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Kiss Youssef, I. (1970). Polymérisation de l'acrylonitrile dans l'ammoniac liquide (Unpublished doctoral dissertation). Université libre de Bruxelles, Faculté
Cette thèse de doctorat a été numérisée par l’Université libre de Bruxelles. L’auteur qui s’opposerait à sa mise en ligne dans DI-fusion est invité à
This Ph.D. thesis has been digitized by Université libre de Bruxelles. The author who would disagree on its online availability in DI-fusion is
PARTIE THEORIQUE
CHAPITRE I : INTRODUCTION
1. Introduction 22
a. L’initiation 22
b. La propagation 22
c. La rupture 22
d. Le transfert 22
2, Nature du centre actif 23
3, Mécanisme et cinétique de la polymérisation 24
4, La polymérisation radicalaire 2R
a. Initiation 23
b. Propagation 27
c. Terminaison 27
d. Longueur cinétique et degré de polymérisation 29
e. Transfert 29
5, Polymérisation cationique 30
a, Initiation 31
b, Propagation 31
c, Rupture 31
6, Polymérisation anionique 32
7, Quelques remarques concernant lapolymérisation anionique 35
A, fîén^ralités 36
1 . Introduction 36
2. Définitions 37
3. Hétérodispersité 38
4. Revue des traitements mathématiques 39
5. Forme des fonctions de distribution 41
B, Détermination expérimentale de 1'hétérodispersité 43
B. Etude du caractère statistique du polymérisat anionique 44
1. Polymère vivant : pas de terminaison 45
a. Initiation instantanée 45
b. Compétition entre initiation et propagation 40
PARTIE EXPERlHEtlTALE
1. Réactifs de synthèse 52
a. Promoteur [Li, Ba) 52
b. Solvant 52
G. Honomère 53
2. Description de l'appareil desynthèse 53
3. Préparation du matériel 54
4. Technique de la polymérisation 55
5. Arrêt de la réaction de polymérisation 56
6. Rendement de la réaction 57
7. Solvants 58
1. Pression osmotique 60
2. Diffusion latérale de la lumière 63
3. Viscosité 66
a. Relations entre [ri] et les dimensions moléculaires 68
b. Cas des polymères ramifiés 70
CHAPITRE VI : RESULTATS EXPERIMENTAUX
1. Osmométrie 75
2. Diffusion latérale de la lumière 81
3. Viscosimétrie 90
BIBLIOGRAPHIE 136
C concentration en g/ml
c constante de distribution
g’ ” " hydrodynamique
K constante d’équilibre
n
K constante de structure dans la relation viscosimétrique de
Mark-Houwink
m ” ” " ’’ consommé
c
M masse molaire du monomère
0
M ” ” "polymère
N nombre de molécules
nombre d’Avogadro
indice de réfraction
polarisibilité
Po
P nombre de greffonspar chaîne
rapport de Rayleight
U l’indice d'hétérodispersité
" du greffage
” d'initiation
" de terminaison
volume hydrodynamique
H
WCx). WCM). WCi) fraction massique
y constante de distribution
Z transformée inverse
c constante diélectrique
e angle d'observation
P rapport de dépolarisation
y constante de distribution
5 bis.
L'acry1 onitrile (AN) est parmi les dérivés vinyliques l’un des
monomères qui polymérise le plus facilement sous l’action de bases
très diverses, comme le naphtalène sodium (1), la benzophinone
sodium (2), le buty 1-lithium (3 à 6), le malonate d’éthyl-sodium
(7-8), les alcoolates alcalins (9 etl0), les hydroxydes d’ammonium
quaternaires (11) et le tétramère disodique de 1’ a-méthy1-styrène
(12) . . .
Toutefois, le mécanisme de la réaction de polymérisation de
l’AN n'est pas convenablement établi par suite des difficultés in
hérentes non seulement à toute polymérisation ionique, mais aussi
à la nature même du monomère.
Peu de solvants du polyacrylonitrile (PAN) sont connus et la
polymérisation procède par conséquent souvent en phase hétérogène j
certaines conditions expérimentales favorisent des réactions secon
daires qui affectent le groupe nitrile telles que la formation de
liaisons cétène-imine, ou de cydes comportant des liaisons ^C=N-
conjuguées responsables de la coloration fréquemment rencontrée.
Si on envisage les nombreux facteurs qui ont une influence
déterminante sur les processus cinétiques, comme la température,
la constante diélectrique du milieu, la nature du promoteur, les
concentrations en promoteur et en monomère, ainsi que la vitesse et
l’ordre d’addition des réactifs, on comprend le manque de concor
dance des résultats des travaux réalisés dans ce domaine.
En outre, les rendements (rdts) ne sont pas toujours quantita
tifs et la plupart dessohémas cinétiques envisagent l'existence de
réactions de transfert de charge au monomère et au solvant.
7. -
Ceci devrait nécessairement conduire à un produit de degré de
polymérisation en nombre plus faible que celui attendu à par
tir des quantités de réactifs mis en jeu (cf. Chapitre II, eq. 17);
or on observe en général le cas inverse {cf. Fig, 1), à savoir un
degré de polymérisation moyen expérimental supérieur au degré de
polymérisation en nombre théorique.
□n a avancé diverses hypothèses qui mettent en cause, soit le
comportement du promoteur, soit la caractérisation du produit final.
□n sait, par exemple, que certains promoteurs, comme le butyl-
lithium peuvent se trouver sous une forme de di-tétra- ou hexamère
[13 à 15) suivant la polarité du milieu de réaction. Ceci modifie
l’ordre apparent de la réaction par rapport au promoteur, mais est
sans effet sur le degré de polymérisation moyen en nombre final
à degré de conversion élevé, pour autant que la réaction d'initia
tion soit complète. Tout au plus, la distribution des masses molai
res s'en trouve-t-elle élargie Ccf, Chapitre III).
Un cas trivial est évidemment la destruction partielle du pro
moteur mis en oeuvre par des impuretés. Il convient néanmoins de
les prendre en considération car, malgré les précautions prises,
elles ne peuvent pas toujours être éliminées (6), notamment dans
le monomère (23),
Par ailleurs, les degrés de polymérisation sont fréquemment
mesurés par viscosimétrie ; or les relations utilisées sont établies
pour des PAN préparés par voie radicalaire dont la morphologie et
la tacticité peuvent être différente de celles des échantillons
anioniques (16 à 21). Précisément, dans les rares cas (12, 22) où
des déterminations comparatives ont été effectuées, les viscosités
anormalement basses vis-à-vis des masses en nombre mesurées,
témoignent d’un degré de ramification élevé. Celui-ci aurait pour
origine l'attaque d'une fonction nitrile (CN) quelconque de la
chaîne par un carbanion
H
H CH„- C ■CH.
© I 2 \
P-CH -CH CH_-C C. ( I-a)
^ I
^ I
P-CH — c
C C
III
N
I
N
CN
FIG.l : Comparaison du degré de polymérisation moyen mesuré par
Osmométrie, viscosimétrie et diffusion de la lumière en fonction du degré de
polymérisation théorique - D.M.F. -
0 - Zilkha.A., Ottolenghi, masse viscosimétrique (3-4), M
X - Miller,M.L., masse viscosimétrique (6), FF ^
A - Rempp et ses col., masse en poids, (12), ^ FT
• - Tsukamoto, masse en nombre, (22), FT .
8. -
Initiation
O
Li ♦ NH„ -> L.i (NH,,), + e®(NH
3 sT 3 i
CH,
Propagation
+ M
i+1
- Terminaison
© ®
Pj Li . NH, Pj + NH^Li
- Réaction secondaire
CH CH CH CH CH CH CH
I CH_ I CH„ I CH. 1 I CH^ 1 CH„ I CH„ l
— CH„-C -CH,,-C ' 2^C
^ I ( t I 2 I ! I I
C C C U C C C
NH®^I" III III III III
2 N N N N N
10. -
CH CH„ CH. CH,
I CHI ^ CH I 3, CH 1 ^
-CH.-C ^^C ^^C ^^C -------
^ ( I I I
c ^ c c c
H^n' N N ^ N
_ m 0,73
X = Ote ( —) (1-1)
" I
O
établie par viscosimétrie.
Ces conclusions sont cependant sujet à caution. En effet, elles
sont basées sur des déterminations viscosimétriques de la masse mo
laire. Les résultats sont donc appréciablement affectés par l'hétéro-
dispersité de l'échantillon étudié. Or une analyse des données expé
rimentales montre précisément une diminution de 1'hétérodispersité
avec l'augmentation de la masse molaire.
□'autre part, la présence éventuelle de molécules ramifiées
que nous avons mises en évidence dans ce type de synthèse n'a pas
été envisagée. Bien que la disparition instantanée de la coloration
atteste la consommation complète du promoteur, les masses molaires
obtenues sont bien supérieures à celles prévues à partir des quan
tités consommées de réactifs.
On peut envisager divers processus responsables d'une augmenta
tion des masses molaires, notamment :
- la dégradation du promoteur par le solvant
- le greffage sur les chaînes polymères déjà formées
- l’association de chaînes.
Examinons brièvement leur implication respective.
1. Dégradation du promoteur
( 1-6 )
O
CN
3. Association de chaînes
Initiation CH CH
/ 3 I
CH„ = C 2K 2NH, CH -CH 2NH2®
2 \ «J ,
C
III
N
CH CH,
© / ^
NH_^ + CH^=C
NH^-CH^-C
C
III
N
- Propagation
+ ri
(I-e)
- Transfert
a) sur le solvant :
b) sur le monomère :
kpm
X
n d-2]
k m + k
trm trs
1. Généralités
2. Solutions concentrées
a. Conductivité
(1-0 )
am am
Suivant cette
hypothèse, les électrons appariés circulent•sur une
O
orbite de 3,0 A de rayon (49).
Ceci n'a pourtant pas trouvé confirmation par mesures aux R.X. et
l'existence d'électrons appariés dans ce domaine de concentration
peut être mise en doute.
Notons, par ailleurs, que x sst une fonction croissante de la
température.
3. Solutions diluées
a. Conductivité
M M ® ♦ e ® (1-2)
a, Modèle de la "cavité"
b. Modèle du "Polaron"
5. Conclusions
CINETIQUE DE LA POLYMERISATION
1. Introduction
a. L*initiation
b. La propagation
c. La rupture
d. Le transfert
Initiation
Ki *
I + M
----- >
Propagation
P" ♦ M I^P pX
----- ► ^2
P + M Jl£^ P*
j-1 ^ j
(Il-g)
- Transfert
M
P* + pî * P.
i X
- Greffage
pX , pX kg
------> r
k y k+ y
- Terminaison
kt
a) linéaire
Crecombinaison]
kt k+y
b] quadratique P" - P"
k y
P, + P Cdismutation)
k y
%
N,B, Ici le centre actif P^ est considéré comme une unité mono
mère même s'il comporte un reste alkyle ou aryle issu de l'initia
tion ou d'un transfert. Pour un degré de polymérisation élevé est
négligeable.
2B, -
Lbs expressions se rapportant au processus global de la poly
mérisation et au degré de polymérisation obtenu, font intervenir
des rapports de constantes de vitesse correspondants aux actes élé
mentaires.
a. Initiation
b. Propagation
P + M P . dl-e}
X x+1
correspond une vitesse
0
vp P m (11-2}
CL
n
X
c. T erminaison
P
y
P + P
X y CII-Ç3
P
x+y
V (11-3}
t
dP O 2
__X
2 f I K P (II-4)
d V X
dt
dP
VI [l - tgh^ (vi K t] CII-5]
dt
1/2
atteint une valeur asymptotique lorsque (vi k^) >> 1 de sorte
que
<< vi (II-6)
dt
dm kd IJ 1/2
- vp kp (2 f m (II-7)
dt kt
2 2
vp ^ _ k P m
CII-10]
vi vt kt vp
ft
vp dt
V = ---------— (11-11)
vi dt
O
X = < V (11-12)
n
e. T ransfert
1 1
—— Z C M (11-13)
X
X X m
n n. O
a. Initiation
b. Propagation
I I (î)
HC-C EY® * C-C ^ . EY (II-k)
I I I I
vp kp P m dI-14]
c. Rupture
I I I
C-C 0 C = C< + E.YH (II-X]
H
I
I I 0 I <
c=c +
• '
C-C^... EY
© ‘
,^C = C < + H-C-C
© EY
©
I 1 I 1 I I
(II-U ]
avec v^ (n-15 )
V P © m (11-16)
t rm
32 . -
En admettant qu'un état stationnaire puisse s’établir (vi=vt)
et que les deux mécanismes de rupture interviennent
+ Ki E.YH m
P (11-17)
k. + K. m
t trm
1+ 6
dm kp ki E.Yf', m
vp (11-18)
dt
k + m
r tr
VD kpm
(11-19)
V + V. k + k. m
r tr r trm
B. Polymérisation anionique
H CN
/^3 I
CH^^CH < CH^^C < = < CH, >C
\
< CH2=CHN02 C CH_=C
\
CN CN CN
33 . -
Suivant l'initiateur utilisé, il conviant de distinguer deux
types de mécanismes d ' initiation. Celui généralement admis pour
tous les métaux alcalins (29, 75], de même que certains dérivés
arylés (1), postule un transfert initial d’électron suivi d'une
dimérisation rapide soit
© e
a) e M ---- M
©
b) M + M __ > M - M®
© (3> ® O
c) e + M - M® —> MM
d) 2 M® - ^M-M®
e) 2
n 2n
A Me + M __ AM ® Me ® (II-Ç)
dl dP±,_
- — = —^ = k I m (II-2Ü)
dt dt ^
~v = k P'm CII-22)
H4- P P
x^ = kÜ (11-25)
avec K = 2 ou 1
suivant qu’il y ait ou non dimérisation.
Ainsi que nous le verrons plus loin, la distribution des masses
molaires est, de plus, très étroite.
35 . -
En cas de compétition, entre l’initiateur et la propagation,
la résolution des équations cinétiques est plus difficile, du
fait qu’un état stationnaire ne peut être valablement postulé.
En outre, on observe fréquemment des transferts d’activité,
soit au monomère :
* 0 + M .O
transfert d’un ion hydrure : C-C -► ^n^C = C< H M
I
H
(II-o)
soit au solvant :
I ’© I I
transfert d’un proton C-C + HS .— C-C H H S® (II-tt)
I I
Ce qui provoque inmanquablement un abaissement du degré de
polymérisation.
I I I I© I I© t IO
^ C-C n C-C C-C • • • C-C M (II-p)
I I c I I c < l I I C
A. GENERALITES
1. Introduction
2. Définitions
M = n X CIII-1 ]
O
où représente la masse molaire du segment monomère.
Dans cette seconde acception, le degré de polymérisation est
traité comme une variable continue, alors que x ne possède que des
valeurs positives et entières. Ceci est tout à fait valable car la
résolution expérimentale de la distribution ne peut distinguer
entre espèces différant d'une unité monomère.
De même f(x) est défini pour D<x<“ alors que D et “ sont tota
lement impossibles.
Nous définirons ci-après les moments de cette distribution et
quelques grandeurs moyennes importantes.
Si on exprime le moment d’ordre r par :
00
= E x^ CIII-2)
x= 1
On voit que
^ 00
Q^=EPx (III-3)
E P
1 ^
Q3/Q2
(III-Sc)
0. x^ P, , dx CIII-B)
CX)
3. Hétérodispersité
(X X (III-8a}
0) n n
( X, X x^}°'^ (III-8b}
(jO Z ü) U)
(III-8c}
'*Z4l"z
39. -
P^ = E P z"^ (III-11)
Z X = -11 ^
G = E x”^ P ou Q, , = P- , X*' dx
r X ^(r) ^0 (x)
(III-12)
suivant que le degré de polymérisation est considéré comme une
variable discrète ou continue. Gn peut ainsi établir la concentra
tion de n'importe quel x-mère sans calculer la concentration de
toutes les espèces qui le précèdent.
41 , -
Note :
n
N X 1 , 2
W r , exp (III-13)
( X ) 1/2 ~2
Y TT Y
avec
X = X exp (2n + 1 ) Y^/4 (III-14)
n m
X = X exp (2n+3) Y^/4 (III-14a)
U) m
Ix
X Y^/4
NI
m
X exp (2n+i+2) y^/4 (III-14C)
m
avGc
X « r (^) r (^) (III-16)
n C c
y s , 1 /o
r (^1^1 / y r (^) CIII-16b)
C c
y B , 1 /o Jb.i-13
r (—) / y r (III-16C)
c c
où n, Y, X
, b{ c et y sont des paramètres de la distribution.
m
Les distributions de La sing et Kramer (85) et de Wesslau (86)
s’obtiennent en posant n égal à 0 et -1 respectivement dans les
équations (III-13-14).
Celles de Schulz C76), Poisson, Tung C87, 88) s’obtiennent en
remplaçant dans (III-15-1B) c=1 avec b>0, m=1 avec b>>1 et m=b+1
avec b>0 respectivement.
La différence essentielle entre les deux formes généralisées
réside dans les relations entre les rapports des différentes gran
deurs moyennes caractérisant 1'hétérodispersité.
Pour l’équation log-normale on a :
(III-17)
X
cü
> (III-18)
X
n
et
|-M
W(M) dM W(M) dM = 1 (III-21)
O O
/•M fi oo
N(M) dM N(M) dM = 1 (III-22)
O O
a. Initiation instantanée
I + N Jli». (Ill-ct)
(0)
conserve le nombre de centres actifs
E P' ( III-23)
dm , „ _x
•JY vp = kpm Z (III-24 }
X" 1
m me -kpl O t ClII-25)
0
E X P' E X P
. X (III-2B)
E P'
X = 1 + _£ (1 - ( III-27)
" I
0
= -Kp m P ^ (III-28 )
1
•
û_
= Kpm (P*_^ - P* ) x> 1 (III-29)
X
9 dP
P
dt
X - 1 CIII-3D)
n
du dx kpm dt (III-31)
n
ÔP
+ P
1
6V
(III-32)
ÔP'
+ P'
x-1
ÔV
X =1 V = 0
n
- x-1 1
N e . V (III-34)
(X) J.
(x-1} !
X
48 . -
la fraction massique
X P' -V X-1
X G
CIII-35)
E X P' ( 1 +V) (X-1 ] î
X Ex N = 1 + V CIII-3B)
n X
-V 2 x-1 2 ^ ^
e ^xv V+3V+1
X = Ex ü) (III-371
(jü X
1+v (x-1)J 1+v
^ü) _ ■*■ 3v * 1
(III-38 )
X^ C1 + V ] ^
V
= 1 + ---------------------- 1 (III-39)
= -ki m I CIII-40]
pour X >1
(III-44)
I g + I (III-45 )
O O
g2 3|(3-2e) (g^ + I
O
In
I
O
) + 31
O
I
O
}
(III-47]
50. -
'o-Q O
X 1-3 (III-48]
n
I
O
(3 In 1
1-2B + CIII-49}
X
n
X
U = - 1 (III-50)
X
n
X
b) 3-28-2(1-8) On/In
^ (1-8) |2-(1-8) IOq/Io + ‘^o^^o ^II^‘51)
X
n n
X
U) 1 (Jj±)2 (III-52)
X xn
n
1 + ^ (-1)^ ( III-53)
( 1+V)'
CHAPITRE IV
TECHNIQUE DE SYNTHESE
1. Réactifs de synthèse
b. SoIvant
^ = 1 + CIII-54)
X X
n n
= g (III-55)
c. Monomère
AN 395 59
MAN 100 43
t|
//—VIDE—►
N - - - - - Jr f
liîÏL
J —
—liif
-A\ m Azote
(îll
F <2) fl!
rrTK"'
I
PP
3. Préparation du matériel
4, Technique de la polymérisation
I
,©
Li NH^Cl C H + NH- + LiCl
4 I 3
ClV-a]
57. -
6. Rendement de la réaction
M rdt
O______
^ n 4-t Uh (IV-1)
I
O
7. Solvants
- DiméthyIformamide D.M.F.
La purification est réalisée selon le procédé suivant :
- Agitation avec 10% en volume de benzène sec
- Distillation azéotropique du benzène à pression ordinaire
- Séchage sur MgSO^ anhydre (300 à 400 °C ) pendant 24 heures
à raison de 25 g/l
- Bidistillation sous 19 mm Hg à 53°5 C
0,80 10,00 80 16
très COloré
R 1 , 62 5,43 300 34
>partiel1ement
C3 1,55 10,00 155 26
\insoluble
G 0,80 7,41 108 17
II
51 3,26 935 69
54 II
2,00 * 1515 91
E II
1,00 3030 100
1 , 32 3,30 435
N 65
II
870 id .
''3
1 , 54 3,30 467
^3 70
II
934
%
1. Pression osmotique
M = RT/Ctt/c] CV-3)
C-+-0
ï. C Z
n (V-4)
n
I c./n,
1 i
Z n
Z . Z, (V-5)
1 J ®ij “i 'J
Technique de mesure
2
Surface effective des membranes : 41,42 + 0,3 cm
Volume du liquide : côté solut. : 6,30 + 0,2 ml
côté solv. : 6,50 + 0,2 ml
Rayon des capillaires
-2 -5
Osmomètre N°2 0^ : 3,171.10 + 3,10.10 cm
-2 -5
3,191.10 + 3,10 cm
"2 =
-2 -5
Osmomètre N°3 0^ : 3,987.10 + 3,10 cm
-2 -5
3,967.10 + 3,10 cm
Assymétrie :
Osmomètre N°2 : -0,20 mm
Osmomètre N°3 : -0,02 mm
62. -
7 5% eau 2 5% acétone
50% eau 50% acétone
25% eau 75% acétone
100% acétone
ensuite
2
(V-8 )
e
I. (1+cos 9)
D
e - 1 = 4 TT NP (V-9)
e = n^ CV-10)
2
2 ir M c
R K C M (V-11)
0 de
K. C 1
---- = + 2 A^C + , . . (V-12)
KC ^ 1
Re M P0
1 16 TT -2 ,2e
+ --------- R sin — (V-14)
P '2
(6] 3X
c->o
I c.
KC
[R,)
le ïï^ sin^ 0/2
C^O c^ el )
3 X ’ 2
"i “l
(V-15 )
1 16ïï
----- ( 1 + --------- <R^> , sin^ 0/21 (V-16)
b L
’ 2
^0 3X
c->-o
2 _J_____
CO s 0 ] (V-18 )
'9 mes ^90 sin 0
ïï = ^
— ------------------- (V-19)
0->o
66 . -
□U
K (V-20)
> dc
3, Viscosité
(V-21 )
n
sp
= [n] + K’ [n]^ 0
c
Les valeurs de a sont comprises entre 0,5 à 0,8 pour des chaînes
fléxibles et linéaires dans un solvant thêta et bon respectivement.
Toutefois des valeurs inférieures à 0,5 sont fréquentes pour des
polymères ramifiés alors que des valeurs supérieures à 0,8 s’obser
vent pour des chaînes rigides.
Lorsque le milieu est hétérodisperse, on obtient une masse vis
cosimétrique moyenne dont la valeur est comprise entre la masse
moyenne en nombre et celle en poids, soit pour une distribution
exponentielle (cf. Chapitre III A-5).
M M
n n Z
S (V-24)
b 1/a
r(b*1^a) b+1 b+2
(■ ■]
r(b + i )
65 . -
W dh n b CV-26]
(V-27 ]
|nl = (V-29)
3/2
,1/2 3
C-^) a (V-3D)
1/2
M
70. -
3 2,43
a = a (V-32)
n
Ceci est confirmé par l’expérience, bien que l’effet ne soit pas
toujours aussi prononcé (111).
Par contre, plus récemment, en confrontant les résultats des
différents laboratoires, des chercheurs de l’Université d’Osaka
(126) ont proposés la relation
3 1 , 95
a a (V-33)
n
g = (V-34)
(V-35)
2 1 2
R R ( 1 + + R (3 (V-3B3
b, 0 s, O b, O
'’ll.O
1/2
g' = g (V-39)
|n|^ = K’ (V-4G)
RESULTATS EXPERIMENTAUX
1. Gsmométrie
Tableau N°3
Détermination de la Pression Osmotique du PAN dans le PriF à 35°C
PAN 47 PAN A
C. 10^ h Tf / c c. 10^ h TT /c
, -1 -1 -1 -1
g. ml ( mm ] atm.ml.g g .ml ( mm ) atm.ml.g
-A -1
( ■'f/c ) ^ = 0,698 atm.ml.g (ir/c) = 0,564 atm.ml.g
c->o ^ C
M = 36.000 M = 45.000
n
-3 3 -7 3 3-2
<
CD
,95.10 cm . g A^ = 0,45.10 cm .g
il
CM
PAN 52 PAN C
-1 -1
( TT /c ) = 0.440 atm.ml.E (ir/c) = 0,284 atm.ml.g
c-*-o c-^o
M = 57.400 ri = 89.400
n n
-2 3 3-2
A^ = 2,79 cm • g A^ = 2,58.10 cm .g
77
Tableau N°4
Détermination de la Pression Osmotlgus du PAN dans la DUF à 35°C
PAN K PAN S
PAN 54 PAN n
PAN Ba I II
0.10^ h •iï/c
g . ml ( mm ) atm.ml.g
PAN Ba I
0.1 0^ h tt/c
g . ml ^ ( mm ] atm.ml.g
Tableau N° 6
Détermination de la Pression Osmotique du PflAN dans le PriF à 35°C
PMAN IV PMAN V
PMAN VI
c. 10^ h 7T/c
g. ml ^ ( mm ) atm.ml.g
16,50 0,770
2,46 19,56 0,787
3,15 27,59 0,801
4,03 39,55 0,897
-1
(ir/c) = 0,748 atm.ml.g
_ c->’o
n = 33,800
n Q Q O
= 0,35.10"^cm.g“^
FIG.6 : Pression osmotique. PAN (Li/NH^) - D.M.F. - 35“C
FIG.7 : Pression osmotique. PAM (Ba/NH^) - D.M.F.- 35“C.
C.10 • g.ml-'
Tableau N°7
C 89 2,58
K 92 1 , 22
PAN Li/NH
O S 1 23 1,01
M 250 1 ,91
52 57 2,80
47 36 0,95
A 45 0,45
54 147 1 , 84
I 88 1 , 64
PAN Ba/NHg II 47 1,25
III 37 2,21
IV 35 1,25
PNAN Ba/NHg V 30 0,61
VI 34 0,35
84. -
Tableau N“6
0
M .1Q"® A A . 10^
0)
3 -2
cm .g
PAN Li/NHg
47 0,93 610 ^ 0
A 1,80 840 2,20
51 3,00 1180 1 , 70
K 3,40 1265 1 , 90
S 4,62 1450 1 , 67
54 5,50 1 500 1 , 60
M 7,20 1820 2,64
PAN Ba/NHg
I 1.46 1090 1 ,76
PMAN Ba/NHg
I 0,100 - 17,2
V 0,055 - 14,6
VI 0,063 17,2
■
Tableau N° 9 PAN N dans le Ü.M.F
Néthode
4
Date M^.IO'^ A^. 10 ^2 1/2 Temp, de Appareil Dilution Dissolution
r' c->o
3 -7 O^ y clarifi
0-^0 cm'^.g °C
A cation
3. Viscosimètrie
PAN 50 PAN H
c. 10^ t c. 10^ t
g. /ml. sec. m. 1,/g g. /ml sec m.1./g
PAN 52 PAN 0
c. 10^ t c. 10^ t
^ C ^ c
g./ml. sec. m 1. /g g./ml. sec. ml. /g
Tableau N°11
PAN 47 PAN A
c. 10^ t n ^ c. 10^ t n n ^
r c r c
g./ml. sec. ml. /g. g./ml. sec. m 1. /g
PAN 51 PAN K
c. 10^ t n ^ c. 10^ t n n ^
r c r c
g./ml, SBC . ml. /g, g./ml. sec. ml. /g.
Tableau N°12
PAN S PAN 54
PAN M PAN E
c. 10^ t nr n c. 10^ t
c V
g./ml, sec. ml. /g. g./ml. sec. ml. /g.
PAN î PAN Ba II
c . 10^ t c. 10^ t n n ^
"r r c
g./ml. sec. ml./g. g. /ml. sec. ml./g,
Tableau N°15
PAN A PAN /
1 ^2
c. 10^ t nr n ^
c
(T. 10^ t
V
g. /ml. sec. ml,/g, g • ^ml. sec. m 1. /g.
PAN Ag PAN A.
4
c. 10^ t nr n ^ c. 10^ t
c V
g./ml. sec. ml,/g. g. /ml. sec. ml./g.
PMAN I PMAN II
0.10^ t n n ^ c. 10^ t n ^
r c r 0
g. /cc sec. ml./g. g. /ce sec. m1./g.
W = 92,26 ml/g
K = 0,30
-
PMAN III PMAN IV
c. 10^ t n ^ c. 10^ t n n ^
r c r c
g. /cc sec. ml. /g. g . /cc sec . ml./g.
solv. 304,1
[n] = 35,0 ml/g
2,16 370,1 1,217 150,5
k = 1,0
3,60 418,9 1,378 105,0
kl 94,22 ml/g
k 0,34
97
Tableau N°17
PMAN V PHAN VI
c. 10^ t n n ^ c. 10^ t
r c
g. /ml sec . ml./g. g. /ml sec. ml./g.
SO 1V . 95, 9 SO 1V . 95,9
4,58 128,4 1,339 74,1 4,74 130,6 1,361 76,3
6,98 147,6 1 , 539 77,2 7,24 149,4 1,558 77,0
8,85 162,1 1,690 78,0 9,17 165,4 1,725 79,1
SO 1V . 304,1 sO 1V . 304,1
2,54 360,1 1,184 72,4 3,05 376,9 1,232 76,0
4,24 401,8 1,320 75,4 5,08 421,8 1.387 76,1
PMAN VII
c. 10^ t ^n
r c
g./ml. sec. m1./g.
solv. 95,9
2,62 106,8 1,114 44,0
O
CO
k =
700
'
0
B g O l-
li^ /
Tableau N°1B
PA N InI k’ PMAN 1 n 1 k ’
ml/g ml/g
X 628 0,42"
41 , 5 (a3 0,43
265 (a) 0,043
^2
PAN Ba
I 148,5 0,40
II 118,7 0,43
III 110,4 0,33
Tableau N°19
Polymérisation de 1'acrylonltrlle dans l'ammoniac à -73°C
Co)
LiNH^ 4,2D 2,46 1710 240 1 5 257
Li 4, D4 2,46 1 640 10 92 3108 391
Ba(NH^]^ 2,4D 6,00 400 1 80 55 220 52
Ba D, 72 3,00 240 10 90 432 83
NH,
e
Li B Li'©
am am
CD
e + CH, = CH (CH„-CH)
am I ^ l
C C
m III (Vll-a)
N N
cS> ©
2(CH,,-CH} CH-CH„-CH,,-CH
2 I I 2 2 I
C C C
(Il III III
N N N
O U
0
c3>
2 CCH„-CH) + 2M CH„-CH-CH,,-CH CH-CH„-CH-CH_-CH-CH_-CH
2 I 2 I 2 I I 2 I 2 I 2 I
C C C C C C C
III l|i III fil III iii ni
N N N N N N N
105. -
2. Le polymère vivant
Tableau N°20
Polymérisation de 1 ' Acrylonitrile en deux stades
Promoteur Ll/NH^ - à ~73‘C
PAN m I m /I rdt
0 0 ^nth
mo1./1. m.mo1./1. ml/g
1 , 32 3,30 a) 395 41 5
65
H
b) 790 b) 1027 265
^2
l'ammoniac liquide
Par contre, pour des valeurs plus élevées du rapport m/I, 1'éta
pe d'initiation est rapide comme en témoigne la décoloration du
milieu réactionnel et le polymère obtenu est blanc et soluble.
Les deux groupes de synthèse que nous avons éffectuées
“ à concentration constante, soit en monomère soit en promoteur -
présentent à cet égard une évolution parallèle ; on remarque con
jointement un accroissement du rendement et des degrés de polyméri
sation en fonction du rapport m/I,
La plupart des produits ont été caractérisés par osmométrie et
diffusion latérale de la lumière. Ils accusent une hétérodispersité
très grande, le rapport étant généralement compris entre 25
et 40 (Tableau 23). On remarque toutefois que ceci est dû aux valeurs
109
H
I
CH^-C-CH„
2 I 2
CH„-C-CH„- C
^ t ^ (VII-Yl
C Z' W
N / \ N^
•CH2 s
CH„ ^ CH,
H/
H 2
/ ■ c
I
C C
/ ©
C ^ N
I
C
III
N
Evolution de l'indice viscosimétrique limite en fonction de
la masse en nombre théorique. PAN (Li/NH3) - D.M.F. 25*C.
Mpth.
■*—>
O)
LOg
O ■
_l
oy
\ ■ '■
3 •
O
J
A w —•------\J V# irr P U I U «i U I I U T
théorique et expérimentale.
115
Tableau N°21
Viscosité Intrinsèque et paramètres des synthèses du PAN
initiées par le lithium, dans l’ammoniac liquide
R (o] 1 , 62 5,43 34 - - -
C3 Co) 1 , 55 10.Q 26 - - -
H 1 . OQ 2,46 43 25,7 - -
C 1 . 63 II
48 96 0,43 89
K 2.39 II
81 285 3,40 92
S 2,63 II
82 306 4,62 123
li 4,04 II
92 391 7,20 250
52 5,42 45 70 0,23 57
47 n
4.06 52 136 0,93 36
A II
3,80 65 202 1,80 45
51 II
3,26 69 253 3,00 147
54 II
2,00 91 360 5, 50 -
E II
1,00 100 528 15,60 -
1 , 54 3,30 60.6
II 70
% 361
-
X
n exp
EchantilIon X n i-U X
th n exp,
n th
PAN Li/NHg
52 5D4 1075 2,13
C 635 1680 2.77
47 776 680 0,88
S 1746 2321 1 , 33
54 2758 2981 1,08
n 3018 4717 1 ,56
PAN Ba/NHg
III 1 36 679 4,99
II 432 887 2,55
I 1879 1660 0,88
PMAN Ba/NHg
V 1 1 5 448 3,90
VI 1 63 507 3,11
IV 433 522 1,21
117
Tableau IM°23
Comparaison entre les degrés de polymérisation théorique»
expérimental, en nombre et en poids
X
n exp ^tü exp
Echantilion
n th ^n exp
X
n th n exp
PAN Li/NHg
52 504 1075 2,13 4,1
C 635 1680 2,77 4,8
47 746 680 0,88 26
A 912 850 0,94 40
K 1 585 1736 1,10 37
S 1746 2321 1,08 38
54 2758 2981 1,08 37
n 3018 471 7 1 ,56 28
PAN Ba/NHg
III 136 679 4,99 26
II 432 887 2,05 27
I 1879 1660 0,88 17
PNAN Ba/NHg
V
en
CD
O
4. Morphologie du polyacrylonitrlla
b+1 M° M
W(M] —..... .. •- ' e n (VII-1)
nb + 1)
n
M
b = --------- 2--------- CVII-2)
ÏÏ - ÏÏ
0) n
Tableau N°24
Paramètres caractéristiques du PAN dans le PUF à 25°C.
ta
Â
r
z:
O
M .10^ k' RLS
n ^ ^ ml . /g .
3
52 57,4 0,23 70 0,52 287 28,0 0,57
C 89,4 0,43 96 0,33 410 25,8 1,55
47 36,0 0,93 136 0,44 610 9.5 0
3,46 0,73
H
2 à 25 M S cinétique 103
n
0,525 0,44 »» 14 à 60 i L 104
2,96 0,74 30 38 à 295 T,f U 105
3,35 0,72 tt
1 6 à 52 M a L 106
Ü)
4,40 0,62 25 36 à 300 M i 0 22
0)
a = polymérisé en solutionaqueuse
s = " " " dansDMF
i = " " phase homogène initiation anionique
m = " "masse
f = polymère fractionné
d = osmomètrie
L = diffusion lumineuse
U = ultra centrifugation
H = polymérisé en mélange CH^OH/H^O C3:ü) à 60“C , redox
T = " " " à -30“C "
s = polymérisée en solution dans carbonate d'éthylène
122.-
__1/9 -7 n';9®
PeeblBS (102) (R'^) = 58,4.10 M ' A (VII-6)
w w
(VII-7)
123
a. Degré de ramification
K
CVII-10)
A M
O
t K Ref .
cgs
25 0,170 26
25 0,150 96
20 0,180 101
35 0,300 1 1 5
30 0,150 105
25 0,300 102
30 0,220 106
25 0,104 qe travail
1
g’ (VII-13J
q’
h
g = ------- -------- (VII-15)
^Z. 1.0
'Z,l.
ou (VII-1B)
O
5,89 A (10S]
g ’ = 0,73 + G,04
(VII-17]
g = 0,8Q + 0,06
1 .4
g’ g (VII-18)
R LS
n .10® Rg(LS) 0
1 n 1 Rg^CLS)^ q ’ a R vise
. E ’ g
i.e n . R .
vise. R vise.
.
0,23 70 106 287 315 0,93 1 , 31 217 1 , 32 0,71 0,83 0,31 0,43 1,05
0,43 96 144 410 440 0,94 1 , 38 295 1 ,39 0,71 0,86 0,29 0,43 1,08
0,93 136 211 610 680 0,90 1,48 450 1,35 0,71 0,81 0,23 0,31 0,95
1 , 80 202 295 840 960 0,90 1 , 55 645 1 , 30 0,76 0,77 0,20 0,26 0.89
3,00 253 381 1 1 80 1315 0,90 1 , 64 830 1 , 42 0,73 0,81 0,17 0.22 0,92
3,40 285 406 1265 1 440 0,90 1 ,65 893 1 ,42 0,76 0,77 0,17 0,21 0,92
4,62 306 473 1450 1675 0,90 1 ,67 1020 1 ,42 0,72 0,80 0,16 0,18 0,83
5,50 360 516 1 500 1 740 0,90 1 , 70 1136 1 , 32 0,77 0,75 0,16 0.18 0,86
7,20 391 591 1820 2060 0,90 1 , 74 11 80 1 ,42 0,73 0,78 0,14 0,18 0,86
15,65 528 870 2780 3250 0,90 1 ,88 1 820 1 , 53 0,67 0,74 0.10 0.11 0,86
27,00 628 1142 4750 5200 0,90 1 , 98 2327 2,04 0,61 0,84 0,076 0,07 1,08
129
130
=|n| M CVII-19]
>
n
n (VII-2D)
M
n
6^/2 Z________
(VII-21)
<t> q
M
ta
n üj (VII-22)
n
Z
3/2
rCb+1+a) .rCb+23
(b+1 ) (VII-23]
r(b+1) rCb+2+2D)
= 0,254 (VII-24)
n
g = g
5. Conclusions générales
BIBLIOGRAPHIE
privée, à paraître
135. Francesconi, Ghechele S coll, ! E.P.J. ^ 273 (1969)
136. A.V. Tobolsky, D.B. Hartlsy i J. Pol. Sci. ^ 15 (1963)
137. H. Kroeplin ! Koll, Z, 47 294 (1929)
LISTE DES FIGURES
Page
1 Comparaison du degré de polymérisation moyen
expérimental et théorique - relevé de la littéra
ture 7bis
B Pressionosmotique-PANLi/NH„ 80