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La cellule vivante n'a d'existence possible (et pensable) que si l'eau la domine et, de ce fait,
l'ionise, lui attribuant ainsi une certaine polarité électrique.
La variation de cette polarité permet d’aboutir statistiquement aux échanges électriques et,
par suite, aux valeurs mesurables de pH et de rH2 puis de résistivité électrique1, laquelle est
une expression de la concentration moléculaire, donc de l’hydratation, de la réserve en
dissociation électrolytique ou encore de la mobilité ionique.
Suivant les variations de ces trois facteurs, la vie évolue dans un sens ou dans l’autre.
Les cellules phycoïdes (algues autotrophes — voir Charles LAVILLE) sont réduites. Les
cellules mycoïdes (champignons hétérotrophes) sont oxydées. Les premières sont négatives
(riches en électrons) ; les secondes, sont positives. Les symbioses algues-champignons,
formes d'assemblages retrouvées dans tous les tissus vivants, aboutissent à une
quasi-neutralité électrique par rapport à l’électrode à hydrogène, les écarts (en plus ou en
moins selon le pH) constituent les spécificités de constitution.
D'après Henry DOFFIN, ces cellules doivent être considérées comme d’immenses
molécules, des super-macro-molécules de 100.000 milliards d'atomes, cellules ionisées (par
l'eau), et alors appelées « cytions ». Ce qui caractérise chacun de ces cytions, dont la
constitution est propre à chaque espèce, ce n'est pas tant le nombre d'atomes constitutifs (le
cytion de l'oiseau est apparemment de mêmes dimensions que celui de l'éléphant et, par suite,
le nombre d'atomes de chacun de ces cytions ne doit pas être très différent), mais la qualité de
certains atomes et la façon dont les multiples atomes se trouvent répartis, puis assemblés,
reliés entre eux. C'est cette disposition des atomes qui donne surtout à la cellule son caractère
spécifique.
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Ces trois facteurs, mesurables électroniquement, simultanément et instantanément, appelés « phroniques ».
définissent la bio-électronique : électronique de la vie, applicable aussi bien à la matière vivante qu'à la matière
dite « inerte ». Les principes de la bioélectronique ont été exposés pour la première fois, par L. CI. VINCENT, le
6 juillet 1954, devant la Société de Pathologie Comparée (Voir Rev. de Path. Comp. Dée. 1954, pages 121.130)
avec présentation du bio-électronimètre permettant d'obtenir les 3 mesures, en une minute, à partir de seulement 3
cm3 de solution. Après avoir signalé que l'organisme vivant pouvait être assimilé à un complexe de tous les
montages électroniques (pile, accumulateur, condensateur, oscillateur, résonateur, amplificateur, émetteur,
récepteur, etc.), l'auteur indiquait que les facteurs phroniques constituent « la clé d'or » ouvrant la voie de la
connaissance, non seulement sur les problèmes de la vie (et de la mort), mais sur toutes les activités de la planète.
Il précisait : « C'est la loi du cosmique universel ». Depuis lors, la fertile notion des facteurs phroniques a été
reprise, dans divers domaines, par divers auteurs (dont certains initiés par nous), mais qui oublient aujourd'hui
dans leurs publications de préciser l'origine de leurs sources et de leur fructueuse ligne de recherche.
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Ce sont ces cytions, considérés non plus comme « cellules », résultats d'un mélange, mais
comme super-molécule (ionisée) qui, en s'unissant suivant les lois impérieuses de la
cristallographie (et des phénomènes électriques qui en résultent), aboutissent obligatoirement
d'après leur constitution propre, à l'organicité, à la morphologie (également spécifique) de
l'individu, de l'espèce, etc. Spécifiques également des cytions et du milieu où ils s'organisent,
se révèlent les fonctions, relations, etc., du vivant. Ainsi, le Maître d'orchestre, invisible et
toujours présent, le « Deus ex inachina », est l'électromagnétisme, dont les manifestations
multiples, permanentes, irremplaçables sont incontestables, bien qu'invisibles. La vie est la
manifestation de « champs vivants. », reconnus, pour la première fois, en 1942, à l'École de
médecine de Yale, par Gustave STROMBERG et son équipe.
On n'oubliera pas, dans les interprétations des effets de l'électromagnétisme sur le vivant,
que l'Eau, constituant essentiel de la cellule (et de l'organisme vivant), puisqu’elle intervient à
raison de 70 % du volume en moyenne, possède d’exceptionnelles propriétés diamagnétiques
(sa susceptibilité magnétique est de - 9.10-6 contre + 0,38.10-6 pour celle de l’air, soit 24 fois
plus et de signe contraire).
L'Eau, encore une fois, justifie la place unique et primordiale qu’elle occupe dans la
réalisation de ce phénomène aussi étonnant que bouleversant, mais, finalement explicable et
compréhensible « électroniquement » : le phénomène de la Vie.
La Vie est une manifestation de la matière à longue et massive chaîne carbonée (et silicée),
organisée, puis animée dans certaines conditions de milieu par l'étectromagnétisme, grâce à
l’Eau : solvant ionisant universel et diamagnétique, aux caractéristiques incomparables qui
« SEUL » est en mesure de donner aux protéines leurs propriétés ampholytiques (ion pouvant
être + ou -, suivant le pH du milieu, le changement de polarité ayant lieu au droit du point
iso-électrique).
3
L’examen simultané des pH urinaire et salivaire, pris chaque jour à la même heure (8
heures), permet de constater de brusques variations périodiques) qui se produisent au
voisinage des phases de la Lune ; pour une même phase, ces variations sont d'intensité
2
Voir COANDA, revue de la France d’Outre-Mer, janvier 1954.
3
La France est le seul pays au monde où l'on boit, abusivement et dangereusement comme eaux de table, des
eaux minérales, chargées d'électrolytes et, par suite, d'ions métaux, facteurs actifs de déséquilibres
bio-électroniques. C'est pourquoi la mortalité annuelle de la France, voisinant 1.200 décès pour 100.000
habitants, est actuellement une des plus élevées du monde (après l'Égypte, le Chili et le Honduras).
4
inégale au cours d’une même année, et, pour une même saison, elles se modifient suivant un
cycle, au cours d'années successives. Les variations périodiques transforment profondément,
et momentanément, les variations quotidiennes, qui se présentent alors parfois sous forme de
séries d'oscillations intenses.
Toute altération de l'état de santé implique une variation du niveau de base du pH, qui tend
vers l’alcalose, tandis que se produit une déformation, avec réduction d'amplitude, des
variations.
Les variations périodiques du sol, qui se produisent à heures fixes, le matin à 6 h. 30, se
présentent comme une résultante des maxima et minima enregistrés sur l'homme, et
répercutés dans le sol, aux mêmes heures, sous forme d'une pulsation rapide des courants
telluriques. Ces variations sont des maxima au printemps et en été, des minima en automne et
en hiver ; l'année 1954, minimum du cycle undécennal d'activité solaire, n'a comporté que des
minima.
L'état colloïdal du sol, comme celui des végétaux et de la salive humaine, traduit cette
même évolution ; il présente un maximum de viscosité lors des minima rapides les plus
intenses, un maximum de fluidité lors des maxima des variations ; de même, la viscosité
s'accroît pour le sol et les végétaux à l'automne, pour décroître après le solstice d'hiver.
Les variations périodiques sont à rapprocher du phénomène des marées, dont les
oscillations de flux et de reflux se traduisent, certaines années, par de nettes variations de pH
aux heures de pleine mer et basse mer, suivant un type à la fois saisonnier et cyclique. Le
niveau de base du pH même de la mer traduit parfois le cycle des saisons, avec acidose au
printemps, alcalose le reste de l'année ; ce fait a été relevé en 1952 et 1953.
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Le niveau de base du pH marque aussi la différenciation des sexes, l'acidose salivaire étant
plus marquée pour l'homme que pour la femme (mesures de l'auteur confirmées par le Dr
Paul BOSSON) ; l’amplitude des variations quotidiennes solaires est plus grande chez
l'homme, l’amplitude des variations périodiques lunaires est plus marquée chez la femme
(mesures de Jeanne ROUSSEAU et L.-CI. VINCENT).
Tout cet ensemble laisse déjà prévoir l’existence de lois fondamentales et inconnues,
régissant une symphonie de l'univers. « L'homme vit au rythme du temps, au rythme des
marées. » L'état de santé de toute individualité vivante, à quelque règne et quelque espèce
qu’elle appartienne peut être défini comme étant l'aptitude que présente son organisme à
suivre les variations ioniques du milieu extérieur, du milieu cosmique. Ces variations, qui
constituent les réactions naturelles d'autodéfense, règlent son équilibre acido-basique, qui
évolue normalement entre d’étroites limites, au-delà desquelles se trouvent la maladie, la
douleur et la mort. L'existence intégrale des variations régulatrices de la physiologie de tout
ce qui vit sur Terre, suppose une certaine résistivité électrique des tissus, qui vient mettre en
évidence l’importance primordiale d'un équilibre biologique, actuellement méconnu. Cet
équilibre, qui devrait être assuré au végétal par le sol dans lequel il vit, assuré à l'animal et à
l'homme par la qualité de l'eau et des aliments dont ils disposent, est désormais
systématiquement, et trop souvent scientifiquement, détruit (vaccins, stérilisations, engrais,
produits chimiques) ; le déséquilibre engendre alors une disharmonie, qui achemine
inexorablement les espèces vivantes vers toutes les formes de dégénérescences, dont le
redoutable cancer n'est qu'une expression tragique et trop connue, mais dont la science et la
médecine officielles ignorent officiellement (ou veulent encore ignorer) les coordonnées
bio-électroniques déviées, que nous avons définies, dès 1952, exposées en 1955, publiées en
1956, à la suite des mesures de contrôle du Dr Paul BOSSON (voir Revue de Path. Générale,
avril 1956). Le cancer correspond de façon formelle à un terrain sanguin de pH alcalin,
suroxydé (ou surélectronisé) et de très faible résistivité électrique, donc surchargé en
électrolytes et en métaux.
L'interprétation des observations précédentes attire l'attention sur les points suivants :
a) Le phénomène des marées est susceptible de se traduire par une « brusque variation de
pH aux marées de pleine mer et basse mer », variation qui se répète de façon identique en
différents lieux, au cours d'une même saison et d'une même année ; ceci nous indique qu'il
existe dans l'espace « deux plans perpendiculaires ionisés à action énergétique », l'un
correspondant aux basses mers, l'autre aux pleines mers. Ces plans sont extérieurs à la Terre,
indépendants du mouvement de rotation de la Terre sur elle-même, et suivent obligatoirement
la Lune dans son périple de 28 jours autour de la Terre, du fait de la variation constante des
heures de pleine mer et basse mer aux cours d'une lunaison.
autres d'une polarité négative ». Ces plans sont extérieurs à la Terre, indépendants du mouve-
ment de rotation de la Terre sur elle-même, et l'accompagnent dans son périple de 365 jours
autour du Soleil.
c) Ces mêmes variations de pH nous indiquent que l'intensité d’ionisation des plans est
« fonction des saisons », ce qui permet de leur attribuer une origine solaire, et d'affirmer que
« le rayonnement reçu par la Terre est fonction de la position qu'elle occupe sur son orbite »
au cours de sa révolution annuelle.
Ces diverses remarques nous conduisent donc à rechercher dans certaines données de la
physique, des éléments permettant d'interpréter les phénomènes en cause.
Le Soleil est une étoile, située sur le pourtour d'un amas cosmique qui constitue notre
Galaxie, dont il effectue le tour, suivant un rayon de 30.000 années-lumière, en un temps
évalué à 220 millions d'années. Simultanément, il fonce à une vitesse de 20 km par seconde,
vers un point de l'espace appelé « apex », point situé dans la région de Véga de la Lyre. Dans
cette course impressionnante (et tourbillonnaire), il entraîne son cortège de comètes,
d'astéroïdes et de planètes, celles-ci drainant leurs satellites ; tout cet ensemble décrit autour
de lui, non des ellipses fermées, mais des spirales sans fin (du fait de la translation jointe à la
révolution).
Le Soleil lui-même, ou plus exactement, l'image lumineuse que nous en voyons4 est
constituée par une zone centrale : la photosphère, considérée comme incandescente et
lumineuse, bien que son bord soit « inexplicablement sombre ». Autour de la photosphère
apparaît une zone condensée, riche en infra-rouges : la chromosphère. Lors des « éclipses »,
cette chromosphère nous apparaît elle-même entourée d'une large zone ténue et diffuse, riche
en ultra-violets : la couronne5. De la photosphère jaillissent les protubérances, véritables jets
de radiations projetées dans l'espace, dont les unes retombent sur le Soleil (son image), soit
aspirées par des centres d'attraction, soit en s’enroulant (en spirales), suivant des trajectoires
déterminées, tandis que les autres s'en échappent définitivement (ou semblent s'en échapper).
La photosphère est considérée comme une masse fluide, tournant sur elle-même en 27
jours (durée de la révolution lunaire) dans sa partie équatoriale, considération dictée par le
déplacement de taches sombres à sa surface. Ces taches, qui disparaissent à l'Ouest pour
réapparaître à l'Est, sont de puissants champs magnétiques ; elles passent par des alternatives
de maxima et minima, qui constituent le cycle undécennal — deux cycles undécennaux
successifs différant eux-mêmes par l'intensité des maxima du rayonnement émis.
Remarquons, ici, que l'hypothèse du Soleil « tournant sur lui-même » est incompatible
avec l'existence d'un rayonnement ionisé variable au cours des saisons ; les variations du pH
impliquent, en effet, l'existence de deux courants ionisés de polarité inverse, nettement
répartis autour de la photosphère : le courant positif passe par un minimum au solstice d'été,
tandis que le courant négatif persiste ; le courant négatif passe par un minimum au solstice
d'hiver, tandis que le courant positif persiste, et les deux courants sont égaux aux équinoxes.
Ceci indique que le Soleil est « orienté de manière fixe » par rapport à l'orbite terrestre, et que
la rotation n'est qu'une « apparence », due au déplacement de taches, qui se projettent
alternativement sur l’image lumineuse solaire, ou en dehors de cet écran.
2° Constitution de l'ionosphère.
L'ionosphère semble se contracter la nuit, se dilater le jour, pour un motif inexpliqué ; elle
présente des marées, l'une solaire, l'autre lunaire, susceptibles de s'ajouter ou de se retrancher
suivant les saisons ; sa propriété réfléchissante des ondes radioélectriques cesse pendant les
aurores polaires.
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La Terre est un aimant, à polarité orientée Nord-Sud, suivant l'axe géomagnétique des
pôles, faiblement incliné sur l'axe géographique, incliné lui-même à 66°33', sur le plan de
l'orbite terrestre. Le champ magnétique terrestre, intensifié aux pôles, se présente sous forme
d'un fuseau, étiré en direction des pôles, symétrique par rapport à l'axe géomagnétique, et
englobant les couches de la basse et moyenne atmosphère. Ce champ tourne sur lui-même
suivant la rotation terrestre, le sommet de chaque pôle magnétique décrit ainsi une trajectoire
circulaire fermée autour du pôle géographique correspondant. Le fuseau magnétique constitue
la couche D de l'ionosphère. Le champ magnétique terrestre engendre un circuit électrique
induit orienté Est-Ouest (sens direct), et situé dans un plan médian perpendiculaire, donc
incliné sur le plan de l'équateur terrestre6. La limite extrême de ce circuit, qui détermine dans
l'espace la zone d'attraction de la Terre, n'est autre que l'orbite lunaire, de forme elliptique, et
dont la Terre occupe l'un des foyers.
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C'est au long de ce grand cercle para-équatorial que se trouvent les plus nombreux volcans (à structure cratère
femelle, ou cratère ouvert, comme l'électrode négative d'un arc électrique) de la Terre. Ainsi, tous les volcans
sont la conséquence d'un arc électrique terrestre souterrain, se produisant au droit de failles géologiques, là où les
différences de potentiels et de résistivité sont les plus importantes. La Terre est froide et ne contient en son sein,
ni chaleur, ni matière en fusion. Le degré géothermique, très irrégulier d'ailleurs, est la conséquence d'effets joule
locaux.
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Dans le cône de lumière ainsi formé se dressent deux axes longitudinaux perpendiculaires,
l'un horizontal, l'autre vertical, de nature électrique, ondulatoire et tourbillonnaire, à action
puissamment énergétique.
La constitution de l'atmosphère, telle qu'elle vient d'être exposée, permet l'explication des
phénomènes célestes et terrestres les plus divers, que nous allons examiner maintenant.
La lumière zodiacale, qui apparaît, à l'Ouest, après le coucher du Soleil, et, à l'Est, avant
l'aube, sous forme d'une lueur en fer de lance dans nos régions, et sous forme d'une pyramide
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lumineuse dressée sur le ciel à l'Équateur, n'est autre que le cône luminescent de l'ionosphère
solaire, dont l'aspect varie suivant l'angle d'observation, et, par conséquent, suivant la latitude.
— La luminescence nocturne est un effluve lumineux qui se produit au niveau des couches
E et F de l'ionosphère, par suite du glissement incessant des molécules gazeuses au contact
des couches ionisées ; il y a production de deux zones d'électrisation permanente, et
différentes 1’une de l'autre.
— Les aurores polaires sont de type différent suivant la latitude : dans la région des pôles,
les zones aurorales sont dues à l'intersection des plans verticaux des ionosphères solaire et
lunaire par le sommet de la couche D, dont la rotation autour du pôle géographique explique
la rotation apparente du pôle auroral ; aux basses et moyennes latitudes, les aurores sont de
type accidentel, et sont susceptibles de se produire lors de l'intersection des plans de
l'ionosphère solaire par les plans de l'ionosphère lunaire. La décharge électrique engendre des
strates lumineuses analogues à celles observées en physique, lors du passage du courant dans
l'atmosphère gazeuse raréfiée des tubes de Geissler.
2° Phénomènes terrestres.
La forme fixe du cône solaire et du tube lunaire, à l'intérieur desquels tourne la Terre
entourée de son fuseau magnétique, implique une variation de tous les phénomènes terrestres
en fonction de la latitude. Il est, en effet, manifeste que l'influence lunaire, qui s'avère intense
à l'Équateur, au niveau du plan de l'orbite, s'atténue progressivement vers les pôles, tandis que
croît progressivement l'influence magnétique terrestre, qui y devient prédominante.
Dès lors, les climats, le type des marées, la végétation, la faune et le type des races
humaines, apparaissent étroitement liés aux variations d'ionisation cosmo-tellurique, qui sont,
elles-mêmes, fonction primordiale de la latitude.
La diversité du phénomène des marées est due à la complexité des forces qui s'exercent à
la surface de la Terre, forces qui, parfois, engendrent des points de potentiel nul, qui sont les
points amphidroniques, et, parfois, des lignes équipotentielles, qui sont matérialisées par les
courants marins, enroulés en sens rétrograde dans l'hémisphère magnétique Nord, en sens
direct, dans l'hémisphère magnétique Sud (alizés).
Le type de marées que nous allons étudier, ici, est le type semi-diurne et alterné des côtes
de France.
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L’auteur a calculé que la spiraloïde solaire a comme section transversale une ellipse, dont le grand axe, incliné
de 60 degrés sur l’équateur de la galaxie, a environ 35 milliards de km, le petit axe incliné de 30 degrés sur le
même équateur ayant 25 milliards de km (approximativement).
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L'une des périodicités est d'origine solaire, et engendre les maxima des marées de syzygie
au voisinage des équinoxes, et les maxima des marées de quadrature au voisinage des
solstices.
La seconde période oscillatoire est nettement décelable par l'examen comparé des
coefficients de marée de pleine Lune et nouvelle Lune, d'une part, de premier et dernier
quartier, d’autre part. La prédominance des marées de l’une des syzygies par rapport à l'autre,
est inversée tous les quatre ans, tandis qu’une période de huit années rétablit l'identité des
coefficients correspondant à une même phase lunaire, au cours des mêmes saisons de l’année
; il en est de même pour les quadratures. C'est ainsi que le type des marées :
On peut aussi remarquer que la date d'inversion des marées prédominantes, de syzygie
d'une part, de quadrature de l'autre, se déplace d'une année à l'autre de façon sensiblement
régulière. Ces dates, reportées sur l'orbite de la Terre, forment un système de deux axes
sensiblement perpendiculaires, vis-à-vis desquels les marées prédominantes se présentent de
manière fixe, et qui effectuent en huit années le tour complet de l'orbite. Le cycle octennal,
composé de deux cycles quadriennaux inverses, correspondant à une rotation de 180° des
axes, se retrouve dans les données classiques de l'astronomie, en calculant l'heure de passage
de la Terre à l'équinoxe de printemps, et la position occupée par la Lune à cette même heure.
Ce calcul, effectué de l'an 1840 à l'an 2000, permet de constater que l'inversion du cycle se
traduit par des phases lunaires opposées.
Le cycle local de marées relevé de 1947 à 1957 correspond donc, en réalité, à un fait
général, modifiable, comme tout autre, suivant la latitude. Il exprime la rotation dans le
système solaire d'un tourbillon ionisé de manière fixe, présentant l'aspect de ceux qui forment
les Galaxies ; ce tourbillon comporte deux bras de polarité opposée, effectue en huit années
un tour complet sur lui-même, et, suivant son orientation par rapport à l'orbite terrestre,
amplifie ou réduit, au cours d'une même période d'années différentes, la polarité positive de la
pleine Lune, ou la polarité négative de la nouvelle Lune. La polarité positive des quadratures,
amplifiée par la zone positive de la spirale, s'applique alternativement au premier ou au
dernier quartier, étant donné la position inverse de ces phases par rapport au Soleil, de part et
d’autre des axes de symétrie de l'orbite de la Terre.
Ainsi s'explique la seconde période oscillatoire des marées, qui constitue en même temps
le cycle modificateur des saisons, en amplifiant on réduisant l'intensité saisonnière des
13
1° Structure de la lumière.
L'incandescence d'un corps est une forme de désintégration de la matière, qui implique la
destruction des forces électromagnétiques assurant sa cohésion ; il y a alors libération de ces
forces, avec production d'un rayonnement électromagnétique, décomposable par
l'atmosphère, comme pour le rayonnement solaire. Il en résulte la formation d'un faisceau
lumineux divergent, de nature purement ondulatoire, ceint de deux rayonnements
magnétiques, l'un positif, l'autre négatif, orientés de part et d'autre du cône, qui ont, l'un et
l'autre, un effet énergétique et ionisant. Dans l'axe du cône de lumière se forment deux plans
perpendiculaires à action énergétique qui sont les composantes horizontale et verticale du
champ tourbillonnaire des vibrations lumineuses. La constitution du rayon de lumière
comporte donc en elle-même l'explication des phénomènes de diffraction et d'interférences,
de même que l'explication des possibilités énergétiques.
2° Nature de l'énergie.
8
Dans un même système tourbillonnant (soleil-planètes) les potentiels de translation sur les orbites sont organisés
par les lois du tourbillon électromagnétique. La courbe des vitesses de translation en fonction de la racine carrée
du rayon de l'orbite est une hyperbole équilatère. C'est cette relation qu’exprime, de façon inutilement
2 3
La constitution rigide de l'atome, telle que nous la connaissons, ne suffit pas à expliquer de
multiples phénomènes, donc ne correspond pas exactement à la réalité.
L'effet Volta, qui implique le déplacement d'un gaz électronique d'un métal à un autre,
l'effet thermoélectrique, qui implique un déplacement identique de la partie chaude vers la
partie froide d'un même métal, font mention d'une constitution complexe de la matière,
confirmée par la décomposition des raies spectrales par un champ magnétique, donnant
naissance à l'effet Zeeman. L'effet Hall, qui fait apparaître une polarité négative sur une face
d'un conducteur métallique, et une polarité positive sur la face opposée, lorsque ce conducteur
est soumis à un courant électrique longitudinal, et à un champ magnétique transversal,
suppose l'existence d'un fluide orientable suivant le sens du courant, et séparable en deux
polarités. Cette possibilité d'orientation se retrouve dans l’effet piézo-électrique, qui crée à la
fois dans un cristal soumis à une déformation, une polarisation ionique et une polarisation
électronique opposée.
Ces diverses considérations conduisent à considérer la matière comme ayant une double
structure : structure corpusculaire, et structure gazeuse polarisée, identique à la structure
même du système solaire. La nature de l'élément gazeux nous est indiquée par d'autres
phénomènes.
La matière s'avère donc constituée par un assemblage de neutrons, autour duquel s'enroule
la spirale bipolaire des éléments séparés de l'hydrogène (proton et électron), spirale animée
d'un mouvement propre, autour d'un noyau magnétique oscillant. Les protons, condensation
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du gaz lourd, s'appuient ou presque les uns sur les autres et sur les neutrons, dans la partie
positive de la spirale ; les électrons, condensation du gaz léger, sont répartis sur les couches
de densités différentes, dans la partie négative de la spirale. La zone positive lourde est
prépondérante pour les métaux, la zone négative légère prépondérante pour les métalloïdes.
Dès lors, la zone électronique condensée des métaux ne se prête pas à l'admission
d'électrons extérieurs ; par contre, le moindre effet compressif de la zone négative en fait des
donateurs dont les ions sont positifs ; inversement, le métalloïde ne se prête pas à la cession
d'électrons, du fait de la dilatation de la zone négative, mais à l'acception d'électrons
extérieurs, c'est donc un accepteur, dont les ions sont négatifs.
Cette conception nouvelle de la constitution de la matière, qui cadre avec les expériences
les plus diverses de la physique, et permet de les expliquer sans modifier le type général de
l'atome, contient en elle-même l'explication de la vie et de la structure de l'univers : d'un
univers essentiellement électromagnétique où alors la loi de la gravitation universelle de
Newton devient sans objet et il faut le dire « néfaste », car son application est cause d'erreurs
énormes sur les densités planétaires, solaire, stellaires, extra-galaxiques, erreurs qu'il y a lieu
9
Cette conception de l'atome permet de comprendre que l'espérance d'énergie en provenance de la fission ou de
la fusion d'atomes est une vue chimérique qui ne pourra aboutir à aucun résultat pratique, sinon de dépenser
vainement des centaines et des centaines de milliards de francs et de conduire les peuples naïfs aux désastres
économiques (par disette économique). Un mémoire de 75 pages, a été déposé, en décembre 1956, à l'Hôtel
Matignon. Ce mémoire, rédigé par une équipe de physiciens indépendants, signant Pascalus, a été présenté par
l'auteur avec une lettre précisant qu'un Gouvernement ayant de plus en plus besoin de pétrole et malgré les
soi-disant infinies ressources énergétiques de l'uranium, se soumettrait en toutes circonstances devant les Pays
Arabes, détenteurs de pétrole, seule matière énergétique valable. La présidence du Conseil Français a accusé
réception du mémoire ci-dessus sans réaction ni commentaire.
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Déclarations de l’auteur, lors de ses cours de novembre et décembre 1956, à l'Ecole d'Anthropologie de Paris.
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Le circuit est relié à l’Apex, situé dans la région de Véga de la Lyre, par un tube de force magnétique sur
lequel les lignes de force forment des zones ionisées d’intensité différente. Le Soleil se déplace suivant un circuit
électrique spiralé, enroulé sur le tube de force ; le pas de la spirale est de vingt-deux années, le demi-pas
constitue le cycle undécennal, au cours duquel le soleil traverse des zones magnétiques d’intensité différente, qui
traduisent son cycle d’activité (maxima M et minima m + et -). L’ensemble du tube de force magnétique, et du
circuit électrique spiralé qui l’entoure (et qui est la résultante d’un mouvement de translation dans un champ
magnétique variable) est analogue au solénoïde classique.