دليلى لتعلم الأوتوكاد 2017

er
1 projet :
Pylône d’éclairage
Source: www.almohandiss.com
I. INTRODUCTION
Notre projet a pour but de s’initier aux calculs des charges dus aux vents sur un pylône
d’éclairage d’un terrain de football en utilisant le NV65
II. GENERALITES
.1/Structure du treilis
Spleine
Le rapport  = est à peu prés égal à 20 % ce qui donne une surface offerte au vent
Stotale
moins important et augments la résistance au vent. En plus c’est une structure légére et
convient bien our les grandes hauteurs
Le structure sera en treillis spatial pour reprendre parfaitement l’effet du vent qui n’a de
direction privilégiée et circule dans tous les sens.
2/ Section transversale du mât
Etant donné que le vent n’a pas de directions privilégiées on choisit une section fermée
triangulaire
C’est une structure géonmétriquement stable et demande moins de main d’œuvre vu qu’on
devra réaliser trois plans de treillis. Elle nécessite moins d’assemblages.Elle présente un Ct
moindre par rapport à la section carrée ce qui diminue l’effet du vent.On concevra un triangle
équilatéral car le vent n’a pas de direction privilégiée.
Remarque
Ct représente le coefficient de traînée et on a la relation
P = Ct q S oferte au vent
3/ Choix de la maile et de sa longueur
 Largeur a
Pour la détermination de la longueur une formule de bonne pratique donne les limites suivantes
. C’est la condition de non flambement général du structure car si a est grand par conséquent la
barre de triangulation est longue ce qui augmente le risque de flambement et la surface offerte
au vent.
h h
1ere condition : < a <
20 10
pour h = 46 m on obtient 2.3 m < a < 4.6 m

2eme condition : a < 3.5 m
Dans le cas contraire les tronçons du structure ne seront pas transportables et tous
les assemblages devront être exécutés sur chantier ce qui augmente les frais de main d’œuvre.
En conclusion on a 2.3 m < a < 3.5 m
Dans notre cas on choisit a = 2.5 m

 Maille
On va etudier V avec montants puisque c’est l’objet de notre travail.C’est une structure
isostatique et ne contient pas de croisement de barres.
 Longueur b
Si b est grande la longueur de flambement augmente. Par contre si b est petite on aura
besoin de plus de barres ce qui engendrera un probléme d’exécution et augmentera l’effet du
vent. b doit être un diviseur de la longueur du tronçon à transporter.
L’effort normal N dans une barre est fonction de 

Si  > 45 ° N devient très grand
Si  < 30° il y aura un probléme de soudage
Les formules de bonne pratique donnent donc les limites suivantes
30° <  < 45 °

b
tan( ) 
2a
approximativement car le triangle n’est pas parfaitement rectangulaire
tan 30° < b/ (2a) < tan 45°
2.8< b < 5
Dans notre cas on a b=4m
4/ Nature des barres
a – Membrures
On utilise des tubes circulaires car ils se comportent bien en traction et en compression et
offrent une bonne résistance au flambement et à la corrosion. L’aérodynamisme de leur forme
ronde leur donne un grand avantage sur les autres profilés en offrant une moindre résistance à
l’écoulement de l’air.
b- Barres de triangulation
Pour les mêmes raisons on utilise des tubes circulaires vu que le probléme de croisement des
barres ne se pose pas.
III. Determination des effets du vent sur le pylone

 direction du vent
Pour le calcul des constructions, on suppose que la direction d'ensemble moyenne du vent est
horizontale.
 pression dynamique et coefficient de pression
L'action élémentaire unitaire exercée par le vent sur une des faces d'un élément de paroi est
donnée par un produit c*q, avec :
 q : désigne la pression dynamique fonction de la vitesse du vent
elle est donnee par la relation suivante

V2
q
13.6
q décanewtons par mètre carré (daN/m²)

V en mètres par seconde
 c : un coefficient de pression fonction des dispositions de la construction
dans notre cas V ext = 39 m/s

 effet de la hauteur au-dessus du sol
Soit qH la pression dynamique agissant à la hauteur H au-dessus du sol exprimée en

mètres, q10 la pression dynamique de base à 10 m de hauteur.
Pour H compris entre 0 et 500 m, le rapport entre qH et q10 est défini par la formule :
qH = q10 h  10 m
h  18
qH = 2.5 q10 10 < h < 500 m
h  60
 effet de masque
Il y a effet de masque lorsqu'une construction est masquée partiellement ou totalement par
d'autres constructions ayant une grande probabilité de durée.
L'effet de masque peut se traduire :
 soit par une aggravation des actions du vent, lorsque la construction située
derrière le masque se trouve dans une zone de turbulent.
 soit par une réduction des actions du vent dans les autres cas.
Dans notre cas le coefficient de masque Km = 1.

 effet des dimensions
Les pressions dynamiques s'exerçant sur les éléments constitutifs d'une construction
doivent être affectées d'un coefficient de réduction  fonction de la plus grande
dimension de la surface offerte au vent
Dans notre cas :
HERSE
Elle est installée à 45m dimension maximale = 5 m
H 
46 0.91
47 0.912
48 0.915
49 0.918
50 0.92
PYLONE
La dimension maximale est de 46 m
H 
0-30 0.74
31 0.746
32 0.752
33 0.758
34 0.764
35 0.77
36 0.776
37 0.782
38 0.788
39 0.794
40 0.8
41 0.81
42 0.82
43 0.83
44 0.84
45 0.85
46 0.86
 actions statiques exercées par le vent

L'action d'ensemble du vent soufflant dans une direction donnée sur une construction, est la
résultante géométrique R de toutes les actions P sur les différentes parois de la construction,.
La direction de cette résultante diffère généralement de celle du vent. Pour certains ensembles
elle peut se décomposer :
° suivant la direction horizontale du vent en une composante T (traînée) produisant un
effet d'entraînement et de renversement : T = ct St qH
° suivant une verticale ascendante en une composante U (portance) produisant un effet
de soulèvement et éventuellement de renversement. U = cu Su qH
St : est l'aire de la projection verticale de la construction (maître-couple)
normale à la direction du vent considérée ;
Su : est l'aire de la projection horizontale de la construction ;
qH : est la pression dynamique au niveau H.
Su
Dans notre cas U est negligeable devant T car 0
St
 actions parallèles à la direction du vent
Pour tenir compte de l'effet des actions parallèles à la direction du vent, les pressions
dynamiques normales servant au calcul de l'action d'ensemble, sont multipliées à chaque niveau
par un coefficient de majoration au moins égal à l'unité. Ce coefficient ‫ ك‬est donné par la
formule    (1   ) dans laquelle :
 coefficient de réponse, est donné en fonction de la période T du mode
fondamental d'oscillation et pour des ouvrages de divers degrés d'amortissement
 coefficient de pulsation, est déterminé à chaque niveau considéré en fonction
de sa cote H au-dessus du sol par l'échelle fonctionnelle de la figure R-III-4.
 coefficient global dépendant du type de construction  = 1 car structure à base
Triangulaire
Calculs :
 La vitesse extreme du vent V ext = 39 m/s
 Ks = 1.35
 Km=1
   1.35
On a T= Ct qH Ks Km Sp 
= Ct qH Ks Km  S 
Posons T’(h)= qH Ks Km S 
 Tracer les efforts tranchants du R dans chaque troncon :

tronçon résultante
herse 2716.6
1 1791.4
2 2608.5
3 2271
4 1973.7
5 1797.7
 Tracer les moments aux nœuds inferieures de chaque troncon :
herse 1 2 3 4 5  résultante
herse 1.01 6.01 16.01 26.01 36.01 46.01 0.3 2716.6
1 0 1.06 11.06 21.06 31.06 41.06 0.12 1791.4
2 0 0 3.13 13.13 23.13 33.13 0.12 2608.5
3 0 0 0 3.1 13.1 23.1 0.12 2271
4 0 0 0 0 3.14 13.14 0.12 1973.7
5 0 0 0 0 0 3 0.12 1797.7
Ct Mt herse Mt tran5 Mt tran4 Mt tran3 Mt tran2 mt tran1

1.4 665.32 3959.03 10546.44 17133.84 23721.25 30308.66
1.904 0 250.48 2613.57 4976.66 7339.75 9702.84
1.904 0 0 1077.01 4517.96 7958.91 11399.8
1.904 0 0 0 928.68 3924.42 6920.17
1.904 0 0 0 0 817.52 3421.08
1.904 0 0 0 0 0 711.42
665.32 4209.51 14237.03 27557.16 43761.88 62464.06
I V . EFFORT INTERNE :
 décomposition de l'action d'ensemble
Au cas où il est nécessaire de répartir l'action d'ensemble suivant les différents plans de treillis,
on multiplie T par les valeurs données dans le tableau suivant
Incidence perpendiculaire à une face

A NAB
y
60
T
60 B
60 x
TBC
C
T
( N AB  N BC )  cos 30  T

Suivant x  N AB  N BC 
 N AB  N BC (symétrie) Suivant y 3
Incidence suivant une bissectrice
(TAB  TAC )  cos 30  Tr Suivant x


TAB sin 30  TAC sin30  0 Suivant y
Pour des raisons de symétrie
Tr
 TAB  TAC 
3
Incidence paralléle à une face
B
Tx Ty

3 3
2  Tx C
3
Ty Tx

3 3
A
Tr
V .Efforts internes dans les barres

L’objectif est de déterminer les efforts internes dûs au vent.
Il existe 2 méthodes :
 graphique : elle devient compliquée vu la hauteur du pylône.
 Analytique ( coupe de Ritter )
on va utiliserla methode de Ritter
 Membrure
 A  C  0
MA MC
M A  N2  a  N2  de même on trouve N1 
a a
 MA
 N 2  a
donc 
N  M C
 1 a
 Diagonale :
F x  0  N 3 cos   T
T
N3 
cos 
 Les montants
Si on note Nm l’effort normal dans les montants, et vu que l’effort tranchant dans la
structure est pris par les montants, on a :
N m  T
Remarques:
Comme la hauteur de point A est un peu grande à celle de point C.
Donc M C  M A , vue que cette différence de la hauteur n’est pas assez importante, et pour des
raisons pratiques on prend M A  M C .
Récapitulation
Membrure:
MA
N1  N 2 
a
Diagonale:
T
N3 
cos 
V. EFFORTS INTERNES DANS LES BARRES

Soient:
Mg:le moment fléchissant pondéré dû aux pressions du vent sur le mât du pylône.
T:L'effort tranchant pondéré dû aux pressions du vent sur le mât du pylône.
N: L'effort normal dû au poids propre de la herse et au poids propre du mât du pylône
 Compression
On adoptera la convention de signe de R.D.M. 
 Traction
Mh : Le moment fléchissant pondéré dû aux pressions du vent sur la herse.
Th : L’effort tranchant pondéré dû aux pressions du vent sur la herse.
L’effort normal est repris à parts égales par les trois membrures, étant donné que le
problème est symétrique.
 Efforts dans les membrures :
1. Incidence normale à une face :
La herse
B  Mg Mh
 N  N  (  )
a  3 ah
A B


 N  ( 2  M g  M h )
T
C
 C a  3 ah

A
2. Incidence suivant une bissectrice :

La herse
 Mg M
A  N A  N C  (  h)
 ag  3 a

 N  ( 2  M g  M h )
B T  B ag  3 a

C
3. Incidence parallèle à une face :
B
Tx Ty   Mx M y Mh 
  N A     
3 3   a 3 a ah 
  Mx M y Mh 

2  Tx C N B     
  a 3 a ah 
3   
Ty Tx  N C   2  M x   M h 
 
  a 3  ah 
3 3
A
 Efforts dans les diagonales :

1. Incidence normale à une face :
 T T 
N 3    h 
 Cos  3 Cos 
2. Incidence suivant une bissectrice :
 T T 
N 3    h 
 Cos  3 Cos 
3. Incidence parallèle à une face :

On va distinguer 3 cas : Diagonales appartenant au plan AB, au plan BC ou au plan
AC, la plus grande c’est la plus défavorable, donc on va prendre :
 Tx Ty Th  
    

  cos  . 3 3  cos  cos  ; 

N 3  sup  
 2  Ty Th  
  3. cos   cos  
  
  
 Efforts dans les montants:

1) Incidence normale à une face
 T 
Nm    Th 
 3 
2) Incidence suivant une bissectrice
 T 
Nm    Th 
 3 
3) Incidence parallèle à une face
 2Tx
 N AB    Th
 3
 T Tx
Nm  sup N CB  ( y  )  Th
 3 3
 Ty Tx
 N CA   (  )  Th
 3 3
ème
2 projet :
Pont en treillis
1. Calcul des efforts internes

Pour déterminer les efforts aux nœuds on va utiliser la méthode de Ritter qui consiste a
étudier l’équilibre des oueds :
1 2 3 4 5 6 7
12 11 10 9 8
D’après la symétrie de la structure on va étudier seulement la moitié :
a) Equilibre du Nœud 1 :
 N1,2 = 25/tg(α)
 N1,12 = -25/sin(α)
b) Equilibre du Nœud 12 :
 N12,11 = -25/tg(α)
 N12,2 = 25
c) Equilibre du Nœud 2 :
 N2,11 = -15/sin(α)
 N2,3 = 40/tg(α)
d) Equilibre du Nœud 11 :
1.5m
 N11,10 = -40/tg(α)
 N11,3 = 15
e) Equilibre du Nœud 3 :
 N3,4 = 45/tg(α)
 N3,10 = -5/sin(α)
f) Equilibre du Nœud 4 :
 N4,5 = 45/tg(α)
 N4,10 = 10
Remarques :
 Si l’effort dans la barres est une compression alors on lui attribut le signe
moins
Tableau récapitulatif :
Tableau 1 (efforts internes dans les barres)

Noeuds 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12
1 41.67 -48.67
2 41.67 66.67 -29.15 25
3 66.67 87.46 -8.33 15
4 87.46 27 10
5 27 66.67 15 -8.33
6 66.67 41.67 25 -29.15
7 41.67 -48.67
8 25 -48.67 -41.67
9 15 -29.15 -41.67 -66.67
10 -8.33 10 -8.33 -66.67 -66.67
11 -29.15 15 -66.67 -41.67
Choix de la solution
On a un treillis fortement sollicité donc on va adopter des sections transversales en double
T, c'est-à-dire en H.
Dimensionnements des barres :

a. Partie supérieure :
Vu l’état de charges appliquées à notre structure de pont, la membrure supérieure est tendue.
Donc d’après le dimensionnement en traction on a :
 Nmax =87.47t=87470 daN
 e = 24 daN/mm2
En faisant travailler l’acier au maximum, il faut :
  = Nmax /nette = e
D’où
 nette = 3644.58 mm2
Pour
 brute = nette/0.85
Ce qui donne une valeur de
 brute = 4287.75 mm2
D’après le catalogue des profilés on prend le profilé HE 140 B dont les caractéristiques sont
mentionnées dans le schéma ci-dessous :
tw = 7mm
tf = 12mm
=4296 mm2
h=140 mm
b = 140mm
Le choix du profilé a déjà pris en considération les épaisseurs minimales de corrosion

5mm <emin < 6mm (conditions de bonne pratique)
b. Partie inférieure :
La partie inférieure subit une compression, elle sera dimensionnée suivant la condition de
résistance et de stabilité :
 Dimensionnement suivant la condition de résistance :
En compression, on prend comme valeur de section pour le dimensionnement la section

totale brute les calculs sont comme suit :
 Nmax =66.67t=66670 daN
 e = 24 daN/mm2
Pour faire travailler l’acier au maximum, il faut :

  = Nmax /brute = e
D’où
 brute= 2777.92 mm2
D’après le catalogue des profilés on prend le profilé HE 160 A dont les caractéristiques sont
tw =6mm
tf =9mm
h =152mm
= 3877 mm2
b =160mm

 Dimensionnement suivant la stabilité de forme :

On a :
 Lf = 2.5 m
EI 1
 Ωcr  π 2 . .  44.02 daN
Lf Ω mm 2
 σ e  24 daN mm 2
 σ   
2
σ 
 K   0.5  0.65 e     0.5  0.65 σ e   e   1.31
 σ cr    σ cr  σ cr 

N max
 σ  17.2 daN mm 2
Ω
 kσ  22.53  σ e , ainsi la condition est vérifiée pour cette section.
c. Partie montant :
Vue l’état de charges appliqué à notre structure de pont, cette partie est tendue et donc d’après
le dimensionnement en traction on a :
 Nmax =25t=25000 daN
 e = 24 daN/mm2
Donc pour faire travailler l’acier au maximum, il faut :
  = Nmax /nette = e
D’où
 nette = 1041.67 mm2
Pour
 brute = nette/0.85
Ce qui donne une valeur de
 brute = 1225.49 mm2

tw=5mm
tf=8mm
h= 96mm = 2124mm2
b= 100mm

d. Partie diagonale :
La partie diagonale subit une compression, elle sera dimensionnée suivant la condition de
résistance et de stabilité :
 Dimensionnement suivant la condition de résistance :

En compression on prend comme valeur de section pour le dimensionnement la section totale
brute les calculs sont comme suit :
 Nmax =48.67t=48670 daN
 e = 24 daN/mm2
Donc pour faire travailler l’acier au maximum, il faut :
  = Nmax /brute = e
D’où
 brute= 2027.92 mm2
tw =5mm
tf =8mm
h =96mm
= 2124 mm2
b =100mm

 dimensionnement suivant la stabilité de forme :

On a :
 Lf = 2.5 m
EI 1
 Ωcr  π 2 . .  25.96 daN
Lf Ω mm 2
 σ e  24 daN mm 2
 σ   
2
σ 
 K   0.5  0.65 e     0.5  0.65 σ e   e   1.64
 σ cr    σ cr  σ cr 

N max
 σ  11.77 daN mm 2 kσ  19.3  σ e (**)
Ω
Ainsi la condition (**) est vérifié pour la section considérée.
Remarque :
On constate que la vérification de la condition () nous parait comme s’il y a un
surdimensionnement de la section transversale, mais ça est du au fait que les sections des
profilés présentés au niveau des catalogues sont supérieures à celle calculée dans notre
exemple.
Assemblage du nœud 10
Partie Inférieure
 assemblage par boulonnage :
 Choix diamètre :
D= 16 mm (vérifie les conditions sur le diamètre)
 Epaisseur totale des pièces assemblées :
 e  4.d Vérifiée
 Dispositif des boulons :
δ = 40 mm , δl =24 mm & δt=24 mm
 résistance:
Section résistante : Ar = 157 mm2
 nombre des boulons: n = 26 boulons (13 boulons par moitié de la semelle)
→ Disposition non constructive, on va adopter la soudure.
 assemblage par soudure :

on va adopter le soudage par deux cordons longitudinaux
 la gorge a1 = a2 = 6 mm
 longueur L1 = L2 = 33.1 mm
Partie diagonale

δ = 25 mm , δl =15 mm & δt=15 mm
 résistance:
 nombre des boulons: n = 10 boulons (5 boulons par moitié de la semelle & deux
files)
Partie montant

δ = 25 mm , δl =15 mm & δt=15 mm
 résistance:
 nombre des boulons: n = 10 boulons (5 boulons par moitié de la semelle & deux
files)
Schéma d’assemblage :
Assemblage par boulonnage
Assemblage par soudage

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2/ Section transversale du mât

3/ Choix de la maile et de sa longueur

pour h = 46 m on obtient 2.3 m < a < 4.6 m

Dans notre cas on choisit a = 2.5 m

L’effort normal N dans une barre est fonction de 

30° <  < 45 °

4/ Nature des barres

III. Determination des effets du vent sur le pylone

elle est donnee par la relation suivante

q décanewtons par mètre carré (daN/m²)

 c : un coefficient de pression fonction des dispositions de la construction

dans notre cas V ext = 39 m/s

Soit qH la pression dynamique agissant à la hauteur H au-dessus du sol exprimée en

Dans notre cas le coefficient de masque Km = 1.

Dans notre cas :

 actions statiques exercées par le vent

 actions parallèles à la direction du vent

 Tracer les efforts tranchants du R dans chaque troncon :

 Tracer les moments aux nœuds inferieures de chaque troncon :

Ct Mt herse Mt tran5 Mt tran4 Mt tran3 Mt tran2 mt tran1

Incidence perpendiculaire à une face

(TAB  TAC )  cos 30  Tr Suivant x

Pour des raisons de symétrie

V .Efforts internes dans les barres

V. EFFORTS INTERNES DANS LES BARRES

 Efforts dans les membrures :

1. Incidence normale à une face :

2. Incidence suivant une bissectrice :

3. Incidence parallèle à une face :

 Efforts dans les diagonales :

2. Incidence suivant une bissectrice :

3. Incidence parallèle à une face :

 Efforts dans les montants:

2) Incidence suivant une bissectrice

3) Incidence parallèle à une face

1. Calcul des efforts internes

D’après la symétrie de la structure on va étudier seulement la moitié :

Tableau 1 (efforts internes dans les barres)

11 -29.15 15 -66.67 -41.67

Dimensionnements des barres :

Le choix du profilé a déjà pris en considération les épaisseurs minimales de corrosion

 Dimensionnement suivant la condition de résistance :

En compression, on prend comme valeur de section pour le dimensionnement la section

Pour faire travailler l’acier au maximum, il faut :

Le choix du profilé a déjà pris en considération les épaisseurs minimales de corrosion

 Dimensionnement suivant la stabilité de forme :

 brute = 1225.49 mm2

Le choix du profilé a déjà pris en considération les épaisseurs minimales de corrosion

 Dimensionnement suivant la condition de résistance :

Le choix du profilé a déjà pris en considération les épaisseurs minimales de corrosion

 dimensionnement suivant la stabilité de forme :

 assemblage par soudure :

 assemblage par boulonnage :

 assemblage par boulonnage :

Assemblage par boulonnage

Assemblage par soudage

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