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-l’hypothèse des ponts continentaux : la partie qui reliait les cont. A sombré ds les océ
Ø traces de ces ponts ds les océ
-cycle de l’eau et sédimentation : c’est le circuit que décrivent ds l’esp les molécules d’eau
extraites des océ par évapo.
Entraine l’érosion de la croute cont. qui donnera par la
suite des roches sédimentaires
Géosynclinales : fosses marines « bourrées » de sédiments
-le relief des plates-formes : origine : anciennes plaques cont qui se sont écrasés contre des
géosynclinaux bordeliers (dc forma° chaînes géosynclinales) et rabotés par l’érosion
II. Composante climatique
II.1. L’atmosphère
-définition : c’est la mince pellicule d’air, pollué de poussières diverses, qui entoure la planète
et qui permet la respiration biolo et le cycle de l’eau
-le rayonnement solaire : rayons cosmiques ; rayons X ; rayons UV ; rayons lumineux ; rayons
IR ; ondes radioélectriques
Constante solaire=1,94 cal/cm²/mn
-l’atmosphère : troposphère (couche inf.) souillée sur les 2-3 prem km par la crasse
atmosphérique
Stratosphère (17→50km de ht) + grd quant d’UV dc + chaud
Ionosphère (≥50km de ht)
II.2. La température
-radiations, température et effet de serre : 20% des rayons du Soleil sont absorbés par des gaz
ds l’atmosphère, l’eau des nuages et des poussières
La Terre produit des IR la nuit qui sont réfléchis
par ces mêmes nuages. C’est l’effet de serre qui permet de maintenir la t° moy du globe à +18°C
-les températures du globe : zones thermiques (deux calottes froide, une z intertropicale et
deux z tempérées)
Photopériodisme=répartition saisonnière de l’éclairement (inégal
suiv les régions)
-les mécanismes de la pluie : causes de refroidissement de l’air : advection d’air froid (arrivée
d’un vent froid), convection thermique (air humide réchauffé par le sol se refroidit en alt.→
orages d’été), élévation forcée (vent humide forcé de s’élever en altitude par le relief),
convergence dynamique (vent obligé de prendre une courbure cyclonique→cyclones tropicaux,
typhons)
II.4. La circulation atmosphérique
-le vent : c’est un flux d’air
Cause : ≠ de pre° atmosphérique (souffle de la ht vers la basse pre°)
Aires de ht pression=aire anticyclonale (anticyclone)
Aires de basse pre°=aire cyclonale
Lignes d’égale pre°=isobares
Le vent qui souffle d’une ht pre° vers une basse pre° est déviée vers sa droite ds
l’hémisphère nord et vers sa gauche ds l’hémisphère sud (force de Coriolis)
-masses d’air et centres d’action : la troposphère se divise en masses d’air ac des carac qui
leur sont propres
L’air tropical : dirigé d’ouest en est par le jet-stream
(courant-jet qui rabat l’air vers le bas)
Contact air tropical-air polaire : chaque calotte polaire
expulse des plaques peu épaisses d’air froid et dense= anticyclones mobiles polaires (AMP) ces
calottes glissent vers les régions tropicales et s’agglutinent à d’autres anticyclones cont pour
former des agglutinations anticycloniques (AA)
Contact air tropical nord-air tropical sud : les alizées
convergent vers l’Equateur→création d’une z intertropicale de convergence (ZIC)
-les rapports biotiques (=rapp entre les org vivants) : relations de nutri° (ou chaines trophiques)
plante= producteur, animaux=conso
Perte d’énergie au passage de maillon à
maillon de cette chaîne
Le cycle trophique peut ê court-circuité par
le parasitisme
Interdépendance égalemt pour la reproduc°
(ex. : les insectes permettent de répandre + loin cert pollens)
Equilibre et déséquilibre : équilibre des
biocénoses= dynamique →résulte des compéti° internes de la biocénose (ex. : tp de mâles pour
une femelle= combats pour éliminer les + faibles)
Les interventions anthropiques : destruc°
d’espèces, trans d’espèces involontaire ou volontaire, bouleversemt des forma° végétales
(déforesta°, reboisemt)
-les horizons du sol : la circula° d’eau peut ê par percola° normale (de ht en bas), remontée par
évapora° (de bas en ht) ou latéralemt par l’effet de la pente
Excès de circula° ou stagna° de l’eau= t mauvais pour les plantes
Composi° du sol de ht en bas : eluvium (appauvrie pas le lessivage), illuvium
(enrichi par les subst. qui viennent de l’eluvium), la roche mère
Composi° du sol bouleversée par l’anthropisation
-au fil de l’eau : d’amont en aval la vit diminue, la t° augmente et les esp se diversifient
3 secteurs le lg d’un cours d’eau : l’amont les eaux vives (fraîche, oxygénée
mais peu nutritive), l’aval les eaux lentes (tièdes, troubles dc = nutritives, à fond boueux),
secteur médian (caract. intermédiaire)
-paraclimax : c’est la naissance d’un autre écosystème dut à un déséquilibre, vrai, non compensé
par la nat
-plésioclimax : nature qui revient dans un état voisin de son état d’origine après un
bouleversement
IV. La mosaïque bioclimatique du globe
IV.1. La répartition des climats
-la zone climatique cosmique : la z froide=z des minimums d’apports radiatifs ; elle englobe les z
polaires et « circumpolaires »
La z tempérée=z située aux latitudes moy ; se subdivise en une z
tempérée str. s. et une z subtropicale
La z chaude=la mieux alim en énergie solaire ; comprend une z des
ht pre° tropicales, une z tropicale str. s., une z continuellemt recouverte d’air tropical
-perturbations par les flux atmosphériques et marins : rota° anticyclonique des eaux dut
aux vents d’Est ds les basses latitudes et aux vents d’Ouest ds les moy latitudes
Façades occ des cont= longés par
des courants marins d’origine tropicale
Façades ori des cont= rétrécissemt
des z tempérées
-perturbations dues aux continents : les perturbations orographiques= si des littoraux ou des
chaînes de montagnes se retrouvent placées sur le trajet de vents humides → augmenta° des
précipita°. De plus, il y a une z de sécheresse derrière les écrans montagneux.
Les effets de continentalité= la proximité des mers et
océans diminue l’amplitude thermique te annuelle du cont voisin et augmente la présence de
brouillard et de pluies
-les bioclimats forestiers tempérés : =moyenne thermique annuelle peu carac, hivers frais voir
froids et étés tièdes voir chauds
Le bioclimat tempéré océanique= le plus classique de la
gamme humide → forêt caducifoliée naturellemt
Le bioclimat tempéré océanique superhumide= secteurs
côtiers tièdes, venteux et les + arrosés → forêt caducifoliée et luxuriante
Le bioclimat tempéré méditerranéen= cyclones tempérés
d’Ouest de l’automne au printemps et sécheresses l’hiver → végéta° sempervirente qui se repose
l’été
Le bioclimat tempéré continental= été chaud et hiver très
froid avec des bourrasques de neige → forêt moitié feuillue, moitié conifère
Le bioclimat tempéré hypercontinental= étés tièdes et
hivers entre -40°C et -50°C → forêts de conifères uniquement
-bioclimats secs à hiver froids : =climats de z tempérées ac des précipita° faibles et une
amplitude thermique forte
Le bioclimat tempéré aride à hivers froids= étés brulants
et orageux et hivers glacés → désert
Le bioclimat tempéré continental sec= aridité, varia°
thermiques → prairies, steppes
-le bassin versant : c’est l’esp géo alimentant un cours d’eau et drainé par lui
Evapotranspiration=évapo physique+transpi biolo
-la notion de régime : c’est la variation selon qu’il arrive + ou – d’eau à la riv
→régimes thermiques (fonte des neiges)
Régimes pluviaux (saisons des pluies)
-la dissocia° superficielle : due à l’ac° d’agents atmo, cosmo ou biolo (elle est aussi appelée la
météorisation)
La désagrégation mécanique= fragmenta° de la roche due à
l’alternance de dilata° et de contrac°
L’altéra° chimique= dissolu° ou hydrata° d’une roche due aux rayons
UV ou à l’eau (pluie, rosée, humidité de l’air) ex. : dissolu° karstique
L’érosion biologique : désagréga° de la roche soit de manière
mécanique (gonflemt des radicelles ds les fissures de la roche) ou chimique (acidité des racines)
-le transport des débris et l’érosion stricto sensu : débris déplacés vers l’aval ss l’ac° de la
gravité soit directemt soit grâce à un agent de trans (ex. : rivière)
Mais les agents de trans sont aussi des
facteurs d’usure → érosion au prem sens du terme
-l’évolution des fonds de la vallée : usure du fond du lit par arrachage de matériaux
Compétence= aptitude du cours d’eau à mettre en mvt
Capacité= rôle d’évacua° des particules
Seules les eaux claires sont aptes à arracher, dc à éroder
verticalemt (l’excès de charge diminue la vit) → elles dev troubles en aval
-la déformation des matériaux géologiques : dues à l’interven° des forces tectoniques
Les qual propres à chaque matériau font qu’une
même force peut engendrer cassures ou plissemt
Résultats des déforma° : en matériel « souple » :
dômes, cuvettes, couches basculées, plissées ; en matériel « rigide » : failles, volcans affaissés
en leur centre
Caractères météoriques= déforma° dues à l’impact
d’une météorite
VII.2. Les reliefs dérivés
-principe : ils résultent de l’ac° de l’érosion sur les reliefs primitifs
L’érosion s’attaque d’abord aux roches les + tendres → le relief n’est plus
structural que localement
L’érosion a svt lieu pdt la mise en place géologique des reliefs → le réseau
hydrographique, inadapté, est dit « antécédent » car il est bien svt plus ancien que le relief
-les reliefs dérivés de la structure tabulaire :dus à l’enfoncemt des vallées ds les couches
concordantes du centre ou de la marge des bassins sédimentaires
Ds le centre des bassins les couches sont
horizontales, les vallées y découpent des plateaux structuraux supportés par les couches dures ;
coteau= raccord du flanc des vallées avec le rebord des plateaux ; une vallée particulièremt
encaissée= un canyon
Plateau dissymétrique= cuestas
-les reliefs dérivés en structure plissée : anticlinal érodé ≠ un « mont » ; des rivières trav
par des cluses (gorges évasées traversant perpendiculairemt) ; intérieur tendre de l’anticlinal
éventré en combe ; crêts= les deux falaises au-dessus de la combe
Synclinal perché=plateau isolé à bord escarpés dut
à la suréléva° du val adjacent par rapp à la combe → inver° de reliefs (les pts bas de la struct
dev les pts hts)
Les dômes évoluent en combes peu prof= les
boutonnières
-les pédiplaines : = plaines d’érosion parfaites ac des reliefs résiduels + hardis, on les
appelles « inselbergs » (= montagnes-îles en all)
-réseau hydrographique inadapté : c’est qd il tarv les obstacles structuraux au lieu de les
contourner
Raisons : la rivière existait av que se forme le pli ou elle
coulait autrefois au-dessus du pli (c’est une épigénique ou surimposée)
-évolution par captures successives : capture par déversement= une rivière chargée d’alluvions
se déverse ds une rivière voisine à la suite de l’exhaussement de son propre lit
Capture par érosion régressive= une riv t érosive va
soutirer l’eau d’une riv voisine en reculant se tête de source
-tracé du réseau hydrographique : en montagne (lato sensu) : pente longitudinale forte,
écoulemt rapide, tracé + ou – rectiligne, versants inclinées, lit en gorge ou en canyon, dépôts t
grossiers
En plaine : tracé des riv en tresses (lits multiples vaguemt
parallèles), pente t faible, dépôts fins, méandres
-les tremblements de terre : causes de séismes = éboulemt de falaises, impacte d’une grosse
météorite, éruptions volcaniques, contraintes tectoniques
Effets des séismes = morts, crevasses ds le sol, chutes de pierres,
glissemt de terrain, « raz de marée » ou tsunamis
Mesure des séismes : échelle de Mercalli autrefois par rapp aux
dégâts matériels causés ; utilisa° de sismographes ; échelle de Richter par rapp à la magnitude du
séisme ; échelle MSK améliora° de l’échelle de Mercalli
-les éruptions volcaniques : liées aux rifts et aux lignes d’affrontement interplaques
Effets primaires de éruptions : coulée volcanique à hte t°, projec°
(cendres, pierres ponces, nuages toxiques), nuées ardentes (= nuages-avalanches à ht t° qui
labourent les vallées en qq sec), émi° brutales de gaz carboniques
Effets secondaires des éruptions : vallées bouchées par les débris
→ retenues d’eau, grossissement des rivières, altéra° de l’atmosphère en CO2
-les pollutions dues au développement industriel : la pollution atmosphérique due aux émi°
industrielles d’aérosols et aux déchets de combustion (CO2 par ex.) → smog, acidifica° des
pluies. Pollu° atmo due à l’énergie nucléaire → irradia°
La pollution des sols : retombé des polluants
atmosphériques par la pluie, engrais, pesticides → disparition de cert espèces ou maladies
La pollution des eaux : rejets anthropiques,
polluants du sol ou de l’atmosphère, marées noires, échauffement des eaux par les centrales
thermiques → diminu° de la teneur en O, mort de poissons, manque d’eau, mort des coraux
La pollution biotique= introduction délibérée
d’organismes vivants perturbateurs ds les écosystèmes → développement anarchique de ces
espèces
Pollution par les déchets : décharges,
déchets chimiques ou nucléaires → pollution des sols et des eaux
DEUXIEME PARTIE : Les milieux « naturels » difficiles
-les plantes du désert : adaptées aux cond t rudes qui règnent au ras du sol → manque
d’eau, chaleur
Xérophytie (= racines t longues, attirées par l’humidité et la
fraicheur du sous-sol), pt feuilles, rameaux noueux et épineux
- les formations végétales : faible hauteur : la plante pousse lentemt et concurrence ac les
racines qui veulent pomper l’eau disponible
Faible tx de recouvremt
3 formations de base : la steppe (buissonnante ou herbacée ac un
tx de couverture de 10 à 50%), la brousse épineuse claire sur les inselbergs (tx de 50%), forêt
de pt arbres le lg des oueds (tx jusqu’à 80%)
-la faune : panoplie de parades à l’aridité + diversifiée que pour les plantes pt taille, pelage
ras, couleur fauve, psychologie de prévoyance, physiologie antigaspillage, fabrication d’eau de
métabolisme à partir des graisses
Vie ds les refuges : sont enfouis le jour et sortent la nuit
Morphologie légère et nerveuse → grd aptitude à la course → l’animal est cap de
couvrir de lg dist pour gagner pâturages et pt d’eau
-les sols : les sables vifs n’ayant pas de végétation n’ont généralement pas de sols → pas ou
peu d’humus
Forte présence de sels en tout genre
Oasis de palmiers-dattiers → les sols du désert ne sont pas nécessairemt
infertiles
-les excès les plus efficaces : crises pluvieuses + intenses, les crues récurent les talwegs jusqu’à
le mer → inondations ds le bassin, eaux abondantes → glissemt de terrain
Crises de sécheresse + prolongées → les herbacées meurent les
premières, fuite de la faune, sol fendillé, tourbillons de poussière
-une empreinte anthropique plus forte : élevage, agriculture, construction de villes → excès
climatiques, inonda° et désertifica° + douloureusemt subies et niv de vie médiocre → émigra°
-les déserts d’éloignement (ou continentaux) :éloignemt à l’int des cont = même effet qu’un obs.
topographique
Hivers + froids et saison des pluies + décalée vers
l’été
-les déserts complexes : les déserts polygéniques = déserts à causes d’aridité multiples
Les déserts d’altitude= déserts mixtes où l’aridité, quelle qu’en
soit la cause, se combine aux effets de l’altitude, d’ailleurs eux-mêmes différents selon la
latitude
En csqent, il n’y a pas de simple désert
-un désert continental, le Touran : c’est le + ancien désert asiatique mais c’est un jeune désert
Un relief monotone : immense cuvette ; topographie plutôt
plane et dépourvue de paléoformes autres que lacustres
Sahara ou Sibérie ? : recouvert l’été par l’air anticyclonique
subtropical (→ étés étouffants de chaleur avec tempêtes de poussière) et l’hiver par l’air
anticyclonique sibérien (→ hivers glacés, venteux, tempêtes de neige) ; rares précipitation
Végétation : steppe herbeuse rase et claire ds les plaines
argileuses, steppe buissonnante sur les « koums », fourrés d’arbustes défeuillés le lg des rivières
La faune : rongeurs, oiseaux, reptiles
III. Les rigueurs polaires
III.1. Les climats polaires
-l’originalité polaire : un froid profond : les régions polaires sont les + froides du Monde (-20°C
environ à la calotte polaire arctique et -10°C environ pour l’antarctique) → extrême sécheresse
de l’atmosphère → précipitations faibles comme ds le désert ; les précipitations sont sous forme
de neiges sèches ; le sous-sol est gelé en permanence
Un photopériodisme très spécial : au-delà des cercles polaires l’aurore, le
jour, le crépuscule te la nuit se dilatent au point d’occuper, aux pôles, tt l’intervalle temps d’une
année (aurore= 1 mois, jour= 5 mois, crépuscule= 1 mois, nuit= 5 mois) ; c’est la mauvaise qualité
radiative qui est à l’origine de ce froid (la quant de chaleur reçue est de 41% à chaque pôle)
-le mécanisme climatique antarctique : réglé par le contraste entre le cont excessivement
froid et l’anneau maritime – froid
Vortex antarctique= gigantesque mvt de
subsistance au pôle et d’ascension sur la périphérie
-l’ourlet maritime : émi° de larges et courtes langues pas l’inlandsis attirées par l’aval et
poussées par les vents ; elles sculptent des rides parallèles, les « sastrugis »
Qd ces langues se prolongent en mer elles se mettent à flotter et peuvent
const de véritables plateformes de glace appelées « ice shelf »
Du shelf et de la banquise se détachent des ice-bergs
-la biocénose antarctique : le biotope terrestre n’est pas facile : flore t pauvre en espèces
(algues, mousses et lichens), faune quasi inexistante (insectes et vermisseaux rotifères)
Le biotope littoral est t fav à la vie : riche en phytoplanctons
grâce aux sels nutritifs → riche en zooplancton → crevettes → poissons, baleines, phoques,
manchots, oiseaux de mer…
-le cadre continental : l’Antarctique continental humide : climat t neigeux → fortement englacé ;
bilan glaciaire (bilan=alimenta°-abl°) négatif ; bédières= rivières d’eau de fusion situées dans le
sud
L’Antarctique continental sec : désert de pierres où la neige, t seiche, peu
abondante, fond en été
-la vie arctique : la vie terrestre : - inexistante que ds l’Antarctique car de nb régions
arctiques sont déneigées deux fois par an et L’arctique n’est pas isolé
Steppe polaire
Herbivores et qq carnivores, qq oiseaux, qq pt rongeurs : retournent ds le
circumpolaire l’hiver sauf pour le Grand corbeau noir
La vie océanique : ≈ celle de l’Antarctique : phytoplancton, zooplancton,
grd Rorqual, poissons, phoques, orques, ours polaires…
Présence d’esquimaux et de bases scientifiques et militaires
-les mécanismes actuels : la prépara° du matériel rocheux se fait pas gélifraction → forma°
de gros blocs formateurs d’éboulis eux-mêmes susceptibles de t bien raboter la paroi
Cryoturbation= lents courants de brassage à l’intérieur du mollisol,
provoqués soit par des ≠ de t°, soit par appel de l’eau par la glace de ségréga°, celle qui se frome
et grossit autour de cristaux préexistants
-la vie animale : se réfugient l’hiver ds des trous sous la neige, au contact du sol
Surtt des rongeurs, bœuf musqué, lièvre polaire, écureuil terrestre
Animaux migrateurs venus des forêts du sud (élan, renne, caribou…)
-la vie des Hommes : indice de nordicité : indique le poids de la nature sur les act humaines,
sont pris en compte : la latitude, la chaleur de l’été, le froid‹0°C, les types de glace, les
précipitations, la vég, l’accessibilité des sols