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ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
UNIVERSITE «Abbés LAGHROUR» DE KHENCHELA
FACULTE DES SCIENCES ET DE TECHNOLOGIE
N° de série :……
Membres de jury :
- ABOUDI Abdelaziz Encadreur
- CHEHAOUI Oualid Président Dirigé par : Dr. ABOUDI Abdelaziz
- MEDDOUR Belkacem Examinateur
Présenté le 10/06/2018
Résume Abstract ﻣﻠﺧص
Résume
Avec le développement dans les industries mécaniques est devenu machines de besoin
humain pour assurer sa vitesse dans la production et vérifier son efficacité et le profit et lui
donner le temps de parler ici des machines de fabrication traditionnelles, en particulier le tour
et le fraise, qui coûte maintenant les pertes humaines de temps, d'argent et d'effort musculaire
ici recours humain à l'innovation avec des machines à commande numérique automatique
Dans ce travail, nous montrons comment ces machines fonctionnent et dans quelle mesure les
exigences de l'usine mentionnées ci-dessus sont remplies.
Au début, nous parlons de ces machines en général et de leurs avantages, puis racontons
certains des développements qui ont eu lieu à travers l'histoire à partir des machines
classiques au point d'aujourd'hui.
Puis nous expliquons comment cela fonctionne et les codes de programmation sur lesquels il
est basé sur la sélection d'un modèle pour une pièce et son travail de conception et de
simulation, puis nous le faisons d'abord avec le tour traditionnel puis avec un tour numérique.
Abstract
With the development of mechanical industries, the man needs machines to ensure his speed
in production and achieve efficiency and profit and provide him with time and talk here on the
traditional manufacturing machinery, especially turn and milling, which cost the cost of
wasting time and money and muscle effort and here resorted to the creation of automated
machines with numerical control.
In this work we show how these machines work and to what extent the requirements of the
plant mentioned above are met.
At first we talk about these machines in general and their advantages and then recount some
of the developments that took place through history from the classic machines to the point of
today.
Then we explain how it works and the programming codes on which it is based on the
selection of a model for a piece and its design and simulation work, then we make it first with
the traditional lathe and then using numerical control lathe to compare them.
ﻣﻠﺨﺺ
ﻣﻊ اﻟﺘﻄﻮر ﻓﻲ اﻟﺼﻨﺎﻋﺎت اﻟﻤﯿﻜﺎﻧﯿﻜﯿﺔ اﺻﺒﺢ اﻻﻧﺴﺎن ﺑﺤﺎﺟﺔ اﻟﻰ اﻻت ﺗﻀﻤﻦ ﻟﮫ اﻟﺴﺮﻋﺔ ﻓﻲ اﻻﻧﺘﺎج وﺗﺤﻘﻖ ﻟﮫ اﻟﻜﻔﺎءة
واﻟﺮﺑﺢ وﺗﻮﻓﺮ ﻟﮫ اﻟﻮﻗﺖ واﻟﺤﺪﯾﺚ ھﻨﺎ ﻋﻦ اﻻت اﻟﺘﺼﻨﯿﻊ اﻟﺘﻘﻠﯿﺪﯾﺔ ﺧﺎﺻﺔ اﻟﻤﺨﺮطﺔ واﻟﻤﻔﺮزة اﻟﺘﻲ ﺑﺎﺗﺖ ﺗﻜﻠﻒ اﻻﻧﺴﺎن ﺿﯿﺎع
.اﻟﻮﻗﺖ واﻟﻤﺎل واﻟﺠﮭﺪ اﻟﻌﻀﻠﻲ وھﻨﺎ ﻟﺠﺄ اﻻﻧﺴﺎن اﻟﻰ اﺑﺘﻜﺎر اﻻت ﻣﺆﺗﻤﺘﺔ ذات ﺗﺤﻜﻢ ﻋﺪدي
.ﻓﻲ ھﺬا اﻟﻌﻤﻞ ﻧﻌﺮض ﻛﯿﻔﯿﺔ ﻋﻤﻞ ھﺬه اﻻﻻت واﻟﻰ اي ﻣﺪى ﺗﺤﻘﻖ ﻣﺘﻄﻠﺒﺎت اﻟﻤﺼﻨﻊ اﻟﻤﺬﻛﻮرة ﺳﺎﺑﻘﺎ
ﻓﻲ اﻟﺒﺪاﯾﺔ ﻧﺘﺤﺪث ﻋﻦ ھﺬه اﻻﻻت ﺑﺸﻜﻞ ﻋﺎم وﻣﺰاﯾﺎھﺎ ﺛﻢ ﻧﺴﺮد ﺑﻌﺾ اﻟﺘﻄﻮرات اﻟﺘﻲ ﺣﺼﻠﺖ ﻋﺒﺮ اﻟﺘﺎرﯾﺦ اﻧﻄﻼﻗﺎ ﻣﻦ
.اﻻﻻت اﻟﻜﻼﺳﯿﻜﯿﺔ وﺻﻮﻻ اﻟﻰ ﻣﺎﻧﺤﻦ ﻋﻠﯿﮫ اﻟﯿﻮم
ﺑﻌﺪ ذﻟﻚ ﻧﺸﺮح ﻛﯿﻔﯿﺔ ﻋﻤﻠﮭﺎ ورﻣﻮز اﻟﺒﺮﻣﺠﺔ اﻟﺘﻲ ﺗﻘﻮم ﻋﻠﯿﮭﺎ ﻣﻊ اﺧﺘﯿﺎر ﻧﻤﻮذج ﻟﻘﻄﻌﺔ وﺗﺼﻤﯿﻤﮭﺎ وﻋﻤﻞ ﻣﺤﺎﻛﺎة ﻟﮭﺎ ﺛﻢ ﻧﻘﻮم
.ﺑﺼﻨﻌﮭﺎ اوﻻ ﺑﺎﻟﻤﺨﺮطﺔ اﻟﺘﻘﻠﯿﺪﯾﺔ ﺛﻢ ﺑﺎﺳﺘﻌﻤﺎل اﻟﻤﺨﺮطﺔ ذات اﻟﺘﺤﻜﻢ اﻟﻌﺪدي ﻟﻌﻤﻞ ﻣﻘﺎرﻧﺔ ﺑﯿﻨﮭﻤﺎ
Remerciement
Nous remercions en premier lieu ALLAH le tout puissant de nous avoir donné la santé et le
pouvoir d’accomplir ce modeste travail.
Nous remercions nos parents pour leur patience, leurs encouragements et leur soutien.
Nos remerciements vont à Mr. ABBOUDI ABDELAZIZ d’avoir accepté de nous encadrer,
pour ces précieux conseils et sa disponibilité.
Nous tenons, aussi, à remercier les membres du jury de nous faire l’honneur de lire et
d’évaluer ce travail.
Nous remercions également tout le staff administratif du lycée «DJEBAILI MOUHAMED
SALAH », ou on est fait notre stage pratique, et nous tenons à remercier tout particulièrement
« Mr. Le Directeur du lycée DJEBAILI MOHAMED SALAH : YAMLOLI
ABDELWAHAB » pour son accueil et la mettre en service durant toute la période du stage
pour la réalisation du propre travail, et « Mr. LOUBAZDA FARID » a ses remarques, aides
et leurs orientations.
En fin nous remercions tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à la réalisation du cette
mémoire.
Bedlaoui Allal
Elkebsi Ibrahim
Dédicaces
A mes parents.
A tout ma famille.
Je dédie ce
mémoire.
Allal
Dédicaces
A mes parents.
A tout ma famille.
Je dédie ce
mémoire.
IBRAHIM
Liste des figures
Chapitre I : Historique
Figure I.1. première machine à commande numérique. 3
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
Figure.II.1. domaine d'utilisation des aciers 7
Chapitre III : les programmes machines
Figure.III.1. Structure d’un programme d’usinage avec l’organisation d’un 18
bloc.
Figure III.2. Repère de programmation. 22
Figure III.3. Les correcteurs. 25
Figure III.4. l’intersection du plan de jauge et de l’axe du cône de centrage 36
pour les outils de fraisage.
Figure III.5. l’intersection de la face avant de la tourelle porte-outils et de 37
l’axe du porte-outil pour les outils de tournage.
Figure III.6. l’intervenir de la correction dynamique d’outil. 38
Chapitre IV : la machine utilisé et le programme
Figure IV.1. Emco Concept Turn 55. 39
Figure IV.2. Description de la machine. 40
Figure IV.3. EMCO CAM Concept 41
Figure IV.4. Interface de CAM concept 43
Figure.IV.5. fenetre principale 43
Figure IV.6. Organisation de l'écran de CAO 44
Figure IV.7. Organisation de l'écran de FAO 45
Figure IV.8. Dessin d'une ligne 46
Figures IV.9. les différentes étapes de dessin 49
Figure IV.10. miroir de conteur 49
Figures IV.11. chanfrein 50
Figure IV.12. Table machine 50
Figure IV.13. mesure les outils 51
Figure IV.14. Définir Pièce non usinée 52
Figure IV.15. sélectionné le conteur 52
Figure IV.16. tournage de conteur 54
Figure IV.17. cycle de rainure 55
Figure IV.18. cycle de filetage 56
Figure IV.19. les étapes d’usinage 57
Figure IV.20. cycle ISO Edit 58
Figure IV.21. export CN 58
Figure IV.22. Les différentes étapes de simulation 64
Liste des tableaux
II.1. Introduction 5
II.2. Définition de l’acier 5
II.3. Classification des aciers 6
II.4. Désignation des aciers alliés : 7
II.4.1. Définition : 7
II.4.2. Leur action sur la formation de l'austénite 9
II.4.3. Leur action sur la formation de carbures complexes 9
II.5. Désignation des aciers non alliés : 11
III.1. Introduction : 17
III.2. Structure générale du langage : 17
III.3. Programmation : 17
III.3.1. Codification des instructions : 18
III.3.2. Le contexte de la programmation : 20
III.3.3. Le Programme : 20
III.3.4. Structure d’un programme : 20
III.4. Les différentes origines des MOCN : 24
III.4.1. Origine machine Om : 24
III.4.2. Origine Programme OP : 24
III.4.3. Origine outil Oo : 24
III.4.4. Origine mesure Om : 24
III.5. Principe de programmation des déplacements 24
III.5.1. Axe de machine-outil : 25
III.5.2. Méthodes de choix des repères : 25
III.6. Programmation des déplacements : 25
III.6.1. La géométrie de la Pièce : 26
III.7. Les principales fonctions : 26
III.7.1. Les fonctions préparatoires, instructions G : 26
III.7.2. Les fonctions auxiliaires normalisées M : 33
III.7.3. Les autres fonctions 35
III.8. La correction d’outil : 36
III.8.1. Correction de longueur : 36
III.8.2. Correction de rayon : 37
III.9. Conclusion : 38
Chapitre IV : la machine utilisé et le programme 39
IV.1. Introduction 39
IV.2. La machine utilisée (Emco Concept TURN 55) : 39
IV.3. Description de logiciel Emco Easy Cycle 40
IV.4. Description du logiciel EMCO CAM Concept Tournage 41
IV.4.1. Didacticiel de CAM Concept 41
IV.4.2. Fonctionnalités de CAM Concept 42
IV.4.3. Connaissances préalables 42
IV.4.4. Objectifs 42
IV.4.5. Démarrage de CAM concept 43
IV.4.6. Organisation de l'écran de CAO 44
IV.4.7. Organisation de l'écran de FAO (cycles) 45
IV.5. Les différentes étapes de dessin de la pièce 46
IV.5.1. Définition de l’origine 46
IV.5.2. Dessin d'une ligne 46
IV.5.3. Activer / désactiver le retournement en miroir du contour 49
IV.6. Mode FAO 50
IV.6.1. Réglages 50
IV.6.2. Machine 50
IV.6.3. Mesure d'outil 51
IV.6.4. Pièce non usinée 52
IV.6.5. Un contour 52
IV.7. Les Cycle 53
IV.7.1. Les différents cycles de programmation 53
IV.7.2. Tournage de conteur (Chariotage) 53
IV.7.3. Cycle de rainure 54
IV.7.4. Cycle de filetage 55
IV.8. Les différentes étapes d’usinage 56
IV.9. Programmation du code de la norme (DIN/ISO) 58
IV.9.1. Iso Edit 58
IV.9.2. Export CN 58
IV.10. Simulation de la pièce par Logiciel EMCO EASY CYCLE 62
IV.10.1. Machine 63
IV.10.2. Alarmes 63
IV.10.3. NC-Start 63
IV.10.4. NC-Reset 63
IV.10.5. NC-Stop 63
IV.10.6 Séquence par séquence Marche/Arrêt 64
Chapitre V : la gamme d’usinage classique et gamme
d’usinage par MCN 65
V.1. Etude de Gamme d’usinage et Contrat de phase classique 65
V.2. Etude de Gamme d’usinage et Contrat de phase par MCN 68
V.3. Conclusion et perspective 69
Conclusion générale 70
Référence 71
Annexe 72
Introduction Générale
Introduction générale
Introduction générale
La commande numérique (CN) est une technique utilisant des données composées de
codes alphanumériques pour représenter les instructions géométriques et technologiques
nécessaires à la conduite d'une machine ou d'un procédé.
C'est également une méthode d'automatisation des fonctions des machines ayant pour
caractéristique principale une très grande facilité d'adaptation à des travaux différents. A ce
titre, la commande numérique constitue l'un des meilleurs exemples de pénétration du
traitement de l'information dans les activités de production.
Après une première génération de commandes numériques à logique câblée sont apparues les
commandes numériques par calculateur (CNC). Ou par ordinateur, qui intègrent un ou plusieurs
ordinateurs spécifiques pour réaliser tout ou partie des fonctions de commande.
1
Introduction générale
CATIA est actuellement l'un des logiciels de CAO, les plus utilisés pour établir les DFN dans
les domaines de l'automobile et de l'aéronautique.
Sur ces définitions doivent ensuite être calculés des parcours d'outil au moyen de logiciels de
FAO (Fabrication assistée par ordinateur). Ces parcours sont alors traduits par un logiciel dit «
post-processeur » (généralement adossé au logiciel de FAO) dans un langage compréhensible
par la « commande numérique » et appelé : langage de programmation. On parle de
programmation de commande numérique. En usinage, ce langage de programmation obéit, pour
une part, à la norme ISO 6983 (RS274D, 1980). Il existe cependant d'autres standardisations
plus récentes (par exemple STEP-NC).[2]
2
CHAPITRE
Historique
I
Chapitre I: Historique
Chapitre I : Historique
Les travaux menés par Falcon et Jacquard à la fin du XVIIIe siècle ont montré qu'il était
possible de commander les mouvements d'une machine à partir d'informations transmises par
un carton perforé. Leur métier à tisser de 1805 fut le premier équipement à être doté de cette
technique et, de ce point de vue il peut être considéré comme l'ancêtre de la commande
numérique. [13]
Il faut cependant rattacher l'exploitation industrielle de la CN au développement de
l'électronique.
En 1947, à Traverse City dans l'État du Michigan, John Parsons fabrique pour le compte de
l'US Air Force des pales d'hélicoptère par reproduction. Pour façonner ses gabarits, il utilise
une méthode consistant à percer plusieurs centaines de trous faiblement espacés de manière à
approcher le profil théorique. L'emplacement et la profondeur de chaque trou sont calculés
avec précision par un ordinateur IBM à cartes perforées. La finition à de la surface est obtenue
par des opérations manuelles de polissage
Mais, lorsque l'US Air Force confie à ce même Parsons la réalisation de pièces de formes
encore plus complexes pour ses futurs avions supersoniques, celui-ci réalise que sa méthode
est trop approximative et que seul un usinage continu en 3 dimensions sera en mesure de
donner satisfaction. [13]
Au printemps 1949, il confie alors au Massachusetts Institute of Technology (MIT) le soin
de développer des asservissements capables de piloter une machine qui recevra des
instructions intermittentes à partir d'un lecteur de cartes. [1]
Cette machine, une fraiseuse prototype Cincinnati à broche verticale (figure I.1), conçue pour
exécuter des déplacements simultanés suivant 3 axes, est officiellement présentée en
3
Chapitre I: Historique
4
CHAPITRE
Choix de matière II
(Aciers)
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
II.1. Introduction
L'acier est un alliage à base de fer additionné d'un faible pourcentage de carbone (de 0,008
à environ 2,14 % en masse). La teneur en carbone a une influence considérable (et assez
complexe) sur les propriétés de l'acier : en deçà de 0,008 %, l'alliage est plutôt malléable et on
parle de " fer " ; au-delà de 2,14 %, les inclusions de carbone sous forme graphite fragilisent la
microstructure et on parle de fonte. Entre ces deux valeurs, l'augmentation de la teneur en
carbone a tendance à améliorer la résistance mécanique et la dureté de l'alliage ; on parle d'aciers
" doux, mi- doux, mi-durs, durs ou extra-durs " (classification traditionnelle).On modifie
également les propriétés des aciers en ajoutant d'autres éléments, principalement métalliques,
et on parle d'aciers alliés. De plus, on peut encore améliorer grandement leurs caractéristiques
par des traitements thermiques (notamment les trempes) prenant en surface ou à cœur de la
matière ; on parle alors d'aciers traités. Outre ces diverses potentialités, et comparativement aux
autres alliages métalliques, l'intérêt majeur des aciers réside d'une part dans le cumul de valeurs
élevées dans les propriétés mécaniques fondamentales :
Dureté
L'acier est un alliage métallique utilisé dans les domaines de la construction métallique, et de
la construction mécanique.
L'acier est constitué d’au moins deux éléments, le fer, très majoritaire, et le carbone, dans des
proportions comprises entre 0,02 % et 2 % en masse.
C'est essentiellement la teneur en carbone qui confère à l’alliage les propriétés du métal qu’on
appelle « acier ». Il existe d’autres métaux à base de fer qui ne sont pas des aciers comme les
fontes et les ferronickels. [14]
5
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
Actuellement, dans l'industrie on trouve un très grand nombre de métaux et alliages, chacun
selon sa propre spécificité. La désignation des matériaux métallique a pour objet de rassembler
sous la forme la plus simple possible l'ensemble des renseignements et caractéristiques des
nuances :
IL est clair qu'une caractérisation complète serait très chargée, mais en pratique selon nature et
l'usage des matériaux, on s'intéresse plus ou moins à telles ou telles propriétés qu'a d'autres, d'où
des désignations normalisées prenant en compte tels ou tels aspects, ce qui laisse un domaine
d'utilisation très varié.
D'autres part chaque pays et parfois même chaque catégorie d'utilisateur à l'intérieur d'un pays a
tendance d'avoir ses propres codes, d'où une très grande diversité de désignation vu le grand
nombre de variétés des matériaux métalliques
6
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
II.4.1. Définition :
Ces types d'aciers sont obtenus par l’addition volontaire d'éléments d'alliage. Ce sont des
aciers contenant, outre le fer et le carbone un ou plusieurs éléments destinés à améliorer leurs
propriétés mécaniques.
Ce sont des aciers de grande pureté. Leur élaboration s'effectue dans le four Martin, le four
électrique ou le creuset.
7
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
Les principaux éléments d'alliages et leurs symboles normalisés sont présentés dans le tableau
ci-dessous avec le coefficient de teneur de chaque élément. [7]
Aluminium Al A ×10
Chrome Cr C ×4
Cobalt Co K ×4
Cuivre Cu U ×10
Etain Sn E ×10
Magnésium Mg G ×10
Manganèse Mn M ×4
Molybdène Mo D ×10
Nickel Ni N ×4
Phosphore P P ×10
Plomb Pb Pb ×10
Silicium Si S ×4
Soufre S F ×10
Titan Ti T ×10
Tungstène W W ×10
Vanadium V V ×10
Zinc Zn Z ×10
8
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
Antimoine Sb R ×10
Cadmium Cd Cd ×10
Les éléments alpha gènes tels que Si, Cr, Al, W, Mo, et V, s'opposent à la formation de
l'austénite, pour une teneur suffisante l'alliage de meure à l'état pèrlitique depuis la température
ordinaire jusqu'à la température de fusion. Les autres éléments Gama gènes Ni, Mn, Co
facilitent la formation de l'austénite au point de la rendre stable à la température ordinaire
lorsqu'ils sont en proportion suffisante. [6]
Ils facilitent la naissance de carbures complexes généralement plus durs que le carbure de fer
et qui demeurent noyés et non dissous dans le reste de l'alliage .Ces carbures influent sur les
propriétés mécaniques de l'acier .Selon les éléments d'addition et leurs quantités d’addition, on
distingue deux types d'aciers :
Aciers faiblement alliés.
Aciers fortement alliés. [6]
Ce sont des aciers dont la teneur en n'importe quel élément d'addition ne doit pas dépasser 5
%, ils sont désignés par :
- Un nombre indiquant la teneur moyenne en carbone exprimé en centième pour cent (multiplié
par 100).
- Suivi de symboles normalisés des éléments alliés dans l'ordre des teneurs décroissantes, c'est
à dire, le premier élément indique toujours l'élément dont la teneur est la plus élevée.
- Les symboles sont suivis par des nombres indiquant la teneur moyenne des éléments
d’additions multiplié par 4 pour les éléments C, K, M, N, S et par 10 pour tous les autres
éléments. [7]
9
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
Exemples :
45 CD 20 – 4
- 0,45 % de carbone.
20 NC 6
- 0,20 % de carbone.
Ce sont des aciers caractérisés par la présence d'un ou de plusieurs éléments d'addition et au
moins un de ces éléments a une teneur supérieure à 5 %. Dans cette catégorie, on trouve les
aciers inoxydables, les aciers rapides pour la confection d'outils, les aciers à résistance
thermique etc. Leur désignation normalisée est toujours précédée par la lettre Z suivie :
- Des symboles normalisés des éléments d'addition rangés dans l'ordre de teneur décroissante.
- Des chiffres indiquant la teneur moyenne en pour cent des éléments d'addition.
10
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
Dans le cas des aciers fortement alliés, les chiffres indiquent directement la teneur en % des
éléments d'addition, donc il n'est pas nécessaire de diviser par les coefficients 4 ou 10 comme
dans le cas des aciers faiblement alliés. [6]
Exemple
- lettre E
Exemple : E375D : acier non alliés soudable ayant une limite élastique minimale de 375
N/mm2 ; destiné aux opérations de formage à froid.
-lettre A
11
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
Exemple : A42CRM : tôle pour chaudière de résistance minimale de 42daN/mm2 avec des
propriétés garanties après relaxation à 600°c, moulable. [7]
Les aciers ordinaires correspondent à des produits de grande consommation. Ils sont obtenus
dans les convertisseurs, four martin...Ce sont des aciers qui n'ont pas fait l'objet d'une addition
volontaire d'éléments d'alliage et qui ne doivent pas dépasser les valeurs limites ci-dessous
Eléments P+S C Fe Ni Cr Mo V W Co Al Ti Cu Pb
% 0.2 0.006 0.4 0.5 0.25 0.10 0.05 0.30 0.30 0.30 0.30 0.30 0.10
Cette nuance est indiquée par la lettre A suivie d'un nombre correspondant à la limite minimale
de résistance à la rupture par traction Rm en daN/mm, éventuellement suivi des chiffres 1, 2,3,
ou 4 (indice de qualité des propriétés mécaniques).Le chiffre 4 indique la plasticité la plus
élevée, on utilise ces chiffres, car deux aciers ayant la même charge de rupture peuvent avoir
des plasticités différentes.
12
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
R : résistance en bar
Qualité 1 2 3 4
Cette nuance est désignée par la lettre E suivie d'un nombre correspondant à la limite d'élasticité
minimale à la traction et éventuellement suivie d'un chiffre 1, 2, 3, 4.
Pour distinguer la pureté chimique en soufre et en phosphore des aciers, leur désignation peut
être éventuellement suivie d'une lettre minuscule indiquant la pureté en (P+S), voir tableau ci-
dessous :
Symbole a b C d e f g h k m
P+S 0.140 0.120 0.100 0.090 0.070 0.065 0.060 0.055 0.045 0.035
Tableau II.4. La pureté chimique en soufre et en phosphore des aciers, leur désignation [6]
13
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
Cette catégorie d'aciers est apte aux traitements thermiques, la teneur en carbone est impuretés
est contrôlée, on distingue deux nuance
Ils sont désignés par les lettres CC suivies d'un nombre qui désigne la teneur moyenne du
carbone
Ces aciers sont employés lorsque les caractéristiques mécaniques exigées sont sévères et
nécessitent des transformations de structure par traitement thermique, leur élaboration s’effectue
dans le four martin .Leur désignation commence par les lettres XC suivies d'un nombre
indiquant la teneur en carbone en centième pourcent.
Dans cette catégorie d'aciers les écarts tolérés pour le carbone et les impuretés sont réduits, ces
aciers présentent plus de garantie que les aciers courants vis à vis de la teneur en carbone et en
impureté. [6]
14
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
Leurs désignation peut être suivie par une lettre minuscule indiquant l’indice de pureté ;
a : pureté minimale.
d : pureté moyenne.
m : pureté maximale
Par rapport à leurs possibles substituts, les aciers inoxydables restent difficilement
remplaçables au regard de leurs caractéristiques mécaniques élevées : résistance aux efforts,
dureté et résistance aux chocs. Aucun des autres matériaux énumérés plus haut ne cumule toutes
ces propriétés.
L'élément d'alliage auquel les aciers inoxydables doivent leur résistance à la corrosion est le
chrome. Contrairement à ce que l'on croit généralement, ce métal est très réactif du point de
vue chimique et il est en particulier très oxydable, mais son oxyde forme une véritable peau à
la fois transparente et protectrice. Allié au fer et au nickel, il provoque la formation d'un
composé de surface oxydé capable de ralentir ou même d'arrêter totalement la corrosion.
4 Cr + 3 O2 → 2 Cr2O3.
2 Ni + O2 → 2 NiO.
15
Chapitre II : Choix de matière (Aciers)
La teneur en chrome est dans tous les cas d'au moins 12 %. D'autres éléments d'alliage, pour
l'essentiel des métaux relativement « nobles » comme le nickel, le Molybdène, le cuivre,
améliorent encore la résistance chimique, en particulier dans les milieux non oxydants. [6]
Les aciers rapides sont des aciers spéciaux de haute performance, qui offrent une grande
dureté jusqu’à une température de 500°C et une grande résistance à l’usure grâce à des éléments
d’alliage tels que le tungstène, le molybdène, le vanadium et le chrome, qui permettent de
former des carbures de grande dureté. Pour améliorer la résistance à chaud, il est possible
d’ajouter du cobalt. [6]
16
CHAPITRE
Les programmes
machines
III
Chapitre III : Les programmes machines
17
Chapitre III : Les programmes machines
Fig.III.1. Structure d’un programme d’usinage avec l’organisation d’un bloc. [4]
Chaque bloc, ou séquence d’usinage, contient plusieurs mots qui sont la combinaison de lettres
d’identification appelées adresses et d’une série de chiffres accompagnés ou non d’un signe (+)
ou (–)
La plupart des machines actuelles acceptent des blocs à format variable dans lesquels ne
figurent que les seules instructions nécessaires à leur exécution. Celles déjà fournies et encore
actives n’ont pas à être répétées.0000000000000000000000000000000000000000000000000
Chaque fabriquant de CN spécifie dans son manuel de programmation la façon d’écrire les
données numériques allouées aux différentes lettres-adresses (nombre de chiffres avant et après
la virgule, mode de séparation des entiers et des décimales, etc.).000000000000000000000000
À titre d’exemple, les lettres-adresses usuelles retenues par NUM sont indiquées sur la
figure.III.1 :00000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000
Les mots numéro de bloc (adresse N suivie d’un nombre de 1 à 5 chiffres) figurent
obligatoirement au début de chaque bloc. Un numéro de bloc précédé du signe / permet de
sauter le bloc correspondant si l’opérateur le désire ;0000000000000000000000000000000000
Les mots fonction préparatoire (adresse G suivie d’un nombre de 1 à 3 chiffres)
18
Chapitre III : Les programmes machines
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Chapitre III : Les programmes machines
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Chapitre III : Les programmes machines
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Chapitre III : Les programmes machines
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Chapitre III : Les programmes machines
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Chapitre III : Les programmes machines
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Chapitre III : Les programmes machines
25
Chapitre III : Les programmes machines
26
Chapitre III : Les programmes machines
27
Chapitre III : Les programmes machines
choisit la plus rapide (ou courte) Certaines commandes ne savent exécuter que le trajet 1.
D'autres offrent la possibilité de sélectionner la trajectoire en affectant par exemple un signe au
rayon.
3. sur certaines commandes le centre de l'interpolation (I, J, K) s'exprime en mode relatif
(FANUC, SIEMENS) par rapport point de départ de la trajectoire curviligne. [5]
C. Fonctions G permettant de bien situer l'outil par rapport la pièce :
Un décalage existe entre le contour pièce que l'on usine et point de référence de l'outil qui a
servi départ des jauges.il est composé en fraisage du rayon applique normalement
(perpendiculairement) en chaque point du contour, en tournage d'une combinaison de la
distance "point fictif de prise de jauges-centre du rayon de plaquette et de son rayon".
Les CNC actuelles prennent en charge le calcul de la correction de position du point de
référence-outil par rapport au contour-pièce que le programme se contente d'indiquer:
G41, G42 : l'appel de ces fonctions introduit, dans le calcul des trajectoires concernant le
pilotage de l'axe de l'outil en fraisage ou du centre du rayon de plaquette en tournage, les
directions dans lesquelles les dimensions géométriques de l'outil doivent être prise en compte
pour définir l'éloignement de la trajectoire par rapport au contour pièce.
En mode G40 (correction de rayon non active) c'est l'axe de la fraise ou la pointe fictive de
l'outil en tournage qui suit la trajectoire programmée.
G41 situe l'outil à gauche de la pièce dans le sens de l'avance.
G42 positionne l'outil à droite du contour de la pièce dans le sens de l'avance.
G40 révoque, c’est-à-dire annule, les considérations de position d'outil introduites par G41 ou
G42
Les fonctions G41 eu G42 utilisées pour situer l'outil par rapport au contour doivent être
neutralisées par G40 dès la fin de ce type d'usinage, ainsi on évite de les laisser opérationnelles
par oubli et de se créer de mauvaises surprises durant la mise en œuvre de la suite du
programme. [5]
L'emploi de G41 et de G42 implique :
Pour les angles saillants : de rajouter une portion de trajectoire, ou delà d'un angle déterminer
par chaque constructeur. Cette trajectoire supplémentaire assurera le pivotement autour du
sommet en introduisant un arc de cercle de raccordement délimité par les normales élevées au
sommet par rapport à chacun des segments, sinon en n'utilisant que les segments de trajectoires
de décalées, l'outil s'éloignerait trop de la pièce ce qui occasionnerait des pertes de temps mais
28
Chapitre III : Les programmes machines
surtout des risques de collision avec la pièce ou le montage. Le rajout de cet élément de
trajectoire est fait automatiquement lors de l'emploi de G41 ou G42. [5]
Pour les angles rentrantes : il faut limiter la trajectoire décalée avant d'avoir atteint le point
situe sur la normale tracée à l'extrémité du segment. Cette limite, dans le cas d'un angle formé
par deux droites se trouve sur la bissectrice de l'angle. Pour un sommet défini par une droite et
un arc de cercle, la trajectoire linéaire décalée doit être limitée à l'intersection qu'elle fait avec
le rayon aboutissant à l'extrémité de l'arc.
Mise en œuvre de la correction des trajectoires : engagement, dégagement
La correction de trajectoire par les fonctions G41 et G42 doit être opérationnelle lors les
déplacements de travail deviennent effectifs. Il faut donc appeler G41 et G42 dans les blocs qui
précèdent la première ligne du contour à usiner. [5]
D. Fonction fixant le mode de cotation :
G90 les informations associées aux lettre-adresse X, Y, Z, I, J, K seront prises comme des
coordonnées absolues par rapport à l'origine programme.
G91 ces mêmes données seront prises en valeur relative par rapport au point de départ du
déplacement programmé dans le bloc.
G52 est un mode de programmation absolue en cotes mesure. Cette fonction permet d'afficher
les cotes par rapport à l'origine-mesure OM. Elle est pratique pour définir un point fixe dans
l'espace de travail de la machine. G52 est essentiellement utilisé pour définir, sans risque
collision de l'outil ave la pièce. Un point de changement d'outil défini rapport à OM et cela
indépendamment des trajets définis dans le programme
Pour des raisons de sécurité, il est souhaitable de faire figurer un G52 dans le (ou les) premier
(s) bloc du programme. [5]
E. Fonctions de décalage :
G92 : La fonction G92 permet de modifier en cours d'exécution d'un programme de la position
de ‘ OP’, c'est à dire la position du référentiel dans l'espace de travail. Ceci répond à deux
attentes :
1-plusieurs pièces peuvent être montées sur la machine, chacune d'elles ayant son référentiel
associe. Au moment de la rédaction du programme, le programmeur ne connait pas encore la
disposition des pièces dans l'espace de travail. Certaines commandes lui donneront la possibilité
de faire appel à des fonctions G (G54 à G59 chez Siemens, Fanuc, Philipps) qui activeront au
moment de l'exécution des registres mémoires, Ces registres auront été alimentés par l'opérateur
au moment des réglages.
29
Chapitre III : Les programmes machines
2- pour simplifier la programmation, on est souvent amené à déplacer le référentiel, par exemple
en fonction du type de cotation. Ceci est indiqué en programmation de deux façons suivant le
type de commandes :
En indiquant la position de l'origine choisie par rapport à la position instance du point
caractéristique de réglage de l'outil.
Ces décalages peuvent être invalidés par la fonction G53 puis par G54 (par défaut G54 est actif
à la mise sous tension de la machine).
G59 introduit un décalage programmé qui servira de référence pour la suite. G59 est une
fonction modale. [5]
F. Fonction diverses :
G4 : Temporisation : elle permet de suspendre les déplacements pendant un temps programmé
G4 F…
G4 S…
G4 P…
G4 U… le temps est généralement en seconde, centièmes de seconde
On l'utilise pour attendre qu'un moteur soit stabilisé en vitesse ou encore pour finir un processus
de coupe (plusieurs tours de fraise au fond d'un lamage, un tour de broche pour un outil à saigner
en fond de gorge…). Par sécurité, on ne doit pas l'utiliser pour une intervention de l'opérateur.
[5]
G9 : Décélération : Accélération : elle est utilisée dans une transition de contour afin de
réduire l'erreur de poursuite.
Pour des raisons d'efficacité, il est proposé sur les directeurs de commande un ensemble de
macro-instructions permettant de définir rapidement des opérations répétitives ou ayant une
procédure d'exécution figée (filetage, perçage, taraudage,…). A chacune de ces fonctions on
ajoute les paramètres nécessaires : pas du filetage, profondeur de perçage, distance
d'approche…
Parmi elles on trouve :
G33 (code normalisé) pour le cycle de filetage (en tournage). Les données à fournir ont une
syntaxe spécifique à chaque constructeur mais elles se référant au pas, à la profondeur du filet,
au nombre de passes, à l'angle de pénétration, au nombre de filets.
G81 : cycle fixe de perçage ou de centrage
G82 cycle de perçage avec surfaçage : il est identique à la précédente mais il met en œuvre une
temporisation en fin de trou.
30
Chapitre III : Les programmes machines
Les fonctions G81 et G82 ne figurent pas sur le NUM 760 7 spécifique au tournage.
G83 : cycle de perçage profond avec débourrage, une indication supplémentaire détermine soit
la profondeur de palier, soit le nombre de paliers, l'outil ressortant du trou pour dégager les
copeaux.
G84 : cycle de taraudage avec taraud-machine et avec porte outil à compensation axiale,
débrayable par limiteur de couple, le retrait s'effectue avec inversion du sens de rotation.
G85 : alésage a l'alésoir, ce cycle est similaire à G81 mais avec une remontée en vitesse de
travail.
G86 : alésage à la barre à aléser. La descente s'effectue à la vitesse de travail, l'arrêt au fond de
trou est indexé suivi d'un retrait de 1mm en XY pour ne pas rayer le cylindre en remontant, et
reprise du travail après mise en position
G87, G88, G89 : ces cycles ne sont pas définis par la norme et sont utilisés de diverses façons
par les constructeurs.
Révocation : la mise en œuvre des cycles est annulée par l'appel de G80. [5]
G. Fonctions définissant la nature des données opératoire :
Outre les fonctions déjà évoquées :
G90 programmation des cotes en valeur absolue
G91 programmation en valeurs relatives
G92 pour décalage d'origine.
On dispose de :
G93, G94 et G95 concernent la lettre -adresse F (avance) :
G93 est un code indiquant que la vitesse d'avance est exprimée en inverse du temps V/L où V
est la vitesse de déplacement réelle (tangente à la trajectoire) à la point de l'outil, exprimée en
mm/mn et L la longueur en mm de la trajectoire de la pointe de l'outil. Ce code est imposé lors
du déplacement simultané d'axes linéaires et rotatifs (la vitesse angulaire est utilisée pour les
axes rotatifs seuls), les CNC prenant rarement en compte le problème de la distance variable
entre l'outil et axe de rotation A, B et/ou C.
G94 est utilisée en tournage et fraisage pour exprimer les vitesses d'avance en mm/mn.
G95 sert en taraudage pour exprimer l'avance eu mm/tour
G96 et G97 s'utilisent avec la lettre adresse S :
G96 et G97 définissent la façon d'indiquer la vitesse de broche :
G96 impose une vitesse de coupe constant en tournage, elle assure la variation de la vitesse de
rotation de la broche en fonction du diamètre d'action de l'outil, il est associe à cette fonction,
31
Chapitre III : Les programmes machines
une autre fonction qui impose une vitesse maximale de rotation (en tour/min) à ne pas dépasser,
notamment lorsque l'outil s'approche de l'axe de rotation.
G97 sert à exprimer la rotation de la broche en tours/mn. [5]
Fonction Définition
G00 Positionnement point par point (avance rapide)
G01 Interpolation linéaire
G02 Interpolation circulaire dans le sens horaire
G03 Interpolation circulaire dans le sens antihoraire
G04 Temps d'arrét (en secondes)
G17 Plan XY
G18 Plan ZX
G19 Plan YZ
G33 Taillage d’un filet
G40 Désélection de la correction du rayon d’outil
G41 Correction du rayon d'outil à gauche
G42 Correction du rayon d'outil à droite
G45 Addition du rayon d’outil
G46 Soustraction du rayon d’outil
G47 Addition du diamètre d’outil
G48 Soustraction du diamètre d’outil
G64 Cycle d’ébouche
G65 Cycle d’ébauche de gorge
G66 Cycle de défonçage
G72 Cycle de fraisage de poche
G74 Cycle de filetage, taraudage (filet à gauche)
G78 Cycle de filetage
G81 Cycle de perçage
G82 Cycle de perçage – chambrage
G83 Cycle de débourrage
G84 Cycle de taraudage
G85 Cycle d’alésage
G86 Cycle de rainurage
G88 Cycle de surfaçage
32
Chapitre III : Les programmes machines
33
Chapitre III : Les programmes machines
34
Chapitre III : Les programmes machines
Fonction Définition
M00 Arrêt programmé
M01 Arrêt facultatif
M02 Fin de programme
M03 Rotation de la broche à droite
M04 Rotation de la broche à gauche
M05 Arrêt de la broche
M06 Changement d'outil
M07 Mise en route de l'arrosage n° 2
M08 Mise en route de l'arrosage n° 1
M09 Arrét de l'arrosage
M20 Retour de contre poupée
M21 Avance de contre poupée
M25 Ouvrir dispositif de serrage
M26 Fermer dispositif de serrage
M30 Fin programme
35
Chapitre III : Les programmes machines
Figure III.4. l’intersection du plan de jauge et de l’axe du cône de centrage pour les000000000
outils de fraisage. [4]
36
Chapitre III : Les programmes machines
37
Chapitre III : Les programmes machines
38
CHAPITRE
La machine utilisé et le
programme
IV
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
IV.1. Introduction
Depuis plus de cinquante ans, EMCO développe et construit des machines à usiner les
métaux, et depuis 1980, la société est aussi représentée sur le marché avec des machines-outils
commande par calculateur (machines CNC).
Les tours et fraiseuses des séries EMCO Concept Trun et EMCO Concept Mill bénéficient de
ce haut degré d’expérience. [12]
L’opération de ces machines se fait par l’entremise d’un Personale Computer (PC) courant, ce
qui permet d’offrir une formation efficace sur les commandes CNC les plus diverses (Simens,
Fanuc, etc.) avec une seule machine.
Le moniteur CNC de la commande CNC installée est simulé sur l’écran du PC, et l’entrée des
données se fait au choix par le clavier du PC ou par un clavier de commande, disponible en
option. [6]
IV.2. La machine utilisée (Emco Concept TURN 55) :
Le Concept TURN 55 est un tour CNC 2 axes d’établi, piloté par PC, dont la conception et
le fonctionnement correspondent au standard industriel. Toutes les opérations principales du
processus de fabrication moderne peuvent être expliquées sur ce tour et aussi reproduites
conformément à la réalité. Une simplification judicieuse, une conception de machine claire et
un maniement simple sont garants du succès rapide de la formation. [6]
39
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
EMCO EASY CYCLE permet de commander simplement des tours et fraises par commande
de cycles et CNC et il n'est pas nécessaire d'avoir des connaissances préalables en matière de
programmation ISO.
En utilisant une programmation de contour interactive, on peut définir des contours de pièce
avec des éléments de contour linéaires et circulaires. La programmation d'un cycle se fait
de manière interactive et avec assistance graphique. Un grand nombre de cycles d’usinage
pouvant être combinés ensemble pour réaliser un programme sont à la disposition du client.
40
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Certains cycles ou bien les programmes de cycle créés peuvent être simulés
graphiquement sur l'écran. [6]
NO de réf. FR 1829
Édition C 2009-10
CAM Concept propose un concept didactique ininterrompu, depuis la simple création des
contours de la pièce en mode CAO jusqu'à l'exécution du programme de CN sur la machine
connectée, en passant par la création interactive automatique du programme en mode FAO.
Grâce à son aide en ligne très complète, CAM Concept est parfaitement adapté à la formation.
[12]
41
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
IV.4.4. Objectifs
42
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Après l’installation de logiciel, Dans le menu démarrer cliquer sur WinNC dans les
programme
43
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
44
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
45
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
L’origine CAO est fixée par défaut au centre de la fenêtre de dessin. Avec cette fonction,
l'origine et ainsi le système de coordonnées peuvent être déplacés depuis la position précédente.
Après sélection du symbole, positionnez la nouvelle origine à l’endroit voulu avec le poussoir
gauche de la souris. [6]
Après sélection du symbole « Ligne » puis sur « ligne en traits et pointillés », il faut
indiquer le point de départ la ligne. Ceci peut de faire par le point actuel du curseur et en
cliquant Ensuit entrer le point de destination de la ligne (axe). [6]
Remarque
le point de départ et le point de destination de chaque ligne sont mémorisés comme point de
construction.
46
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
47
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Ligne P11 (11,-80) P12 (17.5,-80) Ligne P12 (17.5,-80) P13 (17.5,-150)
48
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Figure IV.9.k
Seuls sont retournés en miroir au niveau de l’axe de retournement (Z+) les éléments qui se
trouvent entièrement au-dessus de ce dernier et à l’intérieur des dimensions de la pièce brute.
Chanfrein
Les lignes ou le chanfrein doit être ajouté. Les éléments sélectionnés changent de couleur.il
faut ensuit entrer la longueur du chanfrein. Les coins du chanfrein constituent deux nouveaux
points de construction qui sont mémorisés. L’ancien coin est effacé
49
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
En cliquant sur le symbole de communication « FAO », on active les symboles des ordres
FAO, le mode FAO reste actif jusqu'à ce qu’il soit désactiver par CAO ou CN
IV.6.1. Réglages
Les réglages servent à définir le type de machine, les outils peuvent être entrés dans les
tables des outils à partir d’une riche base de données des outils.
Les cotes de la pièce brute sont définies par un graphique d’entrée.
IV.6.2. Machine
50
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Et même chose pour les autres outils (outils de gorge et outil de filetage).
51
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Après avoir cliqué sur cette icône, vous pouvez définir les cotes de la pièce brute.
IV.6.5. Un contour
En cas de géométries très complexes, il peut être plus simple de définir le contour en
sélectionnant différents segments (p. Ex. Grand nombre de points d'intersection).
52
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Cette liste indique les groupes de cycles d’EASY CYCLE avec les cycles définis dans ces
groupes.
1. Tournage longitudinal
2. Tournage transversal
3. Filetage simple
4. Filetage à plusieurs filets
5. Plongée (rainure)
6. Tournage de conteur
7. Perçages (perçage + taraudage)
8. Positionnement
9. Tournage conique
10.ISO Edit
11.Transformation de coordonnées
12.Appel de sous-programme
Entrer en outre tous les paramètres technologiques nécessaires (numéro d’outils, sens de
rotation, avance, vitesse de broche)
Description du cycle
Ebauche
53
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Finition
3. Si un autre outil a été programmé pour la finition, un changement d'outil est effectué
au point de changement d'outil.
4. Ensuite, l'outil effectue la finition d'une passe de tournage longitudinal sur le diamètre
restant avec l'avance Finition (o).
5. A la fin, l'outil se retire en avance rapide à la distance de sécurité (xs, zs).
Description du cycle
Ebauche
Finition
3. Si un autre outil a été programmé pour la finition, un changement d'outil est effectué
au point de changement d'outil.
4. Ensuite, l'outil effectue la finition d'une seule passe de plongée sur le diamètre restant
(a) avec l'avance Finition.
5. A la fin, l'outil se retire en avance rapide à la distance de sécurité (xs, zs).
54
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Ce cycle sert à réaliser des filetages longitudinaux. On peut sélectionner les types de filetage
standards suivants :
Description du cycle
55
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Tournage de conteur
Figure IV.19.a
Chanfrein
Figure IV.19.b
56
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Rainurage
Figure IV.19.c
Filetage
Figure IV.19.d
57
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
IV.9.2. Export CN
N1 G54
N2 G95
N3 ; Projet CamConcept exporté C:\Users\allal\Desktop\allal 1.ecc
N4 ; Filtre export utilisé DIN/ISO 2.02
N5 ; Outil Nom d'outil Rayon Longueur X Longueur Z Choix de l'outil
N6 ; T1D1 Outil d'ébauche SCAC R1 0.400 50.000 15.000
58
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
59
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
N37 G64
N38 G1 X9.600 Z5
N39 G1 X9.600 Z-31.167
N40 G1 X9.989 Z-32.334
N41 G3 X10 Z-32.400 I-0.395 K-0.066
N42 G1 X10 Z-44.275
N43 G3 X13.362 Z-47.481 I-12.704 K-8.705
N44 G1 X16.533 Z-47.481
N45 G0 X16.533 Z5.000
N46 G0 X6.133 Z5.000
N47 G64
N48 G1 X6.133 Z5
N49 G1 X6.133 Z-20.767
N50 G1 X9.732 Z-31.562
N51 G1 X13.067 Z-31.562
N52 G0 X13.067 Z5.000
N53 G0 X2.667 Z5.000
N54 G64
N55 G1 X2.667 Z5
N56 G1 X2.667 Z0
N57 G1 X3.493 Z0
N58 G3 X4.059 Z-0.117 K-0.400
N59 G1 X4.766 Z-0.471
N60 G3 X5 Z-0.754 I-0.283 K-0.283
N61 G1 X5 Z-17.367
N62 G1 X6.265 Z-21.162
N63 G1 X9.600 Z-21.162
N64 G0 X9.600 Z5.000
N65 G0 X-0.800 Z5.000
N66 G64
60
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
N67 G1 X-0.800 Z5
N68 G1 X-0.800 Z0
N69 G1 X3.493 Z0
N70 G3 X4.059 Z-0.117 K-0.400
N71 G1 X4.766 Z-0.471
N72 G3 X5 Z-0.754 I-0.283 K-0.283
N73 G1 X5 Z-17.367
N74 G1 X6.133 Z-20.767
N75 G0 X6.133 Z5.000
N76 G1 X6.667 Z5.000
N77 G0 X51.393 Z5.000
N78 G0 X51.393 Z-52.980
N79 G64
N80 G0 X15.393 Z-52.980
N81 G1 X15.393 Z-52.980
N82 G3 X14.991 Z-55.459 I-15.400
N83 G1 X11.926 Z-66.953
N84 G1 X11.926 Z-80
N85 G1 X15.393 Z-80
N86 G1 X15.993 Z-80
N87 G1 X51.393 Z-80
N88 G0 X51.393 Z-52.980
N89 G64
N90 G1 X15.393 Z-52.980
N91 G3 X14.991 Z-55.459 I-15.400
N92 G1 X11 Z-70.427
N93 G1 X11 Z-80
N94 G1 X15.393 Z-80
N95 G1 X15.993 Z-80
N96 G1 X56 Z-80
61
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Les messages d'erreurs apparaissent aussi ici. P. ex. : avertissement en matière de collision.
Pour pouvoir démarrer la simulation, un projet CAM Concept doit être ouvert. Le nom de
fichier du projet CAM Concept ouvert actuellement est représenté au milieu supérieur de la
fenêtre de simulation.
IV.10.1. Machine
IV.10.2. Alarmes
IV.10.3. NC-Start
La simulation est démarrée par ce symbole. Pour pouvoir démarrer la simulation, un projet
CAM Concept doit être ouvert. Le nom de fichier du projet CAM Concept ouvert
actuellement est représenté au milieu supérieur de la fenêtre de simulation
IV.10.4. NC-Reset
IV.10.5. NC-Stop
Avec ce symbole, la simulation et le programme CNC sont arrêtés. La simulation peut être
pour suivie avec le symbole "NC-Start".
63
Chapitre IV : La machine utilisé et le programme
Avec ce symbole, la simulation est arrêtée après chaque séquence. La simulation peut être
pour suivie avec le symbole "NC-Start".
Figure IV.22.e
64
CHAPITRE
La gamme d’usinage
classique et gamme
V
d’usinage par MCN
Chapitre V : La gamme d’usinage classique et gamme d’usinage par MCN
Croquis de la pièce à
usiner
300 Tournage
65
Chapitre V : La gamme d’usinage classique et gamme d’usinage par MCN
66
Chapitre V : La gamme d’usinage classique et gamme d’usinage par MCN
67
Chapitre V : La gamme d’usinage classique et gamme d’usinage par MCN
Croquis de la pièce à
usiner
300 Tournage
310 Exécuter le T1 D1 Cale + 4:00 min
profil comparateur
, , , ,
, , ,
68
Chapitre V : La gamme d’usinage classique et gamme d’usinage par MCN
69
Conclusion Générale
Conclusion Générale
Conclusion Générale
- la simulation qui comprend plusieurs étapes et de paramètres donc des réglages s’imposent
pour lancer la simulation du logiciel du dessin (EMCO WinNC)…, Et puis l’obtention du
programme de la pièce a usinée, et enfin l’usinage de la pièce sur la machine.
-Le stage qu’on a passé en milieu technique nous a permis de toucher de près le monde
numérique appliqué, voir votre pièce dessiner se concrétiser en quelques secondes c’était il y
a un moment donné un rêve maintenant c’est devenu réalité.
En fin, nous espérons que notre étude dans le domaine de la fabrication avancée sera un acquit
pour enrichir notre expérience et sera considéré comme une motivation pour les prochaines
générations de notre spécialité qu’on espère développera d’avantage cette discipline.
La perspective est ouverte pour développer des programmes d’usinages plus compétitifs et qui
auront pour seul objectif un gain de temps pour diminuer le cout et augmenter résistance des
paramètres de base.
70
Référence bibliographique
1- https://www.academia.edu/25070656/Chapitre_1_Introduction_à_la_commande_
numérique
2- http://www.lyrfac.com/soutiens/knbase/pdf/machine outil %20commande%20
numerique.pdf
3- RIADH, Ben belabbas; BENZAOUI, Mohammed elamine. Machine à commande
numérique. Mémoire de licence Construction mécanique. Biskra : Université
Mohamed Khider, 2014, 70p.
4- FENNICHE, Abderrazak. Etude et Réalisation d’une Connexion RS 232 de la
Fraiseuse EMCO F1 CNC et Le Tour EMCO Compact 5 CNC avec le PC. Mémoire
de master maintenance industriel. Ouargla : Université Kasdi Merbah, 2013, 60p.
5- CLAUD, Marty ; CLAUD, Cassagnes ; PHILIPPE, Marin. La pratique de la
commande numérique des machines-outils. Lyon : 1993. Chapitre 6, organisation d’un
programme de commande numérique en langage machine, p33-57. ISBN 2-85206-
915-6
6- BOUDRAA, Mohamed Saddam ; DJEBAILI, Abderahman. Fabrication d'une pièce
par machine à commande numérique MCN (usinage et programmation). Mémoire de
master Génie mécanique. Khenchela : Université Abbés Laghrour, 2015, 83p
7- BOULALI, Fares ; SIAD, Farid. Contrôle destructif et non destructif des tubes en
acier soudes par induction à haute fréquence. Mémoire de master Conception et
productique. Khenchela : Université Abbés Laghrour, 2014, 58p
8- ALAOUI, Aisam. Programmation des MOCN. Pour la science, p52-55.
9- G,DANIEL-1èreGM-TG MOCN- docélev.doc 10. 7 – Mise en place des
paramètres en Tournage
10- Nadji Abdel Hakim - Redjaimia Mohamed El Hadi - Yellou Abdel Hamid
Thème (DEUA) - Etude de la connexion RS 232 de la fraiseuse Emco F1 CNC
et le tour Emco compact 5 CNC avec un PC- Université Mohamed Kheider
Biskra -Juin 2007
11- C. CHEVROT, MOCN et programmation cours département GMP 1er année.
12- Les machine outils : Machines généralite prof 2005.pdf.
13- A. issam, RESUME THEORIQUE & GUIDE DE TRAVAUX PRATIQUES-
MODULE N°:15 aPROGRAMMATION DES MOCN.
14- Métallurgie-Elaboration des aciers. Les différents types des aciers.Edition1992
71
Annexe
La conception de la pièce avec Le Logiciel SolidWorks 2010
72
Les paramètres de coupe
73
Description de la machine TURN 55
74
La mise en position
75