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RAPPORT DE STAGE
Thème
Etude d’un mur de soutènement
sans et avec un contrefort
Agence : Bejaia
Adresse : P.I EPBTP BEJAIA – BLOCS H3 –H4 ET H5.
BP 241 – RP BEJAIA
Tél : 034 20 72 70/ Fax : 034 20 52 00
Email : bejaia.@ctc-est.com 1
Août 2011
Remerciements
I
TABLE DES MATIERES
2
1 INTRODUCTION GENERALE
Dans le cadre des études universitaire, un stage est souvent synonyme de première expérience
dans le monde professionnelle. Découvrir et vivre la réalité du terrain, prendre conscience de
l'organisation et des contraintes liées à l'entreprise, voilà les objectifs premiers d’un stage.
Du 1 au 20 Aout 2011, nous avons effectué un stage au sein de l’entreprise CTC-EST, agence
à Bejaia.
Au cours de ce stage, nous avons pu nous intéresser à un projet particulier qui consiste à
« L’étude d’un mur de soutènement sont et avec un contrefort ».
Plus largement, ce stage a été l’opportunité pour nous d’appréhender un aspect plus pratique
de notre formation, et d’approfondir nos connaissances du métier dans le domaine d’activité
qu’est le bâtiment.
Grâce à ce stage, on a obtenu des informations importantes à la vie pratique qui nous permis
d’acquérir d'expérience dans le domaine de génie civil . On a travaillé sur des projet qui nous
permis d’enrichir nos connaissances, et aussi de comprendre dans quelle mesure la phase de
conception était prépondérante dans un projet de construction et l’importance de la
coordination entre différentes acteurs impliqués dans le projet.
Tout d’abord, nous allons présenter dans la première partie, l’entreprise CTC-EST dans
lequel on a effectué notre stage.
Dans la seconde partie, débute par des généralités sur les murs de soutènements, et une
présentation de notre projet. Ensuite, on indique les étapes principales de la méthode d’étude
qui sera suivie des différents résultats obtenus.
Enfin, en termine avec une conclusion qui résume les apports de ce stage.
3
2 I.PRESENTATION GENERALE DE
L’ENTREPRISE « CTC-EST »
I.1 BREF DESCRIPTIF DE L’ENTREPRISE ET DU DEROULEMENT DU
STAGE
Notre stage au sein du CTC-EST à consiste essentiellement en la consultation du dossier
d’architecture dans le premier temps pour s’imprégner de l’ouvrage et en décortique les
spécificités puis nous sommes passés au dossier d’ingénierie ou nous pu approfondir la partie
fondation en revenant sur quelques calculs. Nous avons la chance de faire des sorties sur site,
ce qui nous a permis une prise de contact avec les différentes intervenants, et nous avons pu
assister enfin à quelque étapes de la réalisation du projet, Nous avons également eu la chance
de faire quelques essais au sein de laboratoire du CTC-EST, ce qui nous permet de déterminer
la résistance du béton avec différents essais soit avec l’essai d’écrasement de l’éprouvette
« résistance à la compression » ou l’appareil de scléromètre et l’ultrason.
Notre maitre de stage étant ingénieur contrôleur, nous avons pu apprendre dans d’excellentes
conditions à nous focaliser sur la partie conception.
a. Annonce de plan
Afin de rendre compte de manière fidèle et analytique des travaux effectués durant ce stage,
il apparait logique de donner un bref aperçu sur l’entreprise d’accueil, puis un descriptif du
projet sur lequel s’est concentré notre travail.il sera précisé les différents tâches accomplies, et
les apports que nous avons pu en tirer.
4
b. Evolution
c. Activités
Essentiellement :
Le contrôle technique repose sur l’examen critique des dossiers de conception et d’études
techniques mais également sur le contrôle et le suivie de l’exécution des travaux jusqu’à la
réception de l’ouvrage.
C’est le suivi et vérification des ouvrages, à toutes les étapes, quant à leur conformité aux
réglementation et normes en vigueur.
5
I.3.2 LE BATI ENCIEN
Accessoirement
6
REFERENCES
7
3 II.LES MURS DE SOUTENEMENT
II.1 GENERALITE
II.2 LE BUT
Les murs de soutènement ont pour but de maintenir le sol en place dans le cas où on effectue
des remblais, déblais ou pour des ouvrages tels que : quais, canaux, culées de port, terrasses...
Ils ont aussi pour but de protéger d'autres ouvrages contre l'érosion ou les crues...
8
Le mur en «T renversé» est la forme classique pour un mur en béton armé de treillis soudé.
Il est économique sans contreforts, tant que sa hauteur n’excède pas 4 à 5 mètres, et peut-
être réalisé sur un sol de qualités mécaniques peu élevées. En effet, par rapport à un mur-poids
de même hauteur, il engendre des contraintes sur le sol plus faibles pour une même largeur de
semelle.
Parfois, la stabilité au glissement du mur nécessite de disposer sous la semelle une «bêche».
Celle-ci peut être soit à l’avant, soit à l’arrière de la semelle, soit parfois encore en
prolongement du voile. Cette bêche est toujours coulée en «pleine fouille» sans coffrage.
Lorsque la hauteur du mur devient importante ou que les coefficients de poussée sont élevés,
le moment d’encastrement du voile sur la semelle devient grand. Une première solution
consiste à disposer des contreforts dont le but est de raidir le voile.
9
II.4 LA POUSSEE DES TERRES
Généralités
L’étude de poussée des terres est traite dans des ouvrages de résistances de matériaux.
On admettre que la composante horizontal de 1 m de largeur, par :
h2
Q= Ka. h .
2
Formule dans laquelle :
Ka: coefficient numérique fonction de l’angle φ du talus naturel des terres de l’inclinaison du
mur et de l’inclinaison du remblai au-dessus du plan horizontal passant par le sommet du mur ;
γ: point spécifique des terres ;
h : hauteur du mur
Pour les besoins de la pratique, des tables donnant les valeurs de A ont été établie ; parmi les
plus utilisée, nous citerons celles de Résal et celles de Caquot-Kérisal.
On pourra utiliser pour Ka les valeurs du tableau ci-dessus, valeurs obtenues par application
de la formule :
Ka tg 2 ( )
4 2
10
Φ (degrés) Ka Φ (degrés) Ka Φ (degrés) Ka
10 0.704 25 0.406 40 0.217
15 0.588 30 0.333 45 0.171
20 0490 35 0.270 50 0.132
Dans la plupart des cas, un mur de soutènement est enterré en pied d’une certaine hauteur.il
se trouve donc soumis à un effort de poussée P et de butée B (considérée comme stabilisante).
Or pour mobiliser la butée B, il faut un déplacement beaucoup fort que pour mobiliser, lorsque
le déplacement du mur parait insuffisant pour mobiliser la butée, on ne considère qu’une partie
à enterrer le pied du mur. On reste de la cote de la sécurité.
La capacité d’un écran de soutènement à reprendre les charges qui lui sont appliquées se
décline sous 2 aspects :
- la résistance intrinsèque du mur : calcul de béton armé en considérant généralement le
mur comme une poutre verticale.
- la stabilité du mur : un mur est stable si le terrain environnant est capable de maintenir
celui-ci compte tenu des charges qui lui sont appliquées. C’est ce deuxième aspect qui fait
l’objet des sections qui suivent.
Les critères de stabilité sont
- non glissement du mur,
- non renversement du mur,
- non poinçonnement du sol sous la base du mur.
F horizontales
<f.................................................(1)
F verticales
11
II.5.2 stabilité au renversement
Cette vérification consiste à s’assurer qu’il ya pas de risque de basculement de l’ensemble. Le
centre de rotation est le point 0 indiqué sur les figures ci-dessus. On doit alors vérifier
l’inégalité suivante :
F stabilisants
>2 (securité)..........................................(2)
F renversents
N 6.M G
σ max
B B2
N 6.M G
σ min
B B2
On doit vérifier :
3.σ max σ min
σ moy adm ...........................................(3)
4
Où adm est déterminé par un essai pressiomètrique ou par les essais en laboratoire.
12
II.6 PRESONTATION DE PROJET
L’ouvrage faisant objet de notre rapport de stage qui est situé à la commune TIFRA au lieu-
dit Assam, wilaya de BEJAIA. Cet ouvrage constitue de trois types de murs de hauteurs et
longueurs différentes comme illustré dans les figures suivantes.
Le mur N°01, avec des contreforts d’épaisseur 20cm espacés de Lmax=5,25m, la
hauteur du mur est variable (Hmax=4,80m). la longueur totale du mur est 6,7m
le mur N°02, sans contrefort de hauteur variable (Hmax=3,80m). La longueur totale
du mur est 6,7m
le mur N°03, sans contrefort et de hauteur variable (Hmax=3,45m). La longueur totale
du mur est 19,2m.
La présente note de calcul est élaborée et établie suivant les normes, les règles de
calculs et de conceptions qui sont mises en vigueur actuellement en Algérie à savoir :
- Le CBA 93
13
II.6.2 Caractéristiques mécaniques des matériaux
a) Béton
fc28=25 MPA ; ft28=0,6 + 0,006 fc28 =2,1 MPA ;
b) Acier
E=200.000 MPA
14
II.7 CACLCULE DES MURS DE SOUTENNEMENT
II.7.1 Dimensionnement
Le calcul se fera pour une bande de 1m .
Le rideau sera calculé comme une console encastrée dans la semelle.
Les semelles avant et arrière seront considérées comme des consoles encastrées au
rideau.
q: le poids d’une surcharge éventuelle sur le terrain a été évalué à 4 KN/m2.
15
h22
Fht2 : la force de poussée des terres avant Fht 2 =Ka. h .
2
H2
Fht1 : la force de poussée des terres arrière Fht 1 =Ka. h .
2
Fhq : la poussée des terres dues à la surcharge q Fhq = Ka.q.H
(E E b ).H
Fvr: poids propre de rideau Fvr= h . h
2
Fvs2 : poids propre de la semelle avant Fvs2 = b .(Es .b2 )
Fvs1 : poids propre de la semelle arrière Fvs1 = b .(Es .b1 )
Fvt2 : poids des terres avant Fvt 2 = h .h2 .b2
Fvt1 : poids des terres arrière Fvt 1 = h .h1 .b1
Fvq : poids due à la surcharge q Fvq=q.b1
16
II.7.4 Mur de soutènement N°01 avec contrefort
Il noter que la poussée des terres est une action permanente et doit donc être affectée du
coefficient 1,35 ; tandis que la surcharge sur le remblai est une action variable à laquelle doit
être applique le coefficient 1,5.Toutefois ces coefficients ne sont pas à prendre en considération
lorsqu’ils agissent dans un sens favorable pour l’effet étudier.
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a) Stabilité au glissement
b) Stabilité au renversement
H h2 H
F renversents 1,35 (Fht . 3 -Fht . 3 ) 1,5 (Fhq. 2 )=149,597 KN.m
1 2
2.Eb b1 b2 b b b
F stabilisants Fvr.( 3 b ) Fvt .( 2 E
2 1 b b2 ) Fvt 2 .
2
Fvs2 . 2 Fvs1 .( 1 E b b2 ) Fvq.( 1 E b b2 )
2 2 2
F stabilisants=391,422 KN.m
F stabilisants = 391,422 =2,61 >2 …………..la condition est satisfaite, donc pas de
F renversents 149,597
risque de renversement.
c) Stabilité au poinçonnement
Vérification à ELS
2.Eb b b b b b
M s1 Fvr.( b2 ) Fvt 1 .( 1 E b b2 ) Fvt 2 . 2 Fvs2 . 2 Fvs1 .( 1 E b b2 ) Fvq.( 1 E b b2 )
3 2 2 2 2 2
M s1 =391,48 KN.m
H h H
MS 2 Fht 1 Fht 2 . 2 +Fhq =109,425 KN.m
3 3 2
MS MS 1 MS 2 =281,997KN.m
B M s 2,3 281,997
e (1,45 1,273) 0,177 m
2 Fv 2 221,5
M Fv e 221,5 0,177 39,178 KN .m
G
18
Vérification des contraintes de sol
min =
Fv - 6.MG =0,048 MPa.
B B2
max =
Fv + 6.MG = 0,104 MPa.
B B2
3. max + min
moy = 4
=0,090 MPa.
Vérification à ELU
2.Eb b b b b b
Mu1 1,35 Fvr.( b2 ) Fvt 1 .( 1 E b b2 ) Fvt 2 . 2 Fvs2 . 2 Fvs1 .( 1 E b b2 ) 1,5 Fvq.( 1 E b b2 )
3 2 2 2 2 2
Mu1 =527,707 KN.m
H h H
Mu2 1,35 (Fht 1 .
Fht 2 . 2 ) 1,5 (Fhq. ) 149,597 KN.m
3 3 2
Mu Mu1 Mu2 =378,106 KN.m
MG Fv e 299,925 0,189 56,785 KN .m
B Mu 2,3 378,106
e 2 F 2 299,925 (1,45 1,260) 0,189 m
v
min =
Fv - 6.MG =0,063MPa.
B B2
max =
Fv + 6.MG = 0,144MPa.
B B2
3. max + min
moy = 4
=0,124 MPa.
19
II.7.3.3 Calcul et ferraillage les éléments du mur
a) Calcul du rideau
calcul à ELU
Mu bu Z A Aadopté
(KN*m) (m) (cm²) (cm²)
Moment en travée 109,60 0,056 0,072 0,359 9,60 7T14=10,78
P L
Vu 104,37 KN.
2
V 104,37.10-3
u 0,282 MPa.
b*d 1 0,37
u min(0.1 * fc 28 ;3MPa) 2,5 MPa......................................condition vérifiée.
20
b) Calcul du contrefort
Ils considérés comme des consoles encastrées dans les semelles et soumises aux efforts par le
rideau .leur section est en T dont la largeur de la table b est déterminer comme les planchers.
Si P la pression agissant sur le rideau à la base et L l’écartement des contreforts.
b
Calcul à ELU
Le rideau Eb
A la base du contrefort nous avons :
P 1,35.(Ka. h .h.L) 1,5.(Ka.q.h.L) 204,43 KN.
Contrefort
P h h 204,43 4,42 h
Mu x =659,627 KN.m
2 3 2x 3
Nous prendrons comme largeur de la table de compression b.
b b0 L 2 xL
b b0 1,25 m.
2 10 10
E
MTU fbu .b.Eb .(d b ) tel que : d h e
2
0,4
MTU 14,20.103 x1,25x0,40x(1,44 ) 8804 KN.m Mu calcul d'une sec tion rec tangulaire(bxh)
2
Mu bu Z A Aadopté
(KN*m) (m) (cm²) (cm²)
contrefort 659,627 0,122 0,148 1,354 13,91 3T20+3T16=15,46
P h1
Vu 449,746 KN.
2
V 449,746 .10-3
u 0,312 MPa.
b*d 1 1,44
u min(0.1 * fc 28 ;3MPa) 2,5 MPa......................................condition vérifiée.
b b0 1.25 0.2
VU 449,746 103
2 2 1.76MPa
u=
0.9 b d h0 0.9 1.00 0.37 0.4
21
Vérification des contraintes
On doit vérifier :
Mser
bc Y bc 15MPa.
I
dy
s 15.bc .( ) s 240MPa.
y
Ms bc s
Y (cm) I (cm4) bc bc s s
(KN*m) (MPa) (MPa)
Contrefort 7,919 120938,836 142,827 9,345 vérifier 210,63 vérifier
c) Calcul de la semelle
La semelle est soumise à son poids propre, aux du remblai, des surcharge sur le remblai, et
aux réactions du sol.
Calcul à ELU
1,35.Fvs1 1,35.Fvs2
semelle = = =0,135 MPa.
L.b 1 L.b 2
1,35.Fvt1 1,5.Fvq semelle avant =0,0135 0,025=0,038 MPa.
terre1 surcharg e = = 0,123 MPa.
L.b1 semelle arriére =0,0135 0,123 =0,137 MPa.
1,35.Fvt 2
terre2 = =0,025 MPa.
L.b2
max =0,144MPa.
D’après les résultats du calcul de stabilité on a
min =0,063MPa.
22
Rideau
P1
σmax1
100cm σmin1
P2
Mu bu Z A Aadopté
(KN*m) (m) (cm²) (cm²)
Semelle arrière 67,50 0,035 0,045 0,363 5,658 5T14=7,70
Semelle avant 48,33 0,025 0,032 0,365 4,028 5T12=5,65
calcul à ELS
Fvs1 Fvs2
semelle = = =0,01 MPa.
L.b1 L.b2
Fvt1 Fvq semelle avant =0,010 0,0178=0,028 MPa.
terre1 surcharg e = = 0,091 MPa.
L.b1 semelle arriére =0,010 0,091=0,101MPa.
Fvt 2
terre2 = =0,0178 MPa.
L.b2
23
Vérification des contraintes
On doit vérifier :
Mser
bc Y bc 15MPa.
I
dy
s 15.bc .( ) s 240MPa.
y
Ms bc s
Y (cm) I (cm4) bc bc s s
(KN*m) (MPa) (MPa)
Semelle arrière 6,737 78881,133 48,750 2,452 vérifier 157,63 vérifier
Semelle avant 8,299 117902,36 34,833 4,164 vérifier 73 ,78 vérifier
d) Calcul de la bêche
La bêche considérée comme une poutre semi-encastrée s’appuyant sur les contreforts et
recevant les réactions de la semelle.
Pour déterminer la réaction de la semelle sur la bêche, prenons les moments des forces par
rapport à C.
P1
C 140cm
66cm
P2
VB
24
Mu bu Z A Aadopté
(KN*m) (m) (cm²) (cm²)
Moment en
145,23 0,035 0,045 0,53 7,78 3T20=9.42
travée
Moment en
78,607 0,019 0,024 0,528 4,720 3T16=5.56
appui
25
a) Stabilité au glissement
b) Stabilité au renversement
H h2 H
F renversents 1,35 (Fht . 3 -Fht . 3 ) 1,5 (Fhq. 2 )=75,628 KN.m
1 2
2.Eb b1 b2 b b b
F stabilisants Fvr.( 3 b ) Fvt .( 2 E
2 1 b b2 ) Fvt 2 .
2
Fvs2 . 2 Fvs1 .( 1 E b b2 ) Fvq.( 1 E b b2 )
2 2 2
F stabilisants=197,763 KN.m
F stabilisants = 197,763 =2,61 >2 …………..la condition est satisfaite, donc pas de
F renversents 75,628
risque de renversement.
c) Stabilité au poinçonnement
Vérification à ELS
min =
Fv - 6.MG =0,037 MPa.
B B2
max =
Fv + 6.MG = 0,087 MPa.
B B2
3. max + min
moy = 4
=0,0745 MPa.
26
Vérification à ELU
min =
Fv - 6.MG = 193,707 6 32,542 =0,047MPa.
B B2 2,3 2,32
max =
Fv + 6.MG = 193,707 6 32,542 = 0,121MPa.
B B2 2,3 2,32
3. max + min
moy = =0,102 MPa.
4
a) Ferraillage du rideau
calcul à ELU
h2 E s h2 E s
2
h21 h1 h
Mu 1,35 (Ka. h . . ) (Ka. h . . ) 1,5 (Ka.q.h1 . 1 )
2 3 3 3 2
Mu 58,373 KN.m
Mu 0,85. fc 28
bu tel que : f bu 14,2 MPa.
b.d 2 . f bu 1,5
58,373.10-3
bu 0,04
1 0,322 14,2
z d(1 0,4. ) tel que : (1 1 2.bu )/0, 8 0,051 z 0,313m.
Mu 58,373.10-3
A 5,362 cm2 .
Z . f st 0,313 384
Mu bu Z A Aadopté
(KN*m) (m) (cm²) (cm²)
Rideau 58,373 0,04 0,051 0,313 5,362 5T14=7.70
27
vérification de l’effort tranchant
h2 E s
2
h21
Vu 1,35 (Ka. h . ) (Ka. h . ) 1,5 (Ka.q.h1 ) 44,408 KN.
2 3
V 44,408.103
u 0,138MPa.
b*d 1 0,32
u min(0.1 * fc 28 ;3MPa) 2,5MPa......................................condition vérifiée.
h2 E s h2 E s
2
h21 h1 h
Ms (Ka. h . . ) (Ka. h . . ) (Ka.q.h1 . 1 ) 42,522 KN.m
2 3 3 3 2
M 42,522
bc s . y 9,083 3,232 MPa bc 0,6 fC28 15 MPa.
I 119512,519
d y 32-9,083
s 15. bc .( ) 15 3,232 ( ) 122,318 MPa
y 9,083
2
s min( fe ,150 1,6) 240MPa.
3
Ms bc
Y (cm) I (cm4) bc bc s (MPa) s s
(KN*m) (MPa)
b) Calcul de la semelle
La semelle est soumise à son poids propre, aux du remblai, des surcharge sur le remblai, et
aux réactions du sol.
28
Calcul des contraintes agissantes sur la semelle
à ELU
1,35.Fvs1 1,35.Fvs2
semelle = = =0,012 MPa.
L.b 1 L.b 2
1,35.Fvt1 1,5.Fvq semelle avant =0,012 0,024=0,036 MPa.
terre1 surcharg e = = 0,0982 MPa.
L.b1 semelle arriére =0,012 0,098=0,110 MPa.
1,35.Fvt 2
terre2 = =0,024 MPa.
L.b2
min =0,0473MPa.
D’après les résultats du calcul de stabilité on a
max =0,121MPa.
Mu bu Z A Aadopté
(KN*m) (m) (cm²) (cm²)
Semelle arrière 33,503 0,023 0,029 0,316 3,048 5T14=7.70
Semelle avant 24,427 0,017 0,021 0,317 2,215 5T12=5.65
Calcul à ELS
Fvs1 Fvs2
semelle = = =0,009 MPa.
L.b1 L.b2
Fvt1 Fvq semelle avant =0,009 0,018=0,027 MPa.
terre1 surcharg e = = 0,072 MPa.
L.b1 semelle arriére =0,009 0,072=0,081MPa.
Fvt 2
terre2 = =0,0178 MPa.
L.b2
29
max =0,087 MPa.
D'après les résultats du calcul de stabilité on a
min =0,037MPa.
max2 = max semelle avant =0,06 MPa.
max1 = semelle arriére min =0,044 MPa
(b Eb). max b2 . min
min2 1 semelle avant =0,043 MPa.
B
b . (b2 Eb). min =0,019 MPa.
min1 semelle arriére 1 max
B
On doit vérifier :
Mser
bc Y bc 15MPa.
I
dy
s 15.bc .( ) s 240MPa.
y
Ms bc s (MPa)
Y (cm) I (cm4) bc bc
(KN*m) (MPa) s s
Semelle arrière 6,219 57867,024 23,585 2,535 vérifier 157,63 vérifier
Semelle avant 7,645 86073,918 17,387 1,544 vérifier 73 ,78 vérifier
30
II.7.6 Mur de soutènement N°03 sans contrefort
a) Stabilité au glissement
31
b) Stabilité au renversement
F stabilisants = 152,600 =2,66 >2 …………..la condition est satisfaite, donc pas de
F renversents 57,167
risque de renversement.
c) Stabilité au poinçonnement
Vérification à ELS
min =
Fv - 6.MG =0,034 MPa.
B B2
max =
Fv + 6.MG = 0,083 MPa.
B B2
3. max + min
moy = 4
=0,0915 MPa.
Vérification à ELU
min =
Fv - 6.MG =0,043MPa.
B B2
max =
Fv + 6.MG = 0,116MPa.
B B2
3. max + min
moy = 4
=0,097 MPa.
a) Ferraillage de rideau
calcul à ELU
Mu bu Z A Aadopté
(KN*m) (m) (cm²) (cm²)
Rideau 44,922 0,043 0.055 0,264 4,892 5T12=5.65
32
vérification de l’effort tranchant
h2 E s
2
h21
Vu 1,35 (Ka. h . ) (Ka. h . ) 1,5 (Ka.q.h1 ) 38,960 KN.
2 3
V 38,960.10-3
u 0,144MPa.
b*d 1 0,27
u min(0.1 * fc 28 ;3MPa) 2,5MPa......................................condition vérifiée.
bc bc , Condition vérifiée
On doit vérifier :
Mser
bc Y bc 15MPa.
I
dy
s 15.bc .( ) s 240MPa.
y
Ms bc s
Y (cm) I (cm4) s s
(KN*m) (MPa) (MPa) bc bc
8,222 81997,650 32,678 3,277 157,63 Vérifier Vérifier
b) Calcul de la semelle
La semelle est soumise à son poids propre, aux du remblai, des surcharge sur le remblai, et
aux réactions du sol.
à ELU
min =0,043MPa.
D’après les résultats du calcul de stabilité on a
max =0,116MPa.
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Mu bu Z A Aadopté
(KN*m) (m) (cm²) (cm²)
Semelle arrière 26,822 0,026 0,033 0,266 2,899 5T12=5.65
Calcul à ELS
Ms bc bc bc s
Y (cm) I (cm4) s s
(KN*m) (MPa) (MPa)
Semelle
5,658 40198,717 18,957 2,668 vérifier 150,955 vérifier
arrière
Semelle
6,939 59430,277 12,903 1,507 vérifier 67,130 vérifier
avant
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4 CONCLUSION GENERALE
Cette expérience à CTC-EST qui dura trois semaine, restera un souvenir inoubliable et
enrichissante de bien des manières. C’est l'occasion pour nous de rencontrer des gens
formidables qui m'apportèrent généreusement leur aide et leur soutien.
Durant cette période, on apprit énormément sur le déroulement d'un chantier, sur le
fonctionnement et l'organisation d'un service tel que la cellule CTC-EST, et aussi sur l'intérêt
des différents moyens de communication que sont nous pensons qu'il ne faut pas considérer
un stage comme un emploi proprement dit, ses limites tiennent aux initiatives et aux
responsabilités, ce qui est normal, car le stagiaire n'est dans l'organisme d'accueil que
temporairement. Toutefois ce n'est pas pour cela que l'on ne doit pas être appliqué dans
le travail à réaliser et ne pas se sentir non plus impliqué dans la vie du service,
comme par exemple le respect des horaires. Le stagiaire est à la fois témoin et acteur.
Tout au long du stage, on a été motivé d'abord par la découverte du métier, ensuite par le défi
de l'intégration totale dans l'équipe, et enfin par l'envie de comprendre les différentes
responsabilités dans la conduite de travaux.
En plus de toutes les connaissances que l'on peut acquérir lors d'un stage, c'est aussi un
moment particulier où on peut éprouver les plaisirs et les difficultés du métier de génie civil.
Ce stage ne nous a apporté que des satisfactions tant au niveau relationnel que professionnel,
et a répondu à tout ce que nous attendrons. Les employés, qui nous ont offert un encadrement
de grande qualité, critère très important pour un stagiaire. La compétence de ceux qu’ils nous
supervisaient s’est retrouvée dans le travail mais également dans les échanges et les discussions
où chacun a mis ses connaissances, son savoir et son expérience à notre service, n’hésitant pas
à prendre sur leur temps. On a aussi appris au cours de ce stage de nouvelles façons de
travailler tout en mettant en application ce qui nous a été enseigné à l’université tant au niveau
pratique que théorique.
S’adapter à une ambiance de travail où le personnel a déjà ses habitudes n’est pas un
quotidien. De plus, intégrer une entreprise avec comme statut celui de stagiaire peut entraîner
de la part du personnel une certaine réticence et un manque de confiance compréhensibles, dus
à une absence évidente de pratique, mais cela n’a pas été le cas en ce qui me concerne car toute
l’équipe nous a accordé sa confiance et nous permis d’avoir des responsabilités.
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