Rochelle – Montpellier». Ainsi,
nous ne sommes pas présents sur les mar-
chés étrangers, exceptions notoires à cette
règle les travaux sur le pavillon France de
l’exposition universelle de Séville en 1992
et de la fabrication et de l’assistance au
montage de structures métalliques com-
plexes pour le jardin botanique de Canton
en 2005.
CMI : Quels marchés cherchez-
vous à conquérir ?
Bertrand Deyris  : DL Aquitaine cible tous
les marchés qui entrent dans son périmètre
géographique, à l’exception des bâtiments

12 Construction Métallique Informations

CMI N°6 – 2009
Pôle culturel de Mont-de-Marsan (40) - (acier Indaten - Corten)

agricoles. Toutefois, nous recherchons plus
particulièrement des affaires qui mettent
en œuvre des structures complexes parce
que nous détenons le savoir-faire néces-
saire. Nous intervenons pour le compte du
secteur industriel et commercial ainsi que
pour les maîtres d’ouvrage publics pour
tous bâtiments ou équipements variés.
Par ailleurs, nous avons également une
forte activité d’entretien et de réhabilitation.
Ainsi, nous sommes intervenus cette année
pour de nombreuses réparations à la suite
de la tempête Klaus.
CMI : Quelles réalisations vous
paraissent les plus marquantes
pour DL Aquitaine ?
Bertrand Deyris  : Dans la liste des réali- Le parc matériel
sations récentes et originales de DL Aqui-
taine, le centre culturel de Mont-de-Marsan - 2 ensembles sciage et
- qui est actuellement en cours de livraison perçage
- mérite d’être cité pour son architecture et - Installation PRS
pour le matériau utilisé. Il s’agit d’un acier - 22 ponts roulants
- 2 installations de peinture
autopatinable, Indaten (Corten).
avec aspiration par le sol
Parmi nos références, nous avons égale-
ment réalisé des tours d’observation pour
les services incendie des Landes et de la
Gironde. Ces pylônes, d’une hauteur de
40 mètres, permettent de surveiller la forêt
de pins de notre région.
Enfin, nous commençons la réalisation de
la structure métallique en PRS d’un en-
trepôt sprinklé, représentant un tonnage
de 300 tonnes. Cette fabrication spéci-
fique vient d’être rendue possible chez

Quelques références de DL Aquitaine

Nom du chantier Maître d’Ouvrage Lieu du chantier Année de réalisation Tonnage
Darty - Kiabi SCI Jacquemain Saint Paul Les Dax (40) 2008 135
Mr Bricolage SCI Cottage Saint Paul Les Dax (40) 2007 250
Carrefour (extension) Guyenne et Gascogne Dax (40) 2008 320
Usine Exameca Exameca Serres-Castets (64) 2007 340
Usine DRT (extension) DRT Castets (40) 2009 110
Usine Seripanneaux
Seripanneaux Saint-Vincent de Tyrosse (40) 2008 180
(extension)
Conseil Régional
Lycee Esteve Mont-de-Marsan (40) 2009 170
d’Aquitaine

13
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations
 Portrait

Zoom sur le
Groupe DL
Implanté sur le marché du
grand sud ouest avec un
effectif de 510 personnes et
un chiffre d’affaires consolidé
prévisionnel pour 2009 de
110 millions d’euros, le groupe
DL (Deyris Lafourcade) dispose
d’un réseau de 14 filiales qui
offre une complémentarité
de savoir-faire au travers de
4 principaux métiers :

- la construction métallique,
- la menuiserie aluminium,
- l’étanchéité des bâtiments,
- la construction de bâtiments
clés en main.

La construction métallique est

l’activité la plus importante.
Elle représente un chiffre
d’affaires de 75 millions
d’euros réparti sur 8 filiales :
DL Aquitaine à Dax,
DL Pyrénées à Bayonne,
DL Océan à Bordeaux,
Nestadour à Tarbes,
DL Garonne à Toulouse,
Trinquier à Carcassonne,
Castera à Castillon-la-Bataille et
DL Atlantique à La Rochelle.
Les qualifications
de DL Aquitaine
- Qualibat 2412 :
Constructions et structures
métalliques (technicité
confirmée)
- Qualibat 4413 : Métallerie
(technicité supérieure)
Bâtiment ANPE et services administratifs de la mairie d’Andernos (33)
DL  Aquitaine grâce à une installation nou- qu’il est nécessaire de faire évoluer pour
velle appropriée. conquérir des parts de marché.
Nous avons un travail de formation et d’in-
formation pour faire évoluer les mentalités.
CMI : Selon vous, quelles C’est ce que font les instances de notre sec-
sont les valeurs majeures qui teur d’activité, que ce soit le CTICM que je
caractérisent DL Aquitaine ? préside, le SCMF ou encore ConstruirAcier.
Bertrand Deyris  : Au-delà de nos com-
pétences pour des ouvrages complexes, CMI : Comment préparez-vous
DL  Aquitaine se définit comme une entité l’avenir de DL Aquitaine et du
qui reste modeste en taille et qui joue la Groupe DL?
carte de la réactivité et de la proximité.
Par ailleurs et d’un point de vue social, Bertrand Deyris : J’ai succédé à mon beau-
DL  Aquitaine – comme toutes les sociétés père. Le groupe DL est et restera une entre-
du groupe DL – bénéficie d’un système d’in- prise familiale : je me prépare à passer le
téressement qui contribue à motiver et à relais à mon fils Nicolas, ingénieur ESTP, qui
fidéliser son personnel. Ainsi, tous les man- prépare en ce moment un mastère spécia-
dataires sociaux sont associés au capital. lisé de management.
Depuis 1985, un accord d’intéressement
est en place au profit de tous les salariés ;
il a été complété en 2000 par un accord
de participation. Ces initiatives comptent Évolution du CA
(en millions d’euros)
beaucoup pour nous car elles témoignent 14,757
aussi de notre culture d’entreprise. 15 13,966 14
12 10,888
CMI : Quelle analyse faites-vous
du marché de la construction 9
métallique ?
6
Bertrand Deyris : La construction métallique
doit être plus présente sur les marchés et
pour ce faire, il faut mieux sensibiliser les 3
concepteurs et les prescripteurs en géné-
ral. Nous souffrons, par exemple, d’une 0
2006 2007 2008 2009
législation défavorable pour les entrepôts (prévisions)

14 Construction Métallique Informations

CMI N°6 – 2009
Tour de guet dans la forêt landaise (Gironde)

15
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations
 Boulonnerie de construction métallique
à haute résistance apte à la
précontrainte et conforme
à la NF EN 14399

Fiche technique n°6

Quelles sont les différences entre un boulon HR et un boulon HV ?
Toutes les variantes de boulons aptes à la
précontrainte conformes à la série des normes
NF EN 14399 sont déclinées à partir de deux
types de produit, le type HR et le type HV. Si
les deux types sont en principe conçus pour une
mise en œuvre fiable avec les mêmes méthodes
de serrage, et pour des performances en ser-
vice équivalentes, il existe toutefois un certains
nombre de différences - mécaniques, physiques
mais aussi de mise en œuvre - entre eux. Ces
différences sont les suivantes :
•  Le produit HR de base existe en classes
8.8 et 10.9, tandis que le produit HV de base
n’existe qu’en classe 10.9. Il est rappelé que
le type, la classe et le sigle du fabricant sont
marqués sur les têtes des vis et sur une des
faces des écrous (voir le tableau). Le boulon
à tête fraisée et le boulon « à précontrainte
contrôlé » HRC – ce dernier produit n’est qu’en
classe 10.9 et dans une gamme réduite de
diamètres - sont des variantes du type HR. Le
boulon ajusté HVP est une variante du type HV.
•  Les normes de produits, pour les diffé-
rentes variantes de boulons type HR à l’excep-
tion des boulons HRC, couvrent la gamme com-
les critères de choix entre les différents pro-
plète de diamètres de M12 à M36 inclus. Les
duits de boulonnerie apte à la précontrainte.
normes de produits pour les boulons type HV ne
couvrent pas les deux diamètres dits « non pré-
férentiels », à savoir les diamètres M14 et M18.
Décembre 2009 - CMI 6-2009
•  Une différence essentielle entre les
deux types de produit réside dans le mode
de ruine en traction attendu. Pour le produit
HR « noir » le mode de ruine attendu est la
rupture en traction dans la section de la par-
tie filetée tandis que pour le produit HV, qu’il
soit « noir » ou galvanisé, c’est l’arrachement
des filetages côté écrou et/ou côté vis qui
se produira. L’explication est que la hauteur
de l’écrou du produit HR est proche de 0,9 d
tandis que pour le produit HV cette hauteur
est de 0,8 d, où d est le diamètre nominal de
la vis. Pour les produits galvanisés à chaud,
il est nécessaire de réaliser un taraudage de
l’écrou un peu plus approfondi par rapport à
la version « noir »   en raison de l’épaisseur
de la couche de zinc sur les filetages des
vis. Pour les boulons type HR galvanisés il
en résulte qu’une ruine par arrachement de
filetages devient possible, ruine néanmoins
plus ductile que celle de son homologue HV
pour lequel le mode de ruine le plus probable
est toujours l’arrachement des filetages.
Nous traiterons dans une prochaine fiche

Boulons types HR
Boulon « à
Boulon à tête fraisée Boulon à tête fraisée
Boulon HR classe 10.9 Boulon HR classe 8.8 précontrainte  Contrôlé »
classe 8.8 classe 10.9
HRC classe 10.9
 Boulonnerie de construction
apte à la précontrainte et
Quelles sont les différences

Boulons types HV classe 10.9

Boulon HV classe 10.9 Boulon ajusté HVP classe 10.9

Marquages obligatoires sur les têtes de vis des boulons aptes à la précontrainte conformes à la norme NF EN 14399

•  Trois critères de performance mécanique sont exigés pour garantir le bon comportement de
chaque ensemble « boulon précontraint » mis en œuvre. Lors de l’essai d’aptitude au serrage sur
un boulon individuel selon la norme NF EN 14399-2 on doit atteindre des valeurs minimales pour :
1) l’effort de traction maximale dans le boulon Fbi,max qui traduit le sommet de la courbe rotation de
l’écrou au serrage / effort de précontrainte correspondant dans le boulon (voir la figure),
2) la rotation de l’écrou ∆θ1i requise pour monter l’effort dans le boulon de 0,7fub As à l’effort maxi-
mal Fbi,max,
3) la rotation supplémentaire de l’écrou ∆θ2i pour repasser de l’effort maximal à 0,7fub As sur la
partie descendante de la courbe.
Les deux derniers critères sur les rotations de l’écrou visent à garantir une certaine ductilité dans
le comportement des boulons au serrage afin d’écarter le risque d’un sur-serrage caractérisé soit par
l’endommagement des filets associé à une perte significative de la précontrainte soit par la rupture
du boulon. Si la valeur minimale exigée de Fbi,max est la même pour les deux types de produits, soit
0,9fub As où As est l’aire de la section résistante de la vis et fub est la résistance garantie de l’acier
de la vis, il n’en est pas le même pour les deux critères de rotation. En effet, les valeurs minimales
requises pour les deux rotations sont de 30° plus petites pour le boulon type HV (voir la norme NF EN
Décembre 2009 - CMI 6-2009

14399-4) que pour le boulon type HR (voir la norme NF EN 14399-3), d’où une différence de ductilité.
métallique à haute résistance
conforme à la NF EN 14399
entre un boulon HR et un boulon HV ?

E f f o rt da n s le bo u lo n Fb i

« P ic » de la co u r b e Fb i - θ
Fb i,m a x Fb i,m a x ≥0 ,9 fu b As

Fp Fp = 0,7fu b As

Δθ1 i

Δθ2 i

θp θ1 i θ2 i
R o t a t io n de l’é c ro u θ degrés

Essai d’aptitude au serrage d’un boulon : critères de performance

Essai d’aptitude au serrage d’un boulon : critères de performance

•  Les longueurs des parties filetées – typiquement égales à 2d + 6 mm – des vis de boulons type
●HRLessont
longueurs des parties àfiletées
semblables celles – typiquement
des vis de égales à 2d+« ordinaires »
boulons 6 mm- des vis alors de boulons
quetype
cellesHR sont
dessemblables à celles
vis de boulons
type desHV vis de boulons
sont nettement « ordinaires
plus »courtes,
alors que celles
étantdesproches
vis de boulons
de dtype HV sont nettement
+ 12 mm. Pour les plusboulons
courtes, étant typeproches
HR la
norme d + 12 mm. Pour
de d’exécution NF EN les boulons
1090-2 typeexige
HR la qu’au
norme d’exécution
moins quatre NF EN 1090-2 exige qu’au moins
filets complets (outrequatre filets complets
l’amorce de file-
tage)(outre
restentl'amorce
libresde entre
filetage)la restent
surface libres entre la de
portante surface portante
l’écrou et ladepartie
l'écrou lisse
et la de
partiela lisse
tige.dePour la tige.
lesPour les
boulons
type HVboulons
lestype HV les longueurs
longueurs de serragede serrage doiventêtre
doivent être conformes
conformes à celles spécifiées
à celles dans le Tableau
spécifiées dansA.1 le de l'EN 14399-4
Tableau A.1 de
ce qui revientceà qui
l’EN 14399-4 n’avoir qu’un àminimum
revient n’avoird’environs 2,5 filets libres.
qu’un minimum d’environs 2,5 filets libres.
● Il• enIlrésulte
en résulte
qu’avec un qu’avec
boulon typeun boulon
HV le plantype HV leentre
de contact plandeux
deplats
contact entre deux
d’un assemblage platsjamais
ne tombe d’unauassemblage
niveau de
ne tombe
la partiejamais
filetée au
des niveau de la les
vis des boulons partie filetéece des
assemblant, vis des
qui n’est boulonsnormative
une exigence les assemblant,
(NF EN 1090-2) ce quequi pour
n’estlesune
exigence
boulonsnormative
ajustés. (NF EN 1090-2) que pour les boulons ajustés.
•  Par
● Par contre,contre,
à cause àdecausesa longueurde sa de lalongueur de relativement
partie filetée la partie courte,
filetéeunrelativement
boulon type HV courte,d’une longueurun boulon
sous têtetype
HV d’une
donnée ne convient que pour une fourchette très restreinte d’épaisseurs totales d’assemblage. Quelque soit le diamètred’épais-
longueur sous tête donnée ne convient que pour une fourchette très restreinte du
seursboulontotales
type d’assemblage.
HV, l’écart proposé par Quel que NF
la norme soitEN le14399-4
diamètre du épaisseurs
entre les boulon minimale
type HV, et l’écart
maximale proposé
possibles n’estpar la
norme queNF EN Pour
5 mm. 14399-4 entre
les boulons typelesHRépaisseurs
l’écart entre lesminimale et maximale
épaisseurs maximales possibles
et minimales possiblesn’estest deque 5 mm.lePour
10 mmpour
les boulons type HR l’écart entre les épaisseurs maximales
diamètre M12 et augmente avec le diamètre du boulon pour attendre 27 mm pour le diamètre M36.et minimales possibles est de 10 mm
pour le diamètre M12 et augmente avec le diamètre du boulon pour attendre
● Il est précisé par la norme NF EN 14399-2 que les essais d’aptitude au serrage doivent être réalises sur les lots individuels 27 mm pourde le
diamètre M36.
boulons pour la condition avec le nombre minimal des filets libres exigé par la norme NF EN 1090-2. La longueur de
•  filets
Il estlibres
précisé par la
plus courte et norme
la hauteurNFplusENfaible14399-2
de l’écrouquedes les essais
boulons d’aptitude
type HV au difficile
rendent assez serrage doivent
le respect des être
trois
réalisés sur les lots individuels de boulons pour la condition avec le nombre
critères de performance au serrage, notamment ceux concernant les rotations, Δθ1min et Δθ2min pour la ductilité. Les minimal des filets
libresboulons
exigétype parHRla n’ont
norme pas NF EN 1090-2.
de difficulté La longueur
à atteindre de filets
les critères requis malgrélibres
le faitplus courtedeetcesla critères
que certains hauteur soient
plus exigeants
plus faible que ceuxdes
de l’écrou pourboulons
le boulontype type HV.
HV rendent assez difficile le respect des trois critères
de performance au serrage, notamment ceux concernant les rotations, ∆θ1min et ∆θ2min pour
la ductilité. Les boulons type HR n’ont pas de difficulté à atteindre les critères requis
bien que certains de ces critères soient plus exigeants que ceux pour le boulon type
HV.
Agenda

Rendez-vous 2010/201
Date Événement

20

Conférence 27-févr. City trip "London" de Foster + Partners

Conférence 3 et 5 mai International Codes of Practice in Structural Engineering

Conférence 3 et 5 mai International Codes of Practice in Structural Engineering

Conference on Structures and Architecture (ICSA 2010), orga-

Conférence 14-16 juillet
nised by the University of Minho

1st International conference on Structures and Architectures

Conférence 21-23 juillet
(ICSA2010)

Symposium septembre Annual Meeting and IABSE Symposium 2010

Colloque 8-10 septembre Stability and ductility of steel structures - SDSS Rio 2010

Symposium 20-22 septembre Steel structures : culture and sustainability 2010

Symposium 20-24 septembre ECCS Annual meetings and international symposium 2010

Symposium 15-17 décembre 13e international symposium on tubular structures

20

Symposium septembre Annual Meeting and IABSE Symposium 2011

16 Construction Métallique Informations

CMI N°6 – 2009
11
Lieu Contacts

10

Bruxelles, Belgique www.infosteel.be

Dubrovnik, Croatie

Dubrovnik, Croatie

Guimaraes, Portugal www.arquitectura.uminho.pt/icsa2010

Guimaraes, Portugal http://www.icsa2010.com

Venise, Italie

Rio, Brésil www.coc.ufrj.br/sdss2010

Istanbul, Turquie www.sscs2010.com

Istanbul, Turquie www.sscs2010.com

Hong-Kong, Chine www.hku.hk/civil/ISTS13

11

Londres, Angleterre

17
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations
 The software solution for design, detailing, manufacturing and erection

Structure

Grand'Rue 81  4560 Ocquier  BELGIUM - +32 86 34 91 91 - info@bocad.be bocad.be

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Architecte : Arnaud FOUGERAS-LAVERGNOLLE
www.smb-cm.fr
 Sur le terrain

Odysseum
Quand l’acier se prête au jeu
Ludique pour certains, grand huit de la fête foraine ou
circuit automobile pour d’autres, le parking Odysseum
de Montpellier fait la part belle aux interprétations.
La réalité est toute autre, celle d’un parking relais de
1 200 places au sein du complexe éponyme qui a une
double vocation commerciale et ludique.
circuits pour les piétons. Le parking Odys-
seum entre dans la catégorie des parkings
aériens en superstructure largement venti-
lés (PSLV).

« C’est l’architecture ludique de la
ZAC Odysseum et son ambiance
nocturne très Las Vegas qui est à
l’origine de ce projet original. Di-
rectement inspiré de l’univers du
super huit, il se déploie comme
un ruban, avec dynamisme. Au-
delà de ce parti pris architectural,
c’est un parking simple et lisible
mais aussi, rassurant et agréable
pour ses utilisateurs. Sa signalé-
tique renforce le concept du ruban
avec une graduation qui identifie
de façon unique l’avancement du
circuit. »
Jean-Luc Crochon, architecte,
Bullmann Crochon et associés.
© DR
Une architecture
contemporaine
Créé au cœur de l’espace familial et convi-
vial d’Odysseum, le parking s’inscrit parfai-
tement dans l’esprit ludique du lieu, voulu
par le maître d’ouvrage. Conçu par le cabi-
net d’architectes Brullmann - Crochon, ce
parking fonctionne en sens unique, avec
une entrée et une sortie disctinctes, pour
une meilleure gestion des flux. Particulière-
ment agréable pour l’usager du fait de sa
grande visibilité de tous les accès depuis
le poste de gardiennage, ce parking est
rassurant, clair et fonctionnel, disposant de
Un ouvrage audacieux
en temps limité
C’est le constructeur métallique Cabrol, en
collaboration avec l’entreprise Fondeville,
les bureaux d’études techniques Secim et
ECBA qui ont été retenus pour la réalisation
du parking Odysseum.
Grâce à ce groupement, il a été possible
de proposer lors de la consultation, une
solution économique en stabilisant l’en-
semble du parking sur les cages d’escalier
et ascenseur prévues en béton armé. Cette
solution a permis de réduire le coût global
de l’opération d’une façon significative.
Pour ces entreprises, il s’agissait là d’un
projet de parking très audacieux avec des
contraintes de planning très serrées, ce
qui impliquait évidemment des marges de
manœuvre très réduites.
Pour l’entreprise Cabrol, constructeur mé-
tallique qui a réalisé ce chantier en collabo-
ration étroite avec l’entreprise Fondeville
(cotraitante sur ce projet), cet ouvrage a
été placé sous une pression constante,
dès le début du projet, en mai 2008, et
tout au long de sa réalisation.
Qu’il s’agisse des phases relatives aux
calculs, aux plans, aux traçages, en pas-
sant par les commandes, les fabrications,
la peinture, jusqu’aux étapes de trans-
ports, de montage et de pose du bac, les
acteurs du projet ont dû exercer une vigi-
lance particulière pour que le planning ne
subisse aucun dérapage.

20 Construction Métallique Informations

CMI N°6 – 2009
Ainsi, les études, d’une durée de 10 mois,
se sont déroulées du mois de mai 2008
jusqu’en février 2009. Quant à la fabrica-
tion proprement dite, elle a commencé
en septembre 2008 pour s’achever en
mars 2009. Enfin, la phase de montage
qui a débuté en octobre 2008 s’est étalée
sur une période de 7 mois.
Stabilité au feu : une
approche exemplaire
© DR
Pour des problèmes de tenue au feu, les
profils utilisés ont une nuance d’acier en
S355JO. Le constructeur métallique a eu re-
cours à l’ingénierie Incendie par l’intermé-
diaire d’Efectis, afin de justifier cette struc-
ture au feu réel. (NDLR : voir article « Étude
d’ingénierie du comportement au feu sur
le parking silo Odysseum de Montpellier »
dans CMI n° 1-2009).
Cette structure a été conçue en prenant
comme trame « courante » :
• des entre-axes de poutres en HEA de 700
à 900 d’une longueur de 15,00 ml
• des entre-axes de solives de 4,70 ml en
IPE 600 ou HEA 500 d’une longueur de
15,10 ml
(Ces longueurs pouvant atteindre plus de Les intervenants
17,00 ml dans les virages).
• des entre-axes de solives caissons de Maîtrise d’ouvrage : SERM
1,60 ml fabriquées en PRS d’une lon- Maîtrise d’œuvre :
gueur variant de 15,00 à 21,00 ml dans • Brullmann Crochon
les virages les plus prononcés. et Associés architecte
• des poteaux en tube acier (diamètre : mandataire
355) avec des épaisseurs variant de 8 • Atelier Patrice Genet,
à 16 mm suivant leur hauteur et leurs architectes associés
charges. Ces charges peuvent atteindre • IOSIS Méditerranée,
jusqu’à 400 tonnes. ingénierie TCE
Ces derniers comportent des armatures bé- • C & E Ingénierie, BET
ton de diamètre 16, 20 ou 32 mm. Ils ont été structures
remplis de béton de type C30/37 et parfois • Arteba, Mission OPC
en C50/60 directement sur le chantier. • AB Ingénierie, Coordinateur
Afin d’avoir une structure fluide et élancée, SPS
des étaiements ont été mis en œuvre sous Entreprises
les solives, avant le coulage du plancher. • Cabrol/Fondeville,
Afin de pouvoir calculer cette structure en • Malet/Multitec,
mixte (acier-béton), des goujons de type Nel- • Sept Resine,
son ont été mis en œuvre sur les poutres, les • ID Metal,
solives et les solives-caissons. Ce travail, qui • AER Eiffage, Kone
a pour objectif d’assurer la protection anti-cor-
rosion de la structure métallique, a été réalisé
directement en atelier.
Les bacs de plancher mis en œuvre sont
de type Cofraplus 60 de chez Arval qui ont
été pré percés en usine. Il a été appliqué
une peinture garantie 5 ans clichés 7 en
prenant en compte les couleurs retenues
par la maîtrise d’œuvre à savoir :
• Gris RAL 9006 pour les poteaux, les tra-
verses et les chevêtres.
• Bleu RAL 5005 pour les solives et les
solives caissons.
Un projet découpé
en 18 zones
Afin de gérer le chantier et son planning, le
projet a été décomposé en 18 zones pour

Odysseum, un site commercial

et ludique
Référence à la mythologie grecque et à l’Odyssée de
l’espace, Odysseum revendique un nouveau
style urbain aux portes de Montpellier. Sur environ
50 hectares, Odysseum propose de nombreux
équipements ludiques (aquarium, planétarium,
cinéma, patinoire, mur d’escalade…) qui animent
le site aux côtés des restaurants et du centre
commercial.
La promotion de cette opération, de plus de
200 millions d’euros, a été réalisée par Icade, en
partenariat avec la Caisse d’Épargne Languedoc-
Roussillon et l’investissement, à part égale avec
Klépierre. Icade a également réalisé la commercialisation
des surfaces de vente et sera le gestionnaire unique du
centre commercial.
© Icade

21
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations
 Avec Scia Engineer, vous êtes prêts
pour le grand saut : le passage aux Eurocodes !

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Fonctionnalités Eurocode
• Charges climatiques 2D ou 3D (EC1)
• Vérification des éléments en section et flambement/déversement (EC3-1-1)
• Calcul de la résistance au feu (EC3-1-2)
• Profils minces (EC3-1-3)
• Classe 4 (EC3-1-5)
• Assemblages avec prise en compte de la semi-rigidité effective (EC3-1-8) Certificat d’évaluation
• Poutres alvéolaires (ArcelorMittal) n° DCM-09033-JCD/PC *
• Poutres et poteaux mixtes y compris la résistance au feu (EC4)
• Blocs de fondation (EC7)
• Calculs sismiques (EC8) Quelques références en France
• Aluminium (EC9)
Ateim, Baudin Chateauneuf, Berthold,
COGECI, Coyne & Bellier, CTICM, EGIS,
* Certificat d’évaluation par le CTICM concernant l’implémentation de l’EN1993-1-1,
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sa mise en œuvre. Chaque zone, montée
en simultané, représente 2 trames prin-
cipales sur 1, 2 ou 3 niveaux suivant les
endroits. Ceci a permis de libérer l’espace
pour le déroulement du chantier, et donc
pour la réalisation des autres tâches telles
que la pose des bacs de plancher et la
mise en œuvre des armatures.
© DR
Quelques chiffres :
La surface de bacs de
plancher mis en œuvre est de
22 500 m² environ.
L’ossature du parking à une
masse totale d’environ 1 900 t
Décomposée de la manière
suivante :
• 135 tonnes de poteaux,
• 465 tonnes de traverses,
• 840 tonnes de solives,
Les efforts horizontaux passent par effets • 370 tonnes de solives
de diaphragmes dans la dalle en bac colla- caissons,
borant mixte. C’est la raison pour laquelle • 90 tonnes de structures
il n’existe pas de systèmes de contreven- diverses telles que les
tement sous le plancher. Chaque bloc est butons, les chevêtres,
stabilisé contre les cages d’escalier en • 100 000 goujons Nelson.
béton armé, par l’intermédiaire de butons.
C’est d’ailleurs pour cela qu’il n’y a pas de
stabilité verticale.

Le phasage du chantier
Pour des raisons de montage, le parking
Odysseum a été décomposé en quatre
blocs principaux qui se joignent en files 3
et 8 sur lesquels se trouvent les joints de
dilatation.
© DR

Odysseum vu par Philippe Marcon, International Programs

Manager – ArcelorMittal
CMI : Que représente pour vous cet ouvrage ?
Philippe Marcon : C’est une superbe vitrine faite à l’acier, avec une grande originalité
architecturale, une structure très audacieuse et cette forme spiralée extraordinaire. Au-delà
de cette réussite esthétique, il faut saluer également ce changement culturel qui met en
exergue le parking aérien en superstructure largement ventilé. Il faut aussi souligner le travail
important réalisé en matière d’ingénierie incendie, sans lequel ce type d’ouvrage n’aurait pas
trouvé une place aussi belle.

CMI : Quels avantages présente un parking type Odysseum par rapport aux
parkings enterrés ?
Philippe Marcon : D’un point de vue économique tout d’abord, un parking aérien
comme Odysseum est d’un coût inférieur de 50 à 60 % et la maintenance qu’il nécessite
est limitée, du fait de la peinture appliquée sur des supports qui sont galvanisés. En termes
de développement durable, ils ne nécessitent que très peu d’énergie puisqu’il n’y a pas
d’éclairage grâce à la lumière du jour et que l’ouvrage n’a pas besoin d’être climatisé.
Pour les usagers de ces parkings, l’accès est facilité car ces ouvrages aériens sont, par
définition, une signalétique forte dans le paysage. Et, sur le plan sécuritaire, leur ouverture
sur l’extérieur constitue un élément tout à fait rassurant.

CMI : Quel a été votre rôle dans ce projet ?

Philippe Marcon : Nous avons collaboré de façon très étroite, en intervenant en amont
du projet, en accompagnant sa mise en œuvre, en validant les choix, en apportant notre
expertise pour la viabilité économique. Qu’il s’agisse de parkings comme Odysseum ou
d’autres comme celui de l’île de Nantes ou celui de Toulouse Blagnac actuellement en cours,
nous entendons jouer un rôle très actif pour faire avancer ce concept. Les constructeurs
métalliques deviennent ainsi des partenaires majeurs et, en prenant l’opération dans le
macro-lot, elles peuvent répondre de manière globale. C’est aussi une superbe occasion de
valoriser leur savoir-faire.

23
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations
 Publications

Revue Construction
Métallique
LIQUE
REVUE

TION MÉTAL
CONSTRUC
CONST RUCTI

Sommaire du numéro 3-2009
ON MÉTA
LLIQU
E N° 3/200

• Articles
9

J. Berthellemy, O. Hechler, W. Lorenc, G. Seidi, E. Viefhues

Présentation du projet de recherche européen Precobeam de connexion par découpe
d’une tôle
PO. Martin, H. Degee, J. Naumes
Proposition d’une formulation améliorée pour le calcul de la partie efficace d’une sec-
tion raidie longitudinalement
N° 3/2009

• Technique et application
3
D. Clavaud
Exemple de détermination du coefficient d’orographie et de l’influence des ouvertures
-8198
ISSN 0045

sur un batiment selon l’EN 1991-1-4

Votre bibliothèque
ASCAP - CAPACITÉS D’ASSEMBLAGES
Collection « les guides Ascap » - CTICM – 2007
• volume 1 - Assemblages de continuité de poutres réalisés par platines d’about est le pre-
mier ouvrage de la collection « les guides Ascap » présenté par le CTICM. Les différents
volumes de cette collection traitent de la justification des assemblages selon les normes
Eurocodes (EN 1993-1-8). Le lecteur y trouvera un recueil succinct mais précis des prin-
cipes de calcul, suivi d’un ensemble de tables de dimensionnement très détaillées. Le
CD-Rom permet de retrouver les résultats des tables et de les compléter par d’autres
configurations moins usuelles. ISBN 978-2-902720-30-9.
• volume 2 - Encastrements de poutres sur poteaux réalisés par platines d’about – ISBN
Prix de vente au volume : 60 e/TTC 978-2-902720-32-3.
Prix de vente volume 1 + 2 : Titres à paraître :
100 e/TTC • volume 3 - Assemblages articulés de poutres réalisés par double cornière (2010).
Frais de port : 4 e/TTC

Réglementation thermique des bâtiments neufs  

(guide construction métallique)
Collection FFB
Ce guide, destiné aux professionnels du bâtiment qui interviennent sur les constructions
neuves, résidentielles et tertiaires, est un document d’étape ; il reprend les exigences de la
réglementation thermique en vigueur (RT 2005) qui visent à améliorer la performance éner-
gétique des bâtiments neufs. Les informations données doivent être considérées comme
Prix de
la base minimale de réalisation des ouvrages dans la mesure où ces exigences seront
vente :
considérablement renforcées par les décisions résultant du Grenelle de l’Environnement et
18 e/TTC
dont la première date emblématique est 2012.
Frais de
Cet ouvrage est réalisé dans le cadre du programme Recherche Développement Métier de la
port :
FFB, avec le soutien de l’ADEME. Il résulte de la collaboration entre la Fédération Française du
4 e/TTC
Bâtiment (FFB) et le Centre Technique de la Construction Métallique (CTICM).

24 Construction Métallique Informations

CMI N°6 – 2009
La galvanisation – conseils pratiques.
Collection recherche développement métier- Union des Métalliers, Galvazinc- Edition
SEBTP ; 42 pages, novembre 2008
Prix de vente :
Ce carnet d’atelier recense les exigences à respecter pour la conception et la fabrication
6,63 e/HT
d’ouvrages en acier galvanisé à chaud.
Disponible auprès
La galvanisation est un revêtement de surface métallique qui a pour objectif de protéger
de la FFB ou de
l’acier de la corrosion.
Galvazinc
L’aspect obtenu est également recherché comme finition par les architectes.
Du choix des aciers à la retouche des pièces après galvanisation, les bonnes pratiques
sont présentées de manière chronologique et s’organisent en 13 fiches thématiques.
Chacune d’entre elles rappelle l’origine des défauts constatés, les règles de base à
respecter et la (ou les) solution(s) préconisée(s) en bureau d’études ou en atelier.
ISBN 978-2-915162-94-3

Frais de port :
COMBRI – Guide de conception 8 e/TTC
Ce guide traite de la conception et du calcul des ponts métalliques et mixtes suivant les nou-
velles normes Eurocodes. Résultat du projet de recherche européen COMBRI et du projet de
valorisation COMBRI+ associé, tous deux partiellement financés par le Fonds de Recherche
pour le Charbon et l’Acier de la Communauté Européenne, il présente l’état de connaissance
actuel et propose des voies d’amélioration de la compétitivité des ponts métalliques et mixtes.
Il est constitué en deux parties : la première montre l’application des Eurocodes aux cas de deux
ponts mixtes et la seconde dresse un panorama des pratiques en cours dans différents pays
européens et propose des améliorations possibles de la conception.
Ce guide est gratuit (hors frais de port). Il est aussi disponible sous forme de fichier « pdf »
sur le site internet www.cticm.com.

L’acier et le développement durable dans les bâtiments résidentiels

La notion de construction durable n’est pas uniquement associée au choix des matériaux. Elle
tient en grande partie aux progrès des méthodes de construction, à l’amélioration de la perfor-
mance des bâtiments en service, et inclut les aspects liés à la rénovation et à la fin de vie. Frais de port :
Cette publication illustre les réponses de la construction métallique aux exigences du 4 e/TTC
développement durable, appliquées au secteur du résidentiel. À travers un panorama euro-
péen de projets récents, elle présente des exemples d’évaluations environnementales de
constructions faisant appel à l’acier. L’acier et le dév
dans les bâtimen
eloppement dura
ts résidentiels
ble

Ce guide est gratuit (hors frais de port : 4 € TTC). Il est également téléchargeable gracieus-
Une perspectiv
e européenne

ment sur le site www.cticm.com.

Nouveau guide de conception et de mise en œuvre des garde-corps

édité par l’Union des Métalliers et ConstruirAcier
Plus qu’une mise à jour du précédent guide édité en 2001, cet ouvrage prend en compte l’en-
semble des évolutions du contexte normatif et règlementaire applicable aux garde-corps. Il four-
Prix de vente :
nit les informations nécessaires à leur conception, leur dimensionnement et leur mise en œuvre
28 e/TTC
dans trois parties distinctes selon la destination des ouvrages : garde-corps accessibles au
À commander à
public (bâtiments d’habitation, bureaux, commerces, ERP…), garde-corps industriels et garde-
ConstruirAcier
corps installés sur les tribunes et les stades. En annexe, le guide aborde aussi les rambardes
des ponts et ouvrages d’art, ainsi que les barrières de protection des piscines.

Structures métalliques – Ouvrages simples  

Capeb, CTICM, Otua – ISBN 2-7258-0006-4
La CAPEB, le CTICM et l’OTUA se sont associés pour présenter cette seconde édition
de « Structures Métalliques – Ouvrages simples ». Par rapport à l’édition de 1991, cette
version a été entièrement transposée en fonction des normes européennes (normes de
produits, Eurocodes). De plus, la présentation aborde, au-delà des éléments individuels, la
conception et le prédimensionnement de petits ouvrages de bâtiment, en alternant explica- Prix de vente :
tions et exemples. Des tables de prédimensionnement d’éléments comprimés ou fléchis 35 e/TTC
figurent en annexe. D’une présentation aérée, illustré de nombreux schémas, cet ouvrage Frais de port :
de 100 pages est en vente au CTICM. 4 e/TTC

25
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations
 Formation
Vos formations
au cticm en février
et mars 2010
Ces stages sont 7-02 EC0 – EC1 Bases
issus des cycles :
de calcul et actions sur
Maîtriser les Eurocodes les structures - Du 2 au
Étude d’un bâtiment 4 février 2010
industriel selon les eurocodes Objectif
Réaliser les ouvrages À l’issue de cette formation, les participants
en acier connaissent les bases de calcul des struc-
tures développées dans l’EN 1990 telles
Concevoir en charpente que les états limites (ELU, ELS), les classi-
métallique fications et combinaisons des actions ainsi
que les coefficients partiels de sécurité.
Ils sont capables de déterminer les ac-
tions appliquées sur les structures définies
dans l’Eurocode 1 : poids volumique, poids
propre, charges d’exploitation, structures
exposées au feu, charges de neige et ac-
tions du vent (statiques et dynamiques).
Ce stage aborde tout type de structure trai-
tée dans la partie 1-4 (Actions du vent) de
l’Eurocode 1: bâtiments simples, bâtiments
de grande hauteur, toitures isolées, struc-
tures en treillis,… Les actions du vent sur
les ponts n’y sont pas présentées.
Les exemples d’application types permet-
tent de s’approprier ces règles de calcul.
Public
Niveaux I à III
Ingénieurs, techniciens confirmés et cadres
de bureaux d’études.
Pré-requis
La pratique des règles NV 65 et N 84 est
souhaitable.
Programme
1. Eurocode 1990 : EN 1990 bases de
calcul des structures
Introduction aux Eurocodes
Définition ELU, ELS
Classification des actions
Coefficients partiels de sécurité
Combinaisons des actions
2. Eurocode 1 : EN 1991 actions sur les
structures
Partie 1.1 – Poids volumique – Poids propre
– Charges d’exploitation
Partie 1.2 – Actions sur les structures
26 Construction Métallique Informations
CMI N°6 – 2009
exposées au feu
• Actions thermiques
• Actions mécaniques
Partie 1.3 – Charges de neige
• Charges de neige au sol
• Charges de neige sur les toitures
Partie 1.4 – Actions du vent
• Vent de référence
• Paramètres du vent
• Pressions sur les parois
• Forces exercées par le vent
• Coefficients aérodynamiques
• Coefficient dynamique de réponse aux
rafales
méthode simplifiée
méthode détaillée
6.01 Actions –
Analyse globale – Du
23 au 25 février 2010
Objectif
Au cours de ce module, les participants dé-
terminent avec les Eurocodes les actions
appliquées sur un bâtiment, les combinent
et effectuent l’analyse globale (ELS et ELU).
À l’issue de ce module, les stagiaires peu-
vent mesurer les connaissances acquises
par le biais d’un Q.C.M.
Le stage intègre la prise en compte des
annexes nationales des différents EN
abordés.
Public
Niveau I à III
Tout personnel chargé de l’établissement
des notes de calculs de bâtiments.
Pré-requis
Une expérience réelle de la rédaction de
notes de calculs de bâtiments,
selon les règles précédentes (CM 66, Addi-
tif 80, NF…), est requise.
Programme
1. Présentation du bâtiment étudié
2. Détermination des actions (EN1991)
Charges permanentes
Charges d’exploitation
Charges climatiques (neige, vent)
3. Combinaisons d’actions (EN 1990)
4. Analyse globale (EN 1993)
Choix de l’analyse
Imperfections
5. Q.C.M.
3-01 L’exécution des
ouvrages en acier et la
norme EN 1090-2 - 9 et
10 mars 2010 et 14 et
15 septembre 2010
Objectif
La norme EN 1090-2 a modifié le référen-
tiel français pour l’exécution des ouvrages
métalliques : elle remplace l’ensemble des
normes d’exécution actuelles. Un seul do-
cument traite de tous les aspects de l’exé-
cution depuis les spécifications de produits
jusqu’au montage, en passant par les ap-
provisionnements, les opérations de débit,
d’assemblage par boulonnage et soudage,
de traitement de surface, y compris les
contrôles. Elle sert également de socle au
fascicule 66 du CCTG pour les marchés pu-
blics comme au nouveau livret 2.32 de la
SNCF.
La norme EN 1090-2 implique également
les maîtres d’ouvrage/maîtres d’œuvre par
des choix préliminaires à exercer et des
options à prendre lors de la rédaction des
CCTP.
Ce stage s’adresse aux différentes fonc-
tions de l’entreprise de construction métal-
lique concernées (y compris les études, la
qualité), aux contrôleurs techniques et aux
prescripteurs.
Public
Niveau I, II,III
Ingénieurs ou techniciens supérieurs d’en-
treprises (fabrication ou études, services
qualité…), bureaux d’études, maîtres
d’œuvre, maîtres d’ouvrage.
Pré-requis
Connaissances générales en charpente,
ou pratique de la rédaction de cahiers des
charges.
Programme
1. Contexte général
Le paysage normatif français
Domaine d’application
Liaison avec les Eurocodes
Mandat M120 de la directive produits de
construction - Liaison avec l’EN 1090-1
2. Les nouvelles approches
Classes d’exécution
Tolérances
3. Les nouveautés
Qualité
Matériaux et Produits
Montage
Traitements de surface
4. Les sujets en évolution
Préparation (débit/perçage)
Soudage
Fixations mécaniques
Contrôles
2-01 Initiation à la
construction métallique
de bâtiment - Systèmes
constructifs et
matériaux - 15 et 16
mars 2010
Objectif
Ce stage a pour objectif de faire connaitre
et appréhender les technologies courantes
utilisées en construction métallique de
bâtiment.
À l’issue de ce stage, les participants ont
acquis des connaissances générales sur :
- les principes de base de la conception et
de la stabilité des ossatures en acier,
- les systèmes constructifs courants de bar-
dage et de couverture,
- les systèmes usuels de protection vis-à-vis
de la corrosion et de l’incendie.
Public
Niveau III et IV
Architectes, ingénieurs et techniciens dans
des spécialités autres que la construction
métallique,
cadres de bureau d’étude ou de bureau de
contrôle.
Ingénieurs et techniciens débutants ou
ayant une première expérience en construc-
tion métallique.
Pré-requis
Connaissances de base en résistance des
matériaux.
Connaissances générales en bâtiment.
1 Le matériau acier
Élaboration et types de produits
Caractéristiques physiques et mécaniques
Références normatives et marquage CE
Critères de choix des aciers de construction
2. Les critères de conception générale
d’une ossature métallique
Les exigences essentielles
Les critères de conception structurelle
Les éléments constitutifs
3. Les principes généraux de stabilité des
ossatures
Systèmes de bases et types de stabilité
Notions de résistance des matériaux adap-
tées à la construction métallique
Principes fondamentaux et circulation des
efforts
4. La protection incendie
27
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations
 le premier ouvrage de la collection « les guides Ascap » présenté
le CTICM. Les différents volumes de cette collection traitent de la
fication des assemblages selon les normes Eurocodes (EN 1993-1-8).
lecteur y trouvera un recueil succinct mais précis des principes
calcul, suivi d’un ensemble de tables de dimensionnement très
aillées. Le CD-Rom permet de retrouver les résultats des tables et de
compléter par d’autres configurations moins usuelles. « Assemblages
continuité de poutres réalisés par platines d’about » est le premier
rage de la collection « les guides Ascap » présenté par le CTICM.
différents volumes de cette collection traitent de la justification des
emblages selon les normes Eurocodes (EN 1993-1-8). Le lecteur y
vera un recueil succinct mais précis des principes de calcul, suivi
n ensemble de tables de dimensionnement très détaillées. Le CD-
m permet de retrouver les résultats des tables et de les compléter
d’autres configurations moins usuelles. « Assemblages de continuité
poutres réalisés par platines d’about » est le premier ouvrage de la
ection « les guides Ascap » présenté par le CTICM. Les différents
umes de cette collection traitent de la justification des assemblages
on les normes Eurocodes (EN 1993-1-8). Le lecteur y trouvera un
ueil succinct mais précis des principes de calcul, suivi d’un ensemble
tables de dimensionnement très détaillées. Le CD-Rom permet
retrouver les résultats des tables et de les compléter par d’autres
figurations moins usuelles. « Assemblages de continuité de poutres
isés par platines d’about » est le premier ouvrage de la collection
s guides Ascap » présenté par le CTICM. Les différents volumes
cette collection traitent de la justification des assemblages selon
normes Eurocodes (EN 1993-1-8). Le lecteur y trouvera un recueil
cinct mais précis des principes de calcul, suivi d’un ensemble de
es de dimensionnement très détaillées. Le CD-Rom permet de
ouver les résultats des tables et de les compléter par d’autres

LES GUIDES ASCAP

figurations moins usuelles. « Assemblages de continuité de poutres
isés par platines d’about » est le premier ouvrage de la collection
s guides Ascap » présenté par le CTICM. Les différents volumes
cette collection traitent de la justification des assemblages selon
normes Eurocodes (EN 1993-1-8). Le lecteur y trouvera un recueil
( Capacité d’assemblages)
cinct mais précis des principes de calcul, suivi d’un ensemble de
es de dimensionnement très détaillées. Le CD-Rom permet de
ouver les résultats des tables et de les compléter par d’autres
figurations moins usuelles. « Assemblages de continuité de poutres
BON DE COMMANDE
isés par platines d’about » est le premier ouvrage de la collection
s guides Ascap » présenté par le CTICM. Les différents volumes
cette collection traitent de la justification des assemblages selon
normes Eurocodes (EN 1993-1-8). Le lecteur y trouvera un recueil
VOTRE COMMANDE
cinct mais précis des principes de calcul, suivi d’un ensemble de
es de dimensionnement très détaillées. Le CD-Rom permet de
ouver les résultats des tables et de les compléter par d’autres
Titres
figurations moinsparus
usuelles.: « Assemblages de continuité de poutres Volume quantité prix unitaire prix total
isés par platines d’about » est le premier ouvrage de la collection volume 1 60 € TTC
volume 1- Assemblage de conti-
s guides Ascap » présenté par le CTICM. Les différents volumes
cette nuité
collectionde poutres
traitent réalisés
de la justification par
des assemblages selon volume 2 60 € TTC
normesplatine
Eurocodesd’about.
(EN 1993-1-8). Le lecteur y trouvera un recueil
cinctvolume
volume 3 60 € TTC
2- principes
mais précis des Encastrements
de calcul, suivi d’undeensemble de
es de dimensionnement très détaillées. Le CD-Rom permet de
poutres sur poteaux réalisés par volume 1 + 2 100 € TTC
ouver les résultats des tables et de les compléter par d’autres
platines
figurations d’about.
moins usuelles. « Assemblages de continuité de poutres volume 1 + 2 + 3 120 € TTC
isés par platines d’about » est le premier ouvrage de la collection Total TTC
Titres
s guides Ascapà» paraitre
présenté par le:CTICM. Les différents volumes
cette collection traitent de la justification des assemblages selon Emballage + frais de port 4 € TTC
volume 3- Assemblages articulés
normes Eurocodes (EN 1993-1-8). Le lecteur y trouvera un recueil
cinctde maispoutres réalisés
précis des principes parsuivi
de calcul, double
d’un ensemble de
Total de votre commande
es cornière.(2 e
de dimensionnement semestre
très détaillées. 2009)
Le CD-Rom permet de
ouver les résultats des tables et de les compléter par d’autres
figurations moins usuelles. « Assemblages de continuité de poutres
isés par platines d’about » est le premier ouvrage de la collection
s guides Ascap » présenté par le CTICM. Les différents volumes
VOS COORDONNÉES
cette collection traitent de la justification des assemblages selon Nom :...........................................Prénom : ..................................................
normes Eurocodes (EN 1993-1-8). Le lecteur y trouvera un recueil Raison sociale de votre société :....................................................................
cinct mais précis des principes de calcul, suivi d’un ensemble de
es Á de retourner
dimensionnementaccompagné
très détaillées. de votre permet de
Le CD-Rom Adresse :........................................................................................................
ouver réglement partables
les résultats des chèque
et de lesà compléter
l’ordre par d’autres
.......................................................................................................................
du CTICM:
figurations moins usuelles. « Assemblages de continuité de poutres
isés par platines d’about » est le premier ouvrage de la collection .......................................................................................................................
s guides Ascap » présenté par le CTICM. Les différents volumes
cette collection traitent deCTICM la justification des assemblages selon .......................................................................................................................
normes Eurocodesservice publications
(EN 1993-1-8). Le lecteur y trouvera un recueil Code Postal :.......................Ville :..................................................................
Espace
cinct mais précis technologique
des principes de calcul, suivi d’un ensemble de
es de dimensionnement très détaillées. Le CD-Rom permet de Pays :.............................................................................................................
L’orme des merisiers
ouver les résultats des tables et de les compléter par d’autres
figurations moins Immeuble Apollo de continuité de poutres
usuelles. « Assemblages
isés par platines 91193 Saint-Aubin
d’about » est le premier ouvrage de la collection Adresse de facturation (si différente) :...........................................................
s guides Ascap » présenté par le CTICM. Les différents volumes
.......................................................................................................................
cette collection traitent de la justification des assemblages selon
normes Eurocodes (EN 1993-1-8). Le lecteur y trouvera un recueil .......................................................................................................................
cinct mais précis des principes de calcul, suivi d’un ensemble de
es de dimensionnement très détaillées. Le CD-Rom permet de Conditions générales de ventes disponibles sur le site www.cticm.com ou sur simple de-
ouver les résultats des tables et de les compléter par d’autres mande à publication@cticm.com
figurations moins usuelles. « Assemblages de continuité de poutres
isés par platines d’about » est le premier ouvrage de la collection « les
Le comportement au feu des aciers Terminologie et spécificités
Les systèmes de protection des structures Principes de conception
en aciers Détails constructifs
5. L’enveloppe du bâtiment 4. Les Systèmes en treillis
La physique du bâtiment  : confort ther- Types de treillis
mique et acoustique Exigences et critères de conception
Les systèmes courants de bardage et de Assemblages
couverture Comportement mécanique et stabilité
6. La construction mixte acier-béton 5. Empannage et ossatures secondaires Le nouveau
Les constructions mixtes dans les Types de pannes catalogue
bâtiments Critères de conception et définition des
7. La prévention de la corrosion actions Formations 2010
Le phénomène et les paramètres Eléments secondaires et assemblages du CTICM est
d’environnement 6. Pathologie téléchargeable sur
Les catégories de corrosivité Analyses de la pathologie
Les moyens de protection Présentation des causes et conséquences
notre site internet :
sur des cas courants www.cticm.com.
2-02 La conception
d’une ossature en acier 2-03 Spécificités

2010 du CTICM
de conception d’une

Catalogue formation
de bâtiment - 17 et 18
mars 2010 ossature en acier de S’informer
2010

er
Concevoir en charpent

con stru ire en aci

bâtiment - 19 mars Réaliser les ouvrages e métallique
Crédit photogra
métallique : Charondphique catalogu
e
d’architecture ière. P. 5 Institutformation 2010 : P. 4 Lycée
de d’études avancée Marcel Sembat
Workshop, CRB Nantes, maitre d’œuvre:
Collège des BernardiArchitectes, charpent
complexe aquatiqu ns (Paris), architecte
e métallique
SMB.
s à
Locaton Vassal, Nantes, maitre d’œuvre:
charpente métalliqu
de la restaurat P. 8 Nouvelle gare d’Orléan
à Sotteville-lès-Rou
FGP(a) ; Ateliersen, maitre d’œuvre: archi5
e : Ateliers David.. David. © Willy et archi5pro
en acier
Construire et gérer dura
e de Chartres P. 7 Salle 3000 Berré. P. 6 Ecole nationaled, charpente

Calculer simplement blement

Jean-François ion
Plaze, charpent , architecte : Jean-François : Hervé Batispte, travaux s, architectes : Arep, charpentà Lyon, maitres d’œuvre:

Objectif
supérieure
Beauvoir, architect e métallique Plaze, charpent neufs : Jean-Mic e métallique Renzo Piano,
Landowski, Arcelor.e Feichtinger Architectes, Renaudat.. P. 12 Le Phare e métallique Renauda hel Wilmotte ACML (groupe
t.. P. 11 L’odyssé , charpente métallique Acma. Fayat). P. 9
du bâtiment :Eiffel, P. 15 © Andrei Merkuloventreprises : Eiffel/ Solétanc à Chambéry,
Vasconi Associés © Nicolas Borel. P. 17 - Fotolia.com.
construc
he Bachy / Joseph tion métallique : Gagne
e, complexe aquatiqu
e
P. 10 L’odyssé
et Laubeuf. P. de Chartres, architecte :
e,
om une structure en acier
m.c

2010
sports de ToulouseArchitectes, charpente
DR CTICM. P. P. 16 Docks en Seine, Cité
métalliqu 18 © Andrei
Paris. P. 14 Logemen
de la mode et ts sociaux à Evreux, 13 Passerelle
Simone de Étude d’un bâtiment
tic
Merkulov
métallique Waltefau, construction métalliqu e : Serin & Fils. - du design, architectes :
indu
Maîtriser les eurocode striel selon les eurocodes
e: P. 21 DR CTICM.Fotolia.com. P. 19 DR CTICM. Jakob + Mac Farlane Dubosc et

ue
lès-Rouen, maitre gle. P. 25 Hangar RégionalSMB . P. ME : Marc Mimram

w.c
P. 22 La géode P. 20 Lycée Galliéni architectes, envelopp

En complément du 2-01, ce stage a pour ob- talliq 83 74

28Grande Halle d’œuvre: (fi liale d’Aire architect e et bet (Paris) de Marseille , charpente métalliqu à Toulouse e
archi5 et archi5pro France), aéroport ,architectes :

ww n Mé : 01 60 13
A architectes, d’Arles, architectes : Moati-Riv d, charpente métalliqu ©Renaudat.
charpente métalliqu iere
e : Gagne SAS. ©Michel Denancé, Viry
de Lille, P. e : Auer.
e : Charondière.charpente métallique : Couturie24 Peugeot PSA N30 à P. 23 palais des
s
uctio83 00 - Fax
32 DR CTICM. Poissy,
Kisho Kurokaw P. 33 Piscine patinoire Pailleron P. 30 Cité de
P. 27 Sytevom
(mandataire)/Bouis
la voile à Lorient,
r. P. 26 Lycée
, Noidans le Ferroux, Marcel Sembat charpente
à Sotteville Maîtriser le risque incen
onstr 01 60 13
a, construction se CMBC. P. charpente métalliqu
métallique : Viry , architecte Marc Mimram, e Waltefaugle. -
métallique : Charond
Gaubin - placoplat ière. P. 36 Arcadium France SA.
à Nancy, architectP. 35 Lycée Marcel Sembat
architectes : Jacques
structure métallique : Viry Ferrier
29 Arcadium
architecture,
à Nancy, architect
structure es : Agence Futur P.
C die
e la bin Té
re à Vaujours France et
Waltefaugle. es : Agence à Sotteville-lès-Rou SA. P. 34 Japan Bridge métallique Ateliers David. l. :

jectif la maitrise des principes constructifs

, architecte

iel d 93 Saint-Au
P. 40 Monume
architectes : Claude nt 2008 « l’acier Bovis Harmonic Architect Futur et A architectes, charpent en, maitre d’œuvre: Paris-la-Défense, P.
s’expose au Grand e, charpente archi5 et archi5pro architecte

dutimsentrt Apollo – 911

Paul Vincent, Vasconi & Partners
, construction Palais » : Promena métallique Waltefau e métallique : Gagne d, charpent
construction métalliqu SAS. P. 37 rien.
e : Viry France métallique : Viry France de, sculpture gle. P. 39 chemin P. 38 Usine Saint-e

uerisIn
SA. P. 42 Centre Richard Serra.. P. 41 Verrière de roulement
SA. P. 43 Sytevom © charpente
, Noidans le Ferroux, culturel Jean-Ma de la place de métallique

niq
charpente métalliqu rie Tjibaou à Nouméa la gare
– Bâ
, architectes renzoà Amiens,
ch iers
e Waltefaugle.
e
P. 44/45/46 : Piano et
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Me

Objectif
DR CTICM

des ossatures métalliques et/ou mixtes. tre ue –

couv_catalogue_201 rme

Cen
0_2.indd 1 L’O
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À l’issue de ce stage, les participants ont En complément des formations 2-01 et

acquis les connaissances nécessaires à 2-02, ce stage a pour objectif la maitrise 26/11/09 10:51

une conception saine d’une structure en de la conception des assemblages d’une

acier de technicité courante : ossature métallique et la connaissance des Vous pouvez
- les systèmes constructifs d’ossatures en dispositions constructives particulières au également vous  
acier et de planchers mixtes acier-béton, risque sismique.
- le rôle et les principes du comportement À l’issue de ce stage, les participants sont
le procurer  
structurel des éléments principaux et se- capables : gracieusement 
condaires de ces ossatures. - de concevoir les détails constructifs spéci- auprès de notre
Les conséquences de défauts de conception fiques aux assemblages des ossatures en service formation :  
ou d’analyse sont également examinées. acier,
Public - d’appréhender la conception générale des 01 60 13 83 07
Niveau II et III structures en acier en zone sismique.
Architectes, ingénieurs et techniciens de Public
bureau d’études ou de bureau de contrôle. Ingénieurs, techniciens confirmés et cadres
Pré-requis de bureaux d’études.
Des connaissances de base en résistance Pré-requis
des matériaux sont nécessaires. Connaissances de base en résistance des
Avoir suivi le 2-01 ou avoir les connais- matériaux.
sances équivalentes. Avoir suivi les stages 2-01 et 2-02 ou avoir
Programme les connaissances équivalentes.
1. Les systèmes par portiques Programme
Types de portiques 1. Conception des Assemblages
Conception structurale et modes Les différentes catégories d’assemblages
d’instabilité Produits de boulonnerie
Limites de déplacement et aptitude en Métallurgie et généralités sur le soudage et
service le contrôle des soudures
Principes d’assemblages Principes de conception et de vérification
2. Conception des planchers Dispositions constructives des pieds de
Définitions et fonctions poteaux
Planchers métalliques 2. Conception parasismique
Planchers mixtes acier-béton Approche réglementaire
Planchers à poutrelles intégrées Comportement des ouvrages
Planchers secs avec platelage léger Règles générales de conception
3. Chemin de roulement parasismique

29
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations
Co

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L’ACIER
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préserver les matières premières

optimiser l’exploitation de l’espace
maîtriser la consommation énergétique
construire vite et propre
harmoniser architecture et environnement

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qui font la performance des entreprises de construction métallique.

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comprendre les enjeux du développement durable
réduire les émissions de gaz à effet de serre
répondre aux cibles de la démarche HQE
maîtriser le comportement énergétique
assurer la durabilité de vos constructions
optimiser votre approche économique
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évaluation Bilan CarboneTM
études thermiques et énergies renouvelables
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Espace technologique - L’orme des merisiers - Im m e u b l e A p o l l o - 91193 Saint-Aubin
Contact service développement durable, tél.: 01 60 13 83 70 - sdd@cticm.com
www.cticm.com
Structures dissipatives et exigences Programme
essentielles. 1. Présentation générale et mise en appli-
cation des Eurocodes
6.02 Résistance Les différentes parties de l’Eurocode 3 et
les Annexes Nationales
des sections et des 2. Matériaux
Propriétés des matériaux
éléments - Du 23 au 25 Rupture fragile
mars 2010 3. Etats Limites de Service
Flèches
Objectif Vibrations
Au cours de ce module, les participants vé- 4. Etats Limites Ultimes
rifient selon les Eurocodes les sections et Principes généraux
les éléments selon la norme Analyse structurale
EN 1993-1-1 et son annexe nationale. Résistance des sections et des barres
À l’issue de ce module, les stagiaires peu- Flambement, déversement, voilement
vent mesurer les connaissances acquises 5. Calcul des assemblages
par le biais d’un Q.C.M. Assemblages boulonnés
Public Assemblages soudés
Niveau I à III Pieds de poteaux
Tout personnel chargé de l’établissement 6. Calcul du comportement au feu
des notes de calculs de bâtiments.
Pré-requis
Une expérience réelle de la rédaction de
notes de calculs de bâtiments, selon les
règles précédentes (CM 66, Additif 80,
NF…), est requise.
Programme
1. Correction du Q.C.M. du module 6.01
ELS
2. Vérification des sections
Classification
Résistance (sollicitations simples et
interactions)
3. Vérification des éléments
Résistance
Instabilités (flambement simple, déverse-
ment simple, flambement déversement).
4. Q.C.M.

7.01 Introduction à
l’Eurocode 3- 29 mars
2010
Objectif
Les objectifs de ce module sont :
- d’appréhender le contenu des principales
parties de l’EN 1993 et l’esprit des nou-
velles règles,
- d’acquérir des notions sur les différentes
vérifications aux Etats Limites de Service
(ELS) et aux Etats Limites Ultimes (ELU).
Ce stage, indépendant des autres modules
du cycle, vise à donner une connaissance
synthétique de l’Eurocode 3.
Public
Niveaux I et II
Ingénieurs, techniciens confirmés et cadres
de bureaux d’études.
Pré-requis
Maîtrise du calcul des structures
métalliques.

31
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations

CONSTRUCTION MÉTALLIQUE
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Recherche, calcul et conception,
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Abonnement 2010 France* 149 € TTC
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Conditions générales de ventes disponibles sur le site www.cticm.com ou sur simple
demande à publication@cticm.com
 Assistance technique
Assistance téléphonique
L’assistance technique contribue à faciliter et encourager le choix des solutions métalliques,
et permet aux praticiens d’obtenir des réponses concrètes à leurs interrogations au quotidien.
Elle est délivrée aux constructeurs métalliques mais également à l’ensemble des acteurs
du secteur de la construction métallique.
Il s’agit généralement de conseils ou renseignements ne nécessitant pas d’études appro-
fondies, et qui sont donc donnés à titre gratuit.
Dans le cas où la demande d’assistance nécessite une étude particulière de plus longue
durée, un devis est alors proposé dans le cadre des prestations d’ingénierie et de conseil.

Contacts construction
métallique et mixte
Thèmes Contacts Téléphone Courriel
NORMALISATION
Eurocodes : statut, avancement Jean-Pierre Pescatore 01 60 13 83 19 jpescatore@cticm.com
Réglementation et normalisation française Jean-Pierre Pescatore 01 60 13 83 19 jpescatore@cticm.com
CONSTRUCTION MÉTALLIQUE - GÉNÉRALITÉS
Analyse globale des structures Yvan Galéa 01 60 13 83 72 ygalea@cticm.com
Assemblages Ivor Ryan 01 60 13 83 58 iryan@cticm.com
Dynamique des structures. Comportement
Bruno Chabrolin 01 60 13 83 05 bchabrolin@cticm.com
des structures soumises au séisme
Exécution des structures métalliques : fabri-
Jean-Pierre Pescatore 01 60 13 83 19 jpescatore@cticm.com
cation, montage, tolérances
Fatigue Mladen Luki 01 60 13 83 68 mlukic@cticm.com
Justification du comportement (à froid) des
Daniel Bitar 01 60 13 83 38 dbitar@cticm.com
structures par l’expérimentation
Logiciels utilisés en CM Jean-Claude Delongueville 01 60 13 83 42 jcdelongueville@cticm.com
Rupture fragile Bruno Chabrolin 01 60 13 83 05 bchabrolin@cticm.com
Vérification des sections et éléments.
Alain Bureau 01 60 13 83 56 abureau@cticm.com
Flambement, déversement, voilement
CONSTRUCTION MIXTE
Construction mixte acier-béton Daniel Bitar 01 60 13 83 38 dbitar@cticm.com
MATÉRIAUX
Aciers de construction et matériaux anciens Jean-Pierre Pescatore 01 60 13 83 19 jpescatore@cticm.com
Aciers inoxydables et EC3-1.4 Ivor Ryan 01 60 13 83 58 iryan@cticm.com
Boulonnerie – Fixations Ivor Ryan 01 60 13 83 58 iryan@cticm.com
Soudage Dominique Semin 01 60 13 83 43 dsemin@cticm.com
Produits d’enveloppe en acier Stéphane Herbin 01 60 13 83 63 sherbin@cticm.com
ÉLÉMENTS DE STRUCTURE ET OUVRAGES PARTICULIERS
Cheminées et EC3-3.2 Jean-Claude Delongueville 01 60 13 83 42 jcdelongueville@cticm.com
Chemins de roulement et EC1-3/EC3-6 Dominique Semin 01 60 13 83 43 dsemin@cticm.com
Conception des structures de bâtiment Philippe Beguin 01 60 13 83 59 pbeguin@cticm.com
Constructions tubulaires Ivor Ryan 01 60 13 83 58 iryan@cticm.com
Éléments minces formés à froid et EC3-1.3 Dominique Semin 01 60 13 83 43 dsemin@cticm.com
Performances thermiques et énergétiques de
Amor Ben Larbi 01 60 13 83 61 abenlarbi@cticm.com
bâtiments à ossature métallique

33
CMI N°6 – 2009
Construction Métallique Informations
 ??????
Assistance technique

ÉLÉMENTS DE STRUCTURE ET OUVRAGES PARTICULIERS (suite)

Physique du bâtiment Philippe Beguin 01 60 13 83 59 pbeguin@cticm.com
Ponts métalliques et mixtes EC3-2 et EC4-2 Daniel Bitar 01 60 13 83 38 dbitar@cticm.com
Poutres alvéolaires Alain Bureau 01 60 13 83 56 abureau@cticm.com
Pylônes et pylônes haubanés et EC3-3.1 Patrick Le Chaffotec 01 60 13 83 40 plechaffotec@cticm.com
Silos et réservoirs et EC1-4/EC3-4 Patrick Le Chaffotec 01 60 13 83 40 plechaffotec@cticm.com
Stabilisation d’un bâtiment par les parois -
Mladen Luki 01 60 13 83 68 mlukic@cticm.com
Effet diaphragme
ACTIONS
Actions climatiques : neige et vent - Règles
Danielle Clavaud 01 60 13 83 36 dclavaud@cticm.com
NV et EC1
Actions sismiques PS92 et EC8 Danielle Clavaud 01 60 13 83 36 dclavaud@cticm.com
DÉVELOPPEMENT DURABLE
Construction métallique et développement
Stéphane Herbin 01 60 13 83 63 sherbin@cticm.com
durable
Protection anticorrosion des structures
Nour Ghandour 01 60 13 83 64 nghandour@cticm.com
métalliques

Contacts incendie
et certification
Thèmes Contacts Téléphone Courriel
Calcul du comportement au feu des éléments
Christophe Renaud 01 60 13 83 27 crenaud@cticm.com
de second œuvre à ossature métallique
Calcul du comportement au feu des
Christophe Renaud 01 60 13 83 27 crenaud@cticm.com
structures mixtes. Application de l’EC4-1.2
Calcul du comportement au feu des
structures en acier et aluminium – Christophe Renaud 01 60 13 83 27 crenaud@cticm.com
Application des EC3-1.2 et EC9-1.2
Comportement au feu
Christophe Renaud 01 60 13 83 27 crenaud@cticm.com
des entrepôts et bâtiments industriels
Comportement au feu des parcs de
Bin Zhao 01 60 13 83 16 bzhao@cticm.com
stationnement
Ingénierie de la sécurité
Joël Kruppa 01 60 13 83 20 jkruppa@cticm.com
incendie – Généralités
Ingénierie de la sécurité
Joël Kruppa 01 60 13 83 20 jkruppa@cticm.com
incendie – Normalisation
Marquage CE des produits métalliques Yannick le Tallec 01 60 13 83 17 yletallec@cticm.com
Produits de protection des structures contre
Christophe Renaud 01 60 13 83 27 crenaud@cticm.com
l'incendie
Réglementation
Sylvain Leduc 01 60 13 83 23 sleduc@cticm.com
« sécurité incendie »

34 Construction Métallique Informations

CMI N°6 – 2009
La construction métallique française continue
à améliorer sa productivité avec KALTENBACH
Poussée par une forte croissance,
la construction métallique
française a régulièrement
investi dans le renouvellement
de son outil de production.
Elle a trouvé en KALTENBACH
un partenaire idéal : conseil,
offre très complète, machines
ultra-performantes, haute
qualité, longévité et SAV.

Contour marquage

Les installations KALTENBACH

peuvent être reliées au réseau
informatique avec tous les
logiciels CAO/CFAO existants,
tranferts des fichiers par DSTV.

Série KF KPS 506

Centre de découpe pour tôles Centre de cisaillage/poinçonnage
Les centres automatiques KF 1606/2512 Les centres de cisaillage/poinçonnage KPS
de KALTENBACH bénéficient des dernières 506 de KALTENBACH sont entièrement automatisés,
améliorations techniques : découpe par plasma de de même que leurs magasins d’amenage et
nouvelle génération, oxycoupage pour très fortes d’évacuation.
épaisseurs, magasin de 6 à 12 outils (perçage, NOUVEAUTÉ Ces centres peuvent être complétés
taraudage, chanfreinage, etc…) permettant de par une torche plasma capable d’exécuter des
réaliser des pièces finies. KALTENBACH
découpes de formes spéciales, nécessaires dans la CONSTRUCTION DE MACHINES SA
Les marquages peuvent se faire par frappe à froid ou construction mécanique et métallique.
par le contour-marquage de dernière génération. Z.I. de la Doller
68520 Burnhaupt-le-Haut
Tél. 03 89 48 99 89
Un automatisme complet pour Fax 03 89 48 72 04
les lignes de sciage/perçage commercial@kaltenbach.fr
Les lignes de perçage à haute vitesse de
la série KDS 615/1015, combinées avec les scies
appui@hrnet.fr - avril 2008

à ruban de la série KBS, ainsi que l’autosorteur

pour l’extraction automatique des coupes
d’affranchissement/chutes, pièces courtes
ou longues, offrent à la construction
métallique et au négoce, une production
entièrement automatisée et performante, ne
nécessitant pas la présence de l’opérateur.
Une équipe d’ingénieur des ventes est à votre
disposition pour trouver la solution la mieux
adaptée à vos besoins de fabrication.
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avantages des constructions fixées sur des os-
satures secondaires avec ceux des systèmes de
façades avec canal à visser intégré.
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 Pour tous les profilés acier à partir de
50 mm de large
 Pour des poids de verre jusqu’à 1500 Kg
 Fabrication rationnelle et rapide

D’une part, un nombre presque illimité de réa-

lisations est possible grâce au libre choix des
profilés porteurs acier. D’autre part, le système
spécifique à RAICO fixé sur les ossatures secon-
daires ne présente pas de surfaces superposées
et évite ainsi toute corrosion de contact.

Pour la réalisation de façades, verrières jusqu’à

une inclinaison de 2° et vérandas avec des pro-
filés acier usuels à partir de 50 mm de large.

 Isolation thermique performante, variable

par palier jusqu’à Uf = 0,7 W/m2K
 Construction pouvant être fixée sur tous les
types de profilés porteurs à partir de 50 mm de
large

Les avantages particuliers :

 Transmission simple et sûre des charges du
verre jusqu’à un poids du verre de 800 Kg, et
jusqu’à 1500 Kg avec des pièces de construc-
tion supplémentaires
 Réalisation possible de façades chauffantes
avec des profilés permettant la circulation d’eau
chaude