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Table des matières

• Introduction
• Les troubles d’Al Maghrâwi et ses étapes
• l'Influence des Qotbi sur Al Maghrawi
• Ecoutez les égarements d’Al Maghrâwi
• Les paroles des savants sur Al Maghrâwi et ses égarements
• Réponse à des ambiguïtés

Introduction
Bismillâh Ar Rahmân Ar Rahim

Voici pour vous un blog consacré à un des innovateurs de ce siècle : Mouhamad Ibn ‘Abdirrahmân
Al Maghrâwi le khâriji du Maroc, qu’Allâh purifie ce pays des Khawârij, amin.

Je tiens à remercier le site http://www.ifrani.c.la/ pour leurs efforts car je me suis basé sur leurs
travaux.

Les troubles d’Al Maghrâwi et ses étapes


Al Maghrawi était parmi les élèves de cheikh Rabi' dans l’institut secondaire de l’Université
Islamique de Médine.

Les liens étaient très forts entre cheikh Rabi' et ses élèves de haut niveau, arabes ou étrangers, à
part Al Maghrawi.

En effet il n’y avait pas entre lui et cheikh Rabi' ce lien fort qu’il existe entre un élève et son
professeur.

Et ceci n’est la faute que d’Al Maghrawi qui a de l’antipathie pour ses professeurs, à la tête de ceux
là, l’imam Taqi Ad Dine Al Hilâli qui a dit à son sujet :

« Je crains pour la Da’wa Salafia à cause de cet homme »

Al Maghrawi fût diplômé de l’Université Islamique de Médine et il y eut un différend entre lui et
un de ses amis, Baqshish Al Maghribi.
Il accusa mensongèrement ce dernier de s’être marié illégalement. L’affaire fût portée à un tribunal
saoudien, et la sentence de la sanction de al iftira (accuser mensongèrement) fût prononcée contre
al Maghrawi qui par la suite s’enfuit au Maroc Il commença à se donner l’image de celui qui a
développé la da’wa salafia au Maroc.

Baqshish s’était préparé à porter plainte contre al Maghrâwi au Maroc au sujet de l’affaire du
mariage. Cheikh Rabi' l’en empêcha car il avait une bonne opinion d’Al Maghrâwi et car il s’était
repentit et à cause de ses efforts dans la da’wa aux yeux de cheikh Rabi' à cette époque Cheikh
Rabi' fût informé que les élèves d’Al Maghrâwi prenaient parti pour ‘Adnân ‘Arour , ce grand
fauteur de troubles en Europe et en Amérique, cet ennemi de la da’wa salafia.

Alors une personne très proche d’Al Maghrâwi vint nier cette accusation. Cheikh Rabi' accepta cela
de lui et l’honora lui et Al Maghrâwi Des informations vinrent du Maroc comme quoi la da’wa
d’Al Maghrâwi était dirigée par des qotbis. Cheikh Rabi' refusa ces informations et réprimanda
sévèrement ceux qui amenèrent ces informations et il dit du bien d’Al Maghrâwi.

Par la suite, Cheikh Rabi' se rendit compte qu’il existait entre Al Maghrâwi et ‘Adnân ‘Arour une
relation solide et que les livres et les k7 de ‘Arour, remplies d’erreurs, se propageaient au Maroc
par l’intermédiaire d’Al Maghrâwi. Mais à cette époque, il avait une bonne opinion de lui et pensait
qu’il était trompé par ‘Adnân. Alors cheikh Rabi' se mit à lui expliquer les égarements de ‘Adnân à
travers ses livres et ses k7 de même qu’il conseilla les élèves d’Al Maghrâwi, mais les relations de
ces derniers avec ‘Adnân ne firent que devenir plus fortes.

Pendant ce temps, ‘Adnân ne cessait de propager ses troubles en Europe en se concentrant


spécialement sur cheikh Rabi'. Les troubles de ‘Adnân se répandirent au maroc.

Alors, certains salafis, étonnés de la mauvaise position prise par al Maghrâwi, firent front après que
la goutte ait débordé le vase. Alors Al Maghrâwi, ‘Adnân et son armée les combattirent en les
insultant d’hypocrites et prêcheurs du trouble.

Quand cheikh Rabi' apprit cela, il tenta de calmer la tension en ordonnant le silence. Cheikh Rabi'
s’était auparavant mis à répliquer à ‘Adnân et ses k7 se propagèrent dans plusieurs pays.
Cependant, il ne permis de les diffuser au Maroc qu’avec l’accord de Al Maghrâwi.

Cela montre bien le rang auquel cheikh avait placé Al Maghrâwi. Mais al Maghrâwi donna de
fausses excuses en disant par exemple que ‘Adnân était inconnu au Maroc.

Malgré cela, cheikh Rabi' ordonna aux salafis de patienter face aux dures nuisances qu’ils
rencontraient de la part d’Al Maghrâwi et de ses partisans et insista pour que ses k7 ne soient
diffusées au maroc qu’avec l’accord d’Al Maghrâwi.

Après cela cheikh Rabi' apprit que Al Maghrâwi se préparait à partir en Espagne pour participer à
une série de conférences avec ‘Adnân. Abdoulqadir Al Jounid tenta, avec l’appui de cheikh Rabi',
de convaincre Al Maghrâwi de ne pas y participer à causes des nuisances et des troubles qui
risquaient d’en découler, comme il est connu des conférences de ‘Adnân.

Mais Al Maghrâwi n’écouta pas ces conseils. A l’occasion de ces conférences, Al Maghrâwi,
‘Adnân et ‘Abdoulqadir Shou’a ( un fauteur de trouble qui fait partie de leur équipe ; il résidait à
l’époque en Belgique) se rassemblèrent dans une assise qui fut enregistrée. Cette assise était pleine
de mensonges et d’injustice, tout cela dirigé contre cheikh Rabi' et les salafis véridiques.

Cet enregistrement k7 fut largement diffusé en Europe et en Afrique du nord. Elle fit de gros dégâts
et finalisa les desseins de ‘Adnân et Al Maghrâwi. Cheikh Rabi' et beaucoup de salafis saisirent que
cela était une ruse orchestrée par ‘Adnân et Al Maghrâwi Adnân et Al Maghrâwi.

Les salafis voulurent répondre à cette ruse, mais cheikh Rabi' leur interdit de le faire afin de
contenir la fitna, et cela malgré qu’il était persuadé que Al Maghrâwi était plus responsable des
troubles provoquées par cette assise que ‘Adnân. Donc, malgré cela, il s’occupa de répondre
seulement à ‘Adnân et laissa Al Maghrâwi afin d’aider ce dernier à revenir.

Ensuite, lorsque cheikh Rabi' vit qu’Al Maghrâwi n’adoptait pas la bonne position malgré les
conseils qu’il lui donnait et le temps qu’il lui laissait pour le faire, il décida de diffuser ses k7 sans
plus attendre son autorisation. Alors ce dernier et ses alliés s’y opposèrent en qualifiant ces k7 de
fitna, et ceux qui les propageaient d’hypocrites.

Les jeunes salafis du Maroc se rendirent alors compte que cette fitna n’était pas apparue
involontairement mais qu’elle était organisée et qu’elle visait le manhaj salafi. Ils se mirent donc à
éplucher les livres et les k7 d’Al Maghrâwi. Ils y trouvèrent d’énormes erreurs comme le manhaj
qotbi takfiri. Ils étudièrent cela de manière sûre et exposèrent ces fautes aux savants.

Ces derniers répondirent par des réponses scientifiques basées sur le manhaj des salafs condamnant
Al Maghrâwi. Mais cheikh Rabi' refusa de répondre préférant qu’Al Maghrâwi revienne à la vérité
de lui-même. Pendant ce temps Al Maghrâwi continuait sur son chemin. Après un certain moment,
Al Maghrâwi demanda à s’asseoir en privé avec cheikh Rabi' qui accepta.

Lors de cette assise, cheikh Rabi' sortit deux livres et quelques k7 d’Al Maghrâwi et lui demanda
de les étudier et de proclamer clairement la vérité. Mais Al Maghrâwi refusa de les étudier sur
place mais seulement à son retour au Maroc. Alors cheikh Rabi' lui donna des conseils profitables
et qui permettrait d’éteindre la fitna, de même qu’il le mit en garde contre certains fauteurs de
troubles qui invitaient Al Maghrâwi à persister sur ses erreurs.

Il lui dit également que s’il revenait sur ses erreurs, il demanderaient aux salafis qui n’étaient pas
d’accord avec lui de se réconcilier avec lui et ainsi la fitna cesserait. Mais par la suite cheikh Rabi'
apprit qu’Al Maghrâwi se mit à forger des mensonges sur lui et qu’il appela ses alliés à le «
descendre » le boycotter et le désavouer , et c’est ce qu’ils firent.
Il fut clair à présent pour cheikh Rabi' que la demande d’Al Maghrâwi à le rencontrer seul à seul et
son refus d’enregistrer cette rencontre était une ruse planifiée. Il demanda alors à ses frères de ne
pas prêter attention à l’équipe d’Al Maghrâwi car ils n’en valaient pas la peine.

Par la suite, Al Maghrâwi annonça à cheikh Rabi' qu’il allait revenir de ses erreurs et que les portes
de ses écoles d’apprentissage du Coran seraient grandes ouvertes à ceux qui lui avaient montré ses
fautes. Mais il ne tint pas parole et enregistra une k7 dans laquelle il se vanta et humilia les autres
au grand étonnement de cheikh Rabi' qui ne fit aucun commentaire sur cette k7.

Une foule de questions de la part de l’équipe d’ Al Maghrâwi furent posée à cheikh Rabi' au sujet
du contenu de cette k7. Mais cheikh Rabi' n’y répondit pas comprenant qu’en fait ils continuaient à
propager la fitna. Cette équipe donc continua à répandre la fitna et à magnifier leurs maître pendant
environ deux années.

Pendant ce temps les salafis patientaient si ce n’est la distribution de l’un d’entre eux de l’exposé
des fautes de al Maghrâwi à des savants salafis car l’équipe de ce dernier propageait leurs
mensonges et leurs injustices. Il fallait donc que certains savants en soient informés.

Ensuite, trois amis d’ Al Maghrâwi vinrent à cheikh Rabi' durant le mois du ramadan de l’an 1421
et lui demandèrent qu’est-ce qu’il attendait d’ Al Maghrâwi. Cheikh leur répondit qu’il ne voulait
que son retour de ses fautes et qu’il mette fin à cette fitna.

Il leur montra un livre d’ Al Maghrâwi « la croyance des salafs » et expliqua que les fautes que ce
livre contenait étaient attribuées aux salafs et qu’il ne nous était pas permis de les approuver car
c’était un crime perpétré contre eux. Il leur exposa trois fautes d’al Maghrâwi dans le domaine des
bases de la religion.

L’un des trois amis dit alors à cheikh qu’il allait demander à Al Maghrâwi de revenir sur ces fautes
et qu’il allait s’efforcer d’amener la réconciliation entre Al Maghrâwi et ses frères.

Cheikh Rabi' informa sur le champs un frère du Maroc qu’un ami d’ Al Maghrâwi viendrait pour la
réconciliation après que ce dernier se soit repenti. Il lui répondit « volontiers !». Cheikh Rabi' en fût
réjouit et invita Al Maghrâwi et deux autres personnes à Makka.

Il l’honora très largement afin de l’encourager à revenir de ses fautes. Alors que cheikh Rabi' et les
salafis attendaient ce retour et cette réconciliation, ils furent surpris par une k7 d’ Al Maghrâwi
diffusée par ses partisans dans laquelle il faisait l’étalage de sa gloire et celle de son équipe pendant
qu’il abaissait ceux qui suivent la vérité.

Il apparut au grand jour la tromperie de cet homme et de son équipe, leurs ignorance et à quel degré
Al Maghrâwi ne tenait pas ses promesses. Un frère exposa les déviations d’ Al Maghrâwi à un
certain nombre de savants qui jugèrent alors qu’il avait dévié du droit chemin.

Alors Al Maghrâwi se mit à les dénigrer et à se moquer d’eux. Il enregistra une k7 dans laquelle il
prétendit ne pas avoir fait d’erreurs, jurant que si c’était le cas il serait revenu. Ensuite il écrivit un
livre intitulé

« Les menteurs et les diffamateurs qui détournent du Qoran et de la Sounna ».

C’est en fait un livre qui est lui-même rempli de mensonges et de diffamations. Parmi les choses
étonnantes de ce livre est le fait qu’il cite les fautes d’un certain nombre de Prophètes et de savants
dont il prétend que les fautes de certains d’entre eux nécessiteraient des volumes de livres pour les
recenser. Tout cela pour quoi ? Pour s’innocenter de ses fautes !

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l'Influence des Qotbi sur Al Maghrawi


Al Maghrâwi rend mécréant toute la communauté

I ) - Toute la communauté est hypocrite

Al Maghrâwi dit dans une k7 vidéo intitulée :


« les caractéristiques des hypocrites » datée du 8/6/1996 :

« Les versets qui décrivent l’hypocrisie dans les sourates Al Baqara, An Nissa, Al Anfal, At
Tawba, Al Ahzab, Al Mounafiqoun s’appliquent à notre époque à 100% car pas de prière,
pas de religion, pas de ‘aqida, rien ! Et qui organise cela ? Les hypocrites ! »

Réponse de Cheikh As Souhaymi

« Il n’y a aucun doute que l’hypocrisie et les hypocrites existaient avant et existent maintenant.
Mais cette généralisation de cette manière en disant que 100% des gens sont des hypocrites et qu’il
n’ y a pas de musulmans est extrêmement dangereuse. Cette parole doit être complètement effacée.
Il faut que son auteur se repente sincèrement à Allâh car il a rendu mécréant tous les musulmans.
C’est un jugement khariji inspiré la plupart du temps des généralisations de Seyid Qotb dans son
livre « Sous les ombrages du Qoran » et dans beaucoup de ses livres dans lesquels il juge que tous
les musulmans ont apostasié. »

Réponse de Cheikh An Najmi

« Viser l’ensemble des musulmans par cette parole est une faute. Il y a parmi les musulmans des
personnes pieuses et des personnes perverses. Il se peut que l’ignorance, le faux et l’hypocrisie
dominent dans un pays, et malgré cela on ne peut pas dire pas qu’il n’y a pas de musulmans, de
pieux, de véridiques. De même que l’on peut trouver des pays ou l’hypocrisie, le faux et les
désobéissances sont moins importants que dans d’autres pays et ainsi de suite. Donc lancer ce
genre de parole envers tous les musulmans comme cela de manière absolue fait partie des
penchants takfiri »

Al Maghrâwi dit dans la K7 vidéo « Al Mounafiqounes », datée du 22/6/1996 :

« Où est le Coran dans le cœur des gens ? Où est la Sounna dans leurs cœurs ? Ce verset nous
donne la réponse. C’est comme si elle parlait. Si tu réunissais les musulmans sur la terre à un
seul endroit, ce verset aurait parlé « Sourds, muets, aveugles » (Sourate Al Baqara).
Il n’est pas possible que le Qoran soit descendu à la communauté, qu’un Prophète lui soit
envoyé, que des traditions du Prophète r lui soient laissées et que ces traditions soient
apprises, et qu’ avec cela tu trouves la communauté à l’opposé de cela : aucune ‘aqida, aucun
tawhid, aucune tradition du prophète , aucune législation, aucun jugement,
aucune prière… »

Sa parole :

« aucune ‘aqida, aucun tawhid, aucune tradition du Prophète r, aucune législation, aucun
jugement, aucune prière »

est une qualification takfiri de la communauté, une manière de parler dont al Maghrâwi peine à se
débarrasser…

Al Maghrâwi a lu un texte de ce genre alors qu’il défendait sa thèse de doctorat devant Cheikh
‘Atiia Mouhamad Sâlim, qu’Allâh lui soit miséricordieux :
« ça c’était lorsque l’ensemble des musulmans avait une religion, une ‘aqida ; mais à présent :
aucune religion aucune ‘aqida. Leurs occupation essentielle est de jouir des plaisirs de la vie
d’ici bas. »

Alors Cheikh ‘Atiia Mouhamad Sâlim l’interrompu en lui disant :

« tu fais partie des musulmans oh mon frère ! Celui qui dit les gens ont mécru, c’est certes lui qui
les a mené à mécroire ou c’est certes lui le plus mécréant. J’ai certes la conviction que ces
généralisations ne conviennent pas qu’il ne convient pas de faire ces généralisations. Il est
obligatoire pour l’homme de s’écarter de tout ce qui nécessite de s’excuser. »

Al Maghrâwi reprit :

« je voulais dire… ».

Alors Cheikh ‘Atia lui dit :

« ce que tu voulais dire, laisse le dans ta poche ! Tu es en train de défendre une thèse et non pas ce
que tu voulais dire ! »

Observe bien mon frère. Ce propos d’al Maghrâwi n’a pas été exposé à un savant sans qu’il ne l’ait
repoussé. Si donc tu es capable de critiquer, le propos est devant toi. Dans le cas contraire,

« Demandez donc aux gens du Rappel si vous ne savez pas ».

II ) - Al Maghrâwi compare les désobéissants aux adorateurs du Veau de


l’époque de Moussa Alayhi sallam

« La relation qui existe entre les désobéissants et leurs objets de désobéissance est comme
celle qu’il existait entre les juifs et le veau qu’ils adoraient. En effet ces derniers passaient
leurs temps auprès du veau, ils dansaient auprès de lui, ils l’adoraient. Et maintenant, les
pervers, les désobéissants de notre époque prêtent une grande attention à leurs objets de
désobéissance, ils les respectent, les honorent. Les désobéissants actuels fabriquent des choses
qui détournent de l’adoration d’Allâh et donc ils les adorent en dehors d’Allâh.
Les enfants d’Isrâ-il qui ont adoré le veau sont plus propres que les désobéissants de notre
époque. Les premiers n’ont adoré qu’un objet fait d’or et d’argent alors que les derniers ont
adoré des veaux de toutes sortes. Tout ce qui va en contraire des principes de l’Islam est
considéré comme un veau. ».

Voici la réponse de Cheikh Zaid Al Madkhali

« La musique est interdite. Cependant on ne juge pas le chanteur ni la personne qui écoute la
chanson comme mécréant. Cela ne fait seulement partie que des grands péchés qui en dehors de la
mécréance sont sous la volonté d’Allâh .
Il n’est pas permis de considérer les chansons comme étant de la mécréance et de considérer les
amateurs de chansons comme les adorateurs du veau, des statues et des idoles. C’est une faute
énorme.
Son auteur doit revenir à la vérité, revoir les textes du Qoran et de la Sounna et les comprendre
comme il se doit afin de ne pas tomber dans le chemin des takfiris. Ce genre de propos ne peut pas
sortir de la bouche d’un savant qui connaît le sens des versets coraniques et des hadiths et la voie
des salafs dans le domaine de la foi, du jugement des grands péchés et de leurs auteurs… »

De même Cheikh As Souhaymi a considéré ces paroles comme du takfir envers les
musulmans. Voici sa parole

« La chanson est une perversité. Il n’ y a aucun bien chez les chanteurs car ils ouvrent les portes du
mal aux gens. Malgré cela, nous ne disons pas qu’ils sont des mécréants s’ils attestent qu’il n’ y a
pas de divinité à part Allâh et que Mouhamad Sallahou Alayhi Salam est le Messager d’Allâh, et
qu’ils accomplissent les œuvres apparentes et cachées qu’impliquent leurs attestations. Parmi ces
œuvres, il y a l’accomplissement de la prière dont l’abandon, même par négligence, est une grande
mécréance.
Donc si cet homme accomplit la prière et unifie Allâh, il n’y a aucun doute qu’il est un musulman
désobéissant ou en d’autres termes un croyant par sa foi et un pervers par son grand péché ou
encore un croyant dont la foi est diminuée.
Celui qui dit que la chanson est comme un veau et que celui qui l’écoute a certes adoré le veau a
fait du takfir envers les musulmans. Ceci est sans aucun doute la position des khawarij, ceux qui
rendent mécréants par les péchés même si l’auteur de ces péchés ne les a pas considéré licites.
Les textes législatifs prouvent, et ceci est la position de Ahl As Sounna wal Jamâ’a, que les péchés
autres que le polythéisme ne font pas sortir leurs auteurs de l’Islâm tant qu’il ne les rend pas licites.
Allah dit : « Certes Allâh ne pardonne pas qu'on Lui donne quelqu'associé. A part cela, Il pardonne
à qui Il veut » et le Messager d'Allâh r dit « Sortira du feu celui qui possède dans son cœur un
atome de foi » [et d’autres preuves encore] »

Résumé du livre de Abou ‘Abdilaziz ‘Outhmân Al A’miri

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Ecoutez les égarements d’Al Maghrâwi
Le takfir d’Al Maghrâwi

La conception du Veau chez Al Maghrâwi

La conception étonnante du Veau chez Al Maghrâwi :

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La conception de l’idolâtrie chez Al Maghrâwi

Les nationalités et les frontières entre les états sont pour Al Maghrâwi de l’idolâtrie

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Le takfir par les péchés et la conception de l’idolâtrie

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L’apostat de la communauté aux yeux d’Al Maghrâwi

Toute la communauté est désobéissante, moutabarrija, polythéiste et apostate

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L’islâm du désobéissant n’est que prétention

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Les musulmans ne savent pas la raison de leurs existence

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La ‘aqida des sociétés islamiques a été retiré


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La communauté anté-islamique « Al Jâhilia »

La Jâhilia a envahi toutes les femmes


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Al Maghrâwi applique les caractéristiques des hypocrites sur toute


la communauté

La communauté est sourde, muette, aveugle (en référence au verset de sourate Al Baqara sur les
hypocrites) sans ‘aqida ni loi islamique

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Les musulmans actuels sont sourds, muets, aveugles, hypocrites

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La majorité des musulmans d’aujourd’hui sont des hypocrites

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La communauté est à 100% hypocrite, sans religion ni prière

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Al Maghrâwi appelle à faire couler le sang

Al Maghrâwi est d'avis qu’il faut combattre la communauté par les armes et insiste là-dessus

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La voie politique d’Al Maghrâwi


La hâkimia
Celui qui juge par une autre loi que celle d’Allâh est une idôle ainsi sa loi

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Le takfir envers les dirigeants musulmans

Al Maghrâwi rend mécréant les dirigeants de la Palestine et leurs préfère les juifs

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Chaque musulman a le droit de résider dans la terre des deux sanctuaires sacrés sans restrictions ni
conditions

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Cheikh An Najmi a répondu à cet égarement voir :

ici

Le comportement d’Al Maghrâwi envers les salafs et sa position vis-à-vis de Ahl


As Sounna

Al Maghrâwi accuse les salafs d’avoir négligé la da’wa

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‘Omar Ibn ‘Abdilaziz était dans son enfance un enfant gâté

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Ahl As Sounna sont faibles, ils sont occupés les uns par les autres, ils s’insultent

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Position d’Al Maghrâwi vis-à-vis de la femme musulmane


Les mères de famille sont la cause du polythéisme dans nos sociétés actuelles

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Toutes les déviations ont pour causes les mères de famille

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Eloges d’Al Maghrâwi envers des déviés

Ali Khashan, Ahmad Salam, ‘Abdoullah As Sabt, Mouhamad Hassan, Ibrahim Shaqra, Mouhamad
Al Mounajid, ‘Aid Al Qarni, Ibrahim Ad Douwaish, Abou Isaq Al Houwayni

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La cerise sur le gâteau

L’homme par nature s’il voyait un pilier en bois avec des vêtements de femme le désirerait

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Les paroles des savants sur Al Maghrâwi et ses égarements


Cheikh Al ‘Outhaymine

On interroge cheikh Al ‘Outhaymine au sujet d’un homme qui dit que le serment d’allégeance ne
doit être donné qu’à l'imam juste.

Réponse de cheikh Al ‘Outhaymine :

« C’est un révolutionnaire ! C’est un révolutionnaire ! Il ne comprend pas ce qui se passe autour de


lui et il ne sait pas que le Prophète r nous a ordonné d’écouter et d’obéir malgré l’injustice. Il ne
comprend pas ce qui est arrivé aux grands imams comme Ahmad Ibn Hanbal dans leurs relations
avec les califes qui étaient pires que ceux de notre époque, ceux qui forçaient les gens à dire que le
Coran est créée. Prends garde à lui et à ses semblables ! »

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Cheikh An Najmi

La parole d’Al Maghrâwi a une tendance takfiri

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Il est confirmé qu’Al Maghrâwi est un takfiri

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Al Maghrâwi rend mécréant les musulmans

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L’avis d’Al Maghrâwi est l’avis des khawarij

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Al Maghrâwi est un takfiri et ses partisans sont des sectaires

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Je ne suis pas revenu sur mon tabdi’ d’Al Maghrawi (certains le prétendaient)

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Cheikh Rabi' al Madkhali

« Des questions à son sujet me venaient du Maroc, de France, d’Angleterre et j’évitais de répondre
espérant qu’il revienne à la vérité par lui-même, mais en vain. Il fit de nombreuses promesses de
retour à la vérité qu’il ne tint pas. Quand il enregistrait quelque chose ce n’était que dans le but de
se vanter et de magnifier ses élèves et exagérer à leurs sujet. Mais en vérité, il donna une très
mauvaise éducation à ses élèves. Ils se sont mis à attaquer avec des mensonges toute personne
critiquant Al Maghrâwi »

« C’est alors que nous vint la fitna d’Al Maghrâwi, l’ami de ‘Adnân ‘Arour. Par Allâh ! nous avons
patienté avec lui et l’avons énormément honoré. Nous lui avons donné tout ce que nous avons écrit
au sujet de ‘Adnân, et il lui ressemble.

Il nous fut évident après avoir lu ses fautes que cet homme est confus dans le manhaj salafi, qu’il
commet des fautes dans les bases du manhaj salafi. Ceci est établi dans ses livres et ses K7. Il tient
les mêmes propos que Seyid Qotb dans le takfir »

« A cette fitna s’est mélangé du terrorisme. En effet ses élèves ont frappé des frères qui n’étaient
pas d’accord avec eux. »

« Ceux qui louent Al Maghrâwi sont ou bien des gens qui suivent la passion ou bien des gens qui
ont une bonne opinion de lui et qui ne le connaissent pas lui et ses fautes.

Nous conseillons ces derniers de ne dire du bien de lui qu’après avoir eu une connaissance
complète de cet homme. Qu’ils ne disent de cet homme du mal ou du bien qu’après avoir la
connaissance de cette personne. L’homme ne doit parler qu’avec science. »

le document en arabe

Cheikh Zayd Ibn Hâdi Al Madkhali

Je ne conseille pas d’étudier chez Al Maghrâwi

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Cheikh As Soubeyl

Cheikh a réprouvé les généralités faites par Al Maghrâwi.

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Cheikh Souleymân Ar Rouhayli

Mon avis sur Al Maghrâwi est celui de cheikh Rabi'

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Cheikh Mouhamad Ibn ‘Abdilwahab Al Banna

Le propos d’Al Maghrâwi est un propos khariji

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Cheikh Salih As Souhaymi

Ces généralités que fait Al Maghrâwi sont inspirées des paroles de Seyid Qotb
(Ces généralités : son takfir général)

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Cheikh Mouhamad ‘Omar Bâzmoul

Ma parole est celle des savants tels cheikh Rabi' et cheikh An Najmi

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Cheikh Yahya Al Hajouri

Al Maghrâwi est un qotbi, un qotbi

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Réponse à des ambiguïtés


Al Maghrâwi plutôt que de se repentir et de reconnaître ses fautes a préféré continuer dans ses
erreurs. Lui et son équipe ont donc essayé de se défendre de diverses manières :
tantôt en tentant de jeter le discrédit sur ceux qui avaient noté ses erreurs
tantôt en niant ses fautes évidentes, ou par d’autres subterfuges.

Voici quelques unes de leurs ruses et leurs réfutations :

1ère Ambiguité :

Au départ, ils ont voulu faire croire que ceux qui avaient relevé les erreurs d’Al Maghrawi
parmi les étudiants étaient une poignée de personnes qui avaient délaissé la science et le
manhaj salafi.

Réponse :

Relever ces erreurs ne pouvait se faire qu’avec la science. Sinon comment auraient-ils pu
remarquer que les termes employés par Al Maghrawi étaient des termes de Qotbi dans le takfir des
sociétés musulmanes, comment auraient-ils pu voir que les propos tenus par cet homme au sujet
d’Al Imara (tout ce qui touche au commandement d’une nation) étaient exactement ceux tenus par
les khawarij, etc. … ?

2ème Ambiguité :

Ensuite, ils ont accusé ces étudiants de menteurs en affirmant que ce qui avait été dit sur Al
Maghrawi n’était que mensonges et qu’en écoutant toutes les k7 de cet homme ils n’avaient
rien trouvé de ce qui lui était attribué.

Réponse :
ceux qui ont relevé les fautes s’étaient suffit au début de retranscrire par écrit les fautes d’Al
Maghrawi. Par la suite pour répondre à cette accusation de mensonge, ils diffusèrent les répliques
des savants accompagnées des documents sonores d’Al Maghrawi.

Alors les maghrawistes se réfugièrent dans l’ambiguïté suivante :

« Les paroles d’Al Maghrawi étaient trafiquées, montées ».

Pour répondre à cette ambiguïté, les propos d’Al Maghrawi furent enregistrées et réunies dans une
k7 avec les sources de ses paroles : titre de la k7, la face a ou b, la maison d’édition. C’était alors
une catastrophe pour Al Maghrawi et son équipe.

Par ailleurs :

En acceptant cette accusation de montage, sur quelles erreurs Al Maghrawi a t-il promis à cheikh
Mouqbil et à cheikh Rabi' de revenir ?
Une personne revient-elle sur une chose qu’elle n’a pas faite ?

Pourquoi n’a-t-il pas avancé comme argument l’accusation de montage de ses paroles à chaque fois
qu’il fut conseillé ?

Pourquoi tentait-il à chaque fois de donner une interprétation à ce qui était rapporté de lui sans dire
une seule fois que ses paroles étaient trafiquées ?

Soubhan Allâh ! Le Messager a dit vrai :

« Si tu n’as pas honte fais ce qu’il te plaît ».

De plus, jusqu’à présent les maghrawistes n’ont pas ramené une seule preuve de cette accusation.

Ajoutons que ces gens veulent que quand tu rapportes une parole, il est obligatoire de citer tout le
livre ou toute la k7 du début à la fin et ceci est une chose que jamais les savants n’ont fait. Ils se
suffisent de citer l’endroit où se trouve l’erreur sans couper ce qui vient avant et après.

3ème Ambiguité :

Les fautes d’Al Maghrawi sont des lapsus et personne n’est épargné de ce genre de fautes.

Réponse :

Les propos d’Al Maghrawi sont au cœur de son manhaj et ne sont pas des lapsus.

La différence entre les lapsus et les fautes préméditées est claire.

La répétition des exemples donnés par Al Maghrawi sur le takfir et le fait qu’il répète les
instaurations de ses règles sur l’obligation d’élargir la conception compréhension de l’idolâtrie et
de l’adoration du veau (voir…) au même endroit, dans la même assise enlèvent cette ambiguïté.

Les promesses de repentir d’Al Maghrawi effacent également cette ambiguïté car quand un homme
affirme une chose puis promet de s’en repentir on ne dit pas par la suite que ce n’était uniquement
qu’ un lapsus de sa part.

4ème Ambiguité :

Le grand savant de médine Cheikh abdoulmouhssin Al ‘Abad conseille d’étudier auprès d’Al
Maghrawi

Réponse :

Effectivement cheikh ‘Abdoulmouhssine Al ‘Abad est un grand savant de notre époque, mais la
règle qui prévaut ici est :

La critique détaillée prévaut sur l’éloge

Voici quelques paroles de savants pour détailler cette règle :

Cheikh ‘Obeyd Al Jabiri

Question :

« Est –il une condition dans la réplique au contrevenant et la mise en garde contre lui que soient
réunis dans cette mise en garde les gens de science ou un seul savant suffit ? »

Réponse :

« Voici en résumé une règle de jarh wa ta’dil :


Celui qui sait est un argument face à celui qui ne sait pas.
Quand un savant connu pour sa droiture dans le suivi de la Sounna et pour sa taqwa met en garde
contre un homme et amène les preuves que cet homme est une personne qui suit ses passions, nous
acceptons sa parole et nous mettons en garde contre cette personne cela même si des centaines le
contredisent, tant qu’il a amené les preuves de ce qu’il a avancé.
Ceci est notre devoir. Dans le cas contraire, la Sounna disparaîtrait car le cas de beaucoup de Ahl
Al Ahwa n’est pas connu pour la plupart des savants. Ils ne peuvent pas les dévoiler pour plusieurs
raisons, parmi elles :
Le mauvais entourage qui fait obstacle entre ce savant honorable, sunnite et fort et entre les
informations qui permettraient de dévoiler ce grand joueur, ce ruseur, ce dupeur, ce machinateur.

Parmi elles :
Ce savant n’a pas de temps. Tout son temps est consacré à la science et à l’enseignement.
Parmi elles :
Ce savant se trouve loin de l’endroit où se trouve cet individu (innovateur ou autre). Aucune
personne de confiance ne lui a transmis les informations nécessaires. Il ne connaît donc pas la
situation de la personne concernée.

Parmi elles :
Ce savant est persuadé que cette personne est de confiance, qu’il suit la Sounna, qu’il appelle à
Allâh. Devant lui il lui montre la Sounna, l’amour de Ahl As Sounna, l’invitation à la Sounna, et ce
savant n’est pas au courant de ses complots. Dans ce cas là que devons- nous faire ?
Nous prenons la parole du savant qui a amené les preuves qui obligent à prendre garde à cet
homme. Quant à ce savant honorable, on respecte sa valeur et on lui trouve des excuses, nous
disons qu’il ne savait pas et que s’il avait su se que nous avons su il aurait adopté notre position ou
une position plus dure.

Voir Question 10 dans le lien suivant

lire

écouter

Cheikh Mouqbil

Question :

« Certaines personnes rejettent les critiques des savants de la Sounna envers certains innovateurs
prétextant que d’autres savants de la Sounna n’ont pas parlé sur ces personnes, disant « où est la
parole de telle et telle personne, pourquoi ne parlent-ils pas ? Si c’était vrai ces savants auraient
suivi ».
Donc est-il une condition dans la critique d’une personne qu’il faut que la plupart des savants ou la
totalité l’ait critiqué ? »

Réponse :

« Le problème c’est que ces gens n’ont pas lu le Moustalah (les règles de la science du hadith), ou
qu’ils ont lu mais ils dupent les gens.

Ahmad Ibn Hanbal dit de telle personne que c’est un thiqa (digne de confiance) et Yahya Ibn Ma’in
dit d’elle que c’est un grand menteur. La parole de Yahya est une critique détaillée, il a vu ce que
Ahmad Ibn Hanbal n’a pas vu.
Si un savant de ce siècle démontre l’égarement de Mouhamad Al Ghazali ou Al Qardawi ou le
manhaj des ikhwan mouflissines, nous acceptons cela et c’est une obligation de l’accepter. Allâh
dit :

« Ô vous qui avez cru! Si un pervers vous apporte une nouvelle, voyez bien clair (de crainte)
que par inadvertance vous ne portiez atteinte à des gens et que vous ne regrettiez par la suite
ce que vous avez fait ».
Si une personne ‘adil (honnête) nous amène une information, nous acceptons comme on le
comprend de ce verset.

Donc où en êtes- vous de ce verset qui prouve que si un ‘âdil nous vient avec une information nous
acceptons et que si un pervers nous amène une information nous vérifions ?

Ces gens sont des dupeurs, ils contredisent nos savants, anciens et contemporains. »

écouter

Cheikh Rabi'

« Concernant le Jarh wa Ta’dil : il suffit au Jarh de venir de la part d’un seul savant et il suffit dans
le Ta’dil qu’il vienne d’un seul savant.

Si deux savants véridiques, dignes de considération, qui ne suivent pas les passions, sont en
divergence au sujet d’une personne, il est obligatoire aux autres gens de science de demander les
preuves au savant qui a critiqué.
S’il les apporte, il leur est obligatoire de les accepter. Si l’autre savant (celui qui dit du bien de la
personne critiquée) ou un autre que lui s’oppose, l’honorabilité ( al ‘adala ) de ce dernier tombe et
on ne lui fait pas confiance concernant la religion d’Allâh.
Si un seul savant amène les preuves et que des dizaines de personnes le contredisent en utilisant le
faux, le mensonge et la ruse, on ne les écoute pas.

Nous nous devons d’appliquer cette règle de jarh wa ta’dil lors de tels moments de troubles. Des
dizaines de savants critiquent un homme en ramenant les preuves de ses erreurs, égarements et
troubles, ensuite certaines personnes ne les écoutent pas, prétextant qu’ils n’ont pas vu clairement
la vérité, ceci est une chose qui n’est pas permise.

Dans ce cas, lisons les livres de jarh wa ta’dil et arrêtons- nous à chaque personne critiquée dans
ces livres et disons:

« par Allâh ! La vérité ne m’est pas apparue au sujet de cette personne ! »

Et arrêtons- nous à chaque croyance critiquée et disons:

« par Allâh ! La vérité ne m’est pas apparue ! ».

Cette méthode n’est pas acceptable.

Si deux personnes divergent parmi les salafis et que la preuve est avec l’un d’eux, il est obligé de
se ranger du coté de celui qui a la preuve.

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Source :

http://www.alminhadj.com/modules/xoopsfaq/index.php?cat_id=8

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