Professional Documents
Culture Documents
P0006633
NOR GN TR 13 0012.43
La rédaction des présentes normes a été rendue possible grâce à l’étroite collaboration
des nombreuses personnes qui ont travaillé au sein des diverses équipes du comité
ministériel de normalisation.
© Gouvernement du Québec
Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction par quelque procédé que ce soit et la traduction,
même partielles, sont interdites sans l’autorisation des Publications du Québec.
Commande et abonnement
Si vous désirez commander des livres ou vous abonner à la version électronique de
la collection Normes – Ouvrages routiers, vous pouvez joindre les Publications du Québec :
www.publicationsduquebec.gouv.qc.ca Téléphone : 418 643-5150
Dans le menu « Produits en ligne », 1 800 463-2100
choisir la rubrique Ouvrages routiers
puis Pour commander.
Collection Normes – Ouvrages routiers Collection des documents contractuels Autres documents
Nom du demandeur (en lettres moulées) Courriel Service Signature du chef de service Date (AAAA-MM-JJ)
Signature du demandeur Date (AAAA-MM-JJ) Téléphone Poste Direction Signature du directeur Date (AAAA-MM-JJ)
Collection
Tome VII – Matériaux Normes – Ouvrages routiers Date
(numéro de la mise à jour)
Édition originale — 95 05 26
2e 5 97 06 27
3e 9 99 06 01
4e 11 99 12 01
5e 15 2000 12 01
6e 19 2001 12 15
7e 23 2002 12 15
8e 29 2003 12 15
9e 36 2004 12 15
10e 42 2005 12 15
11e 50 2006 12 15
12e 56 2007 12 15
13e 64 2008 12 15
14e 71 2009 12 15
15e 79 2010 12 15
16e 85 2011 12 15
17e 92 2012 12 15
Pour consulter la liste des mises à jour des années 1995 à 2007, vous devrez dorénavant aller dans le
site Web des Publications du Québec à l’adresse suivante : www.publicationsduquebec.gouv.qc.ca.
Dans le menu « Produits en ligne », choisir la rubrique Ouvrages routiers puis Répertoire des mises à jour.
N° Date N° Date
58 Tome III – Ouvrages d’art 2008 01 30 80 Tome III – Ouvrages d’art 2011 01 30
59 Tome IV – Abords de route 2008 06 15 81 Tome I – Conception routière 2011 10 30
60 Tome VI – Entretien 2008 06 15 82 Tome II – Construction routière 2011 10 30
61 Tome I – Conception routière 2008 10 30 83 Tome VIII – Dispositifs de retenue 2011 10 30
62 Tome II – Construction routière 2008 10 30 84 Tome V – Signalisation routière Déc. 2011
Volume V – Traffic Control Devices Dec. 2011
63 Tome V – Signalisation routière Nov. 2008
Volume V – Traffic Control Devices Nov. 2008 85 Tome VII – Matériaux 2011 12 15
64 Tome VII – Matériaux 2008 12 15 86 Tome III – Ouvrages d’art 2012 01 30
65 Tome V – Signalisation routière Déc. 2008 87 Tome I – Conception routière 2012 06 15
Volume V – Traffic Control Devices Dec. 2008 88 Tome IV – Abords de route 2012 06 15
66 Tome III – Ouvrages d’art 2009 01 30 89 Tome VI – Entretien 2012 06 15
67 Tome V – Signalisation routière Avril 2009 90 Tome VIII – Dispositifs de retenue 2012 09 30
Volume V – Traffic Control Devices April 2009
91 Tome V – Signalisation routière Déc. 2012
68 Tome IV – Abords de route 2009 06 15 Volume V – Traffic Control Devices Dec. 2012
69 Tome I – Conception routière 2009 10 30 92 Tome VII – Matériaux 2012 12 15
70 Tome VI – Entretien 2009 12 15 93 Tome II – Construction routière 2013 01 30
71 Tome VII – Matériaux 2009 12 15 94 Tome III – Ouvrages d’art 2013 01 30
72 Tome V – Signalisation routière Déc. 2009 95 Tome VIII – Dispositifs de retenue 2013 04 15
Volume V – Traffic Control Devices Dec. 2009
96 Tome I – Conception routière 2013 06 15
73 Tome III – Ouvrages d’art 2010 01 30
97 Tome IV – Abords de route 2013 06 15
74 Tome II – Construction routière 2010 03 30
98 Tome VI – Entretien 2013 06 15
75 Tome I – Conception routière 2010 06 15
99 Tome VIII – Dispositifs de retenue 2013 09 30
76 Tome IV – Abords de route 2010 06 15
100 Tome VII – Matériaux 2013 12 15
77 Tome II – Construction routière 2010 10 30
78 Tome V – Signalisation routière Déc. 2010
Volume V – Traffic Control Devices Dec. 2010
79 Tome VII – Matériaux 2010 12 15
Organismes de normalisation
La normalisation est la vocation première de plusieurs organismes,
dont le Bureau de normalisation du Québec (BNQ), l’Office des normes
générales du Canada (ONGC), l’Association canadienne de normali-
sation (CSA). Cependant, ces organismes ont élaboré des normes qui
sont axées davantage sur les besoins de l’industrie que sur ceux du
génie routier. L’Association des transports du Canada (ATC), l’American
Association of State Highway and Transportation Officials (AASHTO), la
Federal Highway Administration (FHWA) et le Transportation Research
Board (TRB), notamment, produisent des publications techniques en
matière de transport. C’est aussi le cas de l’Association mondiale de la
route (AIPCR).
Ce sont autant de partenaires avec lesquels nous devons assurer
des échanges constants pour garantir la qualité de nos propres activités
de normalisation.
Contenu réglementaire
Une grande partie des normes de signalisation routière revêt un
caractère obligatoire. En vertu du Code de la sécurité routière (RLRQ,
chapitre C-24.2), tout gestionnaire de réseau routier est tenu de se
conformer aux normes du Tome V – Signalisation routière lorsqu’une
obligation y est mentionnée.
Complément à la norme
Contrairement à la norme et au règlement, il ne possède pas de
statut particulier. Il s’agit, comme son nom l’indique, de diverses infor-
mations destinées à compléter la norme. Il présente des explications,
des exemples, des solutions de rechange, des références à un ou des
ouvrages complémentaires, des marges de manœuvre ou toute autre
information jugée nécessaire au travail de l’utilisateur de la norme. Il n’a
aucun caractère obligatoire et il a pour seul but de compléter l’informa-
tion par des données que l’on ne veut pas nécessairement normaliser.
Particularité de l’annexe du Tome VIII – Dispositifs de retenue : ce
tome présente en annexe le contenu du guide Dispositifs de retenue –
Guide d’application des normes. Le texte n’a pas été présenté en bronze
pour en faciliter la lecture. Comme indiqué dans la légende de chaque
page et compte tenu du lettrage bronze utilisé pour les titres des pages
et de l’italique du texte, l’annexe est considérée dans son ensemble,
comme un complément à la norme.
Présentation
Les huit tomes des normes de conception, de construction et d’en-
tretien routier du ministère des Transports sont numérotés en chiffres
romains. Chaque tome est divisé en chapitres, numérotés en chiffres
arabes, qui, à leur tour, sont divisés en sections et en sous-sections.
Les dessins normalisés sont quant à eux numérotés avec des nombres
à trois chiffres (001, 002, 003, etc.) afin de les distinguer des numéros
de page (1, 2, 3, etc.).
Les références sont indiquées de la manière suivante :
Dessin normalisé
Tome-chapitre-numéro du dessin
Exemple :
Dessin normalisé II-2-025
Conclusion
Le changement le plus important apporté à cette nouvelle version
des normes est l’introduction de la notion de complément à la norme.
Cette nouvelle catégorie d’information nous permettra de clarifier le
statut que le Ministère entend donner à l’information présentée dans la
collection. Certaines données considérées jusqu’ici comme normatives
pourraient ne plus l’être dans l’avenir.
Il faut se rappeler que le tout continuera à être utilisé sous la super-
vision d’un ingénieur qui a la responsabilité d’appliquer une norme ou
de proposer une autre solution.
Les changements seront apportés progressivement. Certaines don-
nées qui ne pouvaient être présentées dans le cadre normatif habituel
pourront être ajoutées. Avec le temps, cette nouvelle façon de faire
apportera tous les avantages escomptés. Cela devrait permettre une
meilleure compréhension de la norme et de ses répercussions, donc
une meilleure utilisation de celle-ci.
Lexique
Le Lexique de la collection Normes – Ouvrages routiers est disponible pour l’ensemble de
la clientèle en version numérique seulement à l’adresse suivante :
http://www3.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/produits/ouvrage_routier.fr.html.
i
Copie de travail - DESSAU - NOR GN TR 13 0012.43
COLLECTION NORMES – OUVRAGES ROUTIERS
–––
Chapitre
–––
notes gÉnÉrales Page
1
Date
Oct. 2011
Système international 3
Symboles 3
Table d’équivalence 4
Organismes de référence 5
–––
Chapitre
–––
notes gÉnÉrales
Page
but du chapitre
2
Date
Oct. 2011
–––
Chapitre
3
Date
Déc. 2013
Symboles
–––
Chapitre
–––
NOTES GÉNÉRALES
Page
SYSTÈME INTERNATIONAL
4
Date
Déc. 2013
Table d’équivalence
Longueur
1 po = 25,4 mm 1 mm = 0,0394 po
1 pi = 0,3048 m 1 m = 3,2808 pi
1 vg = 0,9144 m 1 m = 1,0936 vg
1 mille = 1,6093 km 1 km = 0,6214 mille
Superficie
1 po2 = 645,16 mm2 1 mm2 = 0,0016 po2
1 pi2 = 0,0929 m2 1 m2 = 10,7639 pi2
1 vg2 = 0,8361 m2 1 m2 = 1,196 vg2
1 acre = 0,4047 ha 1 ha = 2,471 acres
1 mille2 = 2,59 km2 1 km2 = 0,386 mille2
Volume
1 pi3 = 0,0283 m3 1 m3 = 35,3147 pi3
1 vg3 = 0,7646 m3 1 m3 = 1,3079 vg3
1 gal Imp = 4,5461 l 1 l = 0,22 gal Imp
Masse
1 oz = 28,3495 g 1 g = 0,0353 oz
1 lb = 0,4536 kg 1 kg = 2,2046 lb
1 tonne (2000 lb) = 0,9071 t 1 t = 1,1023 tonne (2000 lb)
Force
1 lb-force = 4,4482 N 1 N = 0,2248 lb-force
1 tonne-force = 8,8964 kN 1 kN = 0,1124 tonne-force
Pression
1 lb/po2 = 6,8948 kPa 1 kPa = 0,145 lb/po2
1 ton/po2 = 13,7895 MPa 1 MPa = 0,0725 ton/po2
Éclairement
1 pi/bougie = 10,7643 lux 1 lux = 0,0929 pi/bougie
Luminance
1 pied-lambert = 3,426 cd/m2 1 cd/m2 = 0,292 pied-lambert
–––
Chapitre
NOTES GÉNÉRALES –––
ORGANISMES DE RÉFÉRENCE Page
Déc. 2013
–––
Chapitre
Déc. 2013
www.atraq.com www.cifq.com
www.caaquebec.com www.fqm.ca
–––
Chapitre
notes gÉnÉrales –––
organismes de référence Page
Déc. 2012
–––
Chapitre
Déc. 2012
TC Transports Canada
www.tc.gc.ca
vII
Chapitre
1
Classification des sols Page
i
Date
2009 12 15
VII
1.1 Classification des sols
Chapitre Norme
1 1101
Page
Classification des sols 1 4
NORME
de
Date
2009 12 15
1 1101
Page
Date
2009 12 15
VII
1.1 Classification des sols
Chapitre Norme
1 1101
Page
Classification des sols 3 4
NORME
de
Date
2009 12 15
Exemple :
GW/QB (400–0 mm) 65 % P.
Ce sol contient au moins 50 % de sols à gros
grains et à grains fins, et entre 10 % et 50 %
de sols à grains extra-gros dont la dimension
maximale est de 400 mm. De plus, ce sol
con-tient 65 % de particules supérieures à
5 mm.
Exemple :
GM (150–0 mm) 45 % P.
Ce sol contient 90 % et plus de sols à gros
grains et à grains fins, et moins de 10 % de sols
à grains extra-gros dont la dimension maximale
est de 150 mm. De plus, ce sol contient 45 %
de particules supérieures à 5 mm et plus de
12 % de particules inférieures à 80 µm.
Contenu normatif
1
Chapitre
Classification des sols
de
Date
VII
Page
Tome
Symboles
Principales divisions Description Critères de classification
Code Symbole
2009 12 15
Norme
1101
Blocs (B) B Blocs Si moins de 20 % des éléments sont inférieurs ou égaux à 300 mm,
donner au sol la classification « blocs », B.
Éléments > 300 mm
BQ Blocs et cailloux Si de 20 % à 50 % des éléments sont inférieurs ou égaux à 300 mm,
donner au sol la classification « blocs et cailloux », BQ.
Cailloux (Q) QB Cailloux et blocs Si de 50 % à 80 % des éléments sont inférieurs ou égaux à 300 mm,
Niveau 1
donner au sol la classification « cailloux et blocs », QB.
Sols à grains
Éléments > 80 mm
Q Cailloux Si 80 % ou plus des éléments sont inférieurs ou égaux à 300 mm,
extra-gros > 80 mm
et ≤ 300 mm
donner au sol la classification « cailloux », Q.
Graviers (G) Graviers GW Gravier bien gradué, mélange gravier– C 4 et 1 ≤ C ≤ 3
u c
Moins propres sable. Peu ou pas de grains fins.
de 50 % GP Gravier mal gradué, mélange gravier– C < 4 ou 1 > C > 3
u c
passent le sable. Peu ou pas de grains fins.
tamis de Graviers GM Gravier silteux, Limites de consistance sous la ligne « A » du diagramme de Les limites de consistance situées
5 mm (2,3) plasticité de la figure 1101–1 ou indice de plasticité inférieur à 4. dans la zone hachurée du
avec grains mélange gravier-sable-silt.
diagramme de plasticité de la
fins GC Gravier argileux, Limites de consistance au-dessus de la ligne « A » du diagramme figure 1101–1 requièrent un
de plasticité de la figure 1101–1 et indice de plasticité supérieur à 7.
mélange gravier-sable-argile. symbole double.
tamis de Sables avec SM Sable silteux, mélange sable-silt. Limites de consistance sous la ligne « A » du diagramme de Les limites de consistance situées
plasticité de la figure 1101–1 ou indice de plasticité inférieur à 4. dans la zone hachurée du
5 mm (2,3) grains fins diagramme de plasticité de la
Limites de consistance au-dessus de la ligne « A » du diagramme
1.1 Classification des sols
symbole double.
Niveau 2
Silts et argiles ML Silt inorganique, poussière de roche, Figure 1101–1
sable très fin silteux ou argileux,
WL ≤ 50
silt argileux de faible plasticité. Diagramme de plasticité
CL Argile inorganique de faible plasticité,
argile graveleuse, sableuse, silteuse.
OL Silt organique, mélange silt-argile
organique de faible plasticité.
Silts et argiles MH Silt inorganique et sable très fin
ou silteux de grande plasticité.
Contenu normatif
Tome
vII
Chapitre
2
Granulats Page
i
Date
2008 12 15
Normes archivées (1)
Norme (dernière version active) Remarque Archivée le
2102 Matériaux granulaires pour fondation, Norme retirée, se référer à 2007 12 15
sous-fondation, couche de roulement granulaire la norme NQ 2560–114.
et accotement (2005 12 15)
2103 Matériaux granulaires pour coussin, Norme retirée, se référer à 2007 12 15
enrobement, couche anticontaminante la norme NQ 2560–114.
et couche filtrante (2004 12 15)
1. Ces normes ont été retirées ou fusionnées et ne sont plus présentées dans le présent document.
VII
2.1 Granulats
Chapitre Norme
2 2101
Page
Granulats 1 de 5
NORME Date
2007 12 15
2 2101
Page
2 de 5 Granulats
Date NORME
2007 12 15
Contenu normatif
Figure 2101–1
Analyse granulométrique
VII
2.1 Granulats
Chapitre Norme
2 2101
Page
Granulats 3 de 5
NORME Date
2007 12 15
2 2101
Page
4 de 5 Granulats
Date NORME
2007 12 15
5. Classification
Tableau 2101–2
Catégories de gros granulats selon leurs caractéristiques intrinsèques
de résistance à l’usure et aux chocs
Caractéristiques Méthodes Catégories de gros granulats
intrinsèques d’essais 1 2 3 4 5 6
Micro-Deval (MD) LC 21–070 ≤ 15 ≤ 20 ≤ 25 ≤ 30 ≤ 35 ≤ 40
Los Angeles (LA) LC 21–400 ≤ 35 ≤ 45 ≤ 50 ≤ 50 ≤ 50 ≤ 50
Micro-Deval et Los ≤ 40 ≤ 55 ≤ 70 ≤ 75 ≤ 80 ≤ 85
Angeles (MD + LA)
Contenu normatif
VII
2.1 Granulats
Chapitre Norme
2 2101
Page
Granulats 5 de 5
NORME Date
2007 12 15
Tableau 2101–3
Catégorie de gros granulats selon leurs caractéristiques de fabrication
Caractéristiques Méthodes Catégories de gros granulats
de fabrication d’essais a b c d e
Fragmentation (%) LC 21–100 100 ≥ 75 ≥ 60 ≥ 60 ≥ 50
Particules plates (%) (1) LC 21–265 ≤ 25 ≤ 25 ≤ 25 ≤ 30 —
Particules allongées (%) (1)
LC 21–265 ≤ 40 ≤ 40 ≤ 45 ≤ 50 —
1. Pour les particules plates et allongées, l’essai s’effectue sur la partie retenue au tamis de 10 mm.
Tableau 2101–4
Catégories de granulats fins selon leurs caractéristiques intrinsèques
de résistance à l’usure et de friabilité
Caractéristiques Méthodes Catégories de granulats fins
intrinsèques d’essais 1 2 3
Micro-Deval (MD) LC 21–101 ≤ 30 ≤ 35 ≤ 35
Friabilité LC 21–080 ≤ 40 ≤ 40 —
Contenu normatif
2 2102
Matériaux granulaires pour fondation,
Page
sous-fondation, couche de roulement 1 1
NORME
de
granulaire et accotement Date
2007 12 15
2 2103
Matériaux granulaires pour coussin, Page
enrobement, couche anticontaminante 1 1
NORME
de
2007 12 15
VII
Chapitre
BÉTONS ET 3
i
Date
2013 12 15
Normes archivées (1)
Norme (dernière version) Remarque Archivée le
3102 Béton autoplaçant (2005 12 15) Fusionnée à la norme 3101. 2006 12 15
3103 Bétons de ciment au latex (2005 12 15) Fusionnée à la norme 3101. 2006 12 15
3104 Béton antilessivage (2005 12 15) Fusionnée à la norme 3101. 2006 12 15
3401 Bordures et musoirs (95 05 26) Norme retirée, se référer à la norme 2000 12 01
NQ 2624–210.
1. Ces normes ont été retirées ou fusionnées et ne sont plus présentées dans le présent document.
VII
3.1 Bétons
Chapitre Norme
3 3101
Bétons de masse Page
1 11
volumique normale
NORME
de
Date
2013 12 15
3 3101
Page Bétons de masse
2 11
volumique normale
NORME
de
Date
2013 12 15
VII
3.1 Bétons
Chapitre Norme
3 3101
Bétons de masse Page
3 11
volumique normale
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 3101–1
Caractéristiques des bétons de masse volumique normale pour les ouvrages routiers
Affaissement
Résistance Masse min. Rapport Gros Teneur (mm)
Type à 28 jours liant Type de liant (1) eau/liant granulats en air (2) L max
(MPa) (kg/m³) max. (mm) (%) (μm)
± 20 ± 30
340 GUb–SF
V 35 0,45 5–20 5–8 — 80 (5) 230
365 GUb–F/SF, GUb–S/SF
VI 35 390 GU, GUL, MS, MH, HE (3) 0,40 5–20 5–8 30 — 230
340 GUb–SF
VII 35 0,45 5–20 5–8 30 — 230
350 GUb–F/SF, GUb–S/SF
de
Date
VII
Page
Tome
11
2013 12 15
(mm) ± 50
Norme
(μm)
3101
(MPa) (kg/m³) dans l’intervalle (mm) (%) ± 30 ± 40 (Coulombs)
340 GUb–SF
V 35 0,45 5–20 5–8 80 (3) — — 230 1500
365 GUb–F/SF, GUb–S/SF
V-DC 35 340 GUb–SF 0,35 5–20 5–8 — (4) — — 230 1000
(5)
390 GUb–SF, HEb–SF ,
HEb-N (5) 5–20
V-P 35 0,45 5–14 5–8 150 — — 230 1000
410 GUb–F/SF, GUb–S/SF
340 GUb–SF
V-S 35 0,38 à 0,42 5–20 5–8 130 — — 230 1000
365 GUb–F/SF, GUb-S/SF
VIII 50 410 GUb–SF 0,37 5–14 5–8 — 180 — 230 1000
IX 60 410 GUb–SF 0,35 5–14 5–8 — 180 — 230 1000
340 GU, GUL
XI 30 0,50 5–20 4–7 150 — — — —
330 GUb–F/SF, GUb–S/SF
XIII 50 410 GUb–SF, GUb–F/SF, 0,34 à 0,38 5–14 5–8 170 — — 230 (11) 1000
GUb–S/SF
3.1 Bétons
400 GUb–SF
XIV-C 35 (6) 0,45 5–14 6–9 — — 625 230 (12) 1000
420 GUb–F/SF, GUb–S/SF
BÉTONS ET PRODUITS CONNEXES
Bétons de masse
XIV-R 35 (6) 460 GUb–F/SF, GUb–S/SF 0,35 à 0,40 (7) 2,5–10 (8) 6–9 — — 675 230 (12) 1000
volumique normale
XVI-5 35 390 GUb–SF, GUb–F/SF, 0,40 2,5–10 4–8 120 — — 230 1000
GUb–S/SF
XV : Béton antilessivage
9. La proportion de granulat fin doit être entre 45 et 55 %, pourcentage calculé par rapport au XVI-5 : Béton latex 5 %
granulat total.
XVI-15 : Béton latex 15 %
10. L’exigence de 3 à 7 % s’applique pour la bétonnière mobile. Pour la centrale de dosage, la
teneur en air est de 5 à 8 %.
Contenu normatif
BÉTONS ET PRODUITS CONNEXES Tome
VII
3.1 Bétons
Chapitre Norme
3 3101
Bétons de masse Page
5 11
volumique normale
NORME
de
Date
2013 12 15
3 3101
Page Bétons de masse
6 11
volumique normale
NORME
de
Date
2013 12 15
VII
3.1 Bétons
Chapitre Norme
3 3101
Bétons de masse Page
7 11
volumique normale
NORME
de
Date
2013 12 15
3 3101
Page Bétons de masse
8 11
volumique normale
NORME
de
Date
2013 12 15
VII
3.1 Bétons
Chapitre Norme
3 3101
Bétons de masse Page
9 11
volumique normale
NORME
de
Date
2013 12 15
ros 1 à 10 doivent être présentées. Dans le peut également valider le béton de type V des
cas de changements dans les constituants autres usines d’un même fournisseur de béton.
3 3101
Page Bétons de masse
10 11
volumique normale
NORME
de
Date
2013 12 15
VII
3.1 Bétons
Chapitre Norme
3 3101
Bétons de masse Page
11 11
volumique normale
NORME
de
Date
2013 12 15
4.5.2 Étiquetage
Les sacs de béton de type XIV-S doivent
porter les indications suivantes :
– le nom du fabricant;
– le nom du matériau;
– la masse sèche du béton;
– le rendement;
– le numéro de lot.
Tableau 3101–4
Température du béton au moment de la mise
en place
Épaisseur Température (°C)
de l’élément (m) Min. Max.
<1 10 30 (1)
1à2 5 25 (1)
>2 5 20
1. La température du béton de type XIII ne doit pas
dépasser 22 °C.
Entre le 15 mai et le 15 octobre, cette exigence
maximale de 22 °C s’applique également au béton
de certains éléments d’ouvrages d’art, soit :
– les dalles épaisses;
– les portiques (béquilles, goussets et dalle);
– les glissières;
– les chasse-roues;
– les trottoirs;
– les pistes cyclables;
Contenu normatif
VII
3.2 Béton projeté par procédé à sec
Chapitre Norme
3 3201
Page
Béton projeté par procédé à sec 1 5
NORME
de
Date
2008 12 15
que des sols inorganiques ». ter de gonflement excessif avec les alcalis du
mélange.
3 3201
Page
Date
2008 12 15
VII
3.2 Béton projeté par procédé à sec
Chapitre Norme
3 3201
Page
Béton projeté par procédé à sec 3 5
NORME
de
Date
2008 12 15
Tableau 3201–1
Caractéristiques du béton projeté par procédé à sec
Résistance Masse min. de ciment (kg/m3) Rapport Gros granulats Masse min.
Teneur en air
à 28 jours Ciment eau/liant 2,5–10 mm de fibres
Type HE(2) (%)
(MPa) composé(1) max. (% masse min.) (kg/m3)
3 3201
Page
Date
2008 12 15
VII
3.2 Béton projeté par procédé à sec
Chapitre Norme
3 3201
Page
Béton projeté par procédé à sec 5 5
NORME
de
Date
2008 12 15
VII
3.3 Béton projeté par procédé humide
Chapitre Norme
3 3301
Page
Béton projeté par procédé humide 1 4
NORME
de
Date
2008 12 15
3 3301
Page
Date
2008 12 15
VII
3.3 Béton projeté par procédé humide
Chapitre Norme
3 3301
Page
Béton projeté par procédé humide 3 4
NORME
de
Date
2008 12 15
Tableau 3301–1
Caractéristiques du béton projeté par procédé humide
Masse min. de ciment
Résistance Rapport Gros granulats Affaissement(2) Teneur en air(3) Masse min.
(kg/m3)
à 28 jours eau/liant 2,5–10 mm de fibres
(MPa) max. (% masse min.) (mm) (%) (kg/m3)
Ciment composé(1)
3 3301
Page
Date
2008 12 15
VII
3.4 Éléments en béton préfabriqués
Chapitre Norme
3 3402
Page
Pavés 1 1
NORME
de
Date
2009 12 15
1. Objet
La présente norme a pour objet de
déterminer les exigences du Ministère en ce
qui a trait aux caractéristiques et aux critères
d’évaluation des pavés en béton préfabriqués
en usine.
2. Références
La présente norme renvoie à l’édition la
plus récente des documents suivants :
NORME
ASSOCIATION CANADIENNE
DE NORMALISATION
CSA A231.1/A231.2 « Precast Concrete
Paving Slabs/Precast Concrete Pavers ».
3. Caractéristiques requises
Le pavé en béton préfabriqué doit respec-
ter les exigences de la norme CSA A231.1/
A231.2 « Precast Concrete Paving Slabs/
Precast Concrete Pavers ».
VII
3.4 Éléments en béton préfabriqués
Chapitre Norme
3 3403
Page
Blocs remblais 1 4
NORME
de
Date
2008 12 15
1. Objet 3. Définition
La présente norme a pour objet de La définition suivante s’applique à la
déterminer les exigences du Ministère en ce présente norme.
qui a trait aux caractéristiques et aux critères Bloc remblai
d’évaluation des blocs remblais en béton Élément de forme polygonale quelconque,
préfabriqués en usine. Ces blocs doivent être conçu pour empêcher le glissement l’un sur
fabriqués à l’aide d’un équipement approprié, l’autre, et servant à la construction de murs de
en utilisant un béton sans affaissement. soutènement, revêtements de talus, murets et
matelas de protection contre l’érosion.
2. Références Note :
La présente norme renvoie à l’édition la Bloc remblai est aussi connu sous l’appellation
plus récente des documents suivants : « parpaing ».
3 3403
Page
2 4 Blocs remblais
NORME
de
Date
2008 12 15
VII
3.4 Éléments en béton préfabriqués
Chapitre Norme
3 3403
Page
Blocs remblais 3 4
NORME
de
Date
2008 12 15
3 3403
Page
4 4 Blocs remblais
NORME
de
Date
2008 12 15
VII
3.5 Matériaux de cure
Chapitre Norme
3 3501
Page
Matériaux de cure 1 2
NORME
de
Date
2008 12 15
3 3501
Page
2 2 Matériaux de cure
NORME
de
Date
2008 12 15
Contenu normatif
VII
3.6 Imperméabilisants à béton
Chapitre Norme
3 3601
Page
Imperméabilisants à béton 1 2
NORME
de
Date
2008 12 15
3 3601
Page
2 2 Imperméabilisants à béton
NORME
de
Date
2008 12 15
Tableau 3601–1
Exigences sur le polymère de silicone
(%) de réduction de (%) de réduction de de la
Produits l’absorption de l’eau(1) pénétration des chlorures (1)
(min.) (min.)
Silane
(teneur en matières solides
80 80
supérieure ou égale à 40 %
en masse)
Silane ou autres produits
apparentés
75 75
(teneur en matières solides
inférieure à 40 % en masse)
1. Par rapport à un béton témoin.
Contenu normatif
VII
3.7 Membrane d’étanchéité
Chapitre Norme
3 3701
Page
Membrane d’étanchéité 1 4
NORME
de
Date
2008 12 15
1. Objet 3. Définition
La présente norme a pour objet de La définition suivante s’applique à la
déterminer les exigences du Ministère en ce présente norme :
qui a trait aux caractéristiques et aux critères Membrane d’étanchéité
d’évaluation d’une membrane d’étanchéité. Revêtement adhérent et imperméable à l’eau,
mis en place sur une dalle sur poutre ou sur
2. Références un tablier d’ouvrage d’art pour protéger les
La présente norme renvoie à l’édition la surfaces de béton contre l’arrivée d’eau char-
plus récente des documents suivants. gée de sels de déglaçage.
NORMES :
4. Caractéristiques requises
La membrane d’étanchéité comprend :
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING – une couche d’accrochage au béton;
AND MATERIALS
– une feuille préfabriquée qui adhère à
ASTM C 836 « Standard Specification for High la surface de la dalle par fusion.
Solids Content, Cold Liquid-Applied Elasto-
La couche d’accrochage est constituée
meric Water-proofing Membrane for Use with
par un enduit à base de bitume modifié par
Separate Wearing Course ».
un polymère SBS (styrène-butadiène-styrène).
OFFICE DES NORMES GÉNÉRALES La teneur minimale de SBS du bitume modifié
DU CANADA doit être de 8 % en volume.
ONGC 37–GP–56 « Membrane bitumineuse La feuille préfabriquée est constituée :
modifiée, préfabriquée et renforcée, pour le – d’une armature en polyester non tissée;
revêtement des toitures ». – d’un bitume élastomère SBS (styrène-
butadiène-styrène) enrobant l’armature
autres DOCUMENTS : synthétique des deux côtés. L’épaisseur
de la couche de bitume destinée à la
LABORATOIRE CENTRAL DES PONTS fusion doit être telle qu’elle permette une
ET CHAUSSÉES adhérence en tout point de la feuille au
« Caractéristiques mécaniques de matériaux support, sans endommager l’armature à
en films et en feuilles » : l’occasion du soudage;
– Détermination de la composition d’une – d’une couche supérieure de protection
feuille d’étanchéité bitumineuse. constituée de gravillons minéraux de cou-
leur grise, appliqués à un taux maximal de
– Détermination des caractéristiques en
1,2 kg/m2 et incrustés dans le bitume.
traction.
L’épaisseur minimale de la feuille pré-
– Détermination de l’adhérence.
fabriquée, mesurée en pleine feuille, est de
– Détermination de l’imperméabilité. 4,5 mm.
Contenu normatif
3 3701
Page
2 4 Membrane d’étanchéité
NORME
de
Date
2008 12 15
VII
3.7 Membrane d’étanchéité
Chapitre Norme
3 3701
Page
Membrane d’étanchéité 3 4
NORME
de
Date
2008 12 15
4.1.6 Essai d’adhérence au support 1 kg que l’on laisse tomber d’une hauteur de
L’essai est réalisé selon le mode opératoire 500 mm, présenter une marque légère mais
LCPC « Détermination de l’adhérence », à la sans subir de perforation et être étanches à
température de 20 ± 1 °C. l’eau.
L’adhérence au support doit être supé- 4.1.10 Essai de résistance au choc
rieure à 0,4 MPa.
statique
4.1.7 Essai de souplesse à basse L’essai est réalisé sur des éprouvettes de
température 200 x 200 mm, conformément au mode opé-
ratoire « Essai de perforation statique » décrit
L’essai est réalisé sur une éprouvette de dans la norme ONGC 37–GP–56 « Membrane
100 x 150 mm refroidie jusqu’à -10 °C et pliée bitumineuse modifiée, préfabriquée et renfor-
à angle droit sur un mandrin de 25 mm de cée, pour le revêtement des toitures ».
rayon en 2 secondes.
Les éprouvettes doivent pouvoir résister
L’éprouvette ne doit présenter aucun à une force de 245 N exercée à 23 ± 2 °C
signe de craquelage ou de fendillage. pendant une heure, présenter une marque
légère mais sans subir de perforation et être
4.1.8 Essai d’imperméabilité
étanches à l’eau.
L’essai est réalisé selon le mode opératoire
LCPC « Détermination de l’imperméabilité ». 4.1.11 Détermination du pouvoir
Une éprouvette de 150 mm de diamètre de colmatage des fissures
est soumise à une pression d’eau de : L’essai est réalisé conformément à la
– 0,1 MPa pendant 5 jours; norme ASTM C 836 « Standard Specification
– 0,2 MPa pendant 1 jour; for High Solids Content, Cold Liquid-Applied
– 0,3 MPa pendant 1 jour; Elasto-meric Waterproofing Membrane for Use
with Separate Wearing Course ».
– 0,5 MPa pendant 1 jour.
À une température de -20 °C, après
Au cours de l’essai, on ne doit observer 10 cycles de dilatation et de compression,
aucun passage d’eau. à une vitesse de 3 mm/h, ouvrant à 3 mm,
l’éprouvette ne doit présenter aucun signe
4.1.9 Essai de résistance au choc de craquelage, de fendillement ou de perte
dynamique d’adhérence.
L’essai est réalisé sur des éprouvettes
de 300 x 300 mm, conformément au mode 4.1.12 Détermination de la stabilité
opératoire « Essai de résistance au choc sous l’enrobé
dynamique » décrit dans la norme ONGC La feuille préfabriquée est préalablement
37–GP–56 « Membrane bitumineuse modifiée, enduite d’une émulsion anionique à rupture
préfabriquée et renforcée, pour le revêtement lente (SS–1) au taux résiduel de 0,15 l/m2,
des toitures ». puis recouverte d’une couche de 65 mm
Les essais doivent être effectués à des d’épaisseur d’enrobé de type EB–10 S, mis en
températures de 23 ± 2 °C et - 10 ± 2 °C. place à 160 °C et densifié à 94 % de la densité
Contenu normatif
Les éprouvettes doivent pouvoir résister maximale du mélange avec des pneumatiques
à un choc de 4,9 J produit par une masse de gonflés à 0,6 MPa.
3 3701
Page
4 4 Membrane d’étanchéité
NORME
de
Date
2008 12 15
Contenu normatif
VII
3.8 Mortiers cimentaires en sacs
Chapitre Norme
3 3801
Page
Mortiers cimentaires en sacs 1 4
NORME
de
Date
2008 12 15
1. Objet 3. Définition
La présente norme a pour objet de déter- La définition suivante s’applique à la
miner les exigences du Ministère en ce qui a présente norme :
trait aux caractéristiques et aux critères d’éva- Mortier cimentaire en sac
luation des mortiers cimentaires préparés et Mélange de liant hydraulique, de granulats fins
ensachés en usine, utilisés pour la réparation et d’adjuvants chimiques, pouvant contenir des
du béton. ajouts cimentaires, des fibres ou des polymè-
res, préparé en usine et fourni en sacs.
2. Références
La présente norme renvoie à l’édition la 4. Classification
plus récente des documents suivants : Les mortiers cimentaires sont classifiés
en trois catégories, N, R et TR :
NORMES : Catégorie N
Mortier dont le développement des résistances
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING à la compression est normal.
AND MATERIALS
Catégorie R
ASTM C109/C109M « Standard Test Method Mortier dont le développement des résistances
for Compressive Strength of Hydraulic à la compression est rapide.
Cement Mortars (Using 2-in. or 50 mm Cube
Catégorie TR
Specimens) ».
Mortier dont le développement des résistances
ASTM C 157 « Standard Test Method for à la compression est très rapide.
Length Change of Hardened Hydraulic Cement
Mortar and Concrete ». 5. Caractéristiques requises
ASTM C 348 « Standard Test Method for
Flexural Strength of Hydraulic Cement
Mortars ».
5.1 Exigences générales
ASTM C 642 « Standard Test Method for Les mortiers cimentaires doivent contenir
Specific Gravity, Absorption, and Voids in moins de 5 % de gros granulats retenus sur
Hardened Concrete ». le tamis 10 mm.
ASTM C 666 « Standard Test Method for Les polymères utilisés comme constituant
Resistance of Concrete to Rapid Freezing and du mortier cimentaire doivent être employés
Thawing ». avec ou en remplacement de l’eau de
gâchage.
ASTM C 672 « Standard Test Method for Sca-
ling Resistance of Concrete Surfaces Exposed Les fibres utilisées comme constituant
to Deicing Chemicals ». du mortier cimentaire ne doivent pas se cor-
roder ni provoquer de gonflement du mortier
ASTM C 882 « Standard Test Method for
cimentaire.
Bond Strength of Epoxy–Resin Systems Used
With Concrete by Slant Shear ». Les sacs utilisés pour l’ensachage doi-
vent être constitués d’un matériau résistant à
ASTM C 1152 « Standard Test Methods
l’humidité, afin de prévenir l’hydratation des
for Acid-Soluble Chloride in Mortar and
constituants du mortier cimentaire.
Concrete ».
3 3801
2
Page
4 Mortiers cimentaires en sacs
NORME
de
Date
2008 12 15
Tous les mortiers cimentaires doivent être partir du malaxage d’un échantillon selon les
accompagnés d’une fiche technique. La fiche recommandations du fabricant, en utilisant un
technique doit comprendre les informations malaxeur à mortier.
suivantes : Les spécimens sont conservés dans un
– l’usage du mortier cimentaire; moule et protégés contre l’évaporation au
– les recommandations concernant le cours des premières 24 heures, sauf les spé-
malaxage (la quantité d’eau, la quantité cimens de la catégorie TR, qui sont démoulés
de polymère, l’utilisation de polymère, les après trois heures. Une fois le démoulage
équipements utilisés pour le malaxage, complété, les spécimens sont conservés à
les quantités à malaxer, le temps de l’air ambiant du laboratoire jusqu’au moment
malaxage); des essais; cependant, les spécimens desti-
nés aux essais de gel-dégel sont conservés
– les caractéristiques du mortier cimentaire
à l’humidité jusqu’au moment des essais.
définies au tableau 3801–1;
– les recommandations concernant la pré- 5.3.1 Essai de résistance
paration des surfaces; à la compression
– les recommandations concernant la cure; L’essai de résistance à la compression doit
– les limitations du mortier cimentaire; être réalisé conformément aux exigences de
– les précautions concernant l’utilisation. la norme ASTM C109/C109M « Standard Test
Method for Compressive Strength of Hydraulic
5.2 Étiquetage Cement Mortars (Using 2 in. or 50 mm Cube
Specimens) ».
Les sacs doivent mentionner les informa-
tions suivantes : 5.3.2 Essai de résistance à la flexion
– le nom du fabricant; L’essai de résistance à la flexion doit être
– le nom du mortier cimentaire; réalisé conformément aux exigences de la
– la masse du sac; norme ASTM C 348 « Standard Test Method
for Flexural Strength of Hydraulic Cement
– le rendement; Mortars ».
– la date d’expiration, s’il y a lieu;
– les recommandations pour le malaxage; 5.3.3 Essai d’absorption d’eau
– les quantités d’eau ou de polymères L’essai d’absorption d’eau doit être réalisé
nécessaires; conformément aux exigences de la norme
– les précautions à prendre. ASTM C 642 « Standard Test Method for
Specific Gravity, Absorption, and Voids in
Hardened Concrete ».
5.3 Exigences et essais
Les mortiers cimentaires doivent res- 5.3.4 Essai de détermination
pecter les caractéristiques énumérées au de la variation de longueur
tableau 3801–1. L’essai de détermination de la variation de
Pour réaliser les essais, un sac de mortier longueur doit être réalisé conformément aux
cimentaire constitue un échantillon. Les spé- exigences de la norme ASTM C 157 « Standard
cimens destinés aux essais sont prélevés à Test Method for Length Change of Hardened
VII
3.8 Mortiers cimentaires en sacs
Chapitre Norme
3 3801
Page
Mortiers cimentaires en sacs 3 4
NORME
de
Date
2008 12 15
Hydraulic Cement Mortar and Concrete », sur 80 µm, puis séchées et pesées. Les pertes
des spécimens de 25 × 25 × 300 mm. La de masses cumulatives de mortier désagrégé
lecture initiale est prise immédiatement après sont quantifiées en kg/m2, la surface de calcul
le démoulage : 24 heures pour les mortiers étant celle soumise à l’essai d’écaillage.
cimentaires de type N et R et 3 heures pour Après chaque opération de mesure de
les mortiers cimentaires de type TR. la masse du mortier désagrégé, la solution
saline doit être renouvelée.
5.3.5 Essai d’écaillage de surface
L’essai doit se poursuivre sans interruption
L’essai d’écaillage de surface doit être pendant 49 cycles de gel et de dégel, sauf si
réalisé conformément aux exigences de la on relève une perte supérieure à 2 kg/m2.
norme ASTM C 672 « Standard Test Method
for Scaling Resistance of Concrete Surfaces Si, pour des raisons quelconques, le cycle
Exposed to Deicing Chemicals ». de 24 heures ne peut être respecté, on doit
l’indiquer au compte rendu; il faut alors inscrire
Après 7 cycles, 28 cycles et 49 cycles, une dans le rapport d’essai le nombre de cycles
mesure du mortier désagrégé doit être prise. et la durée de chaque délai.
L’éprouvette est rincée à l’eau du robinet et En cas de défectuosité de l’appareil de
nettoyée à l’aide d’un pinceau, afin d’enlever congélation-décongélation, l’éprouvette doit
toutes les particules détachées. Ces particules être maintenue dans son contenant d’immer-
et celles qui sont recueillies au fond du conte- sion, avec la solution saline, à la température
nant doivent être lavées, filtrées au tamis de ambiante du laboratoire.
Tableau 3801–1
Caractéristiques et méthodes d’essais des mortiers cimentaires
Méthodes Catégorie de mortier
Caractéristiques
d’essais N R TR
Résistance en compression ASTM C 109 / 3h — — 17
(MPa) C 109 M 1d 12 22 —
7d 30 35 45
28d 30 35 45
Résistance à la flexion (MPa) ASTM C 348 7d 6,0
Adhérence au béton (MPa) ASTM C 882 1d 7,0
7d 10,0
Absorption d’eau (%) ASTM C 642 28d max 5,5
Variation de longueur (%) ASTM C 157 28d (eau) + 0,15
28d (air) - 0,15
Écaillage de surface (49 cycles) ASTM C 672 Perte max.(kg/m ) 2
0,50
Gel-dégel (300 cycles) ASTM C 666 Module d’élasticité 80
min.(%)
Teneur en ions chlorures (kg/m3) ASTM C 1152 — 0,60
3 3801
4
Page
4 Mortiers cimentaires en sacs
NORME
de
Date
2008 12 15
VII
3.9 Coulis cimentaires
Chapitre Norme
3 3901
Page
Coulis cimentaires 1 4
NORME
de
Date
2008 12 15
3 3901
2
Page
4 Coulis cimentaires
NORME
de
Date
2008 12 15
Tableau 3901–1
Caractéristiques du coulis en sac pour l’ancrage au béton et autres usages
Caractéristiques Méthodes d’essai Exigences(1)
7,0 MPa à 1 jour
Résistance minimale à la 17,0 MPa à 3 jours
CSA A23.2–1B ou ASTM C 942
compression 25,0 MPa à 7 jours
35,0 MPa à 28 jours
0,0 à 0,3 % à 1 jour
Variation de hauteur 0,0 à 0,3 % à 3 jours
ASTM C 1090
(cure humide) 0,0 à 0,3 % à 14 jours
0,0 à 0,3 % à 28 jours
Contenu normatif
Résistance minimale à
ASTM E 488 40 kN
l’arrachement (force d’ancrage)
1. La quantité maximale d’eau recommandée par le fabricant est utilisée pour déterminer la conformité avec les exigences.
VII
3.9 Coulis cimentaires
Chapitre Norme
3 3901
Page
Coulis cimentaires 3 4
NORME
de
Date
2008 12 15
Tableau 3901–2
Caractéristiques du coulis en sac pour l’injection de gaines de précontrainte
Caractéristiques Méthodes d’essai Exigences
Résistance minimale à la 20 MPa à 7 jours
CSA A23.2–1B ou ASTM C 942
compression 45 MPa à 28 jours
Dilatation libre CSA A23.2–1B ou ASTM C 940 < 2,0 % à 3 h
Ressuage CSA A23.2–1B ou ASTM C 940 0,0 % à 3 h
min. 20 s
CSA A23.2–1B ou ASTM C 939
max. 30 s
Fluidité
CSA A23.2–1B modifiée(1) min. 9 s
ou ASTM C 939 max. 20 s
Changement de hauteur du
ASTM C 1090 0,0 % à 0,2 % à 24 h et à 28 jours
coulis durci
Chlore maximal total ASTM C 1152 0,08 %
Perméabilité aux ions chlore ASTM C 1202 modifiée(2) 2500 coulombs
Température ASTM C 1064 5°C < T° < 30°C
1. Modifier la procédure en remplissant complètement le cône et calculant le temps nécessaire pour remplir un récipient de
1 litre.
2. Utiliser un voltage de 30V durant 6 heures.
Tableau 3901–3
Caractéristiques du coulis préparé au chantier pour l’ancrage au roc
Caractéristiques Méthodes d’essai Exigences
Rapport eau/liant (max) — 0,45
Résistance minimale à la 20,0 MPa à 7 jours
CSA A23.2–1B
compression 35,0 MPa à 28 jours
Dilatation libre CSA A23.2–1B 3 à 8 %
≤ 2 %, de 0 à 24 h
Ressuage CSA A23.2–1B
0,0 % > 24 h
min. 12 s
Fluidité CSA A23.2–1B
max. 35 s
Température ASTM C 1064 5°C < T° < 30°C
Contenu normatif
3 3901
4
Page
4 Coulis cimentaires
NORME
de
Date
2008 12 15
Contenu normatif
VII
3.10 Matériaux connexes
Chapitre Norme
3 31001
Page
Doublure de coffrage 1 3
NORME
de
Date
2008 12 15
1. Objet 3. Définition
La présente norme a pour objet de déter- La définition suivante s’applique à la
miner les exigences du Ministère en ce qui présente norme :
a trait aux caractéristiques et aux critères Doublure de coffrage
d’évaluation des doublures de coffrage.
Matériau drainant, composé généralement
d’un tissu ou d’un géotextile, tendu sur la
2. Références surface intérieure d’un coffrage et qui a pour
La présente norme renvoie à l’édition la but de diminuer la formation de bulles à la
plus récente des documents suivants : surface du béton.
3 31001
Page
2 3 Doublure de coffrage
NORME
de
Date
2008 12 15
moitié du coffrage est munie d’une doublure, Dans le cas des essais nécessitant un
alors que l’autre moitié ne l’est pas. Les exi carottage de l’élément, cette opération peut
gences sont énoncées au tableau 31001–1. s’effectuer lorsque le béton a de 8 à 28 jours
d’âge afin que les essais débutent au moment
prévu.
Tableau 31001–1
Exigences relatives aux doublures
de coffrage
Essai Exigence
Trois fois moins que
Bullage
la surface témoin
Supérieure ou égale
Dureté de surface
au témoin
Supérieure ou égale
Traction de surface
au témoin
Inférieure ou égale
Écaillage de surface
au témoin
Pénétration des Cl– Inférieure ou égale
à 10 mm au témoin
Perméabilité aux Inférieure ou égale
ions Cl– au témoin
Inférieure ou égale
Absorption de surface
au témoin
lieu 3 jours après le bétonnage. La cure à l’air superficie en millimètres carrés des bulles
ambiant du laboratoire est ensuite effectuée d’air de la surface bétonnée au contact de
sur le béton ayant de 8 à 28 jours d’âge. la doublure et de celle qui est bétonnée
VII
3.10 Matériaux connexes
Chapitre Norme
3 31001
Page
Doublure de coffrage 3 3
NORME
de
Date
2008 12 15
VII
3.11 Enduits de surface
Chapitre Norme
3 31101
Page
Enduits de surface pour béton 1 3
NORME
de
Date
2012 12 15
1. Objet 3. Définitions
La présente norme a pour objet de déter- La définition suivante s’applique à la pré-
miner les exigences du Ministère en ce qui sente norme.
a trait aux caractéristiques et aux critères Enduits de surface
d’évaluation des enduits de surface pour béton. Produits à un ou deux composants formant
un film pigmenté et offrant un certain niveau
2. Références d’imperméabilisation à une surface de béton
La présente norme renvoie à l’édition la tout en améliorant son apparence.
plus récente des documents suivants :
4. Caractéristiques requises
NORMES Les enduits de surface diminuent l’absorp-
tion d’eau et de chlorures dans le béton tout
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING
en étant perméable à la vapeur d’eau. Ils
AND MATERIALS
doivent également bien adhérer au substrat
ASTM C666 / C666M « Standard Test à la suite de cycles de gel et de dégel. Les
method for Resistance of Concrete to Rapid enduits, de type sablé, sont opaques, de
Freezing and Thawing ». couleur et de texture uniformes. L’application
ASTM D2369 « Standard Test Method for de deux couches d’enduit doit permettre de
Volatile Content of Coatings ». cacher complètement la surface du béton,
ASTM E1252 « Standard Practice for être exempte de trous d’aiguille, en plus de
General Techniques for Obtaining Infrared colmater les défauts mineurs.
Spectra for Qualitative Analysis ».
4.1 Essais de caractérisation
OFFICE DES NORMES GÉNÉRALES
DU CANADA À des fins de contrôle de la qualité et afin de
vérifier que les enduits qui seront contrôlés au
ONGC 1–GP–71 « Méthodes d’essai des chantier sont identiques aux enduits approu-
peintures et pigments ». vés en laboratoire, les enduits doivent faire
MINISTÈRE DES TRANSPORTS l’objet des essais de caractérisation suivants.
DU QUÉBEC
4.1.1 Aspect physique et teneur en
Tome VII « Matériaux »,
matière volatile
Norme 3101 « Bétons de masse volumique
normale ». Une description de l’aspect physique des
enduits est réalisée.
AUTRE DOCUMENT Une mesure du contenu en matières
non volatiles est réalisée conformément à la
NATIONAL COOPERATIVE HIGHWAY norme ASTM D2369 « Standard Test Method
RESEARCH PROGRAM for Volatile Content of Coatings ».
NCHRP Report 244: Concrete Sealers for
Protection of Bridge Structures. 4.1.2 Analyse infrarouge
Une identification « Fourier Transform
Contenu normatif
3 31101
Page
Date
2012 12 15
Tableau 31101–1
Exigences pour les essais de performance
% de % de % de
réduction de réduction de transmission
Résistance
Produit Opacité l’absorption la pénétration de vapeur
au gel-dégel
d’eau (1) des chlorures (1) d’eau (1)
(min.) (min.) (min.)
Type 1
Section 4.2.1 10 10 100 150 cycles
(Standard)
Type 2
Contenu normatif
VII
3.11 Enduits de surface
Chapitre Norme
3 31101
Page
Enduits de surface pour béton 3 3
NORME
de
Date
2012 12 15
5. Étiquetage
Les enduits de surface pour béton doivent
être livrés dans des contenants scellés et
porter une étiquette mentionnant :
– le nom du produit et son fabricant;
– les instructions concernant l’entreposage
et la mise en œuvre;
– le numéro du lot de production;
– le volume des contenants;
– la date d’expiration.
Contenu normatif
VII
Chapitre
4
LIANTS ET ENROBÉS Page
i
Date
2013 12 15
Normes archivées (1)
Norme (dernière version) Remarque Archivée le
4102 Bitumes intermédiaires (95 05 26) Fusionnée à la norme 4101. 95 05 26
4103 Bitumes supérieurs (95 05 26) Fusionnée à la norme 4101. 95 05 26
1. Ces normes ont été retirées ou fusionnées et ne sont plus présentées dans le présent document.
4 4101
Bitumes
Page
1 8
NORME
de
Date
2013 12 15
4 4101
Page
2 8
Bitumes
NORME
de
Date
2013 12 15
4 4101
Bitumes
Page
3 8
NORME
de
Date
2013 12 15
supérieure à 170 °C, celle-ci est fixée à 170 °C et la température minimale est fixée à 156 °C. Pour le bitume
destiné à la fabrication d’enrobé tiède, si le modèle basé sur la viscosité optimale ne peut être appliqué, les
températures minimale et maximale de malaxage sont celles recommandées par le fournisseur selon sa
propre méthodologie. Si un bitume destiné à la fabrication d’enrobé tiède peut aussi être utilisé pour la fabri-
cation d’enrobé à chaud, les températures minimale et maximale de malaxage, déterminées selon le modèle
basé sur la viscosité optimale, doivent également figurer sur l’attestation de conformité.
Copie de travail - DESSAU - NOR GN TR 13 0012.43
Tome LIANTS ET ENROBÉS
VII 4.1 Liants bitumineux
Chapitre Norme
4 4101
Page
4 8
Bitumes
NORME
de
Date
2013 12 15
5.2 Contrôle
Les réservoirs d’expédition du bitume
doivent être contrôlés hebdomadairement.
Les caractéristiques suivantes sont
vérifiées :
– limite supérieure de la classe, par la
mesure du paramètre G*/sin sur le
bitume d’origine au regard des exigences
du tableau 4101–1;
– limite inférieure de la classe, par un essai
BBR sur le bitume d’origine au regard des
exigences du tableau 4101–2;
– recouvrance d’élasticité sur le bitume
d’origine au regard des exigences du
tableau 4101–1.
Si une des exigences spécifiées au
tableau 4101–2 pour les paramètres Sc (60)
ou mc (60) n’est pas satisfaite, la limite infé-
rieure de la classe doit être confirmée par la
Contenu normatif
4 4101
Bitumes
Page
5 8
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 4101–1
Exigences pour la classification des bitumes
Classe de performance
Méthode
Paramètre
d’essai
PG 52–34 PG 52–40 PG 58–28 PG 58–34 PG 58–40 PG 64–28 PG 64–34 PG 70–28 PG 70–34
Bitume d’origine
Point éclair > 230 °C > 230 °C > 230 °C > 230 °C > 230 °C > 230 °C > 230 °C > 230 °C > 230 °C ASTM D92
Viscosité AASHTO
< 3 Pa • s < 3 Pa • s < 3 Pa • s < 3 Pa • s < 3 Pa • s < 3 Pa • s < 3 Pa • s < 3 Pa • s < 3 Pa • s
Brookfield à 135 °C T316
Stabilité au stockage ≤ 2 °C ≤ 2 °C ≤ 2 °C ≤ 2 °C ≤ 2 °C ≤ 2 °C ≤ 2 °C ≤ 2 °C ≤ 2 °C LC 25–003
Recouvrance d’élas-
ticité à 10 °C, 20 cm, — ≥ 40 % — ≥ 40 % ≥ 60 % — ≥ 60 % ≥ 60 % ≥ 60 % LC 25–005
5 cm/min
Teneur en cendres ≤ 0,60 % ≤ 0,60 % ≤ 0,60 % ≤ 0,60 % ≤ 0,60 % ≤ 0,60 % ≤ 0,60 % ≤ 0,60 % ≤ 0,60 % LC 25–008
DSR 10 Rad/s,
52 °C 52 °C 58 °C 58 °C 58 °C 64 °C 64 °C 70 °C 70 °C AASHTO
à T °C
T315
G*/sinδ ≥ 1,00 kPa ≥ 1,00 kPa ≥ 1,00 kPa ≥ 1,00 kPa ≥ 1,00 kPa ≥ 1,00 kPa ≥ 1,00 kPa ≥ 1,00 kPa ≥ 1,00 kPa
Bitume vieilli à court terme (RTFOT)
AASHTO
Variation de masse < 1,00 % < 1,00 % < 1,00 % < 1,00 % < 1,00 % < 0,60 % < 1,00 % < 0,60 % < 1,00 %
T240
DSR 10 Rad/s,
52 °C 52 °C 58 °C 58 °C 58 °C 64 °C 64 °C 70 °C 70 °C AASHTO
à T °C
T315
G*/sinδ ≥ 2,20 kPa ≥ 2,20 kPa ≥ 2,20 kPa ≥ 2,20 kPa ≥ 2,20 kPa ≥ 2,20 kPa ≥ 2,20 kPa ≥ 2,20 kPa ≥ 2,20 kPa
Bitume vieilli à long terme (RTFOT + PAV)
Vieillissement au AASHTO
90 °C 90 °C 100 °C 100 °C 100 °C 100 °C 100 °C 100 °C 100 °C
PAV, à T °C R28
BBR temps de
-24 °C -30 °C -18 °C -24 °C -30 °C -18 °C -24 °C -18 °C -24 °C
charge 60 s, à T °C
Module de rigidité AASHTO
≤ 300 MPa ≤ 300 MPa ≤ 300 MPa ≤ 300 MPa ≤ 300 MPa ≤ 300 MPa ≤ 300 MPa ≤ 300 MPa ≤ 300 MPa T313
S(60)
Pente m(60) ≥ 0,300 ≥ 0,300 ≥ 0,300 ≥ 0,300 ≥ 0,300 ≥ 0,300 ≥ 0,300 ≥ 0,300 ≥ 0,300
Contenu normatif
4 4101
Page
6 8
Bitumes
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 4101–2
Paramètres de contrôle des bitumes
Classe de performance
Méthode
Paramètre
d’essai
PG 52–34 PG 52–40 PG 58–28 PG 58–34 PG 58–40 PG 64–28 PG 64–34 PG 70–28 PG 70–34
Bitume d’origine
BBR temps de
charge 60 s, -24 °C -30 °C -18 °C -24 °C -30 °C -18 °C -24 °C -18 °C -24 °C
à T °C
AASHTO
Module de T313
≤ Smax (1) ≤ Smax (1) ≤ Smax (1) ≤ Smax (1) ≤ Smax (1) ≤ Smax (1) ≤ Smax (1) ≤ Smax (1) ≤ Smax (1)
rigidité Sc (60)
Pente mc (60) ≥ 0,350 ≥ 0,350 ≥ 0,400 ≥ 0,350 ≥ 0,350 ≥ 0,400 ≥ 0,350 ≥ 0,400 ≥ 0,350
1. Le module de rigidité maximal permissible (Smax) est obtenu par la relation suivante :
où : So est la valeur du module de rigidité mesurée à 60 s sur le bitume d’origine au moment de la caractérisation du lot
par le fournisseur.
Tableau 4101–3
Information additionnelle à fournir, selon l’essai MSCR, sur le bitume vieilli à court terme (RTFOT)
Classe de performance
Méthode
Paramètre
d’essai
PG 52–34 PG 52–40 PG 58–28 PG 58–34 PG 58–40 PG 64–28 PG 64–34 PG 70–28 PG 70–34
Température de
52 52 58 58 52 64 58 64 64
l’essai (°C)
Recouvrance d’élas-
ticité à 3,2 kPa, (1) (1) (1) (1) (1) (1) (1) (1) (1)
R3,2 (%)
Complaisance
AASHTO
non recouvrable à (1) (1) (1) (1) (1) (1) (1) (1) (1)
TP70
3,2 kPa, Jnr3,2 (kPa-1)
Complaisance non
recouvrable différen- (1) (1) (1) (1) (1) (1) (1) (1) (1)
tielle, Jnrdiff (%)
1. Inscrire le résultat obtenu sur l’attestation de conformité.
Contenu normatif
4 4101
Bitumes
Page
7 8
NORME
de
Date
2013 12 15
ANNEXE A
Détermination des températures de caractérisation
La température élevée de caractérisation est déterminée par calcul à partir des mesures du paramètre
G*/sin obtenues à diverses températures en utilisant le DSR. Ce paramètre est utilisé pour évaluer
la capacité d’un bitume à résister aux déformations. Un bitume ne devrait pas montrer de signes de
déformation permanente lorsqu’il est utilisé dans un enrobé convenablement formulé et sélectionné si
la valeur du paramètre G*/sin, à la température H de la classe PG, est supérieure à 1,00 kPa pour le
bitume d’origine et supérieure à 2,20 kPa pour le bitume vieilli à court terme (RTFOT).
À partir des résultats de deux essais DSR réalisés sur le bitume d’origine à des températures T1 et T2,
il est possible de calculer la température pour laquelle G*/sin = 1,00 kPa. Pour plus de précision, les
températures d’essais sont celles où (G*/sin)1 < 1,00 kPa et (G*/sin)2 > 1,00 kPa. L’équation 1 est
utilisée pour obtenir Te(origine) :
Te (origine) = T1 +
{ [T2 - T1] ×
[ log(1,00) - log [(G* / sin)1]
log [(G* / sin)2] - log [(G* / sin)1] ]} (équation 1)
Le même principe est appliqué sur le bitume vieilli à court terme (RTFOT), à la différence près que le
calcul est effectué pour une valeur de G*/sin = 2,20 kPa. L’équation 2 permet d’obtenir Te(RTFOT) :
La température la plus restrictive de Te(origine) et de Te(RTFOT), soit la plus basse, est celle qui est
retenue comme valeur de Te.
Contenu normatif
4 4101
Page
8 8
Bitumes
NORME
de
Date
2013 12 15
La température basse de caractérisation est déterminée par calcul à partir des mesures des paramè-
tres S(60) et m(60) obtenues sur un échantillon de bitume vieilli à long terme (RTFOT et PAV) soumis
à des essais BBR réalisés à diverses températures. Le modèle considère que la fissuration de l’enrobé
est favorisée lorsque la valeur du module de rigidité S(60) est supérieure à 300 MPa ou que la pente
de la courbe, désignée comme m(60), est inférieure à 0,300. À partir des résultats de deux essais BBR
réalisés sur le bitume vieilli à long terme (RTFOT + PAV) à des températures T1 et T2, il est possible de
calculer la température pour laquelle le module de rigidité S(60) = 300 MPa. Pour plus de précision, les
températures d’essais sont celles où S(60)1 < 300 MPa et S(60)2 > 300 MPa. L’équation 3 est utilisée
pour obtenir Tb(rigidité) :
Tb (rigidité) = T1 +
{ [T2 - T1] ×
[ log(300) - log [S(60)1]
log [S(60)2] - log [S(60)1] ]} - 10 (équation 3)
La pente m(60) doit également être prise en considération. L’équation 4 permet de déterminer la tempé-
rature Tb (pente) pour laquelle la pente m(60) est équivalente à 0,300 :
La température la plus restrictive de Tb(rigidité) et de Tb(pente), soit la plus élevée, est celle qui est
retenue comme valeur de Tb.
Contenu normatif
VII
4.1 Liants bitumineux
Chapitre Norme
4 4104
Page
Bitumes fluidifiés 1 3
NORME
de
Date
2008 12 15
Classe : RM–20
Les chiffres de chacune des classes dési-
gnent le degré de viscosité minimal du bitume.
4 4104
Page
2 3
Bitumes fluidifiés
NORME
de
Date
2008 12 15
VII
4.1 Liants bitumineux
Chapitre Norme
4 4104
Page
Bitumes fluidifiés 3 3
NORME
de
Date
2008 12 15
Tableau 4104–1
Exigences pour les bitumes fluidifiés des classes RC–30 et RM–20
Méthodes RC–30 RM–20
Exigence
d’essai Minimum Maximum Minimum Maximum
Essais sur l’émulsion
Viscosité cinématique à 60 °C
ASTM D 2170 30 60 20 35
(mm2/s)
Essai de distillation, % du distillat
ASTM D 402
total jusqu’à 360 °C
jusqu’à 190 °C 15 — — 60
jusqu’à 225 °C 55 — 40 —
jusqu’à 260 °C 75 — 70 —
jusqu’à 315 °C 90 — 85 —
Résidu de distillation jusqu’à
50 — 50 —
360 °C, différence de volume (%)
Essais sur le résidu de distillation
Pénétration à 25 °C, 100 g, 5 s
ASTM D 5 80 120 80 200
(dmm)
Ductilité à 25 °C (cm) ASTM D 113 100 — 100 —
Solubilité dans le trichloroéthylène
ASTM D 2042 99,0 — 99,0 —
(% en masse)
Eau (% en volume) ASTM D 95 — 0,2 — 0,2
Contenu normatif
4 4105
Page
Émulsions de bitume 1 5
NORME
de
Date
2013 12 15
AUTRES DOCUMENTS
2. Références
La présente norme renvoie à l’édition la
Gouvernement du Québec
plus récente des documents suivants :
MINISTÈRE DES TRANSPORTS
DU QUÉBEC, LABORATOIRE
NORMES
DES CHAUSSÉES
AMERICAN ASSOCIATION OF STATE LC 25–005 « Recouvrance d’élasticité ».
HIGHWAY AND TRANSPORTATION
LC 25–008 « Évaluation de la teneur en
OFFICIALS
cendres ».
AASHTO T315 « Standard Method of Test
LC 25–012 « Récupération du résidu
for Determining the Rheological Properties
d’émulsion sur plaque de granit ».
of Asphalt Binder Using a Dynamic Shear
Rheometer (DSR) ». LC 25–013 « Distillation d’émulsions
bitumineuses avec polymères ».
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING
AND MATERIALS 3. Définition
ASTM D977 « Standard Specification for
Emulsified Asphalt ». Les définitions suivantes s’appliquent à
la présente norme.
ASTM D2397 « Standard Specification for
Cationic Emulsified Asphalt ». Émulsion de bitume
ASTM D6930 « Standard Test Method Mélange hétérogène instable comprenant
for Settlement and Storage Stability of une phase dispersante continue (solution
Emulsified Asphalts ». aqueuse) au sein de laquelle se trouve la
phase dispersée, constituée de gouttelettes
ASTM D6933 « Standard Test Method for de bitume. L’émulsion est stabilisée par la
Oversized Particles in Emulsified Asphalts présence de produits émulsifiants anioniques
(Sieve Test) ». (émulsions anioniques) ou cationiques (émul-
ASTM D6934 « Standard Test Method sions cationiques). Au contact des granulats,
for Residue by Evaporation of Emulsified il y a rupture de l’émulsion se manifestant
Asphalt ». par :
ASTM D6936 « Standard Test Method for – l’évaporation de l’eau et la coalescence
Determining Demulsibility of Emulsified des particules de bitume (prise);
Asphalt ». – l’évaporation de l’eau restante et des
ASTM D6997 « Standard Test Method for fractions volatiles jusqu’à ce que le liant
Distillation of Emulsified Asphalt ». résiduel ne contienne plus que des hydro-
Contenu normatif
4 4105
Page
2 5 Émulsions de bitume
NORME
de
Date
2013 12 15
4 4105
Page
Émulsions de bitume 3 5
NORME
de
Date
2013 12 15
4 4105
Page
4 5 Émulsions de bitume
NORME
de
Date
2013 12 15
4 4105
Page
Émulsions de bitume 5 5
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 4105–1
Exigences pour les émulsions d’accrochage livrées en vrac
Paramètre Méthode Minimum Maximum
Charge des particules ASTM D7402 Positive
Viscosité SF à 25 °C (seconde) ASTM D7496 20 100
Stabilité au stockage 24 heures (%) ASTM D6930 — 1
Désémulsionnement (%), 35 ml,
0,8 % solution de dioctylsulfosuccinate ASTM D6936 40 —
de sodium
Essai granulométrique (%),
ASTM D6933 — 0,10
refus au 850 µm
ASTM D6934 ou
Bitume résiduel (%) ASTM D6997 ou 57 (2) —
LC 25–013 (1)
Teneur en cendres sur le résidu obtenu
LC 25–008 — 0,80
par évaporation ou par distillation (%)
Recouvrance d’élasticité (%) (1)(3) LC 25–005 40 —
LC 25–012
G*/sinδ à 64 °C (kPa) 1,00 3,50 (4)
AASHTO T315
1. Pour les émulsions polymères seulement.
2. Un résultat inférieur à 57 % obtenu par évaporation (ASTM D6934) doit être confirmé par la méthode par
distillation (ASTM D6997).
3. Sur le résidu de distillation.
4. Le critère maximal de G*/sinδ ne s’applique pas aux émulsions de bitume polymère.
Contenu normatif
4 4201
Enrobés à chaud formulés selon Page
2007 12 15
Le contenu de cette norme n’est pas à jour. Vous référer à la norme 4202 « Enrobés
à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées »
pour la formulation des enrobés pour le Ministère.
4 4201
Page Enrobés à chaud formulés selon
2 de 12 le principe de la méthode Marshall
Date NORME
2007 12 15
Le contenu de cette norme n’est pas à jour. Vous référer à la norme 4202 « Enrobés
à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées »
pour la formulation des enrobés pour le Ministère.
4 4201
Enrobés à chaud formulés selon Page
2007 12 15
Le contenu de cette norme n’est pas à jour. Vous référer à la norme 4202 « Enrobés
à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées »
pour la formulation des enrobés pour le Ministère.
moins une fois l’an pour chacune des caracté- constituer un échantillon qui, par la suite,
ristiques des granulats pour enrobé à chaud, est divisé en trois portions, à savoir deux
selon les usages, à l’exception du coefficient aux fins d’analyse par les parties et une qui
de polissage par projection.
4 4201
Page Enrobés à chaud formulés selon
4 de 12 le principe de la méthode Marshall
Date NORME
2007 12 15
Le contenu de cette norme n’est pas à jour. Vous référer à la norme 4202 « Enrobés
à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées »
pour la formulation des enrobés pour le Ministère.
est scellée par le Ministère et conservée calibre de granulat fin est déterminée en
par le fabricant pour expertise ultérieure en tenant compte de la densité du passant
cas de désaccord sur l’écart maximal; 80 μm fournie par le fabricant ou d’une
– les essais sont réalisés selon les méthodes valeur fixée à 2,700;
d’essai suivantes : – si l’écart entre les résultats est supérieur
- gros granulat : LC 21–067; à l’écart maximal, le Ministère et le fabri-
cant examinent conjointement leurs résul-
- granulat fin de classe granulaire d/D :
tats de densité apparente, d’absorption et
LC 21–066;
de granulométrie en vue d’en venir à une
- autre granulat fin : LC 21–065; entente à partir des résultats obtenus ou
– après analyse, le fabricant transmet au de procéder à une reprise des essais
Ministère pour validation ses résultats de réalisés sur la portion témoin scellée.
densité apparente, d’absorption, de densi- La durée de validité de l’entente sur la
té brute (résultats individuels et moyennes densité brute d’une classe granulaire est
des deux essais) et de granulométrie ; de trois ans maximum, dans la mesure où
– pour que les résultats de la densité brute les caractéristiques ainsi que la méthode de
fournis par le fabricant soient acceptés, fabrication du granulat composant cette classe
l’écart entre les résultats moyens obtenus granulaire demeurent inchangées.
par le Ministère et le fabricant ne doit pas
être supérieur à l’exigence qui suit : 5.3 Enrobés à chaud
Écart maximal entre 5.3.1 Plan qualité
Densité deux moyennes de Le plan qualité doit traiter minimalement
deux essais des éléments de gestion suivants :
Densité brute du 1- Organigramme de la centrale d’enro-
gros granulat 0,013
bage
LC 21–067
Le fabricant doit indiquer le nom du res-
Densité brute du ponsable du système qualité conforme à
granulat fin
LC 21–065
la norme ISO et du responsable désigné
0,018
LC 21–066 0,018
à la centrale d’enrobage ainsi que les
noms des intervenants impliqués dans les
activités d’assurance de la qualité. Ces
– lorsque l’écart entre les résultats est égal activités doivent couvrir, notamment, la
ou inférieur à l’écart maximal, le fabri- gestion des non-conformités, des requêtes
cant prend la moyenne des résultats des d’actions correctives, des enregistrements
deux parties pour établir les densités des qualité et des matières premières.
Contenu normatif
granulats qui sont utilisées dans les calculs 2- Gestion des non-conformités
servant à la présentation de ses formules Le fabricant doit fournir sa procédure de
d’enrobés. La densité brute de chaque maîtrise du produit non conforme. Cette
4 4201
Enrobés à chaud formulés selon Page
2007 12 15
Le contenu de cette norme n’est pas à jour. Vous référer à la norme 4202 « Enrobés
à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées »
pour la formulation des enrobés pour le Ministère.
sont respectées :
4 4201
Page Enrobés à chaud formulés selon
6 de 12 le principe de la méthode Marshall
Date NORME
2007 12 15
Le contenu de cette norme n’est pas à jour. Vous référer à la norme 4202 « Enrobés
à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées »
pour la formulation des enrobés pour le Ministère.
Méthodes
Caractéristiques Types d’enrobés D2 D5 σd
d’essai
Total EB–20, EB–14,
≤ 24,0 ≤ 15,0 13,4 LC 26–350
granulométrique GB–20 et ESG–14
EB–10S, EB–10C,
Total
ESG–10, EG–10 ≤ 13,0 ≤ 8,0 7,2 LC 26–350
granulométrique
et EC–10
Passant 80 μm Tous les enrobés ≤ 1,20 ≤ 0,80 0,68 LC 26–350
Pourcentage de
Tous les enrobés ≤ 0,40 ≤ 0,25 0,22 LC 26–100
bitume
Pourcentage des
Tous les enrobés — ≤ 1,2 1,05 LC 26–320
vides « Marshall »
Densité maximale Tous les enrobés ≤ 0,020 ≤ 0,013 0,011 LC 26–045
D2 : Écart maximal en valeur absolue entre la D5 : Écart maximal en valeur absolue entre la
moyenne des résultats du Ministère et la moyenne des résultats du Ministère et la
moyenne des résultats du fabricant obtenus moyenne des résultats du fabricant obtenus
à partir de deux échantillons appariés consé- à partir de cinq échantillons appariés consé-
cutifs. Cet écart est calculé selon la formule cutifs. Cet écart est calculé selon la formule
suivante : suivante :
σd σd
D2 = 2,57 • D5 = 2,57 •
√2 √5
σd : Écart type maximal des différences entre D2 : L’écart en valeur absolue entre la
les résultats du Ministère et du fabricant moyenne mobile des résultats du Minis-
pour chaque échantillon apparié. Cet tère et la moyenne mobile des résultats
écart type est utilisé pour calculer D2, D5 du fabricant à partir des analyses des
ou tout autre écart maximal équivalent. deux derniers échantillons appariés.
Le Ministère se réserve le droit de procéder D5 : L’écart en valeur absolue entre la
à des validations des essais et des calculs à moyenne mobile des résultats du Minis-
l’aide d’un ou de plusieurs échantillons préle- tère et la moyenne mobile des résultats
vés par le fabricant. Ces échantillons comptent du fabricant à partir des analyses des
pour la cadence normale d’échantillonnage cinq derniers échantillons appariés.
du fabricant. La validation s’effectue en cal- Les écarts durant la saison sont consi-
Contenu normatif
culant l’écart entre les résultats des essais et dérés comme étant non significatifs si la
des calculs, les écarts D2 et D5 étant calculés moyenne mobile des différences des résultats
comme suit : des essais entre les laboratoires respecte
l’écart maximal des exigences D2 et D5 telles
qu’elles sont définies.
Copie de travail - DESSAU - NOR GN TR 13 0012.43
LIANTS ET ENROBÉS BITUMINEUX Tome
4 4201
Enrobés à chaud formulés selon Page
2007 12 15
Le contenu de cette norme n’est pas à jour. Vous référer à la norme 4202 « Enrobés
à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées »
pour la formulation des enrobés pour le Ministère.
Tout écart significatif entre les résultats une teneur en vides comprise entre 3,0 et
des essais et des calculs de divers facteurs 4,0 %, ainsi que la stabilité, la déformation
effectués par le laboratoire désigné par le et les densités brutes et maximales à la
fabricant et celui désigné par le Ministère teneur en bitume proposée;
doit être signalé. Un effort conjoint est alors – le pourcentage de vides, le pourcentage
fait pour déterminer et corriger la source de de VAM comblé par le bitume, le VAM,
l’écart. la surface spécifique totale ainsi que la
compactabilité de l’enrobé à chaud, le
5.3.4 Formules théorique et finale pourcentage de bitume effectif, l’épaisseur
5.3.4.1 Information à fournir moyenne du feuil de bitume effectif à la
Les formules théorique et finale doivent teneur en bitume proposée;
comprendre l’information suivante : – la valeur de stabilité conservée à la teneur
– pour les granulats froids : la classe granu- en bitume proposée selon la méthode
laire, le type, la provenance, la granularité, d’essai LC 26–001;
le pourcentage utilisé1, la densité brute, – la compacité, sauf pour les enrobés ser-
le pourcentage d’absorption en eau pour vant au rapiécage ou à la correction avant
chaque classe granulaire; la pose du revêtement;
– les caractéristiques intrinsèques, de fabri- – les courbes des caractéristiques physiques
cation et complémentaires sur le combiné de l’enrobé en cinq points pour chacune
des granulats fins, selon la formule théo- des caractéristiques suivantes :
rique, ou sur chaque classe granulaire - la stabilité;
de granulats fins et sur chaque classe - l’indice de fluage;
granulaire de gros granulats;
- la masse volumique;
– la classe de performance du bitume;
- le pourcentage de vides dans l’en-
– la masse volumique à 25 °C exprimée en robé;
grammes par centimètre cube;
- le pourcentage de VAM comblé;
– la granularité, la densité brute, le pourcen-
tage d’absorption en eau et le total granu- - le feuil de bitume effectif.
lométrique du combiné, la teneur optimale 5.3.4.2 Production de la formule
en bitume proposée2 permettant d’obtenir théorique
Une formule théorique par type d’enrobé
doit être produite pour chaque classe de
1. Dans le cas d’une classe granulaire composée de bitume ou chaque fois qu’il y a un changement
granulats bitumineux, le pourcentage moyen de
bitume contenu dans le granulat bitumineux doit dans les sources d’approvisionnement en gra-
être indiqué (LC 26–150). nulats. Les caractéristiques qui y sont présen-
Contenu normatif
2. Dans le cas des enrobés avec granulats bitu- tées doivent être représentatives de l’enrobé
mineux, la teneur en bitume optimale inclut le à chaud qui sera mis en place et conformes
pourcentage moyen de bitume du granulat aux exigences de la présente norme.
bitumineux.
4 4201
Page Enrobés à chaud formulés selon
8 de 12 le principe de la méthode Marshall
Date NORME
2007 12 15
Le contenu de cette norme n’est pas à jour. Vous référer à la norme 4202 « Enrobés
à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées »
pour la formulation des enrobés pour le Ministère.
Si, pour une formule théorique déjà pro- sont faits par le fabricant à l’aide des résultats
duite pour un type d’enrobé, il n’y a que la d’analyses de cinq échantillons d’une produc-
classe du bitume qui diffère, le fabricant peut tion continue.
utiliser les résultats des essais et des calculs L’échantillonnage est effectué par le fabri-
de la formule théorique déjà produite, sauf pour cant selon la méthode d’essai LC 26–005.
le pourcentage des vides et la tenue à l’eau.
Sur chacun des échantillons prélevés,
Lorsque l’essai à l’orniéreur est requis et que
le fabricant est tenu de faire les essais et de
la température haute de la nouvelle classe
calculer les divers facteurs, sauf les essais
de bitume utilisée est inférieure à celle de la
de tenue à l’eau.
classe de bitume de la formule déjà produite,
la réalisation d’un nouvel essai à l’orniéreur La vérification de la compacité porte sur
est obligatoire. un minimum de trois essais faits à partir d’une
production représentative servant à évaluer
Le fabricant doit indiquer clairement sur
en production la formule théorique et à établir
la formule théorique remise au Ministère la
la formule finale de l’enrobé.
classe du bitume qui est demandée et la
classe du bitume qu’il a utilisée pour produire Pour établir qu’une formule d’enrobé est
la formule théorique. Dans le cas où seule la finale, il faut que :
classe de bitume est changée, il n’est pas – les exigences spécifiées pour les formules
tenu de procéder à une nouvelle évaluation théoriques et finales soient satisfaites;
en production de la formule théorique. – la moyenne des résultats des essais
Par contre, si des changements autres que et des calculs des divers facteurs des
la classe de bitume sont apportés à la formule analyses des cinq échantillons de même
déjà produite, il s’agit alors d’une nouvelle que la valeur moyenne des essais de
formule et le fabricant est tenu de procéder compacité soient conformes aux exigen-
à une évaluation en production de la formule ces du tableau 4201–1, sauf pour la tenue
théorique et d’établir une formule finale pour à l’eau;
la classe du bitume spécifié, et ce, comme il – l’écart entre la formule finale et la moyenne
est indiqué à la section 5.3.4.3 « Évaluation des résultats des essais pour les caracté-
en production et établissement de la formule ristiques du passant 80 μm, du total gra-
finale » de la présente norme. nulométrique et du pourcentage de bitume
5.3.4.3 Évaluation en production et soit à l’intérieur des limites de surveillance,
établissement de la formule finale fixées à ± 2σ / √5. L’étendue mesurée entre
les résultats des essais doit être inférieure
La formule finale de l’enrobé à chaud est
au double de la valeur 4σ / √5. L’écart type
établie par le fabricant après une évaluation
maximum σ est indiqué à la section 5.3.5.2
en production de la formule théorique de
« Contrôle statistique »;
l’enrobé à chaud.
Contenu normatif
4 4201
Enrobés à chaud formulés selon Page
2007 12 15
Le contenu de cette norme n’est pas à jour. Vous référer à la norme 4202 « Enrobés
à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées »
pour la formulation des enrobés pour le Ministère.
tistiques décrits à l’article 5.3.4.2 et respectent de production. Par la suite, la nouvelle cadence
les caractéristiques physiques (pourcentage est recalculée à partir des 15 derniers résul-
de vides, feuil de bitume et pourcentage de tats et est maintenue pour les 3000 tonnes
4 4201
Page Enrobés à chaud formulés selon
10 de 12 le principe de la méthode Marshall
Date NORME
2007 12 15
Le contenu de cette norme n’est pas à jour. Vous référer à la norme 4202 « Enrobés
à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées »
pour la formulation des enrobés pour le Ministère.
4 4201
Enrobés à chaud formulés selon Page
2007 12 15
Le contenu de cette norme n’est pas à jour. Vous référer à la norme 4202 « Enrobés
à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées »
pour la formulation des enrobés pour le Ministère.
6. Entreposage
L’entreposage de l’enrobé à chaud
doit s’effectuer dans un silo isolé à l’abri des
intempéries, de façon à éviter la ségrégation,
le compactage, la contamination et le refroi-
dissement de l’enrobé à une température
inférieure à celle qui est recommandée pour
le type de bitume utilisé.
Contenu normatif
4 4201
Page Enrobés à chaud formulés selon
12 de 12 le principe de la méthode Marshall
Date NORME
2007 12 15
Le contenu de cette norme n’est pas à jour. Vous référer à la norme 4202 « Enrobés
à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées »
pour la formulation des enrobés pour le Ministère.
Tableau 4201–1
Caractéristiques des enrobés à chaud formulés selon le principe de la méthode Marshall
Méthodes
Types d’enrobés EB–20 EB–14 EB–10S EB–10C EB–5 CH–10
d’essai
Couche unique, Couche de Rapiéçage
Couche couche de sur- Couche de surface ou manuel ou Chape
Usages
de base face ou couche surface couche de couche de d’étanchéité
de base correction correction
Nombre minimal de classes
3 3 2 2 1 2
granulaires distinctes à utiliser (1)
Tamis (% passant)
28 mm 100
20 mm 95–100 100
14 mm 65–88 95–100 100 100 100
10 mm 48–78 75–90 92–100 94–100 100 96–100
5 mm 34–55 50–65 50–65 66–78 85–100 75–85
2,5 mm 24–45 29–47 27–50 45–65 65–90 57–75
1,25 mm 16–39 20–40 18–42 30–50 — —
630 μm 9–31 14–34 12–35 20–40 25–65 25–50
315 μm 6–23 10–26 8–26 14–29 18–48 15–40
160 μm 4–15 5–17 5–17 7–18 8–30 7–25
80 μm 3,0–8,0 3,0–8,0 4,0–10,0 4,0–10,0 4,0–12,0 4,0–13,0
LC 26–100
Liant (% min.) 4,20 4,70 4,80 5,20 6,00 5,50
LC 26–110
Fluage (mm) 2,0–4,0 2,0–4,0 2,0–4,0 2,0–4,0 2,0–4,5 2,0–4,0 LC 26–060
Stabilité (N)(min.) 9000 9000 9000 9000 7000 9000 LC 26–060
Vides (%) (2) 2,0–5,0 2,0–5,0 2,0–5,0 2,0–5,0 2,0–5,0 2,0–5,0 LC 26–320
VAM comblé (% max.) 85,0 85,0 85,0 85,0 85,0 85,0 LC 26–900
Compacité (% min.) 93,0 93,0 93,0 93,0 93,0 93,0 LC 26–320
Résistance à l’orniérage sur plaques de 100 mm à
52, 58 ou 60 oC (selon la classe de bitume)
10,0 10,0 — — — —
à 30 000 cycles
(% max. de déformation) (3, 4, 5)
Résistance à l’orniérage sur plaques de 50 mm à
52, 58 ou 60 oC (selon la classe de bitume)
à 1000 cycles — — 10,0 10,0 — —
à 3000 cycles — — 20,0 20,0 — —
(% max. de déformation) (3, 4)
Tenue à l’eau (% min.) (6) 70 70 70 70 LC 26–001
Notes :
– L’épaisseur minimale du feuil de bitume effectif (exprimée en μm) doit être égale des réserves satisfasse individuellement aux conditions des classes granulaires d/D
ou supérieure à la plus grande valeur des trois équations suivantes: indiquées dans la norme NQ 2560–114 « Travaux de génie civil – Granulats ».
a) 9,0 – (0,005 X total granulométrique); 2. Formulation : à partir des vides visés.
b) 9,5 – (0,488 X surface des granulats (m2/kg)); 3. Lorsque l’essai de résistance à l’orniérage est exigé, il est réalisé selon les exigences
c) 8,8 – (0,18 X VAM). de la norme NF EN 12697–22 « Mélanges bitumineux – Méthodes d’essai pour
– La teneur minimale de bitume déterminée par la formule doit être au moins mélange hydrocarboné à chaud – Partie 22 : essai d’orniérage », et la préparation
supérieure de 0,40 % à la teneur en bitume qui permet d’obtenir l’épaisseur des échantillons est réalisée selon les exigences de la norme NF EN 12697–33
minimale du feuil de bitume effectif et au moins égale au pourcentage de liant « Mélanges bitumineux – Méthodes d’essai pour mélange hydrocarboné à chaud
minimal mentionné plus haut. – Partie 33 : confection d’éprouvettes au compacteur de plaque ».
Contenu normatif
1. Au moins 85 % des granulats de l’enrobé à chaud, ou 80 % dans le cas d’un enrobé 4. Les enrobés à chaud ne doivent pas présenter de ressuage à 10 000 cycles pour
recyclé, doivent être constitués de classes granulaires qui ne se chevauchent pas. les enrobés EB–10S et EB–10C ou 30 000 cycles dans le cas des enrobés de types
Cependant, une classe granulaire 0/D où D < 5 mm peut être constituée de deux EB–14 et EB–20, et ce, lorsque l’essai de résistance à l’orniérage est exigé.
ou plusieurs classes dont la valeur D peut être différente. La classe considérée 5. La quantité d’enrobé nécessaire pour l’essai à l’orniéreur est calculée par rapport
doit avoir la désignation 0/D, où D est la plus grande valeur de D des classes à une compacité visée de 95 %, et ce, selon la densité maximale de la formule.
qui la composent. L’utilisation de deux ou plusieurs classes granulaires de même 6. Lorsque l’enrobé est fabriqué avec un bitume dont la recouvrance élastique à
désignation d/D est considérée comme une seule classe, à condition que chacune 10 oC, 20 cm, 5cm/min est ≥ 60 %, cet essai n’est pas requis.
4 4202
Enrobés à chaud formulés selon
Page
la méthode de formulation du 1 13
NORME
de
2013 12 15
4 4202
Page
Enrobés à chaud formulés selon
2 13 la méthode de formulation du
NORME
de
Date
Laboratoire des chaussées
2013 12 15
4 4202
Enrobés à chaud formulés selon
Page
la méthode de formulation du 3 13
NORME
de
2013 12 15
4 4202
Page
Enrobés à chaud formulés selon
4 13 la méthode de formulation du
NORME
de
Date
Laboratoire des chaussées
2013 12 15
minimum de trois jours de production au – lorsque l’écart entre les résultats est égal
regard de la capacité de production de la ou inférieur à l’écart maximal, le fabricant
centrale; prend la moyenne des résultats des deux
– au moins trois prélèvements doivent être parties pour établir les densités des gra-
effectués à même la réserve de granulats nulats qui sont utilisées dans les calculs
servant à la présentation de ses formules
d’une classe granulaire donnée en vue de d’enrobés. La densité brute de chaque
constituer un échantillon qui, par la suite, calibre de granulat fin est déterminée en
est divisé en trois portions, à savoir deux tenant compte de la densité du passant
aux fins d’analyse par les parties et une qui 80 µm fournie par le fabricant ou d’une
est scellée par le Ministère et conservée valeur fixée à 2,700;
par le fabricant pour expertise ultérieure – si l’écart entre les résultats est supérieur à
en cas de désaccord sur l’écart maximal; l’écart maximal, le Ministère et le fabricant
– les essais sont réalisés selon les méthodes examinent conjointement leurs résultats
d’essai suivantes : de densité apparente, d’absorption et de
- gros granulat : LC 21–067, granulométrie en vue d’en venir à une
entente à partir des résultats obtenus
- granulat fin de classe granulaire d/D : ou de procéder à une reprise des essais
LC 21–066, réalisés sur la portion témoin scellée.
- autre granulat fin : LC 21–065; La durée de validité de l’entente sur la
– après analyse, le fabricant transmet au densité brute d’une classe granulaire est de
Ministère pour validation ses résultats trois ans au maximum, dans la mesure où
de densité apparente, d’absorption, de les caractéristiques ainsi que la méthode de
densité brute (résultats individuels et fabrication du granulat composant cette classe
moyennes des deux essais) et de granu- granulaire demeurent inchangées.
lométrie;
– pour que les résultats de la densité brute 5.3 Enrobés à chaud
fournis par le fabricant soient acceptés,
l’écart entre les résultats moyens obtenus 5.3.1 Plan qualité
par le Ministère et le fabricant ne doit pas Le plan qualité doit traiter minimalement
être supérieur à l’exigence qui suit : des éléments de gestion suivants :
1- Organigramme de la centrale d’enrobage
Écart maximal entre
Le fabricant doit indiquer le nom du res-
Densité deux moyennes de
deux essais ponsable du système qualité conforme à
la norme ISO et du responsable désigné
Densité brute du à la centrale d’enrobage ainsi que les
gros granulat 0,013 noms des intervenants dans les activités
LC 21–067
d’assurance de la qualité. Ces activités
Densité brute du doivent couvrir, notamment, la gestion des
granulat fin non-conformités, des requêtes d’actions
LC 21–065 0,018 correctives, des enregistrements qualité
LC 21–066 0,018 et des matières premières.
Contenu normatif
4 4202
Enrobés à chaud formulés selon
Page
la méthode de formulation du 5 13
NORME
de
2013 12 15
4 4202
Page
Enrobés à chaud formulés selon
6 13 la méthode de formulation du
NORME
de
Date
Laboratoire des chaussées
2013 12 15
Type Méthode
Caractéristique D2 D5 σd
d’enrobé d’essai
Total granulométrique GB–20 et ESG–14 ≤ 24,0 ≤ 15,0 13,4 LC 26–007
ESG–10, EG–10,
Total granulométrique ≤ 13,0 ≤ 8,0 7,2 LC 26–007
EGM–10 et EC–10
Passant 80 µm Tous les enrobés ≤ 1,20 ≤ 0,80 0,68 LC 26–007
Pourcentage de
Tous les enrobés ≤ 0,40 ≤ 0,25 0,22 LC 26–006
bitume
Pourcentage des
Tous les enrobés — ≤ 1,2 1,05 LC 26–320
vides Marshall
Densité maximale Tous les enrobés ≤ 0,020 ≤ 0,013 0,011 LC 26–045
D2 : Écart maximal en valeur absolue entre la moyenne des résultats du Ministère et la moyenne des résultats du
fabricant obtenus à partir de deux échantillons appariés consécutifs. Cet écart est calculé selon la formule
suivante :
D2 = 2,57 × σd
2
D5 : Écart maximal en valeur absolue entre la moyenne des résultats du Ministère et la moyenne des résultats
du fabricant obtenus à partir de cinq échantillons appariés consécutifs. Cet écart est calculé selon la formule
suivante :
D5 = 2,57 × σd
5
σd : Écart type maximal des différences entre D5 : L’écart en valeur absolue entre la
les résultats du Ministère et du fabricant moyenne mobile des résultats du Minis-
pour chaque échantillon apparié. Cet tère et la moyenne mobile des résultats
écart type est utilisé pour calculer D2, D5 du fabricant à partir des analyses des
ou tout autre écart maximal équivalent. cinq derniers échantillons appariés.
Le Ministère se réserve le droit de procéder Les écarts durant la saison sont considérés
à des validations des essais et des calculs comme étant non significatifs si la moyenne
à l’aide d’un ou de plusieurs échantillons mobile des différences des résultats des
prélevés par le fabricant. Ces échantillons essais entre les laboratoires respecte l’écart
comptent pour la cadence normale d’échan- maximal des exigences D2 et D5 telles qu’elles
tillonnage du fabricant. La validation s’effectue sont définies.
en calculant l’écart entre les résultats des
essais et des calculs, les écarts D2 et D5 étant Tout écart significatif entre les résultats
calculés comme suit : des essais et des calculs de divers facteurs
effectués par le laboratoire désigné par le
D2 : L’écart en valeur absolue entre la fabricant et celui désigné par le Ministère
moyenne mobile des résultats du Minis-
Contenu normatif
4 4202
Enrobés à chaud formulés selon
Page
la méthode de formulation du 7 13
NORME
de
2013 12 15
4 4202
Page
Enrobés à chaud formulés selon
8 13 la méthode de formulation du
NORME
de
Date
Laboratoire des chaussées
2013 12 15
Le fabricant doit indiquer clairement sur la Pour le calcul des vides à la presse à
formule théorique remise au Ministère la classe cisaillement giratoire dans les enrobés, les
du bitume qui est demandée et la classe du dispositions suivantes s’appliquent :
bitume qu’il a utilisée pour produire la formule – l’essai de détermination de l’aptitude au
théorique. Dans le cas où seule la classe compactage des enrobés à chaud à la
de bitume est changée, il n’est pas tenu de presse à cisaillement giratoire est effectué
procéder à une nouvelle évaluation à l’étape sur une seule éprouvette par échantillon
de la production de la formule théorique. et les exigences de l’article 8.2 « Fidélité »
Par contre, si des changements autres que de la méthode d’essai LC 26–003 ne
la classe de bitume sont apportés à la formule s’appliquent pas;
déjà produite, il s’agit alors d’une nouvelle – les pourcentages de vides dans l’enrobé
formule et le fabricant est tenu de procéder à sont calculés pour chacun des nombres
une évaluation à l’étape de la production de la de girations indiqués au tableau 4202–1.
formule théorique et d’établir une formule finale
Sur chacun des échantillons prélevés,
pour la classe du bitume spécifié, et ce, comme
le fabricant est également tenu d’effectuer
il est indiqué à la section 5.3.4.3 « Évaluation
les essais de densité maximale et, s’il veut
à l’étape de la production et établissement de
se servir de la méthode Marshall pour faire
la formule finale » de la présente norme.
le contrôle des vides, les pourcentages de
5.3.4.3 Évaluation à l’étape de la vides Marshall sont calculés selon la méthode
production et établissement de la d’essai LC 26–320.
formule finale La vérification de la compacité porte sur
La formule finale de l’enrobé à chaud est trois essais au minimum faits à partir d’une
établie par le fabricant après une évaluation à production représentative servant à évaluer
l’étape de la production de la formule théorique en production la formule théorique et à établir
de l’enrobé à chaud. la formule finale de l’enrobé.
L’évaluation à l’étape de la production de Pour établir qu’une formule d’enrobé est
chacune des formules théoriques d’enrobé finale, il faut que :
et l’établissement de chacune des formules – les exigences concernant les formules
finales sont faits par le fabricant à l’aide des théoriques et finales soient satisfaites;
résultats d’analyses de cinq échantillons d’une
– la moyenne des résultats des essais et
production continue.
des calculs des divers facteurs des ana-
Dans l’éventualité où une formule lyses des cinq échantillons de même que
théorique identique est produite par plus d’une la valeur moyenne des essais de com-
centrale d’enrobage, l’évaluation à l’étape de pacité soient conformes aux exigences
la production doit être réalisée pour chacune du tableau 4202–1, sauf pour la tenue à
de ces centrales. l’eau;
L’échantillonnage est effectué par le – l’écart entre la formule finale et la moyenne
fabricant selon la méthode d’essai LC 26–005 des résultats des essais pour les carac-
pour les essais conventionnels et l’essai à la téristiques du passant 80 µm, du total
presse à cisaillement giratoire. granulométrique et du pourcentage de
Sur chacun des échantillons prélevés, le bitume soit à l’intérieur des limites de
Contenu normatif
4 4202
Enrobés à chaud formulés selon
Page
la méthode de formulation du 9 13
NORME
de
2013 12 15
4 4202
Page
Enrobés à chaud formulés selon
10 13 la méthode de formulation du
NORME
de
Date
Laboratoire des chaussées
2013 12 15
± 3 σ.
- Pour les tests 2 et 3, une zone de
tolérance de ± 0,25 σ est accordée.
4 4202
Enrobés à chaud formulés selon
Page
la méthode de formulation du 11 13
NORME
de
2013 12 15
6. Entreposage
L’entreposage de l’enrobé à chaud doit
s’effectuer dans un silo isolé à l’abri des
intempéries, de façon à éviter la ségrégation,
le compactage, la contamination et le refroi-
dissement de l’enrobé à une température
inférieure à celle qui est recommandée pour
le type de bitume utilisé.
Contenu normatif
12
Chapitre
de
Tableau 4202–1
Date
VII
Page
Tome
Caractéristiques des enrobés à chaud formulés selon la méthode de formulation du Laboratoire des chaussées
13
2013 12 15
Norme
4202
EGM–10 EC–5 Méthode
Type d’enrobé GB–20 ESG–14 ESG–10 EG–10 EC–10 SMA–10 ESG–5 d’essai
Couche
Couche unique, Couche Couche Couche Couche Rapiécage
Usages de couche de de de Couche de de Couche de surface manuel ou
base surface surface surface correction surface antifissure (intervention couche de
ou couche palliative) correction
de base
Nombre minimal de
classes granulaires 3 3 2 2 2 2 2 2 1
distinctes à utiliser (1)
Tamis (% passant)
28 mm 100
20 mm 95–100 100
Fuseau
5 mm 35–50 40–60 52–65 40–48 66–78 25–35 85–100 35–45 90–100
4.2 Enrobés à chaud
granulométrique
2,5 mm — — — — 45–65 min. 18 50–70 min. 20 65–90
(2)
1,25 mm — 25,7–31,7 30,7–36,7 30,7–36,7 — — — — —
(2)
630 µm — 19,1–23,1 22,8–26,8 22,8–26,8 — — — — —
Zone de
restriction(8)
315 µm (2) — 15,4 18,1 18,1 — — — — —
Vides à 10 girations (%) ≥ 11,0 ≥ 11,0 ≥ 11,0 ≥ 11,0 ≥ 11,0 ≥ 11,0 (6 g) ≥ 11,0 ≥ 11,0 ≥ 11,0 LC 26–003
(5)
Vides à 200 girations (%) ≥ 2,0 ≥ 2,0 ≥ 2,0 ≥ 2,0 ≥ 2,0 ≥ 2,0 (75 g) ≥ 2,0 ≥ 2,0 ≥ 2,0 LC 26–003
Contenu normatif
Contenu normatif
1. Au moins 85 % des granulats de l’enrobé à chaud doivent être constitués de classes granulaires qui ne se chevauchent pas. Cependant, une classe granulaire
0/D où D ≤ 5 mm peut être constituée de deux ou de plusieurs classes 0/D ou d/D dont la valeur D peut être différente. La classe considérée doit avoir la
désignation 0/D, où D est la plus grande valeur de D des classes qui la composent. L’utilisation de deux ou plusieurs classes granulaires de même désignation
d/D est considérée comme une seule classe, à condition que chacune des réserves satisfasse aux conditions des classes granulaires d/D indiquées dans la
norme NQ 2560–114 « Travaux de génie civil – Granulats ». L’utilisation de granulats bitumineux récupérés (GBR) ou de bardeau d’asphalte post-fabrication
(BPF) n’est pas considéré comme un chevauchement de classes granulaires. Par contre, la vérification du chevauchement des autres classes granulaires
s’effectue avec l’ensemble des granulats, y compris les GBR ou BPF.
2. Limites de la zone de restriction suggérée.
3. Calculé selon le pourcentage de granulats.
5. Les enrobés à chaud ne doivent pas présenter de ressuage à 200 girations pour l’essai à la presse à cisaillement giratoire de même qu’à 10 000 cycles
pour l’essai à l’orniéreur dans le cas des enrobés de types EG–10, ESG–10, EGM–10, SMA–10 et EC–10 ou 30 000 cycles dans le cas des enrobés de
4.2 Enrobés à chaud
7. La quantité d’enrobé nécessaire à l’essai à l’orniéreur est calculée par rapport à une compacité visée de 95 %, et ce, selon la densité maximale de la
la méthode de formulation du
formule.
Enrobés à chaud formulés selon
8. Lorsque l’enrobé est fabriqué avec un bitume dont la recouvrance élastique à 10 °C, 20 cm, 5 cm/min est ≥ 60 %, cet essai n’est pas requis.
4
13
Chapitre
de
Date
VII
Page
Tome
13
Norme
2013 12 15
4202
Copie de travail - DESSAU - NOR GN TR 13 0012.43
Liants et enrobés Tome
VII
4.3 Traitements de surface
Chapitre Norme
4 4301
Page
Traitements de surface 1 3
NORME
de
Date
2008 12 15
1. Objet 4. Classification
La présente norme a pour objet de déter- Les traitements de surface sont classifiés
miner les exigences du Ministère en ce qui dans les types suivants (TS1 à TS6), selon
a trait aux caractéristiques et aux critères leur utilisation.
d’évaluation des traitements de surface.
4.1 Traitement de surface
2. Références à l’émulsion de bitume
La présente norme renvoie à l’édition la (classes CRS-2P, CRS-2) :
plus récente des documents suivants : – monocouche sur surface asphaltée :
- couche de surface : TS3;
NORMES :
– multicouche sur surface asphaltée :
ASSOCIATION CANADIENNE - couche de base : TS2;
DE NORMALISATION - couche de surface : TS3 ou TS4;
CAN/CSA A23.2–5A « Détermination de la – multicouche sur surface granulaire,
teneur en particules fines du granulat passant stabilisée ou non :
le tamis 80 µm ». - couche de base : TS1;
MINISTÈRE DES TRANSPORTS - couche de surface : TS3 ou TS4;
DU QUÉBEC – préenduit : TS4.
Tome VII – Matériaux
Norme 2101 « Granulats »,
4.2 Traitement de surface
Norme 4105 « Émulsions de bitume ». à l’émulsion à flottabilité
élevée (HF) :
AUTRE DOCUMENT : – multicouche sur surface granulaire :
- couches de base et de surface : TS5
ASPHALT INSTITUTE et Asphalt ou TS6.
Emulsion Manufacturers
Association 5. Caractéristiques requises
AEMA « A Basic Asphalt Emulsion Manual »,
Manual Series no 19. 5.1 Formule théorique des
traitements de surface
3. Définition
La formule théorique des traitements
La définition suivante s’applique à la de surface doit être datée et signée par le
présente norme : responsable du contrôle de la qualité du four-
Traitement de surface nisseur et être présentée avant le début de
Procédé qui consiste en une application l’application du produit. Une formule théorique
d’émulsion de bitume immédiatement suivie doit être produite pour chaque type de liant
de l’épandage, puis du compactage des gra- ou à chaque changement dans les sources
Contenu normatif
4 4301
Page
2 3 Traitements de surface
NORME
de
Date
2008 12 15
VII
4.3 Traitements de surface
Chapitre Norme
4 4301
Page
Traitements de surface 3 3
NORME
de
Date
2008 12 15
Tableau 4301–1
Fuseaux granulométriques de spécification pour les traitements de surface
(TS1 à TS6)
Types de traitement TS1 (1)(2) TS2 (1)(3) TS3 (1)(4) TS4 (1)(5) TS5 TS6
de surface
Tamis (% passant)
28 mm 100
20 mm 85–100 100 100
14 mm 0–15 85–100 100 100
12,5 mm 75–95 90–100
10 mm 0–3 0–15 85–100 100 50–80 50–80
5 mm 0–3 0–15 85–100 25–50 25–50
2,5 mm 0–3 0–15 15–47 15–47
1,25 mm 0–3 10–40 10–40
630 µm 3–30 3–30
315 µm 2–20 2–20
160 µm 0–10 0–10
80 µm 0–5 0–5
1. Le diamètre moyen (D50) des particules du granulat de la couche de surface doit se situer entre
50 et 60 % du diamètre moyen (D50) des particules du granulat de la couche de base.
2. S’apparente à la classe granulaire 14/20.
3. S’apparente à la classe granulaire 10/14.
4. S’apparente à la classe granulaire 5/10.
5. S’apparente à la classe granulaire 2,5/5.
Tableau 4301–2
Catégories des granulats pour les traitements de surface
TS1, TS2, TS5 TS3, TS6
Gros granulats
Complément à la norme
4d 3d
TS4, TS5, TS6
Granulats fins
3
Tableau 4301–3
Caractéristiques complémentaires des granulats pour
les traitements de surface
Caractéristiques Méthode
Contenu normatif
complémentaires d’essai
Gros granulats — —
Propreté (% max.) CSA–A23.2–5A 0,7
4 4401
Page
Produits de colmatage de fissures 1 2
NORME
de
et de joints Date
2009 12 15
Date
et de joints
2009 12 15
Tableau 4401–1
Exigences relatives au matériau prélevé à froid (1)
Caractéristiques Minimum Maximum Méthodes d’essai
ASTM D5329
Pénétration au cône à 25 °C, 5 s (1/10 mm) 95 145
(non-immersed)
Résilience à 25 °C (%) 40 70 ASTM D5329
Fluage (mm) — 5 ASTM D5329
1. Échantillons prélevés sur un bloc de produit vierge et préparés en laboratoire, servant à caractériser le produit.
2. Le liquide utilisé pour l’essai est de la glycérine USP.
3. Aux fins de l’essai, trois éprouvettes sont préparées avec une épaisseur de 12,7 mm de scellant entre les blocs
de béton. Un cycle est considéré réussi si les trois éprouvettes sont exemptes de défaut.
Le développement à tout moment au cours de l’essai d’un défaut tel qu’une fissure, une séparation ou toute
autre ouverture ayant une profondeur de plus de 6 mm dans le scellant ou entre le scellant et le bloc de béton
constitue un échec de l’éprouvette. La profondeur de la fissure, la séparation ou l’ouverture est mesurée avec
un vernier, perpendiculairement à la surface de l’éprouvette sur laquelle est apparu le défaut.
Tableau 4401–2
Exigences de contrôle du matériau prélevé à chaud au fondoir
Caractéristiques Minimum Maximum Méthodes d’essai
ASTM D5329
Pénétration au cône à 25 °C, 5 s (1/10 mm) 85 140
(non-immersed)
Contenu normatif
4 4501
Page
Enrobés pour rapiéçage à froid 1 4
NORME
de
Date
2010 12 15
1. Objet 3. Définition
La présente norme a pour objet de déter- La définition suivante s’applique à la
miner les exigences du Ministère en ce qui présente norme :
a trait aux caractéristiques et aux critères Enrobé à froid
d’évaluation des enrobés à froid utilisés pour
Mélange de granulat et de liant bitumineux,
la réparation des nids-de-poule, des pourtours
fabriqué habituellement à chaud en centrale
de puisard, des trous et des crevasses sur les
d’enrobage et destiné à être posé à froid.
routes recouvertes d’enrobés.
Lot
2. Références Un lot est défini par une quantité d’enrobé
à froid fabriqué selon la même formule, à
La présente norme renvoie à l’édition la partir des mêmes constituants provenant
plus récente des documents suivants : des mêmes sources d’approvisionnement et
ayant des caractéristiques similaires. L’enrobé
NORME doit présenter les mêmes caractéristiques
BUREAU DE NORMALISATION physico-chimiques et le mélange à la centrale
DU QUÉBEC d’enrobage doit être fait dans la même journée.
Un lot d’enrobé en sacs est limité à une quantité
NQ 2560–114 « Travaux de génie civil – n’excédant pas 1000 tonnes.
Granulats ».
AUTRES DOCUMENTS
4. Classification
Les enrobés à froid sont fournis de
Gouvernement du Québec deux façons :
MINISTÈRE DES TRANSPORTS – en sacs;
DU QUÉBEC, LABORATOIRE – en vrac.
DES CHAUSSÉES
LC 26–045 « Détermination de la densité 5. Caractéristiques requises
maximale ».
LC 21–065 « Détermination de la densité et 5.1 Liant bitumineux
de l’absorption du granulat fin ».
Le liant bitumineux utilisé pour la fabrica-
LC 21–067 « Détermination de la densité et tion des enrobés à froid doit être spécialement
de l’absorption du gros granulat ». conçu à cette fin.
LC 26–015 « Enrobés pour rapiéçage à
froid – Essai de cohésion ». 5.2 Granulats
LC 26–016 « Enrobés pour rapiéçage à
froid – Essai de maniabilité ». 5.2.1 Gros granulats
LC 26–100 « Détermination de la teneur en Les gros granulats doivent être compo-
bitume ». sés uniquement de pierre concassée. Les
LC 26–350 « Analyse granulométrique des caractéristiques intrinsèques et de fabrication
granulats ». des gros granulats doivent être conformes à
Contenu normatif
4 4501
Page
Date
2010 12 15
4 4501
Page
Enrobés pour rapiéçage à froid 3 4
NORME
de
Date
2010 12 15
4 4501
Page
Date
2010 12 15
Tableau 4501–1
Caractéristiques des enrobés à froid
Caractéristiques Exigences Méthodes d’essai
a) Physiques
Maniabilité – minimum 4,0 joules (1) LC 26–016
– maximum 6,5 joules (1)
(ou 7,5 joules) (2)
Cohésion – minimum 90 % LC 26–015
– pas d’affaissement
b) Granulométriques
Tamis (% passant)
14 mm 100
10 mm 95–100
5 mm 45–65
2,5 mm —
LC 26–350
1,25 mm 15–25
630 µm —
315 µm —
160 µm —
80 µm maximum 5,0
1. Mesurée au moins deux semaines après la date de production.
2. Mesurée deux mois ou plus après la date de production.
Contenu normatif
vII
Chapitre
5
armature Page
i
Date
2012 12 15
5 5101
Armature pour Page
Date
2012 12 15
en béton.
5 5101
Page Armature pour
2 2 les ouvrages en béton
NORME
de
Date
2012 12 15
4.4 Marquage
Les barres crénelées doivent être
marquées conformément aux exigences de
la norme CSA G30.18 « Barres d’acier au
carbone pour l’armature du béton ».
Contenu normatif
5 5201
Page
Armature de précontrainte 1 1
NORME
de
Date
2006 12 15
NORME : 5. Marquage
L’armature de précontrainte doit être
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING marquée conformément aux exigences des
AND MATERIALS (ASTM) normes de référence régissant le produit.
ASTM A416 « Standard Specification for Steel
Strand Uncoated Seven-Wire for Prestressed
Concrete ».
ASTM A722 « Standard Specification for
Uncoated High-Strength Steel Bars for Pres-
tressing Concrete ».
3. Définitions
Les définitions suivantes s’appliquent à la
présente norme :
Armature de précontrainte :
Acier à haute résistance sous forme de
barre ou de toron qui a subi un traitement
thermique afin de lui conférer les caractéris-
tiques mécaniques requises.
Barre :
Armature de précontrainte sous forme de
barre pourvue ou non de crénelures.
Toron :
Armature de précontrainte sous forme d’un
ensemble de six fils enroulés en hélice autour
d’un fil central appelé âme.
Touret :
Dévidoir sur lequel on enroule les torons.
Contenu normatif
VII
Chapitre
6
PIÈCES MÉTALLIQUES Page
i
Date
2013 12 15
6.4 Aluminium
6401 Aluminium
6.5 Gabions
6501 Gabions
VII
6.1 Aciers de construction
Chapitre Norme
6 6101
Page
Aciers de construction 1 1
NORME
de
Date
2013 12 15
caissons doit être conforme aux exigences cation for High-Strength Low-Alloy Colum-
stipulées dans la norme CSA G40.21 « Aciers bium – Vanadium Structural Steel ».
de construction », nuance 350W. Les tolé-
VII
6.2 Boulons, tiges d’ancrage,
écrous et rondelles en acier Chapitre Norme
6 6201
Page
Boulons, tiges d’ancrage, 1 3
NORME
de
2013 12 15
Date
écrous et rondelles en acier
2013 12 15
VII
6.2 Boulons, tiges d’ancrage,
écrous et rondelles en acier Chapitre Norme
6 6201
Page
Boulons, tiges d’ancrage, 3 3
NORME
de
2013 12 15
3.7 Marquage
Les boulons, les écrous et les rondelles
doivent être marqués conformément aux
exigences de la norme de référence régissant
le produit.
Contenu normatif
6 6301
Page
Éléments de glissement en acier 1 2
NORME
de
2013 12 15
Date
pour glissières de sécurité
2013 12 15
VII
6.4 Aluminium
Chapitre Norme
6 6401
Page
Aluminium 1 2
NORME
de
Date
2012 12 15
1. Objet ASTM B108 / B108M
La présente norme a pour objet de déter- – alliage 356-T6 :
miner les exigences du Ministère en ce qui a fonte d’aluminium pour pièces coulées
trait aux caractéristiques et aux critères d’éva- en moule permanent pour caissons de
luation de l’aluminium servant à la fabrication sécurité, caissons de service électrique,
des structures de signalisation et d’éclairage, et brides de raccord.
des feux de circulation et des panneaux de
3.2 Tôle et plaque d’aluminium
signalisation et de supersignalisation.
ASTM B209
2. Références – alliages 5052H32 ou 6061-T6 :
La présente norme renvoie à l’édition la tôles d’aluminium pour coffrets utilisés en
plus récente des documents suivants : électrotechnique;
– alliages 5052H36 ou 5052H38 :
NORMES tôles d’aluminium pour panneaux de
signalisation;
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING – alliage 6061-T6 :
AND MATERIALS tôles pour PMV, plaques pour brides de
ASTM B85 / B85M « Standard Specification raccord et autres plaques pour structures
for Aluminum-Alloy Die Castings ». de signalisation et d’éclairage.
ASTM B108 / B108M « Standard Specifica-
tion for Aluminium-Alloy Permanent Mold 3.3 Profilé d’aluminium
Castings ». ASTM B221
ASTM B209 « Standard Specification for – alliage 6061-T6 :
Aluminum and Aluminum-Alloy Sheet and profilés extrudés pour PMV et supports
Plate ». en T pour panneaux de signalisation;
ASTM B221 « Standard Specification for – alliage 6063-T6 :
Aluminum and Aluminum-Alloy Extruded profilés de charpente pour panneaux de
Bars, Rods, Wire, Profiles, and Tubes ». signalisation;
– alliage 6351-T6 :
3. Caractéristiques requises supports en T pour panneaux de signali-
Les pièces d’aluminium doivent être sation.
conformes aux exigences des normes sui-
vantes. 3.4 Tube d’aluminium
ASTM B221
3.1 Fonte d’aluminium – alliage 6061-T6 :
ASTM B85 / B85M tubes pour longerons et membrures
– alliages 360 et A360 : secondaires de structures de signalisation
fonte d’aluminium injectée pour lumi- et d’éclairage;
naires avec résistance au brouillard – alliage 6063-T6 :
salin 3000 heures. D’autres alliages tubes pour poteaux, fûts et membrures
Contenu normatif
6 6401
Page
2 2 Aluminium
NORME
de
Date
2012 12 15
4. Étiquetage
Les pièces d’aluminium doivent porter
une étiquette conformément aux exigences
des normes :
– ASTM B85 / B85M « Standard Specifica-
tion for Aluminum-Alloy Die Castings »;
– ASTM B108 / B108M « Standard Speci-
fication for Aluminium-Alloy Permanent
Mold Castings »;
– ASTM B209 « Standard Specification for
Aluminum and Aluminum-Alloy Sheet and
Plate »;
– ASTM B221 « Standard Specification for
Aluminum and Aluminum-Alloy Extruded
Bars, Rods, Wire, Profiles, and Tubes ».
Contenu normatif
VII
6.5 Gabions
Chapitre Norme
6 6501
Page
Gabions 1 3
NORME
de
Date
2008 12 15
1. Objet 3. Définitions
La présente norme a pour objet de Les définitions suivantes s’appliquent à la
déterminer les exigences du Ministère en ce présente norme :
qui a trait aux caractéristiques et aux critères Diaphragme
d’évaluation des gabions en acier galvanisé Section de treillis métallique à l’intérieur du
recouvert de polychlorure de vinyle (PVC). panier divisant le gabion en cellules.
Fil de lisière
2. Références Fil d’acier de calibre supérieur à ceux des
La présente norme renvoie à l’édition la mailles et parcourant le pourtour et les arêtes
plus récente des documents suivants : du panier.
Gabion
NORMES : Panier pouvant avoir différentes grandeurs,
ayant la forme d’une boîte, fabriqués de treillis
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING métallique galvanisé recouvert de PVC et
AND MATERIALS remplis de pierres.
ASTM A 641 « Standard Specification for Zinc- Tirant
Coated (Galvanized) Carbon Steel Wire ». Fil servant à empêcher la déformation du
ASTM A 975 « Standard Specification for gabion.
Double-Twisted Hexagonal Mesh Gabions and
Revet Mattresses (Metallic-Coated Steel Wire 4. Classification
or Metallic-Coated Steel Wire With Polyvinyl Les gabions sont classés en deux types :
Chloride (PVC) Coating) ».
– Type A : Gabions utilisés comme murs de
ASTM B 117 « Standard Practice for Operating soutènement.
Salt Spray (Fog) Apparatus ».
– Type B : Gabions-matelas utilisés pour la
ASTM D 412 « Standard Test Methods for protection des terrains en pente, la pro-
Vulcanized Rubber and Thermoplastic Elas- tection contre l’érosion des rives de cours
tomers – Tension ». d’eau et l’aménagement de l’embouchure
ASTM D 792 « Standard Test Methods for des rivières.
Density and Specific Gravity (Relative Density)
of Plastics by Displacement ». 5. Caractéristiques requises
ASTM D 1499 « Standard Practice for Filte-
red Open-Flame Carbon-Arc Exposures of 5.1 Fabrication
Plastics ».
Les gabions doivent être fabriqués en une
ASTM D 2240 « Test Method for Rubber
seule pièce de façon à ce que les côtés, les
Property – Durometer Hardness ».
bouts, le fond, le couvercle et les diaphrag-
ASTM G 152 « Standard Practice for Opera- mes puissent être assemblés sur place pour
ting Open Flame Carbon Arc Light Apparatus former des paniers rectangulaires, selon les
for Exposure of Nonmetallic Materials ». dimensions spécifiées. Le fond, le couvercle,
Contenu normatif
6 6501
Page
2 3 Gabions
NORME
de
Date
2008 12 15
les bouts et les côtés doivent être, soit tressés 5.2.2 Revêtement en PVC
en une seule pièce, ou être liés au fond du Après la galvanisation, les tirants, les
gabion par une extrémité, de manière que les fils du treillis métallique, les fils de lisière et
joints soient aussi résistants que le corps du de ligature doivent être recouverts, avant le
treillis lui-même. Les mailles du treillis doi- tressage, d’une couche de protection en PVC
vent être de forme hexagonale, de 100 mm d’une épaisseur minimale de 0,38 mm.
de longueur et de 80 mm de largeur, et être
tressées à double torsion. Le PVC utilisé pour le revêtement doit être
conforme aux exigences du tableau 6501–2.
Lorsque la longueur du gabion excède
d’une fois et demie sa largeur, des diaphrag- 5.3 Dimensions des gabions
mes dont le treillis est le même que celui du
gabion doivent être ajoutés; la longueur des
cellules ne doit pas excéder leur largeur. Les 5.3.1 Gabions de type A
fils des diaphragmes doivent être du même Les dimensions des gabions de type A
calibre que ceux du treillis. Le gabion doit doivent être conformes aux exigences du
être fourni avec les diaphragmes nécessaires tableau 6501–3.
cousus au fond, de telle manière qu’aucune
attache supplémentaire ne soit nécessaire à 5.3.2 Gabions de type B
ce joint. Les dimensions des gabions de type B
doivent être conformes aux exigences du
5.2 Matériaux de fabrication tableau 6501–4.
Tableau 6501–1
Diamètre des fils
Type Diamètre des fils Diamètre des fils Diamètre des fils
du treillis en de lisière en de ligature et
acier galvanisé acier galvanisé des tirants en
(mm) (mm) acier galvanisé
Contenu normatif
(mm)
Gabions 2,70 ± 0,10 3,40 ± 0,10 2,20 ± 0,10
Gabions-matelas 2,20 ± 0,10 2,70 ± 0,10 2,20 ± 0,10
VII
6.5 Gabions
Chapitre Norme
6 6501
Page
Gabions 3 3
NORME
de
Date
2008 12 15
Tableau 6501–2
Caractéristiques physiques, mécaniques et méthodes d’essais du PVC utilisé
pour le revêtement
Caractéristiques Valeurs initiales Changement après Méthodes d’essais
les essais d’usure
accélérée (1)
– Masse volumique 1,30 à 1,35 g/cm3 < 6 % ASTM D 792
– Dureté « Shore D » 50 à 60 à l’échelle < 10 % ASTM D 2240
– Résistance à la tension > 20,6 MPa < 25 % ASTM D 412
– Allongement 200 % à 280 % < 25 % ASTM D 412
– Module d’élasticité > 18,6 MPa < 25 % ASTM D 412
– Apparence La couche de PVC
ne doit pas se déchirer
ou fendiller.
1. Essais d’usure accélérée :
– Essai de vaporisation d’eau salée : ASTM B 117 – Durée de l’essai : 3000 heures.
– Exposition aux rayons ultraviolets : ASTM D 1499 et ASTM G 152 – Durée : 3000 heures à 63 °C.
3 x 1 x 0,3 3 0,9
4 x 1 x 0,3 4 1,2
6 6601
Page
Clôtures métalliques 1 3
NORME
de
Date
2013 12 15
6 6601
Page
2 3 Clôtures métalliques
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 6601–1
Caractéristiques des fils pour clôture de ferme
Éléments
Normes de
Caractéristiques Fil Fil Nœud (1) référence
horizontal (1) vertical(1)
Force à la rupture (min.) (kN) 6 3,4 — ASTM A116
Masse surfacique (min. du
244 244 214 ASTM A116
revêtement de zinc) (g/m2)
1. Le diamètre des fils horizontaux et verticaux doit être de 2,5 mm. Le diamètre minimal du fil de nœud doit être de 2,2 mm.
de zinc doit être de 550 g/m2. Les tubes verticaux doivent être découpés et
6 6601
Page
Clôtures métalliques 3 3
NORME
de
Date
2013 12 15
vII
Chapitre
7
TUYAUX ET ACCESSOIRES Page
i
Date
2011 12 15
7.2 Accessoires
7202 Cadres, grilles, tampons, cales
de rehaussement et trappes
de puisard
Normes archivées (1)
Norme (dernière version active) Remarque Archivée le
7102 Tuyaux circulaires en béton armé Norme retirée, se référer aux normes 2000 12 01
et en béton non armé (97 06 27) NQ 2622–120, NQ 2622–130 et NQ 2622–126.
7103 Tuyaux en thermoplastique (95 05 26) Norme retirée, se référer aux normes 2000 12 01
NQ 3624–110, NQ 3624–115, NQ 3624–120
et NQ 3624–135.
7201 Regards, puisards et chambres de vannes Norme retirée, se référer à la norme 2000 12 01
préfabriqués en béton de ciment armé (99 06 01) NQ 2622–420.
1. Ces normes ont été retirées ou fusionnées et ne sont plus présentées dans le présent document.
7 7101
Tuyaux en tôle ondulée ou
Page
nervurée et en tôle forte 1 4
NORME
de
2011 12 15
7 7101
Tuyaux en tôle ondulée ou
Page
Date
ondulée et courbée
2011 12 15
7 7101
Tuyaux en tôle ondulée ou
Page
nervurée et en tôle forte 3 4
NORME
de
2011 12 15
4.10 Entreposage
Les plaques de tôles fortes courbées
revêtues d’une protection doivent être entre-
posées sur des supports en bois afin de
prévenir toute détérioration de leur revêtement,
d’assurer la circulation de l’air et d’éviter la
rétention d’eau entre les éléments.
Contenu normatif
7 7101
Tuyaux en tôle ondulée ou
Page
Date
ondulée et courbée
2011 12 15
Tableau 7101–1
Caractéristiques du collier ondulé pour les tuyaux en tôle d’acier
Diamètre des tuyaux (mm)
Largeur
Type de ondulations ondulations
minimale
raccord des tuyaux de des tuyaux de
(mm)
68 × 13 mm 125 × 25 mm
Une pièce 180 300–600 —
Une pièce 300 700–1200 —
Deux pièces 300 1400–1600 1200–1600
Deux pièces 600 1800–2400 1800–2400
Trois pièces 600 — 2700–3600
Tableau 7101–2
Caractéristiques du collier ondulé pour les tuyaux en tôle d’aluminium
Diamètre des tuyaux (mm)
Épaisseur Largeur Nombre de
Type de ondulations ondulations
nominale minimale boulons
raccord des tuyaux de des tuyaux de
(mm) (mm) par pièce
68 × 13 mm 76 × 25 mm
Une pièce 1,3 180 2 300–500 —
Une pièce 1,6 300 2 600–1000 —
Une pièce 2,0 300 2 1200–1600 —
Deux pièces 2,0 600 3 1800–2200 800–2400
Trois pièces 2,0 600 3 — 2700–3000
Tableau 7101–3
Caractéristiques du collier partiellement ondulé pour les tuyaux en tôle d’acier et
pour les tuyaux en tôle d’aluminium
Épaisseur Diamètre des tuyaux (mm)
Largeur Nombre de
Type de nominale
minimale boulons
raccord d’aluminium acier aluminium
(mm) par pièce
(mm)
Une pièce 1,6 330 2 300–800(1) 300–800(1)
Deux pièces 2,0 480 4 900–2200 (1)(2)
900–2200(1)(3)
Trois pièces 2,0 480 4 2400–3600(2) 2400–3000(3)
Contenu normatif
7 7202
Cadres, grilles, tampons, cales de Page
Date
2011 12 15
3. Caractéristiques requises
Les cadres, grilles, tampons, cales
de rehaussement et trappes de puisard
doivent respecter les exigences de la norme
NQ 3221–500 « Cadres, grilles, tampons,
trappes de puisard et bouches à clé –
Moulages en fonte grise ou en fonte ductile
Contenu normatif
VII
Chapitre
8
MATÉRIAUX ÉLECTRIQUES Page
i
Date
2013 12 15
Normes archivées (1)
Norme (dernière version) Remarque Archivée le
8101 Conduits et accessoires en métal rigide Norme retirée, remplacée par la norme 8107. 2008 12 15
(2007 12 15)
8102 Conduits et accessoires en polychlorure Norme retirée, remplacée par la norme 8107. 2008 12 15
de vinyle rigide (2007 12 15)
8103 Conduits métalliques flexibles (2007 12 15) Norme retirée, remplacée par la norme 8107. 2008 12 15
8104 Conduits en polyéthylène (2007 12 15) Norme retirée, remplacée par la norme 8107. 2008 12 15
8105 Tubes électriques métalliques (2007 12 15) Norme retirée, remplacée par la norme 8107. 2008 12 15
8106 Conduits rigides en fibre de verre (2007 12 15) Norme retirée, remplacée par la norme 8107. 2008 12 15
8303 Luminaires cylindriques pour l’éclairage routier Norme retirée. 2003 12 15
(96 09 23)
8305 Coffrets de branchement et de distribution pour Nouvelle numérotation, maintenant norme 8701. 2007 12 15
l’éclairage routier (2006 12 15)
8306 Coffrets de branchement pour l’éclairage routier Nouvelle numérotation, maintenant norme 8702. 2007 12 15
(2006 12 15)
8401 Lampes pour l’éclairage du réseau routier Norme retirée. 2005 12 15
(2000 12 01)
8402 Lampes pour feux lumineux (98 03 25) Norme retirée. 2007 12 15
8506 Coffrets pour feux de circulation (2006 12 15) Nouvelle numérotation, maintenant norme 8703. 2007 12 15
8507 Coffrets pour feux clignotants (2006 12 15) Nouvelle numérotation, maintenant norme 8704. 2007 12 15
8510 Têtes pour signaux lumineux (99 06 01) Norme retirée, remplacée par les normes 8601 2003 12 15
et 8602.
1. Ces normes ont été retiréesCopie
ou fusionnées
de travail et ne sont plus
- DESSAU présentées
- NOR GN TR 13dans le présent document.
0012.43
Tome
VII
Chapitre
8
Page MATÉRIAUX ÉLECTRIQUES
ii
Date
2013 12 15
VII
8.1 Conduits électriques
Chapitre Norme
8 8107
Page
Conduits, boîtes et raccords 1 2
NORME
de
Date
2011 12 15
8 8107
Page
Date
2011 12 15
Tableau 8107–1
Exigences et caractéristiques des conduits, boîtes et raccords
Marquage
Matériaux à utiliser Pièce Norme CSA
complémentaire
Acier galvanisé Conduit (1), CAN/CSA C22.10 Sigle CSA, inscription
Acier galvanisé au zinc boîte, CAN/CSA C22.2 n° 0 appropriée indiquant
avec revêtements raccord l’usage prévu.
CAN/CSA C22.2 n° 18.1
extérieur et intérieur
additionnels (2) CSA C22.2 n° 45
Aluminium ASTM B117
Métal flexible avec gaine Conduit (1), CAN/CSA C22.10 Sigle CSA, inscription
thermoplastique 75 °C raccord CAN/CSA C22.2 n° 0 appropriée indiquant
étanche au liquide l’usage prévu, dimen-
CAN/CSA C22.2 n° 18.1 sion nominale.
CSA C22.2 no 56
Acier doux Tube, boîte, CAN/CSA C22.10 Sigle CSA, inscription
Alliage d’aluminium raccord CAN/CSA C22.2 n° 0 appropriée indiquant
(EMT) l’usage prévu.
CAN/CSA C22.2 n° 18.1
CSA C22.2 n° 83
Polyéthylène de type Conduit (1), CSA B137.0
PE1404 série 50 raccord CSA B137.1
PVC rigide non plastifié Conduit (1), CAN/CSA C22.10
75 °C boîte, CAN/CSA C22.2 n° 0
raccord
CAN/CSA C22.2 n° 85
CSA C22.2 no 211.0
CSA C22.2 no 211.2
Fibre de verre de type Conduit (1), CAN/CSA C22.10 Sigle CSA ou UL,
E-Glass (3) boîte, CAN/CSA C22.2 n° 0 épaisseur nominale
raccord de la paroi.
CSA C22.2 n° 211.3 (ANSI/UL 1684)
CSA C22.2 n° 2215 (ANSI/UL 2515)
1. Inclut les coudes et les manchons.
2. Revêtement extérieur additionnel exigé :
- couche de polyester époxydique - épaisseur minimale de 76 µm - appliquée par procédé électrostatique;
OU
- couche de polychlorure de vinyle (PVC) - épaisseur minimale de 1 mm - obtenue par trempage à chaud
( hot dip plastisol ).
Revêtement intérieur additionnel exigé :
- couche de peinture époxy acrylique - épaisseur minimale de 25 µm.
Contenu normatif
VII
8.2 Câbles électriques
Chapitre Norme
8 8201
Page
Fils et câbles électriques 1 3
NORME
de
Date
2010 12 15
8 8201
Page
Date
2010 12 15
3.3 Marquage
Les inscriptions qui doivent apparaître sur
l’enveloppe des câbles sont celles qui sont
mentionnées dans les normes applicables
indiquées au tableau 8201–1. Ces inscriptions
doivent être indélébiles et lisibles.
Contenu normatif
VII
8.2 Câbles électriques
Chapitre Norme
8 8201
Page
Fils et câbles électriques 3 3
NORME
de
Date
2010 12 15
Tableau 8201–1
Exigences et caractéristiques des câbles électriques
Type Norme CSA Matériau Conducteur Gaine
RW90 (1)
CSA C22.2 n 38 o
Cuivre Toronné Isolation pour une tension
CAN/CSA C22.10 de 600 V.
CAN/CSA C22.2 no 0
CSA C22.2 no 0.3
NEMA WC 70
RWU90 (1) CSA C22.2 no 38 Cuivre Toronné Isolation pour une tension
CAN/CSA C22.10 de 1000 V.
CAN/CSA C22.2 no 0
CSA C22.2 no 0.3
NEMA WC 70
TWU75-FT1 CSA C22.2 no 38 Cuivre Un seul brin Isolation pour une tension
CAN/CSA C22.10 plein de 600 V.
CAN/CSA C22.2 no 0
CSA C22.2 no 0.3
NEMA WC 70
TECK90 CAN/CSA C22.2 no 131 Cuivre ou Toronné Isolation pour une tension
CAN/CSA C22.10 aluminium de 1000 V.
CAN/CSA C22.2 no 0
CSA C22.2 no 0.3
NEMA WC 70
NS75-FT1 (1) (2) CSA C22.2 no 129 Aluminium Toronné Isolation pour une tension
CAN/CSA C22.10 de 600 V.
CAN/CSA C22.2 no 0
CSA C22.2 no 0.3
SOOW CAN/CSA C22.2 no 49 Cuivre Toronné Isolation pour une tension
CAN/CSA C22.10 de 600 V.
CAN/CSA C22.2 no 0
CSA C22.2 no 0.3
NMD90 XLPE CAN/CSA C22.2 no 48 Cuivre Toronné Isolation pour une tension
CAN/CSA C22.10 de 300 V.
CAN/CSA C22.2 no 0
CSA C22.2 no 0.3
Câble de distribution CAN/CSA C22.10 Cuivre Toronné Isolation pour une tension
et de contrôle pour CAN/CSA C22.2 no 0 de 300 V.
signaux lumineux CSA C22.2 no 0.3
Tome VII, norme 8202
IMSA 19–1
Câble d’amenée blindé CAN/CSA C22.10 Cuivre Toronné Isolation pour une tension
pour signaux lumineux CAN/CSA C22.2 no 0 de 300 V.
CSA C22.2 no 0.3
Tome VII, norme 8203
Câble haute température CAN/CSA C22.10 Cuivre étamé Toronné Silicone avec gaine en fibre
SF2/SEW UL 3071 CAN/CSA C22.2 no 0 de verre.
CSA C22.2 no 0.3 Isolation pour une tension de
Contenu normatif
VII
8.2 Câbles électriques
Chapitre Norme
8 8202
Câbles de distribution et de contrôle Page
Date
2013 12 15
8 8202
Page Câbles de distribution et de contrôle
2 2 pour signaux lumineux
NORME
de
Date
2013 12 15
VII
8.2 Câbles électriques
Chapitre Norme
8 8203
Câbles d’amenée blindés Page
Date
2010 12 15
1. Objet
La présente norme a pour objet de
déterminer les exigences du Ministère en ce
qui a trait aux caractéristiques et aux critères
d’évaluation des câbles d’amenée blindés pour
signaux lumineux.
2. Références
La présente norme renvoie à l’édition la
plus récente des documents suivants :
Figure 8203–1
NORMES Câble d’amenée blindé
ASSOCIATION CANADIENNE DE
NORMALISATION Les conducteurs isolés et le conducteur nu
doivent être faits de brins de cuivre étamés et
CAN/CSA C22.10 « Code de construction toronnés. Chaque conducteur isolé doit être
du Québec – Chapitre V – Électricité – d’un calibre minimal de 18 AWG tandis que le
Code canadien de l’électricité, Première conducteur nu doit être d’un calibre minimal
partie et modifications du Québec ». de 20 AWG. Les conducteurs isolés doivent
CAN/CSA C22.2 no 0 « Exigences géné- être torsadés entre eux avec un minimum de
rales – Code canadien de l’électricité, 10 croisements au mètre.
Deuxième partie ». Le blindage doit être un ruban (pellicule
CAN/CSA C22.2 no 0.3 « Test Methods for de polyester adhérant à une pellicule d’alumi-
Electrical Wires and Cables ». nium) recouvrant uniquement les conducteurs
isolés. La pellicule d’aluminium du ruban doit
3. Caractéristiques requises faire face à l’enveloppe du câble.
L’enveloppe extérieure du câble doit être
3.1 Fabrication en polychlorure de vinyle (PVC) ou en poly-
Le câble d’amenée (lead-in-wire ) doit éthylène (PE) et avoir une épaisseur d’au
être conforme aux normes CAN/CSA C22.10 moins 0,76 mm.
« Code de construction du Québec – Chapi-
tre V – Électricité – Code canadien de l’élec- 3.2 Isolation
tricité, Première partie et modifications du L’isolation des conducteurs doit être
Québec » et CAN/CSA C22.2 no 0 « Exigences de polyéthylène (PE) d’une épaisseur d’au
générales – Code canadien de l’électricité, moins 0,46 mm.
Deuxième partie ». L’isolation doit conserver ses qualités iso-
La figure 8203–1 « Câble d’amenée lantes, de rigidité, de souplesse et de stabilité
blindé » illustre les différents composants de aux températures ambiantes comprises entre
ce type de câble. - 20 et + 60 °C.
Le câble d’amenée pour signaux lumineux L’isolation électrique doit être de 300 V.
Contenu normatif
8 8203
Page Câbles d’amenée blindés
2 2 pour signaux lumineux
NORME
de
Date
2010 12 15
3.3 Couleur
Chaque conducteur doit posséder une
couleur différente.
3.5 Marquage
Les marquages indélébiles suivants
doivent être présents sur l’enveloppe du câble,
à intervalles réguliers :
– le nom du fabricant ou sa marque de
commerce;
– le numéro de produit du fabricant;
– la mention que l’enveloppe extérieure du
câble est blindée;
– le calibre des conducteurs formant le
câble.
Contenu normatif
VII
8.3 Luminaires
Chapitre Norme
8 8301
Luminaires profilés pour Page
l’éclairage routier 1 9
NORME
de
Date
2013 06 15
8 8301
Page Luminaires profilés pour
2 9 l’éclairage routier
NORME
de
Date
2013 06 15
cobra;
« BP » pour luminaires profilés de type B,
qui correspond aux autres modèles
destinés à l’éclairage routier.
4.1.1.1 Catégorie « AP »
La masse totale du luminaire équipé de
tous ses composants et accessoires, y compris
sa lampe et son ballast, ne doit pas excéder
27 kg; sa surface effective (Effective Projected
Contenu normatif
VII
8.3 Luminaires
Chapitre Norme
8 8301
Luminaires profilés pour Page
l’éclairage routier 3 9
NORME
de
Date
2013 06 15
4.2 Caractéristiques mécaniques les facettes les unes aux autres et former un
ensemble rigide. Les facettes doivent com-
4.2.1 Fabrication porter au moins deux points de fixation et ne
pas se déformer sous l’effet de la température.
4.2.1.1 Boîtier en aluminium De plus, elles doivent être d’une épaisseur
Le luminaire doit être composé d’un boî- minimale de 0,6 mm. Une fois assemblé,
tier qui contient tous les éléments propres ce type de réflecteur doit pouvoir s’enlever
au fonctionnement de l’appareil. Le boîtier d’un seul bloc.
doit être muni d’une partie fixe sur laquelle le
dispositif de fixation du tenon est ancré. Il doit 4.2.1.3 Réfracteur
être muni d’une porte de service, articulée sur Pour les luminaires de la catégorie AP, le
une charnière captive, pour permettre l’accès réfracteur doit être fabriqué de verre trempé
au ballast et au bloc optique. ou de borosilicate thermorésistant. Pour la
Le boîtier et la porte de service du luminaire catégorie BP, l’acrylique ou le polycarbonate
doivent être moulés en monoblocs d’aluminium thermorésistant sont également acceptés.
à l’aide d’une matrice appropriée ou être Pour les deux catégories, le réfracteur
construits de pièces d’aluminium pliées et doit être résistant aux ultraviolets et avoir une
soudées sur la pleine longueur de toutes les épaisseur minimale de 3 mm. Il doit également
arêtes. Les alliages d’aluminium doivent être être fixé au boîtier par un dispositif approprié
conformes aux exigences de la norme 6401 qui n’endommage pas le réfracteur ou le boîtier.
« Aluminium » du présent tome. 4.2.1.4 Garniture d’étanchéité
Le boîtier doit être équipé d’un dispositif Le bloc optique du luminaire est composé
de verrouillage des portes captif qui ne permet d’un réflecteur, d’un réfracteur et d’une douille
l’ouverture que par une intervention humaine. conformes aux stipulations des articles de
Le luminaire et ses accessoires, y com- cette norme.
pris le dispositif de fermeture de la porte de Tous les joints d’assemblage des compo-
service, doivent être conçus pour résister aux sants du luminaire doivent être munis de gar-
surcharges de vent et de verglas et aux sur- nitures afin que le bloc optique soit étanche à
charges vives conformément aux exigences la poussière et aux éclaboussures d’eau selon
du Tome III – Ouvrages d’art, chapitre 6 la classification minimale IP64 des normes
« Structures de signalisation, d’éclairage et CAN/CSA E60598–1–02 « Luminaires –
de signaux lumineux ». Partie 1 : Prescriptions générales et essais »
Complément à la norme
8 8301
Page Luminaires profilés pour
4 9 l’éclairage routier
NORME
de
Date
2013 06 15
de diamètre au minimum.
Afin d’éviter la corrosion électrochimique, Le luminaire doit être pourvu d’une zone
un matériau diélectrique doit être posé entre plane ou d’un dispositif approprié qui permet
les pièces de matériaux métalliques différents l’ajustement vertical, latéral et longitudinal du
pour qu'elles ne soient pas en contact direct. luminaire en vue d’optimiser son rendement
4.2.1.6 Finition et peinture photométrique.
Les bordures du boîtier, les joints de mou- De plus, un pivot interne intégré à l’embout
lage, les trous de perçage, les composants de fixation, ou tout autre dispositif approprié,
à l’intérieur du luminaire et la quincaillerie doit permettre un ajustement vertical minimal
Contenu normatif
doivent être exempts de toute aspérité, bavure du luminaire de ± 5° par rapport à l’axe hori-
ou pointe et de toute autre imperfection zontal du tenon.
qui pourrait nuire au fonctionnement des
VII
8.3 Luminaires
Chapitre Norme
8 8301
Luminaires profilés pour Page
l’éclairage routier 5 9
NORME
de
Date
2013 06 15
8 8301
Page Luminaires profilés pour
6 9 l’éclairage routier
NORME
de
Date
2013 06 15
code de couleurs approprié. Les gaines de Il doit être conçu pour fonctionner à une fré-
couleur d’une longueur d’au moins 25 mm quence d’alimentation sinusoïdale de 60 Hz.
sont permises pour l’identification des conduc- Il doit permettre d’allumer et de faire fonc-
teurs si elles ne nuisent pas à la lecture des tionner la lampe à des températures ambiantes
inscriptions sur le conducteur. Si un code de extérieures variant de - 30 à + 40 °C.
couleurs est utilisé, il doit correspondre au
Pour tous les luminaires, le ballast
diagramme électrique du ballast.
doit comprendre un transformateur et un
4.4.4 Dispositifs de raccordement condensateur.
électrique Pour les luminaires fonctionnant avec une
lampe au sodium à haute pression ou une
Les raccordements électriques entre les lampe aux halogénures métalliques à démar-
composants doivent être réalisés au moyen rage par impulsions « pulse-start » (HMps), le
de cosses débranchables de 6 mm installées ballast doit inclure un démarreur.
aux extrémités des conducteurs, de joints
à compression isolés ou de connecteurs Le fabricant doit fournir la fiche technique
multicircuits isolés, de tension et de courant complète du ballast (courant, tension, tempé-
adéquats. rature, facteur de ballast, taux de distorsion
harmonique total, etc.).
Si le condensateur, le bornier de connexion
ou le démarreur sont munis de cosses débran- Dans le cas des ballasts à démarrage par
chables, elles doivent être isolées ou proté- impulsions, le fabricant doit également fournir
gées par un matériau diélectrique. les courbes trapézoïdales pour chaque modèle
de ballast proposé.
Les dispositifs de raccordement électrique
employés doivent être assemblés mécani- Le ballast doit supporter, sans affecter son
quement en usine à l’aide d’un outil adapté fonctionnement, des variations de ± 10 % de la
au matériel utilisé. De plus, ils doivent être tension nominale tout en conservant un facteur
conçus pour un usage intensif afin d’éviter de régulation de la puissance inférieur à 18 %.
qu’une des parties ne se relâche, ne surchauffe Le ballast doit pouvoir résister aux tensions
ou ne soit endommagée par les vibrations et minimales suivantes sans interrompre son
les contraintes mentionnées dans la présente fonctionnement :
norme. – 1500 Vca pendant 1 minute;
L’utilisation des connecteurs de conduc- – 1800 Vca pendant 1 seconde.
teurs à visser et de gaines thermorétractables
est proscrite. Le facteur de crête à la lampe doit être infé-
rieur à 1,8. Cette valeur doit être mesurée selon
4.4.5 Ballast une des méthodes décrites dans la norme
ANSI C78.389 « For Electric Lamps – High
Le ballast doit être conforme à la norme Intensity Discharge – Methods of Measuring
ANSI C82.4 « Ballasts for High-Intensity- Characteristics ».
Discharge and Low-Pressure-Sodium Lamps
(Multiple-Supply Type) ». Il doit être de type Le transformateur doit être solidement
autotransformateur à puissance constante fixé à l’intérieur du boîtier du luminaire
(CWA), de type transformateur isolé à puis- à l’aide de 4 vis à métaux appropriées.
sance constante (CWI), de type régulateur Le démontage du ballast doit être possible
Contenu normatif
magnétique (MAG-REG) et de type autotrans- sans avoir à retirer le luminaire de son support.
formateur à haute réactance et à facteur de
puissance élevé (HX-HPF).
VII
8.3 Luminaires
Chapitre Norme
8 8301
Luminaires profilés pour Page
l’éclairage routier 7 9
NORME
de
Date
2013 06 15
Le luminaire doit accepter les ballasts de Le démarreur doit être de type standard,
dimension standard. La distance entre les sans dispositif de protection de démarrage.
trous de fixation doit être : Sur demande, le Ministère peut exiger
– pour les lampes de 70 W à 150 W : que le démarreur puisse fonctionner sans
- de 89 mm 62 mm; défaillance durant au moins 6 mois à raison
de 12 heures par jour (ou durant au moins
– pour les lampes de 175 W à 450 W :
3 mois à raison de 24 heures par jour) lorsque
- de 111 mm 98 mm. la lampe est en circuit ouvert. Une attestation
Si le luminaire ne peut recevoir des bal- de conformité doit alors être fournie.
lasts qui présentent ces dimensions, il doit
être équipé d’un adaptateur permanent, non 4.4.6 Douille
soudé sur le ballast, pour s’y conformer. La douille à crans antivibrations doit com-
prendre un réceptacle en porcelaine vitrifiée,
4.4.5.1 Transformateur un manchon et un plot avec ressort fait d’un
Les enroulements de cuivre du transfor- alliage plaqué de cuivre résistant à la corro
mateur doivent être isolés pour résister à une sion ou un plot en acier inoxydable.
température minimale de 180 °C (classe d’iso- La douille et le câblage qui s’y raccorde
lation H selon la norme UL 1029 « Standard doivent résister aux températures atteintes en
for Safety for High-Intensity-Discharge Lamp milieu fermé lorsqu’une lampe à vapeur de
Ballasts »). sodium à haute pression ou aux halogénures
De plus, pour cette classe d’isolation, métalliques de 400 W est utilisée.
la température d’échauffement du transfor- La longueur minimale des fils reliés à la
mateur, à température ambiante extérieure douille doit être de 100 mm.
de 25 °C, doit être inférieure à 90 °C (code
d’échauffement 1029A, 1029B, 1029C ou La douille doit être de type Goliath
1029D selon la norme UL 1029 « Standard « Mogul » E39 lorsqu’elle est disponible pour
for Safety for High-Intensity-Discharge Lamp la puissance requise. Dans le cas contraire,
Ballasts »). les douilles de type moyen « Medium » E26
sont acceptées.
Le transformateur doit être enrobé d’un
vernis sur toutes les surfaces métalliques et L’isolation de la douille doit être conforme
les bobinages. Le transformateur doit être à la norme UL 496 « Standard for Safety for
nettoyé avant l’immersion pour permettre au Edison-Base Lampholders ». La douille de
vernis de bien adhérer aux surfaces. type Goliath doit être isolée pour une tension
pulsée minimale de 5 kV, tandis que la douille
4.4.5.2 Condensateur de type moyen doit être isolée pour une tension
Le boîtier du condensateur doit être en pulsée minimale de 4 kV.
aluminium ou en plastique, étanche à l’humi-
dité, et il doit résister à la corrosion. 4.4.7 Plaquette à bornes de
Le condensateur doit être muni d’une raccordement
résistance de décharge. La plaquette à bornes de raccordement
4.4.5.3 Démarreur doit supporter des tensions d’utilisation allant
jusqu’à 600 V.
Contenu normatif
8 8301
Page Luminaires profilés pour
8 9 l’éclairage routier
NORME
de
Date
2013 06 15
VII
8.3 Luminaires
Chapitre Norme
8 8301
Luminaires profilés pour Page
l’éclairage routier 9 9
NORME
de
Date
2013 06 15
VII
8.3 Luminaires
Chapitre Norme
8 8302
Luminaires pour montage Page
en surface 1 9
NORME
de
Date
2013 06 15
1. Objet CAN/CSA E60598–1–02
« Luminaires – Partie 1 : Prescriptions
La présente norme a pour objet de déter- générales et essais ».
miner les exigences du Ministère en ce qui
a trait aux caractéristiques et aux critères CAN/CSA E60598–2–3–98 « Luminaires –
d’évaluation des luminaires pour montage Partie 2 : Règles particulières – Section 3 :
en surface pour l’éclairage routier à base de Luminaires d’éclairage public ».
lampes au sodium à haute pression ou aux ILLUMINATING ENGINEERING SOCIETY
halogénures métalliques. OF NORTH AMERICA
Il s’agit, entre autres, des installations IESNA RP–8 « American National Standard
pour les ponts d’étagement, les passages Practice for Roadway Lighting ».
pour piétons et cyclistes, les haltes routières
et les passages sous les lignes électriques. MINISTÈRE DES TRANSPORTS
DU QUÉBEC
2. Références Tome III – Ouvrages d’art.
Tome VII – Matériaux.
La présente norme renvoie à l’édition la
plus récente des normes ou des documents Norme 6401 « Aluminium ».
suivants : UNDERWRITERS LABORATORIES INC.
UL 496 « Standard for Safety for Edison-
NORMES Base Lampholders ».
AMERICAN NATIONAL UL 1029 « Standard for Safety for High-
STANDARDS INSTITUTE Intensity-Discharge Lamp Ballasts ».
ANSI C78.389 « For Electric Lamps – High
Intensity Discharge – Methods of Measuring AUTRES DOCUMENTS
Characteristics ». ILLUMINATING ENGINEERING SOCIETY
ANSI C82.4 « Ballasts for High-Intensity- OF NORTH AMERICA
Discharge and Low-Pressure Sodium IESNA HB–9 « Lighting Handbook,
Lamps (Multiple-Supply Type) ». Reference & Application ».
ANSI C136.15 « Roadway and Area
Lighting Equipment – Luminaire Field
Gouvernement du Québec
Identification ». MINISTÈRE DES TRANSPORTS
DU QUÉBEC, DIRECTION DES
ASSOCIATION CANADIENNE
STRUCTURES
DE NORMALISATION
PSEL–01 « Essais de vibrations et de
CAN/CSA C22.10 « Code de construction
chocs – Luminaires profilés et pour
du Québec – Chapitre V – Électricité – Code
montage en surface ».
canadien de l’électricité, Première partie et
modifications du Québec ». PSEL–02 « Essais de distribution
photométrique ».
CAN/CSA C22.2 no 0 « Exigences
générales – Code canadien de l’électricité, PSEL–03 « Essais thermiques à l’intérieur
Deuxième partie ». d’un luminaire ».
Contenu normatif
8 8302
Page Luminaires pour montage
2 9 en surface
NORME
de
Date
2013 06 15
VII
8.3 Luminaires
Chapitre Norme
8 8302
Luminaires pour montage Page
en surface 3 9
NORME
de
Date
2013 06 15
Le luminaire et ses accessoires, y com- fixé au boîtier par un dispositif approprié qui
pris le dispositif de fermeture de la porte de n’endommage pas le réfracteur ou le boîtier.
service, doivent être conçus pour résister aux
4.2.1.4 Garnitures d’étanchéité
surcharges de vent et de verglas, et aux sur-
charges vives, conformément aux exigences Le bloc optique du luminaire est composé
du Tome III – Ouvrages d’art, chapitre 6 d’un réflecteur, d’un réfracteur et d’une douille
« Structures de signalisation, d’éclairage et conformes aux stipulations des articles de
de signaux lumineux ». De plus, un câble de cette norme.
sécurité en acier inoxydable ou un dispositif Tous les joints d’assemblage des compo-
équivalent, placé à l’intérieur du luminaire, sants du luminaire doivent être munis de gar-
Contenu normatif
doit relier la ou les portes de service au boîtier nitures afin que le bloc optique soit étanche à
principal afin d’éviter qu’une de ces portes la poussière et aux éclaboussures d’eau selon
tombe au sol en cas de défaillance. la classification minimale IP65 des normes
8 8302
Page Luminaires pour montage
4 9 en surface
NORME
de
Date
2013 06 15
traité au zinc.
À l’extérieur du luminaire, les accessoires
de fixation et de support (boulons, écrous,
ressorts, loquets, charnières, vis, rivets,
crochets, sangles, cordon de sécurité, câbles
et autres) doivent être en acier inoxydable de
la série 300. Les luminaires doivent pouvoir
être installés sur une plaque d’interface en alu-
minium, comme illustré sur les figures 8302–2
Contenu normatif
VII
8.3 Luminaires
Chapitre Norme
8 8302
Luminaires pour montage Page
en surface 5 9
NORME
de
Date
2013 06 15
L’efficacité du bloc optique, soit le rapport organisme reconnu par ces normes.
entre le flux lumineux distribué par le luminaire
et le flux lumineux nominal généré par la
lampe, doit être supérieure ou égale à 65 %.
Copie de travail - DESSAU - NOR GN TR 13 0012.43
Tome MATÉRIAUX ÉLECTRIQUES
VII
8.3 Luminaires
Chapitre Norme
8 8302
Page Luminaires pour montage
6 9 en surface
NORME
de
Date
2013 06 15
VII
8.3 Luminaires
Chapitre Norme
8 8302
Luminaires pour montage Page
en surface 7 9
NORME
de
Date
2013 06 15
Le ballast doit pouvoir résister aux tensions Le transformateur doit être enrobé d’un
minimales suivantes sans interrompre son vernis sur toutes les surfaces métalliques et
fonctionnement : les bobinages. Le transformateur doit être
– 1500 Vca pendant 1 minute; nettoyé avant l’immersion pour permettre au
vernis de bien adhérer aux surfaces.
– 1800 Vca pendant 1 seconde.
Le facteur de crête à la lampe doit être infé- 4.4.5.2 Condensateur
rieur à 1,8. Cette valeur doit être mesurée selon Le boîtier du condensateur doit être en
une des méthodes décrites dans la norme aluminium ou en plastique, étanche à l’humi-
ANSI C78.389 « For Electric Lamps – High dité, et il doit résister à la corrosion.
Intensity Discharge – Methods of Measuring Le condensateur doit être muni d’une
Characteristics ». résistance de décharge.
Le transformateur doit être solidement
4.4.5.3 Démarreur
fixé à l’intérieur du boîtier du luminaire à
l’aide de quatre vis à métaux appropriées. Lorsque le luminaire est à démarrage par
Le démontage du ballast doit être possible impulsions, le boîtier du démarreur doit être
sans avoir à retirer le luminaire de son sup- en plastique ou en aluminium. Le démarreur
port. Le luminaire doit accepter les ballasts doit résister à l’humidité et à la corrosion.
de dimension standard. La distance entre les Le démarreur doit être de type standard,
trous de fixation doit être : sans dispositif de protection de démarrage.
– pour les lampes de 70 W à 150 W : Sur demande, le Ministère peut exiger
- de 89 mm 62 mm. que le démarreur puisse fonctionner sans
défaillance durant au moins 6 mois à raison
– pour les lampes de 175 W à 450 W :
de 12 heures par jour (ou durant au moins
- de 111 mm 98 mm. 3 mois à raison de 24 heures par jour) lorsque
Si le luminaire ne peut recevoir des la lampe est en circuit ouvert. Une attestation
ballasts qui présentent ces dimensions, il doit de conformité doit alors être fournie.
être équipé d’un adaptateur permanent, non
soudé sur le ballast, pour s’y conformer. 4.4.6 Douille
4.4.5.1 Transformateur La douille à crans antivibrations doit com-
prendre un réceptacle en porcelaine vitrifiée,
Les enroulements de cuivre du transfor- un manchon et un plot avec ressort fait d’un
mateur doivent être isolés pour résister à une alliage plaqué de cuivre résistant à la corrosion
température minimale de 180 °C (classe d’iso- ou un plot en acier inoxydable.
lation H selon la norme UL 1029 « Standard
for Safety for High-Intensity-Discharge Lamp La douille et le câblage qui s’y raccorde
Ballasts »). doivent résister aux températures atteintes en
milieu fermé lorsqu’une lampe à vapeur de
De plus, pour cette classe d’isolation, sodium à haute pression ou aux halogénures
la température d’échauffement du transfor- métalliques de 400 W est utilisée.
mateur, à température ambiante extérieure
de 25 °C, doit être inférieure à 90 °C (code La longueur minimale des fils reliés à la
d’échauffement 1029A, 1029B, 1029C ou douille doit être de 100 mm.
1029D selon la norme UL 1029 « Standard La douille doit être de type Goliath
Contenu normatif
for Safety for High-Intensity-Discharge Lamp « Mogul » E39 lorsqu’elle est disponible pour
Ballasts »). la puissance requise. Dans le cas contraire,
les douilles de type moyen « Medium » E26
sont acceptées.
Copie de travail - DESSAU - NOR GN TR 13 0012.43
Tome MATÉRIAUX ÉLECTRIQUES
VII
8.3 Luminaires
Chapitre Norme
8 8302
Page Luminaires pour montage
8 9 en surface
NORME
de
Date
2013 06 15
L’isolation de la douille doit être conforme Les laboratoires d’essais doivent être
à la norme UL 496 « UL Standard for Safety reconnus par le Conseil canadien des normes
for Edison-Base Lampholders ». La douille de (CCN) ou par un autre organisme accréditeur
type Goliath doit être isolée pour une tension accepté par le Ministère.
pulsée minimale de 5 kV, tandis que la douille Sur demande du Ministère, le fournisseur
de type moyen doit être isolée pour une tension doit remettre les rapports d’essais correspon-
pulsée minimale de 4 kV. dants et la certification du laboratoire.
4.4.7 Plaquette à bornes de 4.6 Étiquetage
raccordement Les étiquettes ou les plaques signalétiques
Lorsque des plaquettes à bornes sont doivent être de type permanent. Elles doivent
utilisées, elles doivent satisfaire aux exigences être adaptées à la surface de montage et à
du présent article. l’environnement.
La plaquette à bornes de raccordement
doit supporter des tensions d’utilisation allant 4.6.1 Étiquetage du luminaire
jusqu’à 600 V. Le boîtier du luminaire doit contenir les
La plaquette à bornes de raccordement étiquettes suivantes fixées en permanence
doit comprendre trois sections distinctes. Elle et bien en vue.
doit permettre de raccorder les conducteurs Étiquette descriptive du luminaire
d’arrivée de calibre 14 à 10 AWG et les cosses
femelles des conducteurs de sortie lorsque Cette étiquette, fixée sur la surface inté-
celles-ci sont utilisées. rieure du luminaire, doit contenir l’information
suivante :
La plaquette à bornes de raccordement
doit être solidement fixée au boîtier, facilement – le nom du fabricant ou sa marque de
accessible et certifiée CSA ou ULC. commerce;
– l’indication du modèle du luminaire;
4.5 Essais – le numéro de série;
Les luminaires doivent satisfaire aux – le type de distribution photométrique;
exigences des essais décrits dans les procé- – le type de lampe et sa puissance;
dures électrotechniques :
– la tension d’alimentation du luminaire;
– PSEL–01 « Essais de vibrations et de
chocs – Luminaires profilés et pour – la classification du luminaire (usage normal
montage en surface »; pour routes, usage normal pour routes et
ponts, usage intensif).
– PSEL–02 « Essais de distribution
photométrique »; Étiquette du schéma de connexion du
– PSEL–03 « Essais thermiques à l’intérieur luminaire
d’un luminaire »; Cette étiquette, fixée sur la surface inté-
– PSEL–07 « Essais sur la peinture des rieure du luminaire, doit être placée à l’endroit
boîtiers en aluminium ». le plus en vue. Le schéma électrique qui
figure sur cette étiquette doit illustrer tous les
Sur demande du Ministère, les luminaires composants et les branchements électriques
Contenu normatif
VII
8.3 Luminaires
Chapitre Norme
8 8302
Luminaires pour montage Page
en surface 9 9
NORME
de
Date
2013 06 15
8 8304
Luminaires ronds Page
Date
2013 06 15
8 8304
Page Luminaires ronds
2 9 pour tour d’éclairage
NORME
de
Date
2013 06 15
Ballast
Ballast
Vis de retenue
du couvercle Couvercle
Tenon Loquet
Tenon
Amortisseur Réflecteur
de vibrations
Loquet
et dispositif
antidesserrement
Support Réfracteur
de lampe
Contenu normatif
CATÉGORIE « AR » CATÉGORIE « BR »
Figure 8304–1
Luminaire rond
Copie de travail - DESSAU - NOR GN TR 13 0012.43
MATÉRIAUX ÉLECTRIQUES Tome
8 8304
Luminaires ronds Page
Date
2013 06 15
Tableau 8304–1
Efficacité du système optique
Puissance de la lampe Efficacité minimale
Source de la lampe
(watts) du système optique
400 Haute pression de sodium 60 %
750 Haute pression de sodium 60 %
Contenu normatif
8 8304
Page Luminaires ronds
4 9 pour tour d’éclairage
NORME
de
Date
2013 06 15
à serres intégrées. Ce boîtier principal Tous les joints d’assemblage des com-
doit contenir le ballast et doit supporter posants du luminaire doivent être munis de
en permanence le réflecteur; garnitures afin que le bloc optique soit étanche
– d’un couvercle de service fabriqué du à la poussière et aux éclaboussures selon
même matériau que le boîtier principal qui la classification minimale IP64 des normes
doit le recouvrir et y être assujetti à l’aide CAN/CSA E60598–1–02 « Luminaires –
d’un dispositif lui permettant de demeurer Partie 1 : Prescriptions générales et essais »
en place. et CAN/CSA E60598–2–3–98 « Luminaires –
Partie 2 : Règles particulières – Section 3 :
Le luminaire et ses accessoires, y com-
Luminaires d’éclairage public ».
pris le dispositif de fermeture du couvercle
de service, doivent être conçus pour résister Les garnitures d’étanchéité doivent préser-
aux surcharges de vent et de verglas, et aux ver l’étanchéité initiale durant au moins 5 ans
surcharges vives, conformément aux et résister à une température qui fluctue entre
exigences du Tome III – Ouvrages d’art, - 45 °C et + 120 °C.
chapitre 6 « Structures de signalisation, Les garnitures doivent être fixées adé-
d’éclairage et de signaux lumineux ». De plus, quatement pour éviter qu’elles se détachent
un câble de sécurité en acier inoxydable ou pendant les opérations d’entretien.
un dispositif équivalent, placé à l’intérieur
du luminaire, doit relier chaque couvercle 4.2.5 Pièces amovibles, accessoires
de service et le boîtier principal afin d’éviter de fixation et de support
qu’un de ces couvercles tombe au sol en cas Les accessoires de support sont les
de défaillance. accessoires qui permettent de fixer le lumi-
Les alliages d’aluminium doivent être naire sur une potence, un mur ou tout autre
conformes aux exigences de la norme 6401 équipement. Les accessoires de fixation sont
« Aluminium » du présent tome. les accessoires qui permettent de fixer les
4.2.2.2 Réflecteur composants du luminaire.
Le réflecteur doit être constitué d’une Toutes les pièces amovibles doivent être
seule pièce en aluminium au fini spéculaire solidement fixées au boîtier principal.
et être supporté en permanence par le boîtier Les boulons ou les vis qui servent à fixer
du luminaire. le transformateur du ballast au boîtier du
luminaire doivent être munis d’un système
4.2.2.3 Réfracteur de blocage qui les empêche de se desserrer
Complément à la norme
8 8304
Luminaires ronds Page
Date
2013 06 15
8 8304
Page Luminaires ronds
6 9 pour tour d’éclairage
NORME
de
Date
2013 06 15
photométrique, pour chacune des puissances ils doivent être clairement identifiés soit par
et pour chaque type de lampe. un marquage permanent lisible, soit à l’aide
Toutes les distributions photométriques d’un code de couleurs approprié. Les gaines
rendues par un luminaire doivent être confor de couleur d’une longueur d’au moins 25 mm
mes aux normes RP–8 « American National sont permises pour l’identification des conduc-
Standard Practice for Roadway Lighting » teurs si elles ne nuisent pas à la lecture des
et HB–9 « Lighting Handbook, Reference & inscriptions sur le conducteur. Si un code de
Application » de l’IESNA. couleurs est utilisé, il doit correspondre au
diagramme électrique du ballast.
4.4 Caractéristiques électriques
4.4.4 Dispositifs de raccordement
4.4.1 Caractéristiques générales électrique
4.4.1.1 Facteur de puissance Les raccordements électriques entre les
composants doivent être réalisés au moyen
À une température ambiante extérieure de cosses débranchables de 6 mm installées
de 25 °C, le facteur de puissance du luminaire aux extrémités des conducteurs, de joints à
doit être d’au moins 90 %. compression isolés ou de connecteurs multi-
circuits isolés, de tension et de courant
4.4.2 Composants électriques adéquats.
internes
Si le condensateur, le bornier de connexion
Les installations électriques à l’intérieur du ou le démarreur sont munis de cosses débran-
luminaire doivent être conformes aux normes chables, elles doivent être isolées ou proté-
CAN/CSA C22.10 « Code de construction du gées par un matériau diélectrique.
Québec – Chapitre V – Électricité – Code
Les dispositifs de raccordement élec-
canadien de l’électricité, Première partie et
trique employés doivent être assemblés
modifications du Québec » et CAN/CSA C22.2
mécaniquement en usine à l’aide d’un outil
n° 0 « Exigences générales – Code canadien
adapté au type de matériel utilisé. De plus,
de l’électricité, Deuxième partie ». De plus,
ils doivent être conçus pour un usage intensif
le luminaire doit être certifié par un organisme
afin d’éviter qu’une des parties ne se relâche,
reconnu par ces normes.
ne surchauffe ou ne soit endommagée par
4.4.3 Conducteurs électriques les vibrations et les contraintes mentionnées
dans la présente norme.
Les conducteurs électriques à l’intérieur du
luminaire doivent être recouverts d’un isolant L’utilisation des connecteurs de conduc-
électrique pouvant résister aux températures teurs à visser et de gaines thermorétractables
obtenues au cours des essais thermiques. La est proscrite.
température minimale exigée pour les conduc-
teurs est de 150 °C. Cependant, ceux qui
4.4.5 Ballast
sont attachés à la douille de la lampe doivent Le ballast doit être conforme à la norme
résister à une température d’au moins 200 °C. ANSI C82.4 « Ballasts for High-Intensity-
Discharge and Low-Pressure Sodium Lamps
Sauf indication contraire, tous les conduc-
(Multiple-Supply Type) ». Il doit être de type
teurs doivent avoir au moins 300 mm de
autotransformateur à puissance constante
Contenu normatif
8 8304
Luminaires ronds Page
Date
2013 06 15
8 8304
Page Luminaires ronds
8 9 pour tour d’éclairage
NORME
de
Date
2013 06 15
8 8304
Luminaires ronds Page
Date
2013 06 15
trique du condensateur;
8 8403
Module à diodes Page
électroluminescentes 1 3
NORME
de
2013 12 15
8 8403
Page
Module à diodes
2 3 électroluminescentes
NORME
de
3.4 Étiquetage
Une étiquette fixée en permanence sur
la surface extérieure du module doit contenir
l’information suivante :
– le nom du fabricant ou sa marque de
commerce;
– le numéro de série;
Complément à la norme
– le modèle du module;
– la puissance du module;
– la date de fabrication.
Une partie ou la totalité de cette information
peut être regroupée et inscrite sous forme de
code. Si c’est le cas, une référence permet-
tant de comprendre le code et d’en extraire
les renseignements exigés doit être fournie.
Contenu normatif
8 8403
Module à diodes Page
électroluminescentes 3 3
NORME
de
2013 12 15
Note :
– les cotes sont en millimètres.
Figure 8403–1
Connecteurs pour module à DEL
Contenu normatif
VII
8.5 Commandes pour signaux lumineux
Chapitre Norme
8 8501
Page
Relais de charge à trois circuits 1 1
NORME
de
Date
2013 12 15
VII
8.5 Commandes pour signaux lumineux
Chapitre Norme
8 8502
Page
Relais pour clignotants 1 1
NORME
de
Date
2013 12 15
VII
8.5 Commandes pour signaux lumineux
Chapitre Norme
8 8503
Page
Relais de transfert 1 1
NORME
de
Date
2013 12 15
3. Caractéristiques requises
3.1 Exigences générales
Les relais de transfert doivent être
conformes aux normes CAN/CSA C22.10
« Code de construction du Québec –
Chapitre V – Électricité – Code canadien
de l’électricité, Première partie et modifica-
tions du Québec », CAN/CSA C22.2 no 0
« Exigences générales – Code canadien de
l’électricité, Deuxième partie » et NEMA TS–2
« Traffic Controller Assemblies with NTCIP
Contenu normatif
Requirements ».
VII
8.5 Commandes pour signaux lumineux
Chapitre Norme
8 8504
Détecteurs de véhicules Page
enfichables à 2 et 4 canaux 1 2
NORME
de
Date
2013 12 15
8 8504
Page Détecteurs de véhicules
2 2 enfichables à 2 et 4 canaux
NORME
de
Date
2013 12 15
3.2 Étiquetage
Une étiquette permanente, bien en vue
sur la surface extérieure des boîtiers, doit
comporter l’information suivante :
– le nom du fabricant ou sa marque de
commerce;
– le numéro du modèle;
– le numéro de série.
3.3 Documentation
L’emballage de livraison de l’appareil doit
inclure la fiche technique ainsi que le manuel
d’opération et d’utilisation.
Contenu normatif
VII
8.5 Commandes pour signaux lumineux
Chapitre Norme
8 8505
Contrôleur de feux de circulation Page
1 3
NORME
de
et moniteur de conflit
Date
2013 12 15
3.1.1 Programmation
2. Références
La programmation du contrôleur doit
La présente norme renvoie à l’édition la être accessible par mot de passe. Toutes les
plus récente des documents suivants : exigences de fonctionnement doivent être
accessibles autant par le clavier intégré sur
NORMES la face avant du contrôleur que par le logiciel
de configuration et programmation.
NATIONAL ELECTRICAL
MANUFACTURERS ASSOCIATION Aucun menu caché n’est accepté.
NEMA TS–2 « Traffic Controller Assemblies 3.1.2 Exigences de fonctionnement
with NTCIP Requirements ».
En plus des exigences de la norme
NATIONAL TRANSPORTATION « Advanced Transportation Controller (ATC) »,
COMMUNICATIONS FOR ITS PROTOCOL le contrôleur de feux de circulation doit per-
NTCIP–1201 « Global Object (GO) Defini- mettre d’afficher un feu vert clignotant, comme
tions ». décrit dans le Tome V – Signalisation routière,
NTCIP–1202 « Object Definitions for Actu- chapitre 8 « Signaux lumineux ».
ated Traffic Signal Controller (ASC) Units ».
3.1.3 Horlogerie
Advanced Transportation Controller (ATC).
Le contrôleur de feux de circulation doit
MINISTÈRE DES TRANSPORTS être muni d’une horlogerie intégrée qui s’ajuste
DU QUÉBEC automatiquement aux années bissextiles et
Tome V – Signalisation routière. aux changements d’heure biannuels, avec
possibilité de modification des dates de
3. Caractéristiques requises changement.
Complément à la norme
dans la norme NEMA TS–2 « Traffic Controller portation Communication for ITS Protocol ».
Assemblies with NTCIP Requirements », à
l’exception de la DataKey, qui n’est pas exigée.
8 8505
Page
Contrôleur de feux de circulation
2 3
NORME
de
et moniteur de conflit
Date
2013 12 15
VII
8.5 Commandes pour signaux lumineux
Chapitre Norme
8 8505
Contrôleur de feux de circulation Page
3 3
NORME
de
et moniteur de conflit
Date
2013 12 15
3.5 Étiquetage
Une étiquette permanente, bien en vue sur
la surface extérieure des boîtiers du contrôleur
et du moniteur de conflit, doit contenir les
renseignements suivants :
– nom du fabricant ou sa marque de
commerce;
– numéro de série;
– numéro de modèle et sa version;
– date de fabrication.
3.6 Documentation
Une documentation complète doit être
fournie. Elle doit comprendre au minimum :
– la description des broches du port RS-232;
– le rapport démontrant la conformité du
contrôleur au protocole de communication
NTCIP de la section 3.1.6;
– le rapport démontrant la conformité aux
essais environnementaux de la sec-
tion 3.4;
– les manuels de programmation requis;
– le logiciel et les mises à jour subséquentes;
le manufacturier doit avertir le Ministère
de toutes les nouvelles mises à jour, et le
détail de celles-ci doit être documenté;
– le manuel d’installation et d’utilisation du
logiciel;
– les mises à jour du micrologiciel.
Contenu normatif
VII
8.5 Commandes pour signaux lumineux
Chapitre Norme
8 8508
Page
Boucles de détection préfabriquées 1 2
NORME
de
Date
2013 12 15
8 8508
Page
Date
2013 12 15
Tableau 8508–1
Valeurs théoriques pour diverses conceptions de boucles
Côté 1 Côté 2 P N A (1) F B (2) C
(A + B)
Dimensions de Périmètre Nombre Inductance Longueur Inductance Valeur totale
la boucle de la de tours boucle des conduc- des de l’inductance
(m) boucle (µH) teurs émer- conducteurs (µH) (± 10 %)
(m) geants de la (µH)
boucle
(m)
1,8 1,8 7,2 4 118,03 25 18,1 136,1
1,8 1,8 7,2 4 118,03 50 36,1 154,1
1,8 1,8 7,2 4 118,03 75 54,2 172,2
1,8 1,8 7,2 4 118,03 100 72,2 190,2
où
P = Périmètre de la boucle en mètres.
N = Nombre de tours dans la boucle.
2. Inductance des conducteurs (B) : 0,722 microhenry/mètre.
VII
8.5 Commandes pour signaux lumineux
Chapitre Norme
8 8509
Page
Détecteurs lumineux pour piétons 1 2
NORME
de
Date
2013 12 15
8 8509
Page
Date
2013 12 15
3.4 Étiquetage
Une étiquette permanente fixée à l’arrière
du détecteur doit comprendre les renseigne-
ments suivants :
– nom du fabricant ou sa marque de
commerce;
– numéro de série;
– numéro de modèle;
– date de fabrication.
3.5 Documentation
L’emballage de livraison du détecteur
lumineux doit inclure la fiche technique.
Tableau 8509–1
Caractéristiques du détecteur lumineux
Température de - 34 à + 74 °C
fonctionnement
Alimentation électrique 24 V c.c. et moins
Pression d’opération < 1800 g
Contenu normatif
VII
8.5 Commandes pour signaux lumineux
Chapitre Norme
8 8511
Module enfichable de
synchronisation par satellite Page
1 2
NORME pour feux de circulation de
Date
2013 12 15
8 8511
Module enfichable de
Page
synchronisation par satellite
2 2
pour feux de circulation
NORME
de
Date
2013 12 15
3.2 Étiquetage
Une étiquette permanente, bien en vue
sur la surface extérieure des boîtiers, doit
comporter l’information suivante :
– le nom du fabricant ou sa marque de
commerce;
– le numéro du modèle;
– le numéro de série.
3.3 Documentation
L’emballage de livraison de l’appareil doit
inclure la fiche technique avec, au minimum,
le manuel d’opération et d’utilisation, et le
logiciel de programmation.
Contenu normatif
8 8601
Têtes horizontales pour Page
signaux lumineux 1 5
NORME
de
Date
2013 12 15
Tome VII – Matériaux,
(norme 8403 « Module à diodes électrolumi-
Norme 6201 « Boulons, tiges d’ancrage,
nescentes pour signaux lumineux »).
écrous et rondelles en acier ».
8 8601
Page Têtes horizontales pour
2 5 signaux lumineux
NORME
de
Date
2013 12 15
Figure 8601–1
Composants d’une tête horizontale pour signaux lumineux
8 8601
Têtes horizontales pour Page
signaux lumineux 3 5
NORME
de
Date
2013 12 15
La porte donnant accès à l’intérieur de Pour chacune des lanternes, une prise
la lanterne doit permettre l’adaptation d’un femelle à connexion rapide de marque Molex,
module à diodes, et ce, sans l’aide d’outils ou l’équivalent compatible avec les équipe-
spéciaux ou d’adaptateurs. Elle doit être arti- ments du Ministère, doit être fournie et installée
culée sur des charnières et être maintenue sur des fils, comme montré à la figure 8601–2.
fermée par un dispositif mécanique sécuritaire L’utilisation de connecteurs vissés (de type
pouvant être ouvert manuellement, sans outils. Marrette) est interdite.
Un bornier de raccordement doit être ins-
3.1.3 Visière tallé derrière la première lanterne (du côté du
Chaque porte d’accès doit être munie manchon de raccord). Le bornier de raccorde-
d’une visière de type casquette ou en biseau ment doit avoir des espacements minimaux
(cap ou cut-away ) afin d’atténuer l’effet de la de 11 mm entre les contacts.
lumière solaire sur la diffusion du message
lumineux, comme décrit dans la norme 3.2.2 Aboutement à la potence
ST– 017B « Equipment and Material Standards La tête horizontale pour signaux lumineux
of the Institute of Transportation Engineers: doit être munie d’un manchon de raccord d’une
Vehicle Traffic Control Signal Heads ». longueur nominale de 300 mm permettant de
fixer solidement la tête d’un tenon en acier
3.2 Fixation ou en aluminium de 102 mm de diamètre sur
300 mm de longueur placé à l’extrémité des
3.2.1 Assemblage des composants potences de signalisation lumineuse.
Le joint d’assemblage entre une plaque Le manchon de raccord doit comporter au
pliée et une pièce coulée doit être enduit d’une moins quatre boulons et permettre d’ajuster
colle époxy et sécurisé au moyen de boulons la position de la tête de ± 3 °, horizontalement
en acier inoxydable de 6,4 mm (1/4 po), file- ou verticalement, par rapport à l’axe du tenon.
tage UNC 20) de diamètre, munis d’écrous à Les boulons doivent avoir un diamètre d’au
gaine d’insertion en téflon. L’utilisation de vis moins 12,7 mm (1/2 po) et une longueur
autotaraudeuses est interdite. de 50,8 mm, et être munis d’un dispositif
Le châssis doit être conçu de façon à antidesserrage. Le serrage des boulons de
pouvoir s’installer à gauche ou à droite de la fixation doit s’effectuer à l’extérieur de la tête.
voie de circulation. Le système de fixation ne doit pas endom-
Les goupilles servant à retenir les portes mager le tenon afin d’éviter toute fissuration.
des lanternes doivent être à ressort et réuti- De plus, le manchon de raccord doit être
lisables. muni d’au moins une bride d’attache qui
Les boulons et les écrous doivent être peut être placée à l’intérieur du châssis et
en acier inoxydable, conformément à la boulonnée de l’extérieur. Une bride d’attache
norme 6201 « Boulons, tiges d’ancrage, faite de plaques pliées en acier inoxydable,
écrous et rondelles en acier » (ASTM F593 boulonnées à deux barres soudées au man-
et ASTM F594 respectivement). Les autres chon de raccord est également acceptée. Les
matériaux de la quincaillerie doivent être en dimensions minimales de chaque plaque pliée
acier inoxydable de même type que les bou- doivent être de 25 sur 4,76 mm.
lons et les écrous. Un dispositif doit empêcher le relâchement
Contenu normatif
des assemblages.
8 8601
Page Têtes horizontales pour
4 5 signaux lumineux
NORME
de
Date
2013 12 15
Notes :
– la marque de commerce Molex est donnée à titre indicatif;
– les cotes sont en millimètres.
Figure 8601–2
Connecteurs pour feux horizontaux
8 8601
Têtes horizontales pour Page
signaux lumineux 5 5
NORME
de
Date
2013 12 15
3.6 Documentation
La documentation à fournir est la suivante :
– les dessins d’atelier, les fiches techniques
et les procédures d’installation, y compris
entre autres les exigences relatives aux
couples de serrage applicables et à l’ins-
tallation des divers éléments composant
la tête horizontale;
– les notes de calcul;
– le rapport des essais exigés dans la
section 3.4 de la présente norme;
– un attestation d’un laboratoire indépendant
et certifié démontrant la conformité à la
norme ST– 017B « Equipment and Material
Standards of the Institute of Transportation
Engineers: Vehicle Traffic Control Signal
Heads » et à la procédure d’électrotech-
nique PSEL– 05 « Essais de vibrations et
de chocs – Tête horizontale pour signaux
lumineux ».
Contenu normatif
8 8602
Têtes verticales pour Page
signaux lumineux 1 4
NORME
de
Date
2013 12 15
gences des normes CAN/CSA C22.10 « Code d’une visière de type casquette ou en biseau
de construction du Québec – Chapitre V – (cap ou cut-away ) afin d’atténuer l’effet de
Électricité – Code canadien de l’électricité,
8 8602
Page Têtes verticales pour
2 4 signaux lumineux
NORME
de
Date
2013 12 15
Figure 8602–1
Composants d’une tête verticale pour signaux lumineux
la lumière solaire sur la diffusion du mes- Pour chacune des lanternes, une prise
sage lumineux, comme décrit dans la norme femelle à connexion rapide, de marque Molex
ST– 017B « Equipment and Material Standards ou l’équivalent compatible avec les équipe-
of the Institute of Transportation Engineers: ments du Ministère, doit être fournie et installée
Vehicle Traffic Control Signal Heads ». sur des fils, comme montré à la figure 8602–2.
Les modules DEL sont montrés ici à titre L’utilisation de connecteurs vissés (de type
indicatif. Ils font l’objet d’une norme distincte Marrette) est interdite.
Complément à la norme
8 8602
Têtes verticales pour Page
signaux lumineux 3 4
NORME
de
Date
2013 12 15
Notes :
– la marque de commerce Molex est donnée à titre indicatif;
– les cotes sont en millimètres.
Figure 8602–2
Connecteurs pour feux verticaux
8 8602
Page Têtes verticales pour
4 4 signaux lumineux
NORME
de
Date
2013 12 15
Contenu normatif
8 8603
Têtes de feux pour piétons Page
à décompte numérique 1 3
NORME
de
Date
2013 12 15
8 8603
Page Têtes de feux pour piétons
2 3 à décompte numérique
NORME
de
Date
2013 12 15
7. Étiquetage
Une étiquette permanente doit être fixée
sur la surface intérieure d’une des lanternes
Contenu normatif
8 8603
Têtes de feux pour piétons Page
à décompte numérique 3 3
NORME
de
Date
2013 12 15
Notes :
– la marque de commerce Molex est donnée à titre indicatif;
– les cotes sont en millimètres.
Figure 8603–1
Connecteurs pour module pour piétons
Contenu normatif
VII
8.7 Coffrets
Chapitre Norme
8 8700
Page
Boîtier des coffrets 1 7
NORME
de
Date
2013 12 15
1. Objet 3. Fabrication
La présente norme a pour objet de déter- Les boîtiers doivent être fabriqués en acier
miner les exigences du Ministère en ce qui inoxydable conformément à la norme ASTM
a trait aux caractéristiques générales des A167 « Standard Specification for Stainless
boîtiers des coffrets. and Heat-Resisting Chromium-Nickel Steel
Plate, Sheet, and Strip ». L’acier utilisé doit
2. Références être de type 304, calibre 14, et d’un fini de sur-
face de type 2B au minimum, conformément
La présente norme renvoie à l’édition à la norme ASTM A480 / A480M « Standard
la plus récente de chacun des documents Specification for General Requirements for
suivants : Flat-Rolled Stainless and Heat-Resisting Steel
Plate, Sheet, and Strip ».
NORMES
Les exigences sont décrites dans les
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING plans types :
AND MATERIALS – PT1PC– 01 « Dimensions des coffrets et
ASTM A167 « Standard Specification for des plaques de fond »;
Stainless and Heat-Resisting Chromium- – PT1PC– 01A « Fixation des coffrets sur
Nickel Steel Plate, Sheet, and Strip ». fût »;
ASTM A480 / A480M « Standard Specifi- – PT1PC– 02 « Coffret de branchement –
cation for General Requirements for Flat- Plaque de fond et accessoires de mon-
Rolled Stainless and Heat-Resisting Steel tage »;
Plate, Sheet, and Strip ». – PT1PC– 03 « Coffret de branchement
NATIONAL ELECTRICAL et de distribution pour l’éclairage routier
MANUFACTURERS ASSOCIATION 120/240 V – Plaque de fond et accessoires
NEMA TS–2 « Traffic Controller Assemblies de montage »;
with NTCIP Requirements ». – PT1PC– 04 « Coffret de branchement
NEMA 250 « Enclosures for Electrical et de distribution pour l’éclairage routier
Equipment (1000 Volts Maximum) ». 347/600 V – Plaque de fond et accessoires
de montage »;
ASSOCIATION CANADIENNE DE – PT1PC– 05 « Coffret pour feux de circula-
NORMALISATION tion à 8 ou 16 relais – Plaque de fond et
Complément à la norme
8 8700
Page
Date
2013 12 15
trop prononcée des soudures internes alté- excèdent 610 mm en largeur et 915 mm en
rant l’apparence des surfaces extérieures hauteur doivent avoir une poignée cadenas-
des boîtiers. sable par le haut et une crémone à trois points
Les ouvertures pratiquées dans les tôles de fixation et un système de retenue, per-
doivent être percées selon les gabarits appro- mettant de conserver la porte en position
priés. La périphérie des ouvertures doit être ouverte, conforme à la norme NEMA TS–2
lisse et sans bavure. En l’absence de conduit « Traffic Controller Assemblies with NTCIP
ou de bague de raccordement, une gaine Requirements ».
protectrice doit être utilisée autour des trous La serrure de ces coffrets doit être posi-
Contenu normatif
laissant le passage aux fils électriques. tionnée de façon à ce qu’elle dégage le fonc-
tionnement complet de la poignée.
VII
8.7 Coffrets
Chapitre Norme
8 8700
Page
Boîtier des coffrets 3 7
NORME
de
Date
2013 12 15
commerce;
Pour les coffrets de distribution et de
– le nom de l’organisme de certification,
contrôle pour feux de circulation, la plaque de
le numéro de certification du fabricant et
fond doit être conçue de manière à pouvoir
l’identification « type 3R »;
basculer librement vers l’avant au moyen de
pentures sans rien accrocher. – la date d’approbation;
Les plaques de fond des coffrets pour – le code d’identification du coffret permet-
l’éclairage CE1 et CE3 à 120/240 V et à tant de le relier au lot de production auquel
347/600 V sont identiques et comportent les il appartient.
Contenu normatif
8 8700
Page
Date
2013 12 15
Figure 8700–1
Structure du code descriptif pour les coffrets électrotechniques
– Type de coffret
• CB : Coffret de branchement
• CCS : Coffret pour feux clignotants simple
intensité
• CE1 : Coffret de branchement et de distribu-
tion pour l’éclairage routier 120/240 V
• CE3 : Coffret de branchement et de distribu-
tion pour l’éclairage routier 347/600 V
• CF8 : Coffret pour feux de circulation à
8 relais
• CF16 : Coffret pour feux de circulation à
16 relais
• CM : Coffret pour station météo
• CPMV : Coffret de contrôle pour panneau à
messages variables
• CPMV1 : Coffret de branchement et de distribu-
tion pour panneau à messages variables
120/240 V
Complément à la norme
VII
8.7 Coffrets
Chapitre Norme
8 8700
Page
Boîtier des coffrets 5 7
NORME
de
Date
2013 12 15
– Plaque de fond
• 0 : sans plaque de fond
• 1 : avec plaque de fond
8 8700
Page
Date
2013 12 15
– Accessoires
• A1 : dispositif de maintien de la porte en position
ouverte à 135°
• A2 : crémone à 3 points de fixation modèle
EBERHARD 5647 ou équivalent approuvé
• A3 : poignée verrouillable par cadenas modèle
EBERHARD 45-8061 SSP ou équivalent
approuvé
• A4 : cliquets à leviers scellés modèle SOUTHCO
C5-21-16 ou équivalent approuvé
• A5 : poignée avec dispositif permettant de retirer
la poignée modèle ECONOLITE 10-6395 ou
équivalent approuvé
• A6 : dispositif de levage des coffrets modèles
HALFEN TPA-FP ancrage à plateau ou
équivalent approuvé
• A7 : ventilation et chauffage
• A8 : tablette
– Fixation du coffret
• F1 : fixation sur fût avec profilé standard
• F2 : fixation sur fût avec courroies de retenue
• F3 : montage sur socle
• F4 : à spécifier par le fournisseur
VII
8.7 Coffrets
Chapitre Norme
8 8700
Page
Boîtier des coffrets 7 7
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 8700–1
Dimensions des coffrets
Type de Dimensions du coffret (mm)
Description
coffret Largeur Hauteur Profondeur
CB Coffret de branchement 255 510 200
CCS Coffret pour feux clignotants simple intensité 255 510 200
CE1 Coffret de branchement et de distribution pour 610 1220 200
l’éclairage routier 120/240 V
CE3 Coffret de branchement et de distribution pour 610 1220 200
l’éclairage routier 347/600 V
CF8 Coffret pour feux de circulation à 8 relais 635 1255 430
CF16 Coffret pour feux de circulation à 16 relais 760 1380 455
CM Coffret pour station météo 915 1220 405
CPMV Coffret de contrôle pour panneau à messages 610 1220 405
variables
CPMV1 Coffret de branchement et de distribution pour 610 1220 405
panneau à messages variables 120/240 V
CPMV2 Coffret de branchement et de distribution pour 610 1220 405
panneau à messages variables 347/600 V
CR Coffret pour système de relève 760 915 405
CRPMV Coffret pour système de relève pour panneau à 810 1135 460
messages variables
CS Coffret spécial 610 915 405
CTC Coffret pour télésurveillance et contrôle 760 915 405
Contenu normatif
VII
8.7 Coffrets
Chapitre Norme
8 8701
Coffrets de branchement
Page
et de distribution 1 4
NORME
de
2012 12 15
1. Objet du Québec – Chapitre V – Électricité – Code
canadien de l’électricité, Première partie et
La présente norme a pour objet de déter- modifications du Québec » et CAN/CSA C22.2
miner les exigences du Ministère en ce qui a no 0 « Exigences générales – Code canadien
trait aux caractéristiques de la partie électrique de l’électricité, Deuxième partie ».
des coffrets de branchement et de distribution
pour l’éclairage routier. Sauf indication contraire, cette norme
fait référence à des tensions et des courants
alternatifs.
2. Références
Le montage des composants des boîtiers
La présente norme renvoie à l’édition doit être conforme à la norme CAN/CSA C22.2
la plus récente de chacun des documents no 14 « Industrial Control Equipment ».
suivants : Les coffrets de branchement et de dis-
tribution pour l’éclairage routier à 120/240 V,
NORMES de deux à cinq circuits de dérivation, et à
ASSOCIATION CANADIENNE 347/600 V, de deux à quatre circuits de déri-
DE NORMALISATION vation doivent être fabriqués selon les formes
et les dimensions exigées par le ministère
CAN/CSA C22.10 « Code de construction des Transports.
du Québec – Chapitre V – Électricité –
Code canadien de l’électricité, Première Ces exigences sont indiquées dans les
partie et modifications du Québec ». plans types :
CAN/CSA C22.2 no 0 « Exigences géné- – PT1PC–01 « Dimensions des coffrets et
rales – Code canadien de l’électricité, des plaques de fond »;
Deuxième partie ». – PT1PC–01A « Fixation des coffrets sur
CAN/CSA C22.2 no 0.12 « Espace de fût »;
câblage et espace de pliage de fils dans les – PT1PC–03 « Coffret de branchement
boîtiers pour appareils d’au plus 750 V ». et distribution pour l’éclairage routier
CAN/CSA C22.2 no 14 « Industrial Control 120/240 V – Plaque de fond et acces-
Equipment ». soires de montage »;
– PT1PC–03A « Coffret de branchement
MINISTÈRE DES TRANSPORTS et distribution pour l’éclairage routier
DU QUÉBEC 120/240 V – Montage et schéma élec-
Complément à la norme
conformes à la norme 8700 « Boîtier des Les coffrets sont fournis avec deux circuits
coffrets » du présent tome et aux normes de dérivation, mais peuvent recevoir jusqu’à
CAN/CSA C22.10 « Code de construction quatre ou cinq circuits de dérivation, selon
le cas.
Copie de travail - DESSAU - NOR GN TR 13 0012.43
Tome matériaux électriques
VII
8.7 Coffrets
Chapitre Norme
8 8701
Page
Coffrets de branchement
2 4 et de distribution
NORME
de
Date
pour l’éclairage routier
2012 12 15
VII
8.7 Coffrets
Chapitre Norme
8 8701
Coffrets de branchement
Page
et de distribution 3 4
NORME
de
2012 12 15
un dispositif de verrouillage avec prise femelle doit être fourni et fixé solidement à la plaque
de type verrou rotatif « twist lock » sont requis. de fond au moyen de boulons et d’écrous à
La quincaillerie pour la fixation de la cellule insertion de nylon.
photoélectrique doit être fournie pour l’ins-
tallation sur le chapeau au sommet d’un fût. 3.2.10 Câblage
Tout le câblage de puissance (alimentation
3.2.5 Sélecteur à trois positions et distribution) doit être de type RWU. Pour le
Un sélecteur à 3 positions dans un boîtier câblage de contrôle, les types RWU et TWU
doit être fourni. Sa capacité doit être de 10 A sont acceptés. Le câblage doit correspondre
sous une tension de 600 V. aux indications de la norme 8201 « Fils et
câbles électriques » du présent tome.
3.2.6 Porte-fusible et fusible Le câblage doit être disposé, plié et attaché
3.2.6.1 Pour la cellule photoélectrique en évitant tout dommage à la gaine isolante
Une borne de type « porte-fusible » pour des conducteurs et des câbles. Les espace-
fusible miniature pouvant être fixée sur les ments entre les fils doivent être conformes
rails des modèles en « G » et en « U » doit aux normes CAN/CSA C22.2 no 14 « Indus-
être fournie. Le porte-fusible doit être de type trial Control Equipment » et CAN/CSA C22.2
industriel extrarobuste. no 0.12 « Espace de câblage et espace de
pliage de fils dans les boîtiers pour appareils
3.2.6.2 Pour le transformateur d’au plus 750 V ».
Une borne de type « porte-fusible » pour Lorsque l’exigent les normes CAN/
fusible de modèle GMA6 ou ATM pouvant être CSA C22.10 « Code de construction du
fixée sur les rails des modèles en « G » et en Québec – Chapitre V – Électricité – Code
« U » doit être fournie. Le porte-fusible doit canadien de l’électricité, Première partie
être de type industriel extrarobuste. et modifications du Québec » et CAN/CSA
C22.2 no 0 « Exigences générales – Code
3.2.7 Bornes juxtaposables canadien de l’électricité, Deuxième partie », un
Les bornes juxtaposables et leurs fil de mise à la terre de couleur verte de calibre
accessoires de montage doivent être emboîta- suffisant doit être installé entre le bornier de
bles, isolées à 600 V et capables de se fixer sur neutre et celui de mise à la terre.
les rails des modèles en « G » et en « U ».
4. Identification
3.2.8 Adaptateur pour conducteurs
de calibres différents 4.1 Montage électrique
Un adaptateur conçu spécialement pour la Sur la plaque de montage pour composants
marque et le modèle de contacteur choisi doit électriques, le fournisseur responsable de la
être fourni et installé sur la borne principale partie électrique doit apposer une étiquette
« noire » de ce dernier afin d’y raccorder le fil portant la certification CSA, ou l’équivalent,
d’alimentation du fusible du transformateur et donnant les renseignements suivants :
de calibre 14. – le nom du fournisseur ou sa marque de
commerce;
3.2.9 Bornier de mise à la terre
Contenu normatif
8 8701
Page
Coffrets de branchement
4 4 et de distribution
NORME
de
Date
pour l’éclairage routier
2012 12 15
4.2 Porte-fusible
Une étiquette doit être apposée près de
chaque porte-fusible donnant les renseigne-
ments sur le modèle et la capacité des fusibles
de remplacement. Elle doit être conforme aux
indications de la norme CAN/CSA C22.2 no 14
« Industrial Control Equipment ».
4.3 Bornes
Une étiquette doit être apposée près de
chaque série de bornes et près du bornier de
mise à la terre donnant les renseignements
sur la tension et l’équipement raccordé.
Contenu normatif
VII
8.7 Coffrets
Chapitre Norme
8 8702
Coffrets de branchement Page
1 2
NORME
de
Date
2012 12 15
8 8702
Page Coffrets de branchement
2 2
NORME
de
Date
2012 12 15
3.2.4 Câblage
Tout le câblage doit être de type RWU et
correspondre aux indications de la norme 8201
« Fils et câbles électriques » du présent tome.
Le câblage doit être disposé, plié et
attaché en évitant tout dommage à la gaine
isolante des conducteurs et des câbles. Les
espacements entre les fils doivent être con-
formes aux normes CAN/CSA C22.2 n° 14
« Industrial Control Equipment » et CAN/
CSA C22.2 n° 0.12 « Espace de câblage et
Contenu normatif
VII
8.7 Coffrets
Chapitre Norme
8 8703
Coffrets de distribution et Page
Date
2013 12 15
1. Objet 3. Caractéristiques
La présente norme a pour objet de déter-
miner les exigences du Ministère en ce qui 3.1 Exigences générales
a trait aux caractéristiques électrique des Les coffrets de distribution et de
coffrets de distribution et de contrôle pour contrôle pour feux de circulation doivent être
feux de circulation. conformes à la norme 8700 « Boîtier des
coffrets » du présent chapitre et aux normes
2. Références CAN/CSA C22.10 « Code de construction
du Québec – Chapitre V – Électricité –
La présente norme renvoie à l’édition la Code canadien de l’électricité, Première
plus récente des documents suivants : partie et modifications du Québec » et CAN/
CSA C22.2 n° 0 « Exigences générales –
NORMES Code canadien de l’électricité, Deuxième
ASSOCIATION CANADIENNE partie ».
DE NORMALISATION Sauf indication contraire, cette norme fait
CAN/CSA C22.10 « Code de construction référence à des tensions et à des courants
du Québec – Chapitre V – Électricité – Code alternatifs.
canadien de l’électricité, Première partie et Les coffrets doivent être conçus pour
modifications du Québec ». les contrôleurs « Advanced Transportation
CAN/CSA C22.2 n° 0 « Exigences Controller (ATC) » dont les interfaces de
générales – Code canadien de l’électricité, connexion sont de type 1 - A1N, conformes
Deuxième partie ». à la norme NEMA TS–2 « Traffic Controller
Assemblies with NTCIP Requirements ».
CAN/CSA C22.2 n° 14 « Industrial Control
Equipment ». Le montage des équipements doit suivre
les recommandations de la CSA SPE–1000
CSA SPE–1000 « Model Code for the field « Model Code for the field Evaluation of Elec-
Evaluation of Electrical Equipment ». trical Equipment » en appliquant la norme
NATIONAL ELECTRICAL CAN/CSA C22.2 n° 14 « Industrial Control
MANUFACTURERS ASSOCIATION Equipment ».
NEMA TS–2 « Traffic Controller Assemblies Les coffrets de distribution et de contrôle
with NTCIP Requirements ». pour feux de circulation doivent être fabriqués
selon les formes et dimensions exigées par
Complément à la norme
8 8703
Page Coffrets de distribution et
2 4 de contrôle pour feux de circulation
NORME
de
Date
2013 12 15
dans les borniers de relais inutilisés, doivent puissance de 10 watts, à grande capacité de
être installés. dissipation de chaleur.
VII
8.7 Coffrets
Chapitre Norme
8 8703
Coffrets de distribution et Page
Date
2013 12 15
Cette plaque doit être accessible sans Le câblage doit être d’une longueur suf-
avoir à abaisser la plaque de fond. fisante pour permettre, selon le cas, la mani-
pulation des composants ou la réalisation de
3.2.9 Chauffage et ventilation deux modifications.
Des éléments de chauffage doivent être
installés. Ils doivent être clairement identifiés 3.2.12.1 Connexion des éléments
et inclure une protection physique. L’ensemble électriques
des éléments de chauffage ne doit pas excé- La connexion des éléments électriques
der 150 watts. doit être faite par soudage ou au moyen de
Un contrôle avec thermostats ajustables cosses isolées.
manuellement est exigé pour le chauffage et
toute ventilation forcée. 3.2.12.2 Soudage des conducteurs
Les thermodiscs sont interdits. Les conducteurs doivent être dégainés
au maximum de 3 mm avant le joint. De plus,
3.2.10 Porte-fusible et fusible le conducteur ne doit pas être marqué par le
L’ensemble du bornier de raccordement dégainage. Le câblage doit être fabriqué et
des têtes de feux de circulation doit utiliser des attaché de façon à éviter d’endommager les
porte-fusibles de type industriel, à bouchon gaines isolantes des conducteurs. Tous les
vissé et des fusibles miniatures à action rapide, raccordements doivent être attachés méca-
de (¼ po) de diamètre sur (1 ¼ po) de long niquement avant d’être soudés. Si une gaine
et d’une capacité de 5A, pouvant se fixer sur thermorétractable est utilisée, elle doit avoir
des rails de modèle « PR5 (TS35) ». une longueur minimale de 20 mm excédant
de chaque côté du fil mis à nu.
3.2.11 Bornes juxtaposables
Les bornes juxtaposables et leurs 3.2.12.3 Raccordement aux bornes
accessoires de montage doivent être de Les cosses de raccordement doivent être
type emboîtable, isolés à 600 V et fixables sur de type « à œillet » et celles situées à l’arrière
les rails de modèle « PR5 (TS35) ». de la plaque de montage doivent être assem-
blées avec des rondelles autobloquantes.
3.2.12 Câblage
Le câblage doit être plié et attaché en 4. Identification
évitant tout dommage à la gaine isolante des
conducteurs et des câbles. Les espacements 4.1 Montage électrique
entre les fils doivent être conformes à la norme
Le fournisseur responsable du montage
CAN/CSA C22.2 n° 14 « Industrial Control
électrique doit apposer à l’intérieur de la porte
Equipment ».
du coffret une étiquette permanente autocol-
Tous les conducteurs doivent être groupés lante avec inscriptions indélébiles portant la
dans une gaine protectrice. Les conducteurs certification CSA, ou l’équivalent approuvé, et
avec connecteurs militaires ou de même type donnant les renseignements suivants :
doivent être groupés dans une gaine souple
– le nom du fournisseur ou sa marque de
en polyester tressé, approuvé par le Labo-
Contenu normatif
commerce;
ratoire des assureurs du Canada (ULC) ou
l’équivalent, conformément aux températures – le nom ou le logo de l’organisme de
NEMA TS–2 « Traffic Controller Assemblies certification et le numéro de certification
with NTCIP Requirements ». du fournisseur;
8 8703
Page Coffrets de distribution et
4 4 de contrôle pour feux de circulation
NORME
de
Date
2013 12 15
4.3 Bornes
Une étiquette doit être apposée près de
chaque série de bornes et près du bornier
de mise à la terre donnant l’information sur
la tension et l’équipement raccordé.
Un bornier doit donner accès au rac-
cordement de 16 relais de charge, par une
numérotation de gauche vers la droite, en
respectant l’ordre vert-jaune-rouge par relais
(1V-1J-1R, 2V-2J-2R […] 16V-16J-16R). Cette
numérotation doit être reportée sur chacun
des câbles raccordés à chacune des bornes.
Pour ce faire, des étiquettes ou des bagues
en vinyle, portant des caractères lisibles
et indélébiles et adaptées au diamètre des
câbles, doivent être utilisées.
VII
8.7 Coffrets
Chapitre Norme
8 8704
Page
Coffrets pour feux clignotants 1 3
NORME
de
Date
2013 12 15
et aux normes CAN/CSA C22.10 « Code rails de modèles en « G » et en « U » doit être
de construction du Québec – Chapitre V – fournie. Le porte-fusible doit être de type
Électricité – Code canadien de l’électricité, industriel extrarobuste.
8 8704
Page
Date
2013 12 15
VII
8.7 Coffrets
Chapitre Norme
8 8704
Page
Coffrets pour feux clignotants 3 3
NORME
de
Date
2013 12 15
4.2 Porte-fusible
Une étiquette doit être apposée près de
chaque porte-fusible donnant l’information
sur le modèle et la capacité des fusibles de
remplacement. Elle doit être conforme à la
norme CAN/CSA C22.2 n° 14 « Industrial
Control Equipment ».
4.3 Bornes
Une étiquette doit être apposée près de
chaque série de bornes et près du bornier
de mise à la terre donnant l’information sur
la tension et l’équipement raccordé.
Contenu normatif
VII
8.8 Panneaux à messages variables
Chapitre Norme
8 8801
Panneaux à messages variables Page
à usage permanent 1 22
NORME
de
Date
2013 12 15
8 8801
Page Panneaux à messages variables
2 22 à usage permanent
NORME
de
Date
2013 12 15
VII
8.8 Panneaux à messages variables
Chapitre Norme
8 8801
Panneaux à messages variables Page
à usage permanent 3 22
NORME
de
Date
2013 12 15
Contenu normatif
Figure 8801–1
Schémas types d’installation d’un panneau à messages variables
8 8801
Page Panneaux à messages variables
4 22 à usage permanent
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 8801–1
Spécification des pixels
(7 à 13 % de H) 28 à 52 mm 21 à 39 mm 32 à 60 mm 21 à 39 mm
1. Comme défini au Tome V – Signalisation routière, chapitre 8 « Signaux lumineux ».
VII
8.8 Panneaux à messages variables
Chapitre Norme
8 8801
Panneaux à messages variables Page
à usage permanent 5 22
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 8801–2
Exigences pour le système de peinture
Essai selon Paramètre à
Critère d’acceptation
la norme évaluer
Après 4000 h d’exposition et lorsque examiné à l’oeil nu, le feuil
Résistance
de peinture ne doit pas présenter de cloquage, de corrosion ou
ASTM B117 et au brouillard
d’autres défauts au-delà de 2 mm de chaque côté d’une incision
Complément à la norme
8 8801
Page Panneaux à messages variables
6 22 à usage permanent
NORME
de
Date
2013 12 15
VII
8.8 Panneaux à messages variables
Chapitre Norme
8 8801
Panneaux à messages variables Page
à usage permanent 7 22
NORME
de
Date
2013 12 15
8 8801
Page Panneaux à messages variables
8 22 à usage permanent
NORME
de
Date
2013 12 15
– l’affichage d’un damier avec l’intensité des (la majuscule T est employée pour séparer les
diodes à 50 %. éléments de la date et de l’heure).
VII
8.8 Panneaux à messages variables
Chapitre Norme
8 8801
Panneaux à messages variables Page
à usage permanent 9 22
NORME
de
Date
2013 12 15
8 8801
Page Panneaux à messages variables
10 22 à usage permanent
NORME
de
Date
2013 12 15
– d’afficher, à partir d’une banque de mes- – d’utiliser, au minimum, les fontes de carac-
sages située dans le centre de contrôle, tère mentionnées au chapitre 8 « Signaux
des messages sur un ou plusieurs PMV; lumineux » du Tome V – Signalisation
– de programmer une vitesse d’alternance routière;
des phases de message jusqu’à une fré- – de justifier, centrer ou positionner les
quence d’un changement de 10 secondes, messages, automatiquement ou manuel-
par incrément d’un dixième (1/10) de lement, verticalement ou horizontalement;
seconde; – de garder un espacement paramétrable
– de chercher un message dans une liste de 1 à 2 pixels entre deux caractères;
en utilisant les fonctionnalités standard de – de simuler et imprimer un message en
recherche, par exemple en trouvant le nom respectant la résolution et les dimensions
d’un message en entrant ses premières de la matrice d’affichage ainsi que celles
lettres; de la fonte utilisée;
– d’afficher continuellement un message à – de permettre la création, la modification
deux phases; et la sauvegarde de différentes fontes de
– de regrouper deux messages à une phase caractères.
à partir d’une banque de messages dis-
tincts et de l’afficher immédiatement sur 4.4 Logiciel d’entretien
un PMV; Le logiciel d’entretien doit pouvoir faire
– de programmer une durée maximale de des mises au point des PMV. Au minimum, il
temps pendant laquelle un PMV n‘a pas doit permettre :
eu de communication avec un centre de – de prendre le contrôle localement ou à
contrôle, provoquant ainsi l’affichage d’un distance du PMV;
message par défaut (habituellement un
affichage éteint); – d’établir un diagnostic rapide et précis de
défauts, notamment la détection de sous-
– éteindre l'affichage. ensembles défectueux;
4.3 Logiciel d’édition – de mettre en évidence un problème de
communication entre le contrôleur et le
Le logiciel d’édition doit pouvoir faire la
mise en forme des messages à afficher sur le
centre de contrôle;
PMV. Au minimum, il doit permettre : – d’afficher un damier, un damier inversé ou
– d’importer les pictogrammes du chapitre 8 différents affichages de tests;
« Signaux lumineux » du Tome V – Signa – de diagnostiquer l’ensemble des alarmes;
lisation routière; – de vérifier la transmission des données
– de créer ou modifier des pictogrammes à entre les différents éléments de contrôle :
partir d’un éditeur graphique; - contrôleur,
– de sauvegarder, d’effacer et de renommer - interfaces,
des messages; - cartes d’affichage;
– d’utiliser un clavier français; – de vérifier l’intégrité du logiciel d’applica-
tion du contrôleur.
Contenu normatif
VII
8.8 Panneaux à messages variables
Chapitre Norme
8 8801
Panneaux à messages variables Page
à usage permanent 11 22
NORME
de
Date
2013 12 15
8 8801
Page Panneaux à messages variables
12 22 à usage permanent
NORME
de
Date
2013 12 15
VII
8.8 Panneaux à messages variables
Chapitre Norme
8 8801
Panneaux à messages variables Page
à usage permanent 13 22
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 8801–3
Objets des normes NTCIP qui doivent être supportés
Groupe d’éléments Identification informatique de l’objet
Sécurité
1103 – Transportation management protocols (TMP)
Objets pour la sécurité communityNameAdmin
(Security objects) communityNamesMax
communityNameTable
communityNameTableEntry
communityNameIndex
communityNameUser
communityNameAccessMask
Généralités
1201 – Global Object Definitions
Configuration globalSetIDParameter
(Global configuration ) globalMaxModules
globalModuleTable
moduleNumber
moduleDeviceNode
moduleMake
moduleModel
moduleVersion
moduleType
controller-baseStandards
Base de temps globalTime
(Global Time Mng ) globalDaylightSaving
PMPP maxGroupAddresses
(Point to Multi-point protocol ) hdlcGroupAddressTable
hdlcGroupAddressIndex
hdlcGroupAddressNumber
(suite page suivante)
Contenu normatif
8 8801
Page Panneaux à messages variables
14 22 à usage permanent
NORME
de
Date
2013 12 15
VII
8.8 Panneaux à messages variables
Chapitre Norme
8 8801
Panneaux à messages variables Page
à usage permanent 15 22
NORME
de
Date
2013 12 15
8 8801
Page Panneaux à messages variables
16 22 à usage permanent
NORME
de
Date
2013 12 15
Communication dmsControlMode
(Sign Control ) dmsSWReset
dmsActivateMessage
dmsMessageTimeRemaining
dmsMsgTableSource
dmsMsgRequesterID
dmsMsgSourceMode
dmsMemoryMgmt
dmsActivateMsgError
Messages par défaut dmsShortPowerRecoveryMessage
(Default Message Control ) dmsLongPowerRecoveryMessage
dmsShortPowerLossTime
dmsResetMessage
dmsCommunicationsLossMessage
dmsTimeCommLoss
dmsPowerLossMessage
dmsEndDurationMessage
Surveillance des pixels vmsPixelServiceDuration
(Pixel Service Control ) vmsPixelServiceFrequency
Gérance des erreurs dmsMultiSyntaxError
(MULTI Error Control ) dmsMultiSyntaxErrorPosition
dmsMultiOtherErrorDescription
Brillance dmsIllumControl
(Illumination/Brightness Control ) dmsIllumMaxPhotocellLevel
dmsIllumPhotocellLevelStatus
dmsIllumNumBrightLevels
dmsIllumBrightStatus
dmsIllumManLevel
Contenu normatif
VII
8.8 Panneaux à messages variables
Chapitre Norme
8 8801
Panneaux à messages variables Page
à usage permanent 17 22
NORME
de
Date
2013 12 15
Brillance dmsIllumBrightnessValues
(Illumination/Brightness Control ) dmsIllumBrightnessValuesError
dmsIllumLightOutpuStatus
État du panneau statMultiFieldRows
(Sign Status ) statMultiFieldTable
statMultiFieldIndex
statMultiFieldCode
statMultiCurrentFieldValue
watchdogFailureCount
dmsStatDoorOpen
État des erreurs shortErrorStatus
(Status Error ) controllerErrorStatus
État des pixels pixelFailureTableNumRows
(Pixels Error Status ) pixelFailureTable
pixelFailureDetectionType
pixelFailureIndex
pixelFailureXLocation
pixelFailureYLocation
pixelFailureStatus
pixelTestActivation
État de la ventilation fanFailures
(Fan Error Status ) fanTestActivation
État de l’alimentation signVolts
(Power Status ) lineVolts
powerSource
État de la température tempMinCtrlCabinet
(Temperature Status ) tempMaxCtrlCabinet
tempMinAmbient
Contenu normatif
8 8801
Page Panneaux à messages variables
18 22 à usage permanent
NORME
de
Date
2013 12 15
rs232SyncPortFrameCheckErrs
rs232SyncPortTransmitUnderrunErrs
(suite page suivante)
Copie de travail - DESSAU - NOR GN TR 13 0012.43
MATÉRIAUX ÉLECTRIQUES Tome
VII
8.8 Panneaux à messages variables
Chapitre Norme
8 8801
Panneaux à messages variables Page
à usage permanent 19 22
NORME
de
Date
2013 12 15
dot3StatsCarrierSenseErrors
(suite page suivante)
8 8801
Page Panneaux à messages variables
20 22 à usage permanent
NORME
de
Date
2013 12 15
ipAddrEntry
ipAdEntAddr
(suite page suivante)
Copie de travail - DESSAU - NOR GN TR 13 0012.43
MATÉRIAUX ÉLECTRIQUES Tome
VII
8.8 Panneaux à messages variables
Chapitre Norme
8 8801
Panneaux à messages variables Page
à usage permanent 21 22
NORME
de
Date
2013 12 15
8 8801
Page Panneaux à messages variables
22 22 à usage permanent
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 8801–4
Essais et approbations
Contenu normatif
vII
Chapitre
Matériaux pour 9
l’aménagement paysager Page
i
Date
2009 12 15
9 9101
Matériaux pour Page
l’aménagement paysager 1 10
NORME
de
Date
2009 12 15
9 9101
Page Matériaux pour
2 10 l’aménagement paysager
NORME
de
Date
2009 12 15
9 9101
Matériaux pour Page
l’aménagement paysager 3 10
NORME
de
Date
2009 12 15
9 9101
Page Matériaux pour
4 10 l’aménagement paysager
NORME
de
Date
2009 12 15
Tableau 9101–3
Composition chimique de la terre végétale
Paramètres Sols légers Sols moyens et lourds
pH eau 5 pH 7,5 5,5 pH 7,5
Phosphore (ppm) ≥ 27 ≥ 54
Potassium (ppm) ≥ 45 ≥ 90
Calcium (ppm) ≤ 4000 ≤ 4000
Sodium (ppm) ≤ 135 ≤ 135
9 9101
Matériaux pour Page
l’aménagement paysager 5 10
NORME
de
Date
2009 12 15
9 9101
Page Matériaux pour
6 10 l’aménagement paysager
NORME
de
Date
2009 12 15
9 9101
Matériaux pour Page
l’aménagement paysager 7 10
NORME
de
Date
2009 12 15
9 9101
Page Matériaux pour
8 10 l’aménagement paysager
NORME
de
Date
2009 12 15
9 9101
Matériaux pour Page
l’aménagement paysager 9 10
NORME
de
Date
2009 12 15
9 9101
Page Matériaux pour
10 10 l’aménagement paysager
NORME
de
Date
2009 12 15
Contenu normatif
VII
Chapitre
10
PEINTURES ET PRODUITS
DE MARQUAGE Page
i
Date
2013 12 15
Normes archivées (1)
Norme (dernière version) Remarque Archivée le
10101 Peintures et systèmes de peintures pour Norme retirée. 2000 12 01
carrosseries de véhicules lourds et équipements
connexes (95 05 26)
1. Ces normes ont été retirées ou fusionnées et ne sont plus présentées dans le présent document.
10 10102
Peintures et systèmes
Page
de peintures à base de zinc 1 9
NORME
de
2008 12 15
10 10102
Peintures et systèmes
Page
Date
pour structures d'acier
2008 12 15
10 10102
Peintures et systèmes
Page
de peintures à base de zinc 3 9
NORME
de
2008 12 15
10 10102
Peintures et systèmes
Page
Date
pour structures d'acier
2008 12 15
10 10102
Peintures et systèmes
Page
de peintures à base de zinc 5 9
NORME
de
2008 12 15
4.8.7 Teneur en matière non volatile Pour toutes les autres couches de pein-
Les éprouvettes doivent être chauffées à ture, la couleur de référence doit être la
105 °C ± 2 °C durant 3 heures. couleur de l’échantillon initialement évalué
et approuvé pour l’usage.
4.8.8 Composé organique volatil
4.8.11 Adhérence
(VOC)
L’adhérence du système de peintures
Une peinture dont le contenu en composé
au subjectile et également d’une couche
organique volatil (VOC) n’excède pas 350 g/l
à une autre ne doit pas être inférieure à
est considérée comme étant à faible teneur
la classification 4. Deux éprouvettes de
en composé organique volatil (VOC).
100 x 150 x 1,6 mm, préparées selon les
4.8.9 Identification du liant exigences de la section 4.8.1, doivent être
essayées à trois endroits différents sur cha-
Chaque constituant du liant d’une peinture cune.
doit être associé au spectre (analyse par infra-
rouge) correspondant à celui des échantillons 4.8.12 Résistance à la corrosion par
soumis pour la peinture. le brouillard salin
4.8.10 Différence de couleur Trois éprouvettes de 100 x 150 x 1,6 mm,
préparées selon les exigences de la sec-
La différence de couleur entre la couche
tion 4.8.1, doivent être exposées au brouillard
de finition et la couleur de référence ne doit
salin dans l’appareil décrit dans la norme
pas être supérieure aux valeurs suivantes :
ASTM B 117 « Standard Practice for Operating
– pour la couleur verte, lustrée, no 14109 du Salt Spray (FOG) Testing Apparatus » pendant
U.S. FED-STD 595B (système CIELAB) : une période de 2400 heures.
∇
L* : ± 2 unités Avant l’essai, les trois éprouvettes doivent
∇
a* : ± 2 unités être rayées à l’aide d’une lame bien tranchante,
d’un coin à l’autre de façon à former un X. La
∇
b* : + 3,5 unités
∇ lame doit être tenue à un angle de 30° par
E : 4,5 unités
rapport à l’éprouvette, le plan de la lame étant
– pour les autres couleurs (système MAC perpendiculaire à l’éprouvette. L’incision doit
ADAM) : mettre le métal à nu. Les arêtes et le dos des
∇
E : 6 unités éprouvettes doivent être protégés de façon
La grande ouverture de l’appareil de adéquate par un revêtement approprié, inat-
mesure (Color Machine Spectrophotometer taquable dans les conditions d’essais.
de Byk-Gardner) est utilisée pour les essais, À la fin de la période d’exposition, les
en employant l’illuminant C de la CIE avec éprouvettes doivent être rincées à l’eau dis-
un champ d’observation de 2 degrés et une tillée afin de les débarrasser de toute solution
géométrie 45°/0°. saline et des dépôts solubles et elles doivent
Dans chaque cas, la couleur de référence être examinées immédiatement.
doit être une couleur étalon donnée dans Le feuil de peinture du système ne doit
la norme FED-STD 595B « Colors Used in montrer ni cloquage ni rouille sur la surface.
Contenu normatif
10 10102
Peintures et systèmes
Page
Date
pour structures d'acier
2008 12 15
10 10102
Peintures et systèmes
Page
de peintures à base de zinc 7 9
NORME
de
2008 12 15
Tableau 10102–2
Système zinc et résines polyuréthanes/
résines polyuréthanes
Couche épaisseur min.
du feuil sec (µm)
1re : zinc et résines 65
polyuréthanes
2e : résines polyuréthanes(1) 75
3 : résines polyuréthanes
e
75
Total : 215
1. Lorsque spécifié par le fournisseur au moment de
l’homologation, l’accrochage de la 2e couche est
réalisé en appliquant un enduit aux résines
vinyliques ou un brouillard de résines
polyuréthanes sur la 1re couche.
Contenu normatif
10 10102
Peintures et systèmes
Page
Date
pour structures d'acier
2008 12 15
Tableau 10102–4
Essais de caractérisation – Peintures
Méthodes d’essais Exigences Tolérances
1. Essais physiques
– Masse volumique (kg/l) (2)(3)(4)(5)(6) ASTM D 1475 Valeur à l’agrément ± 5 %,
section 4.8.2
– Consistance (K.U.) (2)(3)(4)(5)(6) ASTM D 562 Valeur à l’agrément ±10 K.U.
ou ± 25 %, (7)
section 4.8.3
– Durée de séchage ASTM D 1640
• sec pour recouvrir (1)(2)(3)(4)(5)(6)
24 heures maximum
• sec à coeur (1)(2)(3)(4)(5)(6) Valeur à l’agrément ± 30 %
– Opacité (6)
1–GP–71, méthode 14.1 Section 4.8.4
– Finesse de broyage (H.U.) (6)
ASTM D 1210 Valeur à l’agrément ± 2 H.U.
– Brillant (6)
ASTM D 523 Section 4.8.5 ± 30 %
– Particules grossières du constituant ASTM D 185 Valeur à l’agrément ± 0,2
à pigment refusé sur tamis de 45 µm
(No 325) (% en masse) (2)(3)
2. Essais chimiques
– Teneur en zinc métallique (1)(2)(3) ASTM D 521 Valeur à l’agrément ±2
du constituant pigment (% en masse)
– Teneur totale en zinc (% en masse) (1) ISO 3549 Valeur à l’agrément ±2
– Teneur en silice d’une solution 1–GP–71, méthode 50.30 Valeur à l’agrément ±2
silicatée (% en masse) (1)
– Teneur en pigment ASTM D 2371 Valeur à l’agrément ±5
(% en masse) (1)(2)(3)
– Teneur en liant solide (3 heures) ASTM D 2371 Valeur à l’agrément ±5
(% en masse) (2)(3)
– Teneur en matière volatile ASTM D 2369 Valeur à l’agrément ± 5,
(% en masse) (1)(2)(3)(4)(5)(6) section 4.8.6
– Teneur en matière non volatile ASTM D 2697 Valeur à l’agrément ± 2,
(% en volume) (4)(5)(6) section 4.8.7
– Teneur en composé organique ASTM D 3960 Valeur à l’agrément ± 10 %
volatil (g/l) (1)(2)(3)(4)(5)(6) section 4.8.8
3. Identification du liant
– Analyse par infrarouge (1)(2)(3)(4)(5)(6) ASTM D 2621 Valeur à l’agrément Section 4.8.9
4. Différence de couleur (6)
ASTM D 2244 Section 4.8.10
1. Zinc et liant inorganique. 5. Résines polyuréthanes en couche intermédiaire.
Contenu normatif
10 10102
Peintures et systèmes
Page
de peintures à base de zinc 9 9
NORME
de
2008 12 15
Tableau 10102–5
Essais de performance – Systèmes de peintures
Méthodes d’essais Exigences
1. Adhérence ASTM D 3359 Section 4.8.11
méthode A
2. Résistance à la corrosion
par le brouillard salin
– Essai au brouillard salin ASTM B 117 Section 4.8.12
– Cloquage ASTM D 714, ASTM D 1654 Section 4.8.12
procédure A, méthode 2
– Rouille ASTM D 610, ASTM D 1654 Section 4.8.12
procédure A, méthode 2
– Adhérence ASTM D 3359 Section 4.8.12
méthode A
3. Résistance au vieillissement
artificiel accéléré
– Essai accéléré de résistance ASTM G 154 Section 4.8.13
au vieillissement artificiel
– Rouille ASTM D 610, ASTM D 1654 Section 4.8.13
procédure B
– Cloquage ASTM D 714, ASTM D 1654 Section 4.8.13
procédure B
– Farinage ASTM D 4214 Section 4.8.13
– Adhérence ASTM D 3359 Section 4.8.13
méthode A
– Différence de couleur ASTM D 2244 Section 4.8.13
– Perte de brillant ASTM D 523 Section 4.8.13
Contenu normatif
10 10103
Peintures et systèmes de peintures Page
Date
2008 12 15
10 10103
Page Peintures et systèmes de peintures
2 9 organiques pour structures d'acier
NORME
de
Date
2008 12 15
10 10103
Peintures et systèmes de peintures Page
Date
2008 12 15
doit être exempt de coulures, de particules des éprouvettes doit correspondre au degré
grossières et de cratères. de rouille « B » décrit dans la norme SSPC
L’apparence du feuil sec de peinture doit « Surface Preparation Specifications (Initial
être uniforme quant à la texture, à la couleur et Surface Conditions) ».
au brillant.
Copie de travail - DESSAU - NOR GN TR 13 0012.43
Tome peintures et produits de marquage
VII
10.1 Peintures
Chapitre Norme
10 10103
Page Peintures et systèmes de peintures
4 9 organiques pour structures d'acier
NORME
de
Date
2008 12 15
10 10103
Peintures et systèmes de peintures Page
Date
2008 12 15
∇
b* : ± 3,5 unités perpendiculaire à l’éprouvette. L’incision doit
∇
E : 4,5 unités mettre le métal à nu. Les arêtes et le dos des
éprouvettes doivent être protégés de façon
– pour les autres couleurs (système MAC
adéquate par un revêtement approprié, inat-
ADAM) :
∇ taquable dans les conditions d’essais.
E : 6 unités
À la fin de la période d’exposition, les
La grande ouverture de l’appareil de éprouvettes doivent être rincées à l’eau dis-
mesure (Color Machine Spectrophotometer tillée afin de les débarrasser de toute solution
en Byk-Gardner) est utilisée pour les essais, saline et des dépôts solubles et elles doivent
en employant l’illuminant C de la CIE avec être examinées immédiatement.
un champ d’observation de 2 degrés et une
Lorsqu’il est examiné à l’oeil nu, le feuil
géométrie 45°/0°.
de peinture du système ne doit pas présenter
Dans chaque cas, la couleur de référence de cloquage, de rouille ni d’autres défauts
doit être une couleur étalon donnée dans au-delà de 2 mm de chaque côté de l’incision.
la norme FED-STD 595B « Colors Used in De plus, il ne doit pas y avoir de cloquage ni
Government Procurement ». de rouille sur plus de 3 % de la surface non
Pour toutes les autres couches de peinture, associée au « X ».
la couleur de référence doit être la couleur de L’adhérence du feuil de peinture du
l’échantillon originalement évalué et approuvé système après 48 heures de séchage à la
pour l’usage. fin de l’essai ne doit pas être inférieure à la
classification 4.
4.8.11 Adhérence
L’adhérence du système de peintures au 4.8.13 Résistance au vieillissement
subjectile et également d’une couche à une autre artificiel accéléré
ne doit pas être inférieure à la classification 4. Deux éprouvettes de 70 x 150 x 1,6 mm,
Deux éprouvettes de 100 x 150 x 1,6 mm, préparées selon les exigences de la section
préparées selon les exigences de la section 4.8.1 doivent être exposées aux intempéries
4.8.1, doivent être essayées à trois endroits pour une période de 1600 heures, confor-
différents sur chacune. mément à la norme ASTM G 154 « Standard
Practice for Operating Fluorescent Light
4.8.12 Résistance à la corrosion par
Apparatus for UV Exposure of Nonmetallic
le brouillard salin Materials ». Les éprouvettes sont vieillies
Trois éprouvettes de 100 x 150 x 1,6 mm, selon un cycle de huit heures d’exposition aux
préparées selon les exigences de la section rayons UV-A à 70 °C ± 2 °C, suivies de quatre
4.8.1, doivent être exposées au brouillard heures de condensation à 50 °C ± 2 °C. Pour
salin dans l’appareil décrit dans la norme la zone de l’ultraviolet, utiliser la radiation
ASTM B 117 « Standard Practice for Opera- UV-A avec une lampe ayant un maximum de
ting Salt Spray (FOG) Testing Apparatus » 340 nanomètres et une plage de 295 à 365
pendant une période de 2400 heures. nanomètres.
Avant l’essai, les trois éprouvettes doivent À la fin de la période d’exposition, le feuil
être rayées à l’aide d’une lame bien tranchante, de peinture du système ne doit présenter
Contenu normatif
d’un coin à l’autre de façon à former un « X ». aucune trace de rouille ni aucune altération
La lame doit être tenue à un angle de 30° par telle que cloquage ou autres défauts lorsqu’il
rapport à l’éprouvette, le plan de la lame étant est examiné à l’oeil nu. La cote de farinage
10 10103
Page Peintures et systèmes de peintures
6 9 organiques pour structures d'acier
NORME
de
Date
2008 12 15
10 10103
Peintures et systèmes de peintures Page
Date
2008 12 15
10 10103
Page Peintures et systèmes de peintures
8 9 organiques pour structures d'acier
NORME
de
Date
2008 12 15
Tableau 10103–6
Essais de caractérisation – Peintures
Méthodes d’essais Exigences Tolérances
1. Essais physiques
– Masse volumique (kg/l) (1)(2)(3)(4)(5)(6) ASTM D 1475 Valeur à l’agrément ± 5 %,
section 4.8.2
– Consistance (K.U.) (1)(2)(3)(4)(5)(6) ASTM D 562 Valeur à l’agrément ±10 K.U.(7)
ou ± 25 %,
section 4.8.3
– Durée de séchage ASTM D 1640
• sec pour recouvrir (1)(2)(3)(4)(5)(6)
24 heures maximum
• sec à coeur (1)(2)(3)(4)(5)(6) Valeur à l’agrément ± 30 %
– Opacité (3)
1–GP–71, méthode 14.1 Section 4.8.4
– Finesse de broyage (H.U.) (3)
ASTM D 1210 Valeur à l’agrément ± 2 H.U.
– Brillant (3)
ASTM D 523 Section 4.8.5 ± 30 %
2. Essais chimiques
– Teneur totale en Al, exprimée en Fluorescence X Valeur à l’agrément ± 10 %
Al métallique (% en masse du
composant de base) (2)(4)(5)(6)
– Teneur totale en Fe, exprimée en Fluorescence X Valeur à l’agrément ± 10 %
Fe2O3 (% en masse du composant
de base) (2)(4)(5)(6)
– Teneur en matière volatile ASTM D 2369 Valeur à l’agrément ± 5,
(% en masse) (1)(2)(3)(4)(5)(6) section 4.8.6
– Teneur en matière non volatile ASTM D 2697 Valeur à l’agrément ± 2,
(% en volume) (1)(2)(3)(4)(5)(6) section 4.8.7
– Teneur en composé organique ASTM D 3960 Valeur à l’agrément ± 10 %,
volatil (g/l) (1)(2)(3)(4)(5)(6) section 4.8.8
3. Identification du liant
– Analyse par infrarouge (1)(2)(3)(4)(5)(6) ASTM D 2621 Valeur à l’agrément Section 4.8.9
4. Différence de couleur (3) ASTM D 2244 Section 4.8.10
1. Résines époxydiques.
2. Résines époxydiques et pigments d’aluminium.
3. Résines polyuréthanes.
4. Résines polyuréthanes et pigments d’aluminium.
5. Résines polyuréthanes et pigments d’oxyde de fer lamellaire.
6. Résines époxydiques et pigments d’oxyde de fer lamellaire.
7. La moindre des deux valeurs.
Contenu normatif
10 10103
Peintures et systèmes de peintures Page
Date
2008 12 15
Tableau 10103–7
Essais de performance – Systèmes de peintures
Méthodes d’essais Exigences
1. Adhérence ASTM D 3359 Section 4.8.11
méthode A
2. Résistance à la corrosion
par le brouillard salin
– Essai au brouillard salin ASTM B 117 Section 4.8.12
– Cloquage ASTM D 714, ASTM D 1654 Section 4.8.12
procédure A, méthode 2
– Rouille ASTM D 610, ASTM D 1654 Section 4.8.12
procédure A, méthode 2
– Adhérence ASTM D 3359 Section 4.8.12
méthode A
3. Résistance au vieillissement
artificiel accéléré
– Essai accéléré de résistance ASTM G 154 Section 4.8.13
au vieillissement artificiel
– Rouille ASTM D 610, ASTM D 1654 Section 4.8.13
procédure B
– Cloquage ASTM D 714, ASTM D 1654 Section 4.8.13
procédure B
– Farinage ASTM D 4214 Section 4.8.13
– Adhérence ASTM D 3359 Section 4.8.13
méthode A
– Différence de couleur ASTM D 2244 Section 4.8.13
– Perte de brillant ASTM D 523 Section 4.8.13
Contenu normatif
10 10104
Systèmes de peintures pour Page
1 4
NORME structures d’acier
de
Date
2011 07 20
2. Références 3. Définitions
La présente norme renvoie à l’édition la Les définitions suivantes s’appliquent à la
plus récente des documents suivants : présente norme :
Couche
NORMES Dépôt mince de peinture d’épaisseur aussi
uniforme que possible, appliqué dans une
AMERICAN ASSOCIATION OF STATE même opération continue.
HIGHWAY AND TRANSPORTATION
OFFICIALS Feuil
Pellicule mince résultant de l’application sur un
AASHTO R31 « Standard Practice for subjectile de une ou de plusieurs couches de
Evaluation of Protective Coating Systems peintures et constituant un tout ou une partie
for Structural Steel ». d’un système de peintures.
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING Système de peintures
AND MATERIALS Ensemble de couches de peintures compa-
ASTM D3359 « Standard Test Methods for tibles, dont chacune remplit un rôle dans la
Measuring Adhesion by Tape Test ». protection.
SOCIETY FOR PROTECTIVE COATINGS
4. Caractéristiques requises
SSPC « Painting Manual Volume 2 –
Chapter 2 Surface Preparation Standards,
Guides and Specifications ». 4.1 Étiquetage
SSPC – VIS 1 « Guide and Reference Les peintures doivent être livrées dans
Photographs for Steel Surfaces Prepared by des contenants scellés et porter une étiquette
Dry Abrasive Blast Cleaning ». mentionnant :
– les noms du fabricant et du produit;
UNITED STATES FEDERAL STANDARD
– le volume des contenants;
U.S. FED-STD 595B « Colors Used in
Contenu normatif
10 10104
Page
Systèmes de peintures pour
2 4
structures d’acier
NORME
de
Date
2011 07 20
10 10104
Systèmes de peintures pour Page
3 4
NORME structures d’acier
de
Date
2011 07 20
Les exigences relatives aux essais sont norme AASHTO R31 « Standard Practice for
spécifiées dans les versions les plus récentes Evaluation of Protective Coating Systems for
du programme de qualification NEPCOAT Structural Steel », à l’exception des prescrip-
(Acceptance Criteria List A, B, C) et de la tions suivantes :
norme AASHTO R31« Standard Practice for – l’essai de coefficient de friction n’est pas
Evaluation of Protective Coating Systems à faire;
for Structural Steel », à l’exception des pres-
– l’essai de résistance à l’abrasion n’est pas
criptions suivantes :
à faire;
– l’essai de résistance à l’abrasion n’est pas
– l’essai de résistance au brouillard salin
à faire;
est réalisé sur une période d’exposition
– les mesures initiales de la couleur et du de 3000 heures;
brillant doivent être réalisées sur la couche
– l’essai de résistance cyclique au vieillis-
de finition. La mesure du brillant initial doit
sement accéléré est limité à neuf cycles
être comprise entre 60 et 90;
(3024 heures);
– le suivi de deux ans des éprouvettes expo-
– les mesures initiales de la couleur et du
sées à des conditions atmosphériques en
brillant doivent être réalisées sur la couche
milieu salin et humide n’est pas à faire.
de finition. La mesure du brillant initial doit
En cas de différences entre les exigences être comprise entre 60 et 90;
de la norme AASHTO R31 « Standard Practice
– l’essai d’adhérence initiale et après
for Evaluation of Protective Coating Systems
exposition des éprouvettes aux cycles de
for Structural Steel » et celles du programme
gel-dégel est réalisé conformément à la
de qualification NEPCOAT, les exigences
méthode A de l’ASTM D3359 « Standard
spécifiées dans le programme NEPCOAT
Test Methods for Measuring Adhesion
prévalent.
by Tape Test ». L’adhérence initiale du
4.5.2 Système de peintures système de peintures au subjectile, ainsi
que celle d’une couche à une autre, ne
d’entretien doit pas être inférieure à la classification 4.
Système de peintures d’entretien Chacune des trois éprouvettes doit être
(surfaces préparées SSPC–SP 6 / soumise à l’essai à trois endroits différents.
NACE No. 3) Aucune perte d’adhérence ne doit être
Les exigences relatives à la préparation observée entre les mesures initiales et
des éprouvettes d’essai doivent être conformes les mesures prises après exposition aux
aux exigences de la norme AASHTO R31 cycles de gel-dégel;
« Standard Practice for Evaluation of Protec- – le suivi de deux ans des éprouvettes expo-
tive Coating Systems for Structural Steel » sées à des conditions atmosphériques en
sauf que les peintures doivent être appliquées milieu salin et humide n’est pas à faire.
sur des éprouvettes d’acier préparées selon En cas de différences entre les exigences
SSPC– SP 6 / NACE No. 3 et dont la rugosité de la norme AASHTO R31 « Standard Practice
de surface est de 63 ± 13 µm. for Evaluation of Protective Coating Systems
Les exigences relatives aux essais sont for Structural Steel » et celles du programme
spécifiées dans les versions les plus récentes de qualification NEPCOAT, les exigences
Contenu normatif
10 10104
Page
Systèmes de peintures pour
4 4
structures d’acier
NORME
de
Date
2011 07 20
10 10201
Peinture alkyde Page
Date
2011 12 15
Water in Paints and Paints Materials by Karl La peinture alkyde doit pouvoir être
Fisher Method ». pompée et doit pouvoir s’appliquer conve-
nablement après une période d’entreposage
10 10201
Page Peinture alkyde
2 6 pour le marquage des routes
NORME
de
Date
2011 12 15
pouvant aller jusqu’à 6 mois après la livraison, – Couvrir le contenant avec un couvercle
à l’aide de l’équipement utilisé pour le mar- bien ajusté, puis le retourner.
quage des routes. – Laisser le contenant dans cette position
Durant toute cette période de 6 mois pendant 48 heures à une température de
d’entreposage, la peinture alkyde doit toujours 24 ± 2 °C.
satisfaire aux exigences de la présente norme. – Enlever, à la fin de cette période, le fond
du contenant à l’aide d’un ouvre-boîte et
3.3 Application examiner le produit.
La peinture alkyde doit pouvoir s’appli- Note :
quer à la largeur et à l’épaisseur exigées. La Pour cet essai, on doit préalablement
peinture alkyde et le solvant de nettoyage homogénéiser l’échantillon dans sont
recommandés ne doivent pas endommager contenant d’origine. Le prélèvement doit se
l’équipement. faire immédiatement après l’ouverture du
contenant original et de préférence avant
3.4 Étiquetage de retirer du produit pour d’autres essais.
L’étiquette de chaque contenant doit com-
porter l’information suivante : 3.5.2 Sédimentation lors de
– le nom et l’adresse du fabricant; l’entreposage (essai accéléré)
– le nom du produit; Le degré de sédimentation de la peinture
– le numéro de code du produit; alkyde doit être vérifié selon la méthode
d’essai LC 34–506 « Détermination du degré
– la date de fabrication; de sédimentation – Méthode Patton ». La
– la couleur; durée de l’essai est de 14 jours à une tempé-
– la quantité en volume et en masse; rature de 60 ± 2 °C dans une étuve à ventila-
– le numéro de cuvée; tion continue.
– les exigences du SIMDUT (Système Pour que la peinture soit jugée conforme,
d’information sur les matières dange- la courbe de sédimentation tracée sur le
reuses utilisées au travail). graphique (voir la figure 10201–1) ne doit
pénétrer en aucun point dans la zone ombrée.
3.5 Essais et exigences 3.5.3 Couleurs
La peinture alkyde doit respecter les
La peinture alkyde doit être fournie, dans
essais et les exigences du tableau 10201–1
l’une ou l’autre des trois couleurs indiquées
ainsi que des sections 3.5.1 à 3.5.5
ci-dessous. L’application des feuils de peinture
inclusivement.
doit être réalisée en une seule couche à l’aide
d’un filmographe manuel ou automatique pour
3.5.1 Résistance à la formation de
obtenir un feuil frais de 380 µm ± 5 %. La
peaux peinture est appliquée sur un carton de type
La peinture alkyde ne doit pas former de Penopac numéro 1 B ou son équivalent. La
peaux lorsqu’elle est vérifiée selon la méthode durée de séchage doit être de 24 heures à
d’essai décrite ci-après : une température de 24 ± 2 °C et une humidité
Contenu normatif
10 10201
Peinture alkyde Page
Date
2011 12 15
10 10201
Page Peinture alkyde
4 6 pour le marquage des routes
NORME
de
Date
2011 12 15
3.6 Opacité
Le rapport de contraste (opacité) doit être
supérieur ou égal à 0,998 pour la peinture
blanche et supérieur ou égal à 0,994 pour la
peinture jaune.
L’essai consiste à mesurer le contraste
avec un appareil conforme aux exigences de la
norme ASTM E1347 « Standard Test Method
for Color and Color-Difference Measurement
by Tristimulus Colorimetry », c’est-à-dire un
appareil employant l’illuminant C de la CIE
avec un champ d’observation de 2 degrés et
une géométrie de 45/0.
La mesure s’effectue sur la partie lustrée
du film noir (R noir) et sur la partie lustrée
du film blanc (R blanc) d’un carton d’essai
Leneta Penopac Form (1B), après l’applica-
tion d’un feuil humide de peinture de 380 µm
± 5 % et d’une période de séchage d’au moins
24 heures à 24 ± 2 °C avec une humidité
relative de 50 ± 10 %. Le rapport de contraste
Contenu normatif
10 10201
Peinture alkyde Page
Date
2011 12 15
Tableau 10201–1
Méthodes d’essai et exigences pour la peinture alkyde
Méthodes Exigences
Caractéristiques physiques et chimiques
d’essai Min. Max.
Consistance (KU)
à 24 °C ASTM D562 (1) 75 85
à 5 °C LC 34–505 — 135
Séchage (min.) ASTM D711 7 20
Finesse de broyage (µm) ASTM D1210 — 80
Saignement ASTM D969
Peinture blanche 4 —
Peinture jaune 6 —
Matières volatiles organiques (% en masse) ASTM D2369 (2)
Peinture blanche 28 32
Peinture jaune 26 31
Teneur en eau (% en masse) ASTM D4017 — 1
Teneur en matières pulvérulentes (% en masse) ASTM D2371
Peinture blanche 51 55
Peinture jaune 52 57
Anhydride phtalique (% en masse)
LC 34–508 32 37
du liant non volatil
Masse volumique (kg/l) ASTM D1475
Peinture blanche Valeur à l’agrément (3)
Peinture jaune Valeur à l’agrément (3)
Peinture noire Valeur à l’agrément (3)
Pigment noir 200 Valeur à l’agrément (3)
1. Homogénéiser le produit dans son contenant d’origine et entreposer à 24 ± 2 °C pendant un minimum de
8 heures. Procéder à l’essai en prenant soin de maintenir la température de l’échantillon à 24 ± 2 °C durant
toute la durée de l’opération.
2. Peser 2,0 ± 0,2 g de peinture et sécher durant 3 heures à 105 ± 2 °C.
3. La valeur à l’agrément est la valeur avec laquelle le résultat doit être comparé lorsque le produit est évalué
selon les exigences du tableau 10201–1. Les valeurs à l’agrément sont soumises par le fabricant, vérifiées
par le Ministère et acceptées conjointement au moment de l’homologation.
Contenu normatif
10 10201
Page Peinture alkyde
6 6 pour le marquage des routes
NORME
de
Date
2011 12 15
50
40
Distance entre le disque du palpeur
et le fond du contenant (mm)
30
20
10
0
1001 1001 200 400 600 800 1000
ombrée.
Figure 10201–1
Graphique du degré de sédimentation
10 10202
Produits de marquage Page
de moyenne durée 1 5
NORME
de
Date
2013 12 15
10 10202
Page Produits de marquage
2 5 de moyenne durée
NORME
de
Date
2013 12 15
10 10202
Produits de marquage Page
de moyenne durée 3 5
NORME
de
Date
2013 12 15
10 10202
Page Produits de marquage
4 5 de moyenne durée
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 10202–1
Exigences en laboratoire pour les produits de marquage de moyenne durée
Essais Méthodes d’essai Exigences
Rétroréflexion Rétroréflectomètre LTL-X Blanc : ≥ 200
(mcd/lx/m2) ASTM E1710 Jaune : ≥ 140
Rétroréflexion sous la pluie À titre indicatif : en France, la méthode d’essai est basée
(mcd/lx/m2) sur les normes AFNOR P98–612 et P 98–613.
Blanc : ≥ 65
Réflectance directionnelle (%) (1) ASTM E1347
Jaune : ≥ 40
Couleur (1) Appareil conforme aux exigences de la Blanc : U.S. FED-STD
norme ASTM E1347 « Standard Test 595C (no 37875)
Method for Color and Color-Difference Jaune : U.S. FED-STD
Measurement by Tristimulus Colorimetry » 595C (no 33538)
et employant l’illuminant C de la CIE avec
Noir : U.S. FED-STD
un champ d’observation de 2 degrés et
595C (no 37038)
une géométrie 45/0.
blanc : - 2,0
L*+ 8,0
a* ± 3,5
b* ± 4,5
∆E 10,0
jaune : - 2,0
L*+ 8,0
a* ± 3,5
b* - 6,5
+ 30,0
∆E 32,0
Résistance à la glissance (BPN) ASTM E303 ≥ 40
Résistance aux produits 5 % NaCl (immersion de 24 h) : LC 34–501 Des échantillons de
chimiques 5 % CaCl2 (immersion de 24 h) : LC 34–502 5 × 5 cm ne doivent
montrer aucun signe
de détérioration.
1. Sans microbilles.
Notes :
– Les fournisseurs doivent fournir les échantillons conditionnés pour les essais.
– Les valeurs L*, a*, b* et ∆E (système CIELAB) représentent les tolérances autorisées par rapport aux
différents standards (ASTM D2244).
Contenu normatif
10 10202
Produits de marquage Page
de moyenne durée 5 5
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 10202–2
Critères sur route des produits de marquage de moyenne durée
Exigences de performance
Critères
À la pose Après 1 an Après 2 ans Méthodes d’essai
Rétroréflexion blanc ≥ 200 ≥ 100 (1)
≥ 60 Rétroréflectomètre LTL-X
(mcd/lx/m2) jaune ≥ 140 ≥ 80 (1) ≥ 50 ASTM E1710
Rétroréflexion sous la pluie À titre indicatif : en France, la méthode d’essai est basée
(mcd/lx/m2) sur les normes AFNOR P98–612 et P 98–613.
Couleur blanc (no 37875) Étalon U.S. Léger Léger Comparaison
jaune (n 33538)
o FED-STD 595C changement changement visuelle
de couleur de couleur
Durabilité (%) 100 85 75 ASTM D913(2)
Résistance à la glissance
40 ASTM E303
(BPN)
1. En zone urbaine éclairée, la rétroréflexion doit être, pour le blanc, ≥ 60 mcd/lx/m2, et pour le jaune, ≥ 50 mcd/lx/m2.
2. Le pourcentage de présence des bandes sur la chaussée est évalué à l’aide d’images photographiques stan-
dards (ASTM D913 « Standard Practice for Evaluating Degree of Traffic Paint Line Wear ») en prenant comme
référence le moment de la pose du produit (100 %).
Contenu normatif
10 10203
Produits de marquage Page
de longue durée 1 7
NORME
de
Date
2013 12 15
10 10203
Page Produits de marquage
2 7 de longue durée
NORME
de
Date
2013 12 15
10 10203
Produits de marquage Page
de longue durée 3 7
NORME
de
Date
2013 12 15
10 10203
Page Produits de marquage
4 7 de longue durée
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 10203–1
Exigences en laboratoire pour les bandes préfabriquées
Essais Méthodes d’essai Exigences
Rétroréflexion Rétroréflectomètre LTL-X Blanc : ≥ 200
(mcd/lx/m2) ASTM E1710 Jaune : ≥ 140
Rétroréflexion sous la pluie À titre indicatif : en France, la méthode d’essai est basée
(mcd/lx/m2) sur les normes AFNOR P98–612 et P 98–613.
Blanc : ≥ 65
Réflectance directionnelle (%) (1) ASTM E1347
Jaune : ≥ 40
Couleur (1) Appareil conforme aux exigences de la Blanc : U.S. FED-STD
norme ASTM E1347 « Standard Test 595C (no 37875)
Method for Color and Color-Difference Jaune : U.S. FED-STD
Measurement by Tristimulus Colorimetry » 595C (no 33538)
et employant l’illuminant C de la CIE avec
Noir : U.S. FED-STD
un champ d’observation de 2 degrés et
595C (no 37038)
une géométrie 45/0.
blanc : - 2,0
L* + 8,0
a* ± 3,5
b* ± 4,5
∆E 10,0
jaune : - 2,0
L* + 8,0
a* ± 3,5
b* - 6,5
+ 30,0
∆E 32,0
Résistance à la glissance (BPN) ASTM E303 ≥ 40
Résistance aux produits 5 % NaCl (immersion de 24 h) : LC 34–501 Des échantillons de
chimiques 5 % CaCl2 (immersion de 24 h) : LC 34–502 5 × 5 cm ne doivent
montrer aucun signe
de détérioration.
1. Sans microbilles.
Notes :
– Les fournisseurs doivent fournir les échantillons conditionnés pour les essais.
– Les valeurs L*, a*, b* et ∆E (système CIELAB) représentent les tolérances autorisées par rapport aux
différents standards (ASTM D2244).
Contenu normatif
10 10203
Produits de marquage Page
de longue durée 5 7
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 10203–2
Exigences en laboratoire pour les enduits thermoplastiques
Essais Méthodes d’essai Exigences
Rétroréflexion Rétroréflectomètre LTL-X Blanc : ≥ 200
(mcd/lx/m2) ASTM E1710 Jaune : ≥ 140
Rétroréflexion sous la pluie À titre indicatif : en France, la méthode d’essai est basée
(mcd/lx/m2) sur les normes AFNOR P98–612 et P 98–613.
Blanc : ≥ 65
Réflectance directionnelle (%) (1) ASTM E1347
Jaune : ≥ 40
Couleur (1) Appareil conforme aux exigences de la Blanc : U.S. FED-STD
norme ASTM E1347 « Standard Test 595C (no 37875)
Method for Color and Color-Difference Jaune : U.S. FED-STD
Measurement by Tristimulus Colorimetry » 595C (no 33538)
et employant l’illuminant C de la CIE avec
Noir : U.S. FED-STD
un champ d’observation de 2 degrés et une
595C (no 37038)
géométrie 45/0.
blanc : - 2,0
L* + 8,0
a* ± 2,0
b* ± 3,5
∆E 9,0
jaune : - 2,0
L* + 8,0
a* ± 3,5
b* - 6,5
+ 30,0
∆E 32,0
Résistance à la glissance (BPN) ASTM E303 ≥ 40
Résistance aux produits 5 % NaCl (immersion de 24 h) : LC 34–501 Des échantillons de
chimiques 5 % CaCl2 (immersion de 24 h) : LC 34–502 5 × 5 cm ne doivent
montrer aucun signe
de détérioration.
1. Sans microbilles.
Notes :
– Les fournisseurs doivent fournir les échantillons conditionnés pour les essais.
– Les valeurs L*, a*, b* et ∆E (système CIELAB) représentent les tolérances autorisées par rapport aux
différents standards (ASTM D2244).
Contenu normatif
10 10203
Page Produits de marquage
6 7 de longue durée
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 10203–3
Exigences en laboratoire pour les produits à plus d’un composant
Essais Méthodes d’essai Exigences
Rétroréflexion Rétroréflectomètre LTL-X Blanc : ≥ 200
(mcd/lx/m2) ASTM E1710 Jaune : ≥ 140
Rétroréflexion sous la pluie À titre indicatif : en France, la méthode d’essai est basée
(mcd/lx/m2) sur les normes AFNOR P98–612 et P 98–613.
Blanc : ≥ 65
Réflectance directionnelle (%) (1) ASTM E1347
Jaune : ≥ 40
Couleur (1) Appareil conforme aux exigences de la Blanc : U.S. FED-STD
norme ASTM E1347 « Standard Test 595C (no 37875)
Method for Color and Color-Difference Jaune : U.S. FED-STD
Measurement by Tristimulus Colorimetry » 595C (no 33538)
et employant l’illuminant C de la CIE avec
Noir : U.S. FED-STD
un champ d’observation de 2 degrés et une
595C (no 37038)
géométrie 45/0.
blanc : – 2,0
L* + 8,0
a* ± 2,0
b* ± 3,5
∆E 9,0
jaune : – 2,0
L* + 8,0
a* ± 3,5
b* – 6,5
+ 30,0
∆E 32,0
Résistance à la glissance (BPN) ASTM E303 ≥ 40
Résistance aux produits 5 % NaCl (immersion de 24 h) : LC 34–501 Des échantillons de
chimiques 5 % CaCl2 (immersion de 24 h) : LC 34–502 5 × 5 cm ne doivent
montrer aucun signe
de détérioration.
Rupture à 100 % du
Adhérence (1) ACI 503R
béton
1. Sans microbilles.
Notes :
– Les fournisseurs doivent fournir les échantillons conditionnés pour les essais.
Contenu normatif
– Les valeurs L*, a*, b* et ∆E (système CIELAB) représentent les tolérances autorisées par rapport aux
différents standards (ASTM D2244).
10 10203
Produits de marquage Page
de longue durée 7 7
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 10203–4
Critères sur route des produits de marquage de longue durée
Exigences de performance
Critères À la Après Après Après Après Méthodes
pose 1 an 2 ans 3 ans 4 ans d’essai
blanc ≥ 200 ≥ 120 (1) ≥ 100 (1) ≥ 80 (1) ≥ 60 Rétroréflecto-
Rétroréflexion
mètre LTL-X
(mcd/lx/m2) jaune ≥ 140 ≥ 100 (1) ≥ 80 (1) ≥ 65 (1) ≥ 50 ASTM E1710
Rétroréflexion sous la pluie À titre indicatif : en France, la méthode d’essai est basée
(mcd/lx/m2) sur les normes AFNOR P98–612 et P 98–613.
Couleur blanc (no 37875) Étalon U.S. Léger Léger Léger Léger
Comparaison
jaune (no 33538) FED-STD changement changement changement changement visuelle
595C de couleur de couleur de couleur de couleur
Durabilité (%) 100 95 85 80 75 ASTM D913 (2)
Résistance à la glissance
40 ASTM E303
(BPN)
1. En zone urbaine éclairée, la rétroréflexion doit être, pour le blanc, ≥ 60 mcd/lx/m2, et pour le jaune, ≥ 50 mcd/lx/m2.
2. Le pourcentage de présence des bandes sur la chaussée est évalué à l’aide d’images photographiques stan-
dards (ASTM D913 « Standard Practice for Evaluating Degree of Traffic Paint Line Wear ») en prenant comme
référence le moment de la pose du produit (100 %).
Contenu normatif
10 10204
Peinture à base d’eau pour Page
Date
2013 12 15
10 10204
Page Peinture à base d’eau pour
2 7 le marquage des routes
NORME
de
Date
2013 12 15
10 10204
Peinture à base d’eau pour Page
Date
2013 12 15
10 10204
Page Peinture à base d’eau pour
4 7 le marquage des routes
NORME
de
Date
2013 12 15
10 10204
Peinture à base d’eau pour Page
Date
2013 12 15
Tableau 10204–1
Essais de caractérisation – Peinture à base d’eau pour le marquage
Caractéristiques physiques et Méthodes
Exigences (1) Tolérances
chimiques d’essai
Masse volumique (kg/l) à 24 °C ASTM D1475 Valeurs à l’agrément ± 0,025 kg/l
Teneur en matières pulvérulentes ASTM D3723 Valeurs à l’agrément ± 2 %
Matières volatiles (2) ASTM D2369 Valeurs à l’agrément ± 2 %
Teneur en eau ASTM D4017 Valeurs à l’agrément ± 2 %
Composés organiques volatils (3)
ASTM D3960 Max. : 150 g/L Aucune
Consistance (KU) à 24 °C ASTM D562 Valeurs à l’agrément ± 2 KU
Consistance (KU) à 5 °C (4)
LC 34–505 Valeurs à l’agrément ± 3 KU
TiO2 (blanc) LC 34–301 Valeurs à l’agrément ± 0,01 kg/l
Valeurs à l’agrément à partir de valeurs imposées
Caractéristique physique et
Méthode d’essai Exigence Tolérance
chimique
Temps de séchage à 24 °C sans ASTM D711 Min. : 7 ± 30 %
microbilles Section 4.5 de la Max. : 20
présente norme
Valeurs imposées
Caractéristiques physiques et Méthodes
Exigences
chimiques d’essai
Opacité ASTM E1347 Min. : 0,994 (jaune)
Section 4.6 de la Min. : 0,998 (blanc)
présente norme
Facteur de brillance (5) ASTM D523 Min. : 80 (blanc), 50 (jaune)
Finesse de broyage ASTM D1210 Max. : 80 µm
Rétroréflexion mcd/lx/m 2
ASTM E1710 (6)
Blanche : 200 Jaune : 140
Couleur (7) ASTM D2244 Paramètres Blanche Jaune
U.S. FED-STD L* - 2,0 à + 8,0 - 1,0 à + 5,0
595C a* ± 3,5 ± 3,5
Blanc : n° 37875 b* ± 4,5 ± 6,5
Jaune : n° 33538 ∆E 10,0 9,0
Résistance à la formation de peaux Section 4.1 de la
Ne doit pas former de peaux.
présente norme
Sédimentation LC 34–506 La courbe de sédimentation tracée ne doit
Section 4.2 de la pénétrer en aucun point dans la section
présente norme ombrée du même graphique.
Section 4.4 de la
Stabilité à l’entreposage Section 4.4 de la présente norme
présente norme
1. Les valeurs imposées (exigences) incluent la tolérance. 5. La mesure du brillant doit être déterminée sous un angle
d’incidence de 45 °.
Contenu normatif
10 10204
Page Peinture à base d’eau pour
6 7 le marquage des routes
NORME
de
Date
2013 12 15
Tableau 10204–2
Critères sur route – Peinture à base d'eau pour le marquage
Exigences de performance
Critères
À la pose Printemps suivant Méthodes d’essai
Rétroréflexion blanc ≥ 200 — Rétroréflectomètre LTL-X
(mcd/lx/m2) jaune ≥ 140 — ASTM E1710
Rétroréflexion sous la pluie À titre indicatif : en France, la méthode d’essai est basée
(mcd/lx/m2) sur les normes AFNOR P98–612 et P98–613.
Couleur blanc (no 37875) Étalon U.S. Léger changement Comparaison
jaune (no 33538) FED-STD 595C de couleur visuelle
Contenu normatif
10 10204
Peinture à base d’eau pour Page
Date
2013 12 15
50
40
Distance entre le disque du palpeur
et le fond du contenant (mm)
30
20
10
0
100 (1) 100 (1) 200 400 600 800 1000
1. Poids du palpeur sans surcharges. Sur le graphique, le premier point 100 correspond à la première
lecture (début). Le second 100 correspond à la deuxième lecture (0,5 minute).
Note :
– la peinture est jugée conforme lorsque la courbe de l’essai de sédimentation ne pénètre pas dans la
zone ombrée.
Contenu normatif
Figure 10204–1
Graphique du degré de sédimentation
VII
Chapitre
11
BOIS Page
i
Date
2010 12 15
11 11101
Page
Bois 1 3
NORME
de
Date
2010 12 15
11 11101
Page
2 3 Bois
NORME
de
Date
2010 12 15
11 11101
Page
Bois 3 3
NORME
de
Date
2010 12 15
Vii
Chapitre
12
Sels de déglaçage Page
i
Date
2012 12 15
12.1 Chlorure
VII
Chapitre Norme
12 12101
Page
Chlorure de sodium 1 2
NORME
de
Date
2011 12 15
1. Objet 3. Définitions
La présente norme a pour objet de déter- Les définitions suivantes s’appliquent à la
miner les exigences du Ministère en ce qui présente norme :
a trait aux caractéristiques et aux critères Chlorure de sodium (NaCl)
d’évaluation du chlorure de sodium destiné Fondant chimique utilisé pour le déglaçage
au déglaçage des routes. des routes.
Sel ou sel de voirie
2. Références Nom commun donné généralement au chlo-
La présente norme renvoie à l’édition la rure de sodium.
plus récente des documents suivants : Sel de déglaçage
Fondant chimique utilisé sous forme solide.
NORMES
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING
4. Échantillonnage
AND MATERIALS L’échantillonnage s’effectue selon la pro-
ASTM E534 « Standard Test Methods for cédure décrite dans la méthode LC 40–010.
Chemical Analysis of Sodium Chloride ».
ASTM D632 « Standard Specification for 5. Caractéristiques requises
Sodium Chloride ». Le chlorure de sodium doit être exempt de
gravier, d’argile, de minerai et de toute matière
AUTRES DOCUMENTS étrangère pouvant favoriser la prise en masse
Gouvernement du Québec ou la formation de grumeaux.
Les adjuvants employés comme anti-
MINISTÈRE DES TRANSPORTS agglomérants ne doivent pas modifier de
DU QUÉBEC, LABORATOIRE façon appréciable les propriétés du chlorure
DES CHAUSSÉES de sodium et ils ne doivent pas être dom-
LC 21–015 « Réduction des échantillons mageables pour l’environnement. De plus,
pour essais en laboratoire ». ils ne doivent pas diminuer l’adhérence à la
LC 21–040 « Analyse granulométrique ». chaussée.
LC 40–010 « Échantillonnage des sels de Le chlorure de sodium doit également
déglaçage ». satisfaire aux exigences décrites au tableau
LC 40–015 « Détermination de la teneur en 12101–1.
eau des sels de déglaçage ».
Contenu normatif
12 12101
Page
2 2 Chlorure de sodium
NORME
de
Date
2011 12 15
Tableau 12101–1
Exigences pour le sel de déglaçage des routes
Teneur en eau
— 1,5 LC 40–015
(% en masse)
Chlorure de sodium Annexe A de la
93,5 (1) —
(% en masse) norme ASTM D632 (2)
Analyse granulométrique
— — LC 21–040 (3)
(% cumulatif passant)
Tamis 12,5 mm 100 — —
Tamis 10 mm 95 100 —
Tamis 5 mm 20 90 —
Tamis 2,5 mm 10 60 —
Tamis 630 µm — 11 —
1. Dans le cas de sel échantillonné après la livraison au site d’entreposage, la teneur minimale requise en chlo-
rure de sodium est 93,0 %.
2. En cas de litige entre le Ministère et le fournisseur, la teneur en chlorure de sodium est évaluée conformément
à la norme ASTM E534, en y apportant les modifications suivantes :
– Broyage de l’échantillon :
un échantillon de 500 g, préalablement séché à 110 °C pendant deux heures, est broyé de façon à pas-
ser un tamis de 250 µm au lieu d’un tamis n° 8.
– Mise en solution de l’échantillon :
peser 25 g d’échantillon broyé à 250 µm dans un bécher de 1000 ml, ajouter 600 ml d’eau déminérali-
sée, puis couvrir d’un verre de montre pendant l’agitation du mélange.
– Filtre utilisé pour l’évaluation de la teneur en matière insoluble dans l’eau : le disque de fibre de verre
à 0,3 µm est remplacé par une membrane filtrante à 0,45 µm en cellulose renforcée et sans cendres
(de type HA).
– Filtre utilisé pour l’évaluation de la teneur en ions sulfate :
le creuset de type Gooch recouvert d’un lit d’amiante est remplacé par un papier filtre Whatman sans
cendres, n° 42, avec une capacité de rétention de 2,5 µm.
– Le facteur de conversion du sulfate de magnésium en chlorure de magnésium est 0,7910 au lieu
de 1,1311.
3. Lorsqu’un tamiseur mécanique de type Ro-Tap est utilisé, la durée de tamisage ne doit pas excéder 10 min.
Contenu normatif
VII
12.1 Chlorure
Chapitre Norme
12 12102
Chlorure de calcium
Page
1 1
NORME
de
Date
2012 12 15
1. Objet 4. Échantillonnage
La présente norme a pour objet de déter- L’échantillonnage du chlorure de
miner les exigences du Ministère en ce qui calcium doit être effectué selon la méthode
a trait aux caractéristiques et aux critères ASTM D345 « Standard Test Method for Sam-
d’évaluation du chlorure de calcium destiné pling and Testing Calcium Chloride for Roads
à ses opérations. and Structural Applications », et la teneur en
chlorure de calcium doit être évaluée selon
2. Références la méthode ASTM E449 « Standard Test
Methods for Analysis of Calcium Chloride ».
La présente norme renvoie à l’édition la
plus récente des documents suivants :
NORMES
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING
AND MATERIALS
ASTM D98 « Standard Specification for
Calcium Chloride ».
ASTM D345 « Standard Test Method for
Sampling and Testing Calcium Chloride for
Roads and Structural Applications ».
ASTM E449 « Standard Test Methods for
Analysis of Calcium Chloride ».
BUREAU DE NORMALISATION
DU QUÉBEC
BNQ 2410–300 « Produits utilisés comme
abat-poussières pour routes non asphaltées
et autres surfaces similaires ».
3. Caractéristiques requises
Les caractéristiques du chlorure de
calcium solide ou en solution, utilisé comme
fondant chimique, agent d’humidification du
chlorure de sodium, abat-poussières ou pour
le traitement des abrasifs doivent respecter les
exigences de la norme ASTM D98 « Standard
Specification for Calcium Chloride ». De plus,
le chlorure de calcium utilisé doit satisfaire
aux exigences de la norme BNQ 2410–300
« Produits utilisés comme abat-poussières
Contenu normatif
VII
Chapitre
13
GÉOSYNTHÉTIQUES Page
i
Date
2013 12 15
13.2 Géomembranes et
géocomposites bentonitiques
13201 Géomembranes et géocomposites
bentonitiques
VII
13.1 Géotextiles
Chapitre Norme
13 13101
Page
Géotextiles 1 4
NORME
de
Date
2013 12 15
13 13101
Page
2 4 Géotextiles
NORME
de
Date
2013 12 15
VII
13.1 Géotextiles
Chapitre Norme
13 13101
Page
Géotextiles 3 4
NORME
de
Date
2013 12 15
de
Date
VII
Page
Tome
Résistance
4
Allongement Ouverture de
2013 12 15
Norme
min. à la
13101
(1)
min. filtration « FOS » Type de Procédé de
Type Principales applications Rôles traction
(%) (µm) (max.) polymère (2) fabrication (3)
(N)
CAN/CGSB 148.1, n° 10
CAN/CGSB 148.1, n° 7.3
1. Le rôle principal est souligné. R = renforcement, F = filtration, 4. La résistance à la traction, l’allongement et l’ouverture de filtration « FOS » doivent
Contenu normatif
GÉOSYNTHÉTIQUES Tome
VII
13.2 Géomembranes et
géocomposites bentonitiques Chapitre Norme
13 13201
Page
Géomembranes et 1 de 4
NORME géocomposites bentonitiques Date
2006 12 15
2 de 4 Géomembranes et
Date
géocomposites bentonitiques NORME
2006 12 15
VII
13.2 Géomembranes et
géocomposites bentonitiques Chapitre Norme
13 13201
Page
Géomembranes et 3 de 4
NORME géocomposites bentonitiques Date
2006 12 15
Tableau 13201–1
Caractéristiques physiques des géomembranes en polyéthylène (PE)
Résistance min. Résistance min. Résistance min. Résistance min. Résistance
à la tension à la au de la soudure de la soudure aux basses
limite élastique poinçonnement au cisaillement(1) au pelage (1) températures
(kN/m) (N) (kN/m) (kN/m) (° C)
ASTM D 638 M (2) ASTM D 4833 ASTM D 4437 (2) ASTM D 4437 (2) ASTM D 746
11 300 9 7,5 ≤ - 30
1. Tests effectués à tous les 150 m de cordons de soudure.
2. La méthode d’essai a été modifiée dans la norme ANSI/NSF 54, appendice A.
Tableau 13201–2
Caractéristiques physiques des géocomposites
bentonitiques
Résistance min. à la Résistance min. au
tension à la rupture poinçonnement
(N) (N)
ASTM D 4632 ASTM D 4833
600 500
Tableau 13201–3
Caractéristiques physiques et chimiques des géomembranes bitumineuses
4 de 4 Géomembranes et
Date
géocomposites bentonitiques NORME
2006 12 15
Contenu normatif
1. Méthode A.
VII
Chapitre
14
Matériaux divers Page
i
Date
2012 12 15
14.4 Abrasifs
14401 Abrasifs
14 14101
Page
Pellicules rétroréfléchissantes 1 1
NORME
de
Date
2010 12 15
1. Objet
La présente norme a pour objet de détermi-
ner les exigences du Ministère en ce qui a trait
aux caractéristiques et aux critères d’évalua-
tion des pellicules rétroréfléchissantes et des
types d’encres utilisées pour la signalisation.
2. Références
La présente norme renvoie à l’édition la
plus récente des documents suivants :
NORME
AMERICAN SOCIETY FOR TESTING
AND MATERIALS
ASTM D4956 « Standard Specification for
Retroreflective Sheeting for Traffic Control ».
3. Caractéristiques requises
Les caractéristiques des pellicules rétro-
réfléchissantes doivent respecter les exigen-
ces de la norme ASTM D4956 « Standard
Specification for Retroreflective Sheeting for
Traffic Control ».
Contenu normatif
14 14201
Page
Bordures et musoirs de granite scié 1 1
NORME
de
Date
2009 12 15
1. Objet
La présente norme a pour objet de déter-
miner les exigences du Ministère en ce qui
a trait aux caractéristiques et aux critères
d’évaluation des bordures et musoirs de
granite scié.
2. Références
La présente norme renvoie à l’édition la
plus récente du document suivant :
NORME
BUREAU DE NORMALISATION
DU QUÉBEC
BNQ 2520–110 « Bordures de granit ».
3. Caractéristiques requises
Les bordures et musoirs de granite scié
doivent respecter les exigences de la norme
BNQ 2520–110 « Bordures de granit ».
Contenu normatif
14 14301
Polystyrène pour Page
1 2
construction routière
NORME
de
Date
2010 12 15
– type A : polystyrène pour isolation thermi- Le polystyrène doit avoir des caractéris-
que; tiques mécaniques conformes aux données
des tableaux 14301–1 et 14301–2.
14 14301
Page Polystyrène pour
2 2
construction routière
NORME
de
Date
2010 12 15
5.4 Marquage
Chaque panneau ou bloc de polystyrène
doit être marqué de façon permanente sur
au moins une de ses faces. Les informations
suivantes doivent être fournies :
– le nom du fournisseur ou sa marque de
commerce;
– la date de fabrication;
– le numéro du lot de production;
– la résistance minimale à la compression.
Tableau 14301–1
Caractéristiques physiques et mécaniques du polystyrène pour isolation thermique (type A)
Exigences
Méthodes
Propriétés Extrudé Extrudé Expansé
d’essai
chaussée conduite (1) conduite (1)
Résistance à la compression (2) (min.) ASTM D1621 400 kPa 250 kPa 250 kPa
Module de compression (min.) ASTM D1621 15 MPa 9 MPa 9 MPa
Résistance thermique (min.) ASTM C177 0,86 m °C/W
2
0,86 m °C/W
2
0,69 m2 °C/W
Absorption d’eau en volume (max.) ASTM D2842 0,7 % 0,7 % 2,5 %
1. Le polystyrène avec une résistance de 250 kPa peut être utilisé pour l’isolation d’une chaussée lorsque spéci-
fié aux plans et devis. L’épaisseur utilisée doit être multipliée par un facteur de 1,2 dans le cas d’un polystyrène
expansé par rapport à un polystyrène extrudé.
2. Résistance à une déformation ou un fléchissement de 5 %, selon la première éventualité, dans le cas d’un
polystyrène extrudé et de 10 % dans le cas d’un polystyrène expansé.
Tableau 14301–2
Caractéristiques physiques et mécaniques du polystyrène pour remblais légers (type B)
Propriétés Méthodes d’essai Exigences
Résistance à la compression (1) (min.) ASTM D1621 100 kPa
1. Pour la couche supérieure (1,2 m d’épaisseur) de remblai léger sous la structure de chaussée, l’exigence
minimale est de 140 kPa. Une valeur différente pour la résistance à la compression peut être exigée aux plans
et devis pour d’autres ouvrages spécialisés.
Contenu normatif
VII
14.4 Abrasifs Chapitre Norme
14 14401
Page
Abrasifs 1 2
NORME
de
Date
2011 12 15
2 2 Abrasifs
NORME
de
Date
2011 12 15
Tableau 14401–1
Fuseaux granulométriques de spécification
pour abrasifs
AB–5 AB–10
Tamis
(% passant) (% passant)
10 mm — 100
8 mm 100 —
5 mm 85–99 95–100
2,5 mm 1–15 —
1,25 mm 0–5 0–70
630 µm 0–50
315 µm 0–35
160 µm 0–15
80 µm 0–5
Tableau 14401–2
Caractéristiques intrinsèques, de fabrication
et complémentaires des granulats pour
abrasifs
Méthodes
Granulats fins Exigences
d’essai
Caractéristiques
intrinsèques et — Catégorie 3
de fabrication(1)
Caractéristiques
complémentaires : LC 21–201 ≤5
– teneur en eau (%)
1. Voir la norme 2101 « Granulats ».
Contenu normatif
VII
14.5 Enrochement et revêtement en pierres
Chapitre Norme
14 14501
Enrochement et revêtement Page
1 1
en pierres
NORME
de
Date
2012 12 15
14 14601
Microbilles de verre pour peinture Page
Date
2012 12 15
14 14601
Page Microbilles de verre pour peinture
2 4 servant au marquage des routes
NORME
de
Date
2012 12 15
14 14601
Microbilles de verre pour peinture Page
Date
2012 12 15
percé au centre. La partie intérieure des – transférer le chlorure de dansyle dans une
bouchons doit avoir un rebord conique de fiole jaugée de 25 ml;
60˚, de l’extérieur du bouchon vers le tube – compléter au trait de jauge avec de
de verre afin de favoriser l’écoulement; l’acétone;
– renverser le montage des deux erlenmeyers – filtrer la solution de chlorure de dansyle
pour permettre aux microbilles de s’écouler pour éliminer les particules insolubles (filtre
vers l’erlenmeyer inférieur jusqu’à ce que de type Whatman n° 4).
l’erlenmeyer supérieur soit vide;
La solution de chlorure de dansyle doit
– donner, si nécessaire, de légers coups être conservée dans un contenant fermé et
sur l’erlenmeyer supérieur pour démarrer réfrigérée entre les essais. Après un mois,
l’écoulement. jeter la solution et en préparer une nouvelle.
L’échantillon est jugé conforme lorsque Procédure pour vérifier la présence du
les microbilles s’écoulent facilement sans revêtement d’adhérence sur les microbilles :
interruption.
– peser 10 g de microbilles dans une cou-
Si les microbilles ne s’écoulent pas faci- pelle d’aluminium;
lement sans interruption :
– saturer les microbilles avec 3 ml de la
– donner de légers coups sur l’erlenmeyer solution de chlorure de dansyle en utilisant
supérieur jusqu’à ce que toutes les micro- une pipette volumétrique;
billes se soient écoulées vers l’erlenmeyer
– mettre les microbilles dans un four à
inférieur;
60 ˚C pendant 15 minutes (à leur sortie,
– renverser, à nouveau, le montage des les microbilles seront de couleur jaune et
deux erlenmeyers pour permettre aux agglomérées ensemble);
microbilles de s’écouler vers l’erlenmeyer
– placer les microbilles sur un papier
inférieur jusqu’à ce que l’erlenmeyer
filtre dans un entonnoir (filtre de type
supérieur soit vide;
Whatman n° 4);
– donner, si nécessaire, de légers coups
– verser 100 ml d’acétone sur les microbilles;
sur l’erlenmeyer supérieur pour démarrer
l’écoulement. – transférer les microbilles dans une cou-
pelle d’aluminium;
Si les microbilles ne s’écoulent toujours
pas facilement sans interruption, répéter les – remettre les microbilles dans un four à
trois dernières étapes de la présente méthode. 60 ˚C pendant 15 minutes;
Si les microbilles ne s’écoulent toujours – placer les microbilles sous une lumière
pas facilement sans interruption après trois ultraviolette (l’inspection doit être effectuée
renversements du montage, l’échantillon est dans une chambre noire).
jugé non conforme. L’échantillon est jugé conforme lorsque
les microbilles sont de couleur jaune-vert
3.8.2 Revêtement d’adhérence (fluorescente). Pour faciliter l’interprétation,
Tout d’abord, préparer une solution de faire en parallèle toutes les étapes de cette
chlorure de dansyle : procédure avec des microbilles n’ayant pas
– peser 0,20 g de chlorure de dansyle dans de revêtement d’adhérence.
Contenu normatif
14 14601
Page Microbilles de verre pour peinture
4 4 servant au marquage des routes
NORME
de
Date
2012 12 15