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Le Journal de Bord de l’Amiral Richard E.

Byrd : Vol d’exploration au-dessus du Pôle


Nord (La Terre Intérieure, Mon Journal
Secret)
15 août 2015
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Je dois écrire ce carnet de bord


secrètement et dans l’ombre. Il concerne
mon vol arctique du 19 Février 1947. Il
viendra le temps où la pensée rationnelle
des hommes deviendra insignifiante et
que l’on devra accepter l’inévitable
Vérité.
Je ne suis pas libre d’assurer la mise au
jour de la documentation suivante qui fait
l’objet de cet écrit, peut-être ne verra-t-elle
jamais la lumière de l’analyse publique,
mais je dois faire mon Devoir et l’enregistrer
ici, pour tout un chacun, afin qu’il puisse un
jour en prendre connaissance dans un
monde qui, je l’espère profondément, ne
laissera pas l’avidité et l’oppression abusive
d’une partie de l’humanité nous soustraire
ce qui est Vrai plus longtemps.
Note : Certains disent que le
gouvernement américain a envoyé byrd
au pôle nord à la recherche de preuves
de la rumeur d’une base allemande.
Les nazis étaient fascinés par tout ce qui
concerne la race aryenne. Ils ont
parcouru le monde entier, y compris
l’Antarctique, pour en apprendre
davantage sur les origines présumées.
Les Allemands ont laissé leur marque au
pôle Sud. Cependant, ce qu’ils ont
découvert ne se compare pas à ce que
Byrd a enregistré dans son journal.

Carnet de Vol : Camp de Base Arctique,


19 Février 1947
0600 heures – Tous les préparatifs sont
complètement faits pour un vol en direction
du Nord et nous décollons avec le plein de
carburant à 0610 heures.
0620 heures – Le carburant du moteur de
tribord semble trop riche, on fait
l’ajustement et le « Pratt Whitneys » file
doucement maintenant.
0730 heures – Le contact radio est vérifié
avec le camp de base. Tout est bien et la
réception est normale.
0740 heures – On note une légère fuite
d’huile dans le moteur de tribord, l’indicateur
de pression d’huile cependant semble
normal.
0800 heures – Une turbulence légère est
notée dans la direction de l’Est à une
altitude de 2321 pieds, correction à 1700
pieds, aucune autre turbulence, mais le vent
d’arrière s’accroît , légers réglages de
contrôle, les performances de l’avion sont
très bien maintenant.
0815 heures – Contact radio avec le camp
de base, situation normale.
0830 heures – Nouvelle turbulence.
Augmente l’altitude à 2900 pieds ;
conditions de vol normales de nouveau.
0910 heures – Vaste étendue de glace et
neige en dessous, notons la coloration de
nature jaunâtre qui se disperse
linéairement. Modifions l’itinéraire pour un
meilleur examen de cette couleur en
dessous, et notons une couleur rougeâtre
ou violette aussi. Nous exécutons deux
tours au-dessus de cette zone et nous
reprenons l’itinéraire qu’indique la boussole.
Nouveau contact avec le camp de base et
transmission des informations relatives aux
colorations de la glace et de la neige au sol.
0913 heures – La boussole magnétique et
le gyrocompas commençant à tourner et
bouger, nous sommes incapables de tenir
notre route à l’aide des instruments.
Faisons le point avec le compas Solaire et
tout semble bien. Nous effectuons des
contrôles particulièrement lents et
paresseux, mais il n’y a aucune présence
de glace.
0915 heures – Au loin apparaît ce qui
semble être des montagnes !
0949 heures – Après 29 minutes de vol
notre première impression se confirme : ce
sont bien des montagnes et pas une
illusion. C’est une petite chaîne de
montagnes, que je n’ai jamais vue
auparavant!
Ca
rte du pôle Nord par Gérard Mercator « 1595
»…
0955 heures – l’ Altitude change pour
arriver à 2950 pieds, nous rencontrons de
fortes turbulences à nouveau.
1000 heures – Nous passons au-dessus de
la petite chaîne de montagnes et nous
sommes toujours en direction du nord
apparemment, au meilleur de notre
connaissance. Au-delà la chaîne de
montagnes apparaît une vallée avec un
petit fleuve ou rivière se dirigeant vers le
centre de la vallée. Il ne devrait pas y avoir
de vallée verte en dessous ! Quelque chose
est définitivement faux et anormal ici ! Nous
ne devrions survoler que glace et neige ! A
bâbord, on voit de grands massifs forestiers
le long des pentes montagneuses. Nos
instruments de navigation tournoient
encore, le gyroscope oscille d’arrière en
avant !
1005 heures – Je modifie l’altitude jusqu’à
1400 pieds et j’exécute une boucle serrée
vers la gauche afin de mieux examiner la
vallée en dessous. Elle est verte avec soit
de la mousse, ou soit une sorte d’herbe très
dense. La Lumière semble différente ici. Je
ne peux plus voir le Soleil . Nous faisons
une autre boucle à gauche et nous repérons
ce qui semble être une sorte de grand
animal en dessous de nous. On dirait un
éléphant ! NON !!! Ça ressemble à un
mammouth ! C’est incroyable !! Cependant
c’en est bien un. Nous descendons jusqu’à
1000 pieds et prenons les jumelles pour
mieux examiner l’animal.
Nous confirmons définitivement que
l’animal est bien un mammouth. Nous
communiquons cela au camp de base.
1030 heures – Nous rencontrons des
collines mouvantes vertes maintenant. Le
thermomètre extérieur donne 74 degrés F
(23,3 °C). Nous poursuivons la route en
avant. Les instruments de navigation
semblent maintenant normaux. Leurs
mouvements m’intriguent. On essaye de
contacter le camp de base. La radio est
muette.
1130 heures – La campagne en dessous
est plus nivelée et normale (si je peux
employer ce mot). En avant nous percevons
ce qui semble être une ville !!! C’est
impossible ! L’avion semble léger et
bizarrement flottant. Les contrôles refusent
de fonctionner !! Mon DIEU !!! Hors bâbord
et à tribord apparaît un étrange type
d’avion. Ils approchent rapidement le long
de nos côtés. Ils sont en forme de disques
et ils sont resplendissants. Ils sont assez
proches maintenant pour que nous
puissions voir leurs inscriptions. C’est une
sorte de Svastika !!! C’est fantastique. Où
sommes-nous ! Que nous arrive-t-il ? Je tire
de nouveau fortement sur les contrôles. Ils
ne répondent pas !!! Nous sommes pris
dans un invisible étau d’un certain type !

Trajectoire d’une
société Satellitaires Aucunes ne passe au
dessus du pôle Géographique
1135 heures – Notre radio se met à
crépiter et une voix anglaise en sort avec
ce qui pourrait être peut-être un léger
accent nordique ou germanique ! Le
message est : « Bienvenu, Amiral, dans
notre domaine. Nous vous ferons atterrir
dans exactement sept minutes !
Détendez-vous, Amiral, vous êtes dans
de bonnes mains ». Je note que les
moteurs de notre avion ont stoppé !
L’avion est sous un étrange contrôle et
vire maintenant tout seul. Les contrôles
sont inopérants.
1140 heures – Nous recevons un autre
message radio. Nous commençons le
procédé d’atterrissage maintenant et
presqu’aussitôt l’avion frémit légèrement et
commence une descente comme attrapé
par quelque grand ascenseur invisible ! Le
mouvement en descente est imperceptible
et nous touchons terre en éprouvant
seulement une secousse légère !
1145 heures – J’enregistre rapidement une
dernière note dans le carnet de bord.
Plusieurs hommes approchent à pied de
notre avion. Ils sont grands avec la
chevelure blonde. A une certaine distance
on aperçoit une grande cité scintillante en
jets colorés d’arc-en-ciel. Je ne sais pas ce
qui va arriver maintenant, mais je ne vois
aucune arme sur ceux qui approchent.
J’entends maintenant une voix me
commandant personnellement d’ouvrir la
porte de la cale de l’avion. J’obtempère.
FIN DU JOURNAL DE BORD
A partir de maintenant, j’écris ici tous les
événements qui suivent de mémoire. Cela
défie l’imagination et passerait pour de la
folie si n’était pas arrivé vraiment.
L’opérateur radio et moi sortons de notre
appareil et sommes reçus de la plus
cordiale manière. Nous montons alors sur
une petite plate-forme mobile de transport
sans roues ! Elle nous amène vers la ville
scintillante avec une grande rapidité.
Comme nous approchons, la ville semble
être faite en matière cristalline. Bientôt
nous arrivons à un grand bâtiment qui est
d’un type que je n’ai jamais vu avant. Il
paraît être tiré directement des croquis de
Franc Lloyd Wright, ou peut-être mieux
encore d’un film de Buck Rogers. On nous
offre un certain type de breuvage chaud qui
a un goût qui ne ressemble à rien de ce que
j’ai connu auparavant.
C’est délicieux. Après environ dix minutes,
deux de nos merveilleux hôtes viennent
nous rejoindre et nous annoncent que je
dois les accompagner. Je n’ai pas d’autres
choix que de m’exécuter. Je quitte mon
opérateur radio et nous marchons une
courte distance puis pénétrons dans ce qui
semble être un ascenseur.
Nous descendons pendant quelque temps,
la machine s’arrête, et la porte de
l’ascenseur glisse silencieusement vers le
haut ! Puis nous suivons un long couloir
éclairé par une lumière rose qui semble
émaner des murs eux-mêmes !
Un des êtres nous fait signe de nous arrêter
devant une grande porte. Au-dessus de la
porte se trouve une inscription que je ne
peux pas lire. La grande porte glisse en
s’ouvrant sans bruit et on me fait signe
d’entrer.
Un de mes hôtes parle.« N’ayez aucune
crainte, Amiral, vous allez avoir une
audience avec le Maître… » Je marche à
l’intérieur et mes yeux s’ajustent à la belle
coloration qui semble remplir la pièce
complètement. Alors je commence à voir les
alentours.
Ce qu’accueillent mes yeux est le plus beau
spectacle de mon existence entière. C’est
même, en fait, trop beau et merveilleux pour
être décrit.
C’est exquis et délicat. Je ne pense pas
qu’il existe un terme humain qui puisse le
décrire en toute justice dans tous ses
détails. Mes pensées sont interrompues
d’une façon cordiale par une chaleureuse
voix riche et mélodieuse.
« Je vous souhaite la bienvenue dans notre
domaine, Amiral ». Je vois un homme avec
des traits délicats et avec la marque des
années sur son visage.
Il est assis à une table longue. Il m’invite à
m’asseoir sur une des chaises. Dès que je
me suis assis, il place le bout de ses doigts
ensemble et il sourit. Il parle doucement de
nouveau, et me transmet ce qui suit :
« Nous vous avons permis d’entrer ici parce
que vous êtes de caractère noble et connu
du Monde de la Surface, Amiral ». Le
Monde de la Surface, j’en eu à moitié le
souffle coupé ! « Oui », fut la réponse du
Maître en souriant, « Vous êtes dans le
domaine des Arianni, le Monde Intérieur de
la Terre. Nous ne retarderons pas
longtemps votre mission et vous serez
escorté en sécurité à la surface et au-delà
sur une certaine distance.

Représentation
du monde intérieur
Mais maintenant, Amiral, je vais vous dire
pourquoi vous avez été convoqué ici. Notre
intérêt commence avec raison
immédiatement après que votre race ait fait
exploser les premières bombes atomiques
sur Hiroshima et Nagasaki au Japon.
C’est à ce moment alarmant que nous
avons envoyé nos machines volantes, les
« Flugelrads, » sur votre monde de surface
afin d’étudier ce que votre race avait fait.
C’est, bien sûr, de l’histoire ancienne
maintenant, mon cher Amiral, mais je dois
poursuivre.
Vous voyez, nous n’avons jamais interféré
auparavant dans les guerres et barbaries de
votre race, mais maintenant nous le devons
car vous avez appris à falsifier un certain
pouvoir qui n’est pas pour l’homme, à savoir
l’énergie atomique.
Nos émissaires ont déjà livré des messages
aux puissances de votre monde, et
cependant elles n’en tiennent pas compte.
Maintenant vous avez été choisi pour
attester que notre monde existe.
Vous voyez Amiral, notre Culture et notre
Science sont en avance de plusieurs
milliers d’années sur celles de votre race ».

Représentation de Shambhala la cité


mythique du monde intérieur
Je l’interrompis, « Mais qu’ai-je à voir avec
tout cela, Monsieur ? » Les yeux du Maître
semblèrent pénétrer profondément mon
esprit et après m’avoir analysé pendant un
moment il répondit, « Votre race a
maintenant atteint le point de non retour, car
il y a ceux parmi vous qui seraient prêts à
détruire votre propre monde plutôt que
d’abandonner leur prétendu pouvoir ».
J’acquiesçai, et le Maître continua. « En
1945 et par la suite, nous avons essayé de
contacter votre race, mais nos efforts n’ont
rencontré qu’hostilité et nos Flugelrads
furent mitraillés. Oui, et même poursuivis
avec malice et animosité par vos avions de
combat.
Aussi, maintenant je vous le dis mon fils, il y
a un grand orage se concentrant sur votre
monde, une fureur noire qui ne s’épuisera
pas pendant de nombreuses années. Il n’y
aura aucune possibilité de réponse de la
part de vos armées, il n’y aura aucune
protection de la part de votre science.
Cette fureur fera possiblement rage jusqu’à
ce que chaque fleur de votre culture soit
piétinée, et que toutes choses humaines
soient plongées dans un vaste chaos. Votre
récente guerre n’était seulement qu’un
prélude à ce qui doit encore advenir à votre
race. Nous ici voyons cela plus clairement
d’heure en heure… pensez-vous que je me
trompe ? »
« Non », répondis-je, « c’est arrivé déjà
autrefois que ces sombres périodes
viennent et subsistent pendant plus de cinq
cent années ». « Oui, mon fils, » répondit le
Maître, « les périodes sombres qui
viendront maintenant pour votre race
couvriront la Terre comme un drap
mortuaire, mais je crois qu’une certaine
partie de votre race traversera cet orage,
après cela, je ne peux pas dire.
Nous voyons, dans un avenir très loin, un
nouveau monde renaissant des ruines de
votre race, cherchant ses trésors perdus et
légendaires et qui seront ici, mon fils, grâce
à notre sauvegarde.
Quand ce temps arrivera, nous viendrons à
nouveau aider votre culture et votre race à
revivre. Peut-être, d’ici là, aurez-vous appris
la futilité de la guerre et de ses conflits… et
après ce temps, une partie de votre culture
et de votre science vous sera rendue afin
que votre race recommence à nouveau.
Vous, mon fils, devez retrouver le Monde de
la Surface pour lui confier ce message… »
Avec ces derniers mots, notre réunion
sembla arriver à son terme. Je restai un
moment comme dans un rêve… mais,
pourtant, je savais que tout cela était la
réalité et pour une raison étrange, je
m’inclinai légèrement, soit par respect ou
soit par humilité, je ne saurais le dire…
Soudainement, je pris conscience que les
deux hôtes magnifiques qui m’avaient
amené ici se tenaient de nouveau à mon
côté. « Par ici, Amiral, » m’indiqua l’un
d’eux. Je me retournai une fois de plus
avant de partir et regardai en arrière vers le
Maître.
Un sourire doux était gravé sur son visage
ancien et délicat. « Adieu, mon fils, » dit-il,
puis de sa très belle main fine, il fit un geste
de paix et notre réunion fut véritablement
terminée. Rapidement, on me raccompagna
jusqu’à la grande porte d’entrée de
l’appartement du Maître et une fois de plus
nous pénétrâmes dans l’ascenseur.
La porte glissa silencieusement vers le bas
et nous fûmes transportés immédiatement
vers le haut. Un de mes hôtes parla de
nouveau, « Nous devons maintenant faire
vite, Amiral, car le Maître ne voudrait pas
vous retarder plus longtemps dans votre
emploi du temps et vous devez retourner
porter son message à votre peuple ». Je ne
dis rien. Tout cela était presque incroyable,
et une fois de plus mes pensées furent
interrompues quand nous nous arrêtâmes.
J’entrai dans la pièce et retrouvai mon
opérateur-radio. Il avait une expression
anxieuse sur son visage. Comme
j’approchais je lui dis, « Tout va bien, Howie,
tout va bien ». Les deux êtres nous
dirigèrent vers le véhicule de transfert qui
nous attendait ; nous y montâmes et
arrivâmes rapidement à notre avion.
Les moteurs tournaient au ralenti et nous
nous embarquâmes aussitôt. La situation
semblait chargée d’un certain caractère
d’urgence. Dès que la porte de la cale fut
fermée l’avion fut immédiatement soulevé
par cette force invisible jusqu’à ce que nous
atteignîmes une altitude de 2700 pieds.
Deux appareils nous escortèrent sur une
certaine distance, nous guidant sur notre
chemin de retour. Je dois déclarer ici que
notre indicateur de vitesse n’enregistra
aucune information, bien que nous nous
déplacions à une allure très rapide.
NOUVELLES ENTRÉES DANS LE
JOURNAL DE BORD
 215 heures – Arrive alors un message
radio. « Nous vous quittons maintenant
Amiral, vos appareils de contrôles sont
libérés. Auf Wiedersehen (au revoir en
allemand) !!! » Nous restons un moment
à regarder les flugelrads disparaître
dans le ciel bleu pâle. L’avion
soudainement plonge comme s’il était
pris dans un étroit trou d’air pendant un
moment. Nous réussissons rapidement
à reprendre le contrôle. Nous ne parlons
pas pendant un certain temps, chacun
plongé dans ses pensées.
 220 heures – Nous retrouvons à
nouveau de vastes superficies de glace
et neige, et sommes approximativement
à 27 minutes du camp de base. Nous
les appelons, ils répondent. Nous
rapportons que toutes les conditions
sont normales… normales. Le camp de
base exprime son soulagement pour le
rétablissement du contact.
 300 heures – Nous atterrissons
doucement au camp de base. J’ai une
mission…
FIN DES ENTRÉES DU JOURNAL DE
BORD
Le 11 Mars 1947. Je viens d’assister à une
réunion du personnel au Pentagone. J’ai fait
une déclaration complète de ma découverte
et transmis le message du Maître.
Tout a été dûment enregistré. Le Président
a été averti. Je suis maintenant retenu pour
plusieurs heures (six heures trente-neuf
minutes pour être exact).
Je suis interviewé spécifiquement par les
Plus Hautes Autorités des Forces de
Sécurité et une équipe médicale. Toute une
épreuve !!! Je suis placé sous strict contrôle
via les dispositions de Sécurité Nationale de
ces Etats-Unis d’Amérique.
ON M‘ORDONNE DE RESTER
SILENCIEUX AU SUJET DE TOUT
l’Amira
l Richard E. Byrd
CE QUE J’AI APPRIS, AU NOM DE
l’HUMANITÉ ; Incroyable ! On me rappelle
que je suis un militaire et que je dois obéir
aux ordres.
Le 30/12/1956 : ENTRÉE FINALE : Ces
quelques dernières années qui se sont
écoulées depuis 1947 n’ont pas été
faciles… J’inscris maintenant ma note finale
dans cet étrange carnet de vol. En le
fermant, je dois dire que j’ai fidèlement
gardé toutes ces années cette affaire
secrète, comme il m’a été ordonné.
Ce fut complètement à l’encontre de mes
convictions de droit moral. Maintenant, je
sens venir sur moi la longue nuit et ce
secret ne mourra pas avec moi, mais tout
comme la vérité, il triomphera et ainsi en
sera-t-il.
Ceci peut être le seul espoir pour
l’humanité. J’ai vu la vérité et cela a stimulé
mon esprit et m’a libéré ! J’ai fait mon devoir
envers le monstrueux complexe industriel
militaire. Maintenant la longue nuit
commence à approcher, mais il ne doit pas
y avoir de fin. Tout comme la longue nuit de
l’Arctique se termine, le brillant soleil de la
Vérité viendra de nouveau… et les
puissances des ténèbres tomberont sous sa
Lumière…
CAR J’AI VU CETTE TERRE AU-DELÀ DU
PÔLE, CE CENTRE DU GRAND
INCONNU.
Admiral Richard E. Byrd
United States Navy 24 December 1956

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