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4) Injection du floculant :
5) Réacteur et créateur des bulles d’air :
5-1 : Le démarrage de réacteur se fait en deux modes
5-2 :l’arrêt de réacteur :
5-3 Lavage de 6 dépressions vannes
6 - racleur
6-1.modes automatiques.
6-2modes manuelle.
CHAPITRE 5 :L’ETUDE INDUSTRIEL DU MEMBRANE :
1.Principe
1.1NETTOYAGE CHIMIQUE SUR PLACE CIP (cleaning in place) :
a)Introduction.
b)Préparation :
c)Nettoyage CIP :
1) Préparation de la solution
2) BACKWASHING
3) CIP
4) BACKWASHING
5) Paramètres à surveiller en CIP
1.2 Préparation de la solution :
2) BACKWASHING :
3) CIP
4) BACKWASHING :
5) Paramètres à surveiller en CIP :
6)Technologie des membranes
7)Etude de l installation
CHAPITRE7 :LES OPERATIONS DE MAINTENANCE QU’ON PEUT
APPLIQUER A STATION DESSALEMENT EAU DE MER :
1.LE GROUPE OFFICE CHERIFIEN DES PHOSPHATES
1.1INTRODUCTION
établissement public qui doit fonctionner dans les mêmes conditions qu’une
entreprise privée à caractère industriel et commercial et par conséquent aux mêmes
obligations telles aux impôts, droits et douanes.
Le groupe OCP a développé des relations durables avec plusieurs de ses clients qui
vont au-delà de stricts arrangements commerciaux. Le groupe a, au fil des ans, mis en place
plusieurs joint-ventures de transformation avec des usines au Maroc et à l’étranger avec des
partenaires de premier plan venant du Brésil, de Belgique, d’Allemagne, d’Inde et du Pakist
Présent dans cinq zones géographiques du pays (3 sites d'exploitation minières : Khouribga
/Youssoufia, Boucraâ/Laayoun et deux sites de transformation chimique : Safi et Jorf Lasfar),
OCP constitue un vecteur de développement régional et national important.
1.2-historique :
Plus de 90 années sont écoulées depuis la création de l’OCP, années jalonnées par des
réalisations et des développements
Année événement
7 Août 1920 Création de l'office chérifien de phosphate
1921 Début d’exploitation dans la région d’OUED ZEM.
23 juillet 1921 Première exportation de phosphate
1930 Ouverture d'un nouveau centre de production de
phosphate : Youssoufia
1950-1952 Mise en oeuvre de la méthode d'extraction en
découverte à Khouribga.
1958 Création d'un centre de formation
professionnelle à Khouribga, en renforçant des
efforts menés, depuis des décennies sur ce plan ;
puis, création par la suite d'autre unités de
formation : école de maîtrise de Boujniba
1960-1965 Développement de la mécanisation du souterrain
à Youssoufia. Démarrage de Maroc chimie à Safi.
1970-1975 Création du groupe OCP, structure
organisationnelle Intégrant l'OCP et ces
entreprises filiales
1980 Partenariat industriel en Belgique
1986 Démarrage du site de Jorf Lasfar avec Maroc
phosphore III –IV.
1990 Exploration des nouveaux projets de partenariat
industriels et de renforcement de capacités.
2000 Démarrage unité de flottation de phosphate
à khouribga.
2002 Prise de participation dans la société
indienne PPL en joint-venture avec le
Groupe Birla.
2004 Création de la Société "Pakistan Maroc
Phosphore" S.A en Joint-venture entre l’OCP
et Fauji Fertilizer Bin Qasim Limited
(Pakistan).
2008 Transformation du groupe OCP en SA
(société anonyme).
le 18 mars 2009 Démarrage de l’exploitation de Bunge Maroc
Phosphore (BMP)
juin 2010 Mise en service de la laverie de merah
lahrach au niveau de la commune M’fassis.
Décembre 2010 Lancement du projet slurry pipeline reliant
khouribga à Jorf Lasfar s’étendra sur une
langueur totale de 235 Km et transportera
38 Mt/an.
2012 Ouverture de la mine d’Al-hallassa l’une des
trois nouvelles mines sur le site de
khouribga s’étalant sur une surface de 1976
hectares d’une capacité de production 6,7
Mt/an.
2013 Lancement du projet du dessalement d’eau de la
mer à Jorf Lasfar
Mines : 24,9%
Chimie : 74,9%
Autres : 0,2%
Export : 90,4%
Local : 9,6%
• Le phosphate brut. Le phosphate brut est exploité pour son contenu en phosphore. La
teneur du phosphate en phosphore, mesurée en pourcentage de P2O5 (pentoxyde de phosphore),
détermine sa qualité. Elle varie de 5 % à 45 %. A moins de 30 %, le plus gros de la production, le
minerai subit un premier traitement sous forme de lavage, séchage ou enrichissement à sec.
• L’acide phosphorique. Il est obtenu par réaction de l’acide sulfurique avec le calcium de
phosphate. La teneur moyenne du produit intermédiaire ainsi obtenu après concentration est de 52
% de P2O5. L’acide phosphorique purifié est destiné à des applications alimentaires et industrielles.
• Les engrais. OCP produit quatre types d’engrais à partir de l’acide phosphorique : le DAP
(qui est l’engrais le plus courant), le TSP (engrais exclusivement phosphaté), ), le MAP(engrais
binaire à deux éléments fertilisants : phosphore et azote) et le NPK (engrais ternaire à base d’azote,
de phosphore et de potassium).
La prospection :
Elle consiste à faire le forage pour délimiter le gisement, s’informer sur l’épaisseur des couches et
leur teneur.
La production :
L’extraction :
Elle s’effectue de deux manières qui dépendent du site, puisque le phosphate se présente
sous forme de couches quasi-horizontales séparés par des intercalaires stériles) soit par
voie souterraine.
Le Traitement :
La valorisation :
Suivant l’évolution du continu du marché mondial des phosphates de la matière brut vers
l’acide phosphorique et les engrais, le groupe OCP a Concentré ses efforts sur la
transformation sur place des phosphates en produit semi-fini (acide phosphorique) ou fini
(les engrais).
La commercialisation :
Le phosphate est vendu selon la demande des clients aux cinq continents de la planète soit
brut soit après traitement, les exportations représentent 15 à 30% du commerce
international du phosphate et de ses dérivés.
Le groupe OCP joue un rôle primordial sur le plan économique et social par source des
revenus qu'il présente et par le nombre d'agents qu'il emploie. Il faut marquer que le
groupe OCP et ses filiales bénéficient de quatre principaux privilèges qui sont comme suit :
* Part du Groupe OCP dans les exportations marocaines : 18 à 20% (en valeur).
* Part du Groupe OCP dans le PIB (produit intérieur brut) national : 2 à 3%.
Cette réorganisation s'est traduite, sur le terrain, par la mise en place, entre autres,
d'une logique de gestion en « Business Unit » à travers l'instauration de trois Pôles
d'activités, dont le Pôle Chimie, en plus des autres Directions. Le Pôle Chimie regroupe
désormais les plates-formes de Safi (Maroc Phosphore Safi) et de Jorf Lasfar (Maroc
Phosphore Jorf, IMACID et EMAPHOS).
Pour diversifier ses alliances stratégiques et sécuriser une partie de ses exportations, le
Groupe OCP s’est rapproché de la société indienne CHAMBAL appartenant au groupe privé
Fruit d’un partenariat entre le Groupe OCP et CHAMBAL FERTILISER LTD (GROUPE
INDIEN BIRLA), cette société d’investissement détient 74% du capital social de la société
PARADEEP P L’unité est spécialisée dans la fabrication d’engrais phosphates avec une
capacité de1 million de tonnes par an.
Pakistan Maroc Phosphore S.A. (50% OCP ,25% FFBL, 12,5% FAUJI
POUNDATION, 12,5% FFCL) :
Les activités du groupe sont structurées au sein de trois pôles d’activité : mines, chimie,
finance et support logistique, à côté d’autres directions (SDG, DC, DRH, DRI, DSD…), la CIR,
les entités Filiales et l’institut OCP.
Un comité exécutif et des comités articulés s’inscrivent dans une démarche de travail
collégial qui présente une assistance au Directeur Général et favorisent le transfert
d’information et le développement de synergie entre les différentes entités
-Hangar pour le stockage des produits solides : phosphate, soufre et engrais. -Bacs pour le
stockage des produits liquides : soufre liquide, ammoniac et acide Phosphorique.
c) l’usine
L’usine rassemble plusieurs ateliers
de production à savoir :
Atelier sulfurique
Ateler phosphorique
Ateliers angrais
Atelier des utilités.
traitement, le stockage et la distribution des différentes qualités des eaux aux consommateurs (eau
filtré, eau déslipée et eau potable).
La station de pompage et reprise d’eau de mer est destinée à alimenter le complexe en eau de mer
traitée et filtrée.
Cette demande en eau est prise en compte de manière responsable dans la stratégie de
développement du Groupe OCP. Pour la sauvegarde des ressources souterraines stratégiques, la
croissance de l’industrie du phosphate se fera à prélèvement constant en eaux douces, en menant
les actions suivantes :
La politique de dessalement est ancienne à l’OCP. Dès le début des années 70, le besoin en eau des
installations de Laâyoune a été satisfait par le procédé de distillation pour dessaler l’eau de mer. A
partir de 2005, c’est le procédé membranaire (osmose inverse) qui a été mis en place car moins
énergivore. La station produit actuellement près de 1,5 million de m3 par an.
De nouveaux projets de dessalement sont prévus pour produire annuellement 100 millions de m3
d’eau de mer dessalée.
• Un projet de dessalement à Jorf Lasfar qui va produire dans la première phase 45 million de
m3/an et à terme 75 Mm3/an
Le choix de ces deux sites pour le dessalement d’eau de mer est dicté par :
• La mise à profit de l’énergie bon marché produite par ses installations chimiques.
L’accès à l’eau est une question vitale pour la réalisation de la stratégie industrielle du groupe OCP :
Total 66
Chimie 60 25
Total 110 48
Les besoins en eau industrielle vont alors tripler à terme pour permettre la stratégie de
croissance.
Figure 8 : Evolution des besoins en eau du groupe OCP
3.4Investissement important du groupe OCP pour répondre à ses besoins en
eau dans le complexe Maroc Phosphore Jorf Lasfar :
L’eau, ressource clé pour l’industrie du phosphate, est prise en compte de manière
responsable dans la stratégie de développement du Groupe OCP. Afin de ne pas augmenter les
prélèvements en eaux douces, le Groupe OCP va conduire sa stratégie de croissance à besoins
constants en eaux douces, néanmoins nécessitant une réallocation géographique de ses quotas.
Les investissements de l’OCP permettent de maintenir un bilan neutre de prélèvements sur le
bassin OUM ER RBIA.
Trois types de projets vont être réalisés par l’OCP pour répondre
d’une part à ces besoins en eau et d’autre part pour diminuer la pression sur les ressources
hydriques naturelles et notamment, les ressources en eau souterraine
La politique d’utilisation est ancienne à l’OCP. Dès le début des années 70, les besoins en
eau des installations de Laâyoune ont étés obtenus par le procédé de distillation pour dessaler
l’eau de mer. A partir de 2005, c’est le procédé membranaire (osmose inverse) qui a été mis en
place car moins énergivore. La station produit actuellement près de 1,5 million de m3/an.
Le projet de dessalement eau de mer de Jorf Lasfar permettra de couvrir les besoins
actuels de la plateforme en eau douce, 30 millions de m3, et éventuellement ceux de la ville d’El
Jadida estimés à 15 millions de m3. A l’horizon 2020 la station de dessalement d’eau de mer
produira 75 millions de m3 pour satisfaire les besoins des nouvelles unités intégrées de
production d’acide phosphorique et des engrais, réservées aux investisseurs directs étrangers.
L’implantation de la station de dessalement de Jorf Lasfar a été étudiée de manière à tirer profit
des installations et infrastructures existantes de la plateforme à savoir:
Deux futures extensions sont également prévues par l’OCP, pour atteindre à terme une
production de 222.200 mètres cube.
L’entreprise espagnole qui a déjà réalisé deux usines de dessalement à Djerba et Zarzis en
Tunisie, a construit plus de 140 usines de traitement d’eaux industrielles à travers le monde.
La figure 3.5 donne un aperçu général sur l’implantation d’une station de dessalement
Pompage principale qui existe depuis la construction du pôle chimie et qui alimente toute
l’usine avec l’eau de mer d’un débit de 18000 m 3/h utilisé principalement pour le
refroidissement des équipements.
- vérifier la disposition des circuits des pompes de recyclage et des pompes d’UF.
Le nombre est lié au débit d’entrée (FIT 403) devisée sur le nombre des chambres, si on a:
3. DEMARRAGE DAF
1) La Vanne de by-pass:
Après le démarrage des pompes UF, l’eau passe par les filtres SELFCLEANING , et
la pression différentielle augmente, d’où il est nécessaire de faire des nettoyages par
flushing en ouvrant la vanne motorisée
Il y a 3 types de nettoyage ;
Par ordre de l’operateur.
Par un temps de fonctionnement déterminé
Par atteint d’une pression différentielle déterminée (0.6 bar) (alarme pour
0.8bar)
Pas plus qu’un filtre en nettoyage, et si on fait un nettoyage à un filtre les autres sont
nettoyés les uns après l’autre à un intervalle de 60s, sauf si le nettoyage et faite par un ordre
d’opérateur.
S’il y a un niveau haut au bassin de BW WAST WATER , on] le nettoyage n’est pas
autorisé et s’il y a un filtre en cour de nettoyage, il peut le terminer.
4) Injection du floculant :
Fermer la vanne
Arrêter les pompes
Arrêter le compresseur si les autres DAF non opération.
6 - racleur
La fonction du racleur est d’enlever les M.S qui flottent au dessus avec deux modes :
manuelle et automatique
*l’operateur démarrer racleur eu mode manuelle avec une minimum fréquence -50 Hz
* après 10,000 heurs de fonction alarme pour faire la maintenance.
Uf :
figure 12 :station uf
C’est une technique membranaire au même titre que la microfiltration ou l’osmose inverse.
Cependant, elles se différencient par la taille des particules séparées et les conditions de
travail. L’osmose inverse concerne les constituants les plus petits tels que des ions tandis
que la microfiltration arrête des particules dont la taille va de 0,1à 10 µm. La taille des
molécules ou des groupes de molécules retenus par membrane d’UF va de 0,002 à 0,1 µm.
Les constituants arrêtés peuvent être des bactéries, des macromolécules synthétiques ou
naturelles, des agrégats moléculaires ou des particules issus de divers procédés. Ils
pourront alors être recyclés plutôt que mis en décharge. L’ultrafiltration peut également
être considérée comme une technique de concentration à moindre coût énergétique.
3.L’OSMOSE INVERCE :
3.1Principe :
3.1.1 INRODUCTION
L'osmose est un phénomène naturel, sans lequel la vie serait impossible. Les
procédés osmotiques permettent aux plantes d'absorber les nutriments du sol. Dans
notre corps, nos reins purifient le sang grâce à l'osmose.
Bien que l'osmose a été découverte et étudié dès 1850, il a fallu attendre jusqu'en
1960 pour être capable d'appliquer ce procédé pour la dessalination de l'eau.
Lorsqu'on a un système, constitué de deux fluides qui sont séparées par une
membrane semi-perméable (perméables sauf pour les sels) et que l'on ajoute du sel
d'un côté du système, l'eau pure va commencer à s'écouler au travers de la
membrane. Ce flux ne s'arrête que lorsque la pression est la même de chaque côté
de la membrane. Le niveau de l'eau est alors plus élevé du côté où on a ajouté le
sel. La différence de niveau, causée par l'addition d'une certaine quantité de sel, est
appelée pression osmotique. La pression osmotique de l'eau de mer est d'environ
26 bars.
Comme définie précédemment la pression osmotique π est la pression qu’on doit appliquer pour
qu’il n’y ait pas de transfert aux deux côtés de membranes : c’est la pression d’équilibre.
Π = i ⋅ C⋅R⋅ T
Avec :
• T la température (K)
4.STATION DE REMINIRALISATION
a)Introduction
b)Préparation :
c)Nettoyage CIP :
1) Préparation de la solution
2) BACKWASHING
3) CIP
4) BACKWASHING
5) Paramètres à surveiller en CIP
Une 1fois la solution chimique est dans le bac, on la dilue par l’eau
osmosée .
Pour ajuster le PH, la solution est recyclée dans le bac par l’une des
pompes et la mesure du PH est prise par le transmetteur
• La vanne manuelle ouverte.
• La vanne manuelle fermée.
2) BACKWASHING :
3) CIP
4) BACKWASHING :
Remarque :
Si le niveau très bas est atteint au bac CIP , les pompes s’arrêtent(câblé)
Fugure14 :membranne
Il y a deux facteurs qui détermine l'efficacité d'un procédé de filtration sur
membrane, la sélectivité et la productivité. La sélectivité est exprimée par
un paramètre appelé la rétention ou le facteur de séparation (exprimé
en l/m2·h). La productivité est exprimée par un paramètre appelé le débit (ou
flux) (exprimé en l/m2·h). La sélectivité et la productivité sont dépendant de
la membrane.
Lors des filtrations l'encrassement des membranes est inévitable, même avec un
pré-traitement suffisant. Le type et la quantité d'encrassement dépend de beaucoup
de facteurs différents,
MEMBRANE EN POLYAMIDE
MEMBRANE EN CELLULOSE
Flexibilité du design:
Spiralé > fibre creuse > plan > tubulaire
Espace nécessaire:
Tubulaire >> plan > spiralé > fibre creuse
Risque d'encrassage:
fibre creuse >> spiralé > plan > tubulaire
Consommation d'énergie:
Tubulaire > plan > fibre creuse > spiralé
Il a été dit que pour les systèmes d'osmose inverse pour dessalement
d'eau de mer, les membranes spiralées sont le plus souvent utilisées.
Les systèmes qui comportent plus d'une étape sont appelés systèmes multi-étapes.
Ces systèmes peuvent atteindre des taux de récupération plus élevés, sans dépasser
la limite de l'élément seul. Pour augmenter le taux de recouvrement jusqu'à 70%,
deux étapes doivent être installer dans le système de traitement de l'eau.
Pour des taux de recouvrement plus élevés, on doit utiliser 3 étapes. Ces valeurs
sont basées sur l'hypothèses que l'on utilise des réservoirs sous pression standart
avec six éléments. Avec des résevoirs plus petits on doit doubler le nombre
d'étages.
SURVEILLANCE
le débit,
la pression
et la conductivité.
PROTECTION DU MATERIEL
Pour les installations de désalination le matériel doit posséder une certaine résistance à la
corrosion, Ceci est valable pour les parties externes, qui sont exposées à une atmosphère salée (
fuites, dispersion...) aussi bien que pour les parties internes. La corrosion des parties externes du
systèmes peuvent en général être empêcher en recouvrant la surface d'une couche protectrice
(galvanisation, peinture) et par une maintenance périodique du système et en bouchant les fuites.
En plus du fait que les matériaux sont protégés contre une corrosion potentielle, ils doivent aussi
être capable de résister à la pression, aux vibrations et aux changements de température.
Pour éviter la corrosion et les réactions chimiques dans les parties du système où la pression est
faible (<10 bar), des matériaux non-métalliques tels que le PVC et la fibre de verre sont en
général utilisés. Dans les parties sous hautes pressions (10 - 70 bars), comme par exemple au
niveau des pompes, des canaus et des couvercles, on doit utiliser des métaux pour avoir le même
type de protection.
Le PVC et certains métaux ne résistent pas suffisemment à la corrosion. Quand ils commencent à
se corroder ils peuvent contaminer les membranes. On doit garder cela à l'esprit quand on pense
à) la protection contre la corrosion.
Le principal matériau qui est utilisé pour les parties sous hautes pressions est l'acier inoxydable.
L'avantage de l'acier inoxydable est qu'il est résistant à la corrosion et à l'érosion. L'acier
inoxydable est rarement atteint par la corrosion galvanique.
Les tuyaux et les composants de l'installation sont généralement construit dans les matériaux
suivants:
Filtres bougies et réservoirs: filtre en polypropylène dans réservoirs en PVC ou acier inoxydable
Pompes: acier inoxydable
Tuyaux basse-pression: PVC
Tuyaux haute-pression: acier inoxydable
Système de nettoyage: PVC ou autre matériau synthétique(polymère) résistant au produits
chimiques
7.Etude de l installation
Donnée d’entrée
Eau d’alimentation TDS= 35 000 ppm
Température T=25°C
Calcul
On sait que Rmini requise = 1-(TDS permeat /facteur de sécurité)
TDS d’alimentation
Rqe :on a pris la valeur de TDS de pérmeat maximale (10 ppm) pour obtenir la
valeur minimale de R
Flux de dimensionnement =
un tube de pression
Bilan massique
CA1*QA1=CP1*QP1+CR1*QR1
d’où on déduit que
QA1-QP1
OR a1= QP1/ QA1 d’ou QP1= a1 * QA1
D’ou CR1 = CA1-a1* CP1
CA1
CR1= CA1(1-a1(1-R1))
1-a1
On sait que
Débit de perméat
Flux=
Surface de membrane
et on a aussi
Perméabilité = flux
Pression efficace
Donnée
T = 25 °C
Perméabilité A= 11.5
Surface membranaire S=30 m2
1 ere membrane
AN ∏1=23.8 bar
Salinité : rejet
1-a M1
Donc QP2=83.3m3/h
C’ = CR2 x QR2 + CA1 (QA1 – QR2) tel que QR2 =QA2 - QP2
QA1
AN QR2 =14.7 m3/h CR2 = 2313.5 ppm QA1 =233.3 m3/h
CA1 =35000
D’ou C’ = 32 925.45 ppm
Etude énergétique
On sait que
ηP= P utile
P absorbé
Or P utile =ρ(eau de mer)x g x h x QA1 or dem=ρ(eau de mer) / ρ(eau)
= ρ(eau) x dem x g x h x QA1
OR Pression = ρ(eau) x g x h donc
36 a1 ηP
Récupération turbine
ηT= P utile
P absorbé
Cote mécanique :
Coté électrique