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MEMOIRE
Par
AOUAR Imane
Devant le jury :
Grade Etablissement
Promotion 2015-2016
Tout d’abord, nous remercions le Dieu, notre créateur de nos avoir donné les
forces, la volonté et le courage afin d’accomplir ce travail modeste.
Imane
Dédicace
.
Je dédie ce modeste travail :
A ma chère et tendre mère, je reste figé et je ne peux pas trouver les
mots pour exprimer ce qu’elle a fait pour moi durant toute ma vie…
Je t’aime maman.
A mon père, dont je n’oublierai jamais le soutien et l’effort qu’il ma
toujours apporté.
Mes chers frères et sœurs
A toute ma famille
A touts mes amis(es), plus particulièrement : Basma Amani, Haroun,
Amir, Hasna, Louiza, Hadjer et Rabab pour leur soutien et leur fidélité.
A toute la promo type de la géotechnique 2016, ainsi que toutes les
promos de La mines
Enfin, a tout ceux que j’aime, ceux qui m’aiment et me respect de prés
ou de loin.
.AOUAR Imane.
Résumé
La construction sur des terrains de différentes qualifications géotechniques, conduit vers
l’adaptation de plusieurs types de fondations qui, par définition, doivent assurer une
transmission admissible des contraintes, engendrées par les superstructures, au sol support,
ainsi que l’assurance de la stabilité. D’où vient l’application de plusieurs méthodes de
prédimensionnement et de calcul en phase d’étude géotechnique. Ce travail étudie le
prédimensionnement, le calcul du tassement et la verification de la stabilité des fondations,
sous chargement complexe, en appliquant des méthodes analytiques modernes: calcul aux
états limites. Une étude complémentaire par modélisation numérique aux éléments fins est
faite, pour une meilleure compréhension de l’interaction sol-structure dans les différents cas
étudiés. La complémentarité de ces deux types de calculs c’est avérée bénéfique pour
l’obtention de résultats fiables et consistants.
Mots clés : fondations, stabilité, chargement complexe, états limites, éléments finis.
ملخص
إن البناء على أراض ذات خصائص جيوتقنية مختلفة يؤدي إلى إختارات متعددة ألنواع األساسات من
. باإلضافة إلى ضمان اإلستقرار،أجل ضمان توزيع مقبول لإلجهادات الناتجة عن البنايات نحو األرضية
هذا العمل.من هنا يأتي تطبيق طرق مختلفة من أجل تحديد األبعاد األولي في مرحلة الدراسة الجيوتقنية
حساب انخفاض التربة و التحقق من استقرار األساسات باساخدام تحت،يدرس تحديد األبعاد األولية
كما تم إجراء نمذجة. الحساب في الحاالت الحدية: بواسطة طرق الحساب التحليلة الحديثة،حمولة معقدة
في مختلف الحاالت،رقمية بواسطة العناصر المنتهية من أجل فهم أفضل للتفاعل بين البناء و التربة
و قد تبين أن التكامل فيما بين هتين الطريقتين في الحساب مفيد جدا من أجل الحصول على.المدروسة
.نتائج ذات موثوقة و متسقة
Abstract
Building on grounds with different géotechnical qualifications, leads to the adoption of
ceveral types of foundations, which by difinition, should guarantee a permissible transmission
of stresses, generated by the superstructures, to the supporting ground, as well as the
insurance of stability. Whence comes the application of several methods of presizing and
calculation during the geotechnical study phase. This work studies the presizing, the
settlement calculation and the verification of foundations’ stability, under complex loading,
using modern analytical methods: the limit states design. A complementary study by
numerical modeling with the finite elements method was made, for a better understanding of
soil-structure interaction in the different studied cases. The complementarity between these
two types of calculation has been proven to be beneficial in obtaining reliable and consistent
results.
Dédicaces iii
Résumé iv
Sommaire v
Introduction générale 6
I.1. Introduction 8
I.2.définition 8
I.4.le tassement 15
i
I.5.4. Capacité portante cas des fondations profondes 23
I.6.Conclusion 24
II.2.3.situations et action 27
II.4.1.fondation superficielles 33
ii
II.4.2.fondations profondes 35
II.5. Conclusion 40
III.1.Introduction 42
III.2.Interprétation de la reconnaissance 42
III.3.Essais de laboratoire 46
a. Identification physique 46
b. Limites d’Atterberg 48
c. Essais mécaniques 49
iii
III.7. Conclusion 51
IV.1. Introduction 53
IV.4.1. l’excentricité 56
IV.4.2. Calcule de h et d 56
IV.6 Conclusion 67
V.1 Introduction 69
iv
IV.1.1. Le plan général du programme PLAXIS 69
V. 6. Conclusion 117
ANNEXE
Notations I
v
INTRODUCTION
GENERALE
Introduction générale
Introduction générale
Les fondations présentent les pieds sur lesquels les structures et les ouvrages
tiennent debout. Elles permettent de stabiliser la superstructure, de transmettre et
de diffuser les différentes charges dans sol. Mais cela dépend essentiellement du
type du chargement appliqué, de la géométrie des fondations et des conditions
géotechniques et hydrogéologique du terrain.
I.1. Introduction
Un ouvrage de quel type qu’il soit, s’appuie sur un sol d’assise et lui transmet donc un
ensemble de charge .entre le terrain et l’ouvrage, les fondations jouent le rôle d’interface.
Elles sont adaptées au terrain et à l’ouvrage. Ainsi, les fondations prennent des formes
différentes pour résoudre les problèmes des charges et contraintes et la recherche de l’équilibre
[1].
I.2.Définition
Les fondations sont des ouvrages qui assurent la stabilité d’une construction (figure 1), ainsi
que la bonne transmission des sollicitations (charge) et leur diffusion dans le sol [2].
Les fondations selon leur profondeur en 3types (selon le fascicule 62) (figure 2) :
8
Chapitre I Les fondations
Avec
B : largeur de la fondation;
D : profondeur d’encastrement.
9
Chapitre I Les fondations
II.3.1. Les fondations superficielles
Appelées aussi fondation directes, elles transmettent les efforts directement sur les couches
proches de la surface (figure 3). On les utilise quand les couches géologiques surfaciques sont
capables de supporter la construction [5].
10
Chapitre I Les fondations
b- Les semelles filantes (L/B ≥ 5)
Pour effectuer la stabilisation d’un ouvrage transmet une charge continu au sol il faut mettre en
œuvre une fondation continu (figure 5) [6].
On utilise les radiers dans les cas d’un sous-sol à une faible capacité et comportant des cavités
souterraines pour fonder un ouvrage (figure 6).
11
Chapitre I Les fondations
Il existe quatre types de radiers :
la dalle plate ;
la dalle nervurée ;
la dalle voûtée ;
le radier champignon.
Si les couches superficielles sont trop faibles, les charges sont transmises à un matériau de
meilleur qualité situé à une plus grande profondeur, avec :
a- les puits
Par le principe de réalisation les puits se rattachent aux fondations profondes mais sont
généralement calculés suivants les règles des fondations superficielles (figure 7). Autrefois la
réalisation des puits était systématiquement manuelle, les puits sont réalisés au tractopelle pour
des profondes ne dépasse pas 5 m [7].
12
Chapitre I Les fondations
b- Les pieux
On utilise les pieux dans les cas des couches de bonne capacité portante et ont les conditions
géotechnique favorables et le tassement admissible (figure 8). La mise en œuvre est plus
facilement à des conditions variées. On a deux catégories principales de pieux [7].
13
Chapitre I Les fondations
- Les pieux battus
Pour les plus simples, il s’agit des éléments préfabriqués (acier, béton ou bois) qui sont
enfoncés dans le sol au moyen d’un dispositif de battage (figure 9). Le battage est pour suivi
jusqu’à obtention d’un couple de valeurs (enfoncement, énergie) correspondant à la résistance
recherchée [7].
Ce sont des ouvrages mis en place à l’intérieur d’un trou réalisé préalablement par technique de
forage (figure10) [7].
Les micros pieux comme les pieux forés de diamètre inférieur à 250 mm, c’est pour ça ils ne
travaillent pas en pointe. Leur portance ne dépend que du frottement latéral [7].
14
Chapitre I Les fondations
I.4. Le tassement
C’est la déformation verticale du sol à la surface. Le tassement est considéré comme un
élément important pour le dimensionnement d’une fondation. L’ingénieur géotechnicien devra
alors vérifier que le tassement reste dans les limites admissibles. Parfois les tassements
d’ensemble peuvent être importants sans provoqués des dégâts majeurs. Les tassements
différentiels et absolus sont considérés comme admissibles lorsqu’ils peuvent être absorbés sans
inconvénients par la structure et leur valeur dépend de la raideur de l’ouvrage, de son matériau et
de son matériau de construction [8].
15
Chapitre I Les fondations
(1)
Une fondation de largeur B et soumise à une surcharge q le tassement total S peut être évalué
par :
(2)
Avec
16
Chapitre I Les fondations
Pour calculer le tassement initial, le sol considéré non drainé et incompréssible (v=0.5) et pour
le tassement final, le sol considéré avec ses caratéristiques effectives (v=0.3).
Généralement ce type de calcule donne des tassements supérieurs aux tassements réels [9].
Il consiste à déterminer le nombre de coups nécessaire pour enfoncer selon une procédure
définie, une pointe soumise, par l’intermédiaire d’un train de tiges, à une énergie de battage. Pour
une énergie de battage, on compte le nombre de coups du mouton N correspondant à un
enfoncement donné.
Cet essai, réalisé conformément à la norme NF P-94-115 type B, permet d’une part de tracer le
profil de pénétration, et d’autre part, de fournir des informations sur la nature du sous-sol.
L’appareil utilisé pour l’essai est un pénétromètre dynamique lourd. Ses caractéristiques sont
les suivantes :
La résistance dynamique en pointe (Rp) est obtenue à partir de la formule dite des Hollandais,
qui s’exprime comme suit :
Rp= (3)
17
Chapitre I Les fondations
Avec :
M : masse du mouton
A : section de la pointe
Les valeurs de la contrainte admissible du sol (q) sont obtenues en affectant des coefficients de
sécurité de 20 aux résistances dynamiques en pointe [10].
q= (4)
Plusieurs auteurs ont proposé des formules reliant la résistance unitaire de cône qc à des
paramètres de compressibilité des sols en distinguant le cas des sables de celui des argiles. [10]
En ce qui concerne les sables, De Beer propose une relation entre la constante de
compressibilité C et la résistance unitaire qc :
C= . (5)
Pour calculer ensuite le tassement, il propose d'utiliser la formule de Terzaghi qui s'écrit :
s= 2,3 lg dh (6)
De Beer considère que cette formule donne des tassements surestimés et conclut que le
problème est résolu si le tassement ainsi obtenu est admissible pour la superstructure. S'il n'en est
pas ainsi, alors il faut avoir recours à des essais de sols mieux adaptés.
S = c. q. B (7)
18
Chapitre I Les fondations
Avec
v : coefficient de Poisson,
E : module d'Young,
B : largeur de la fondation.
Contrairement à Schmertmann, qui a fait des expérimentations sur modèles réduits en cuve,
d'autres chercheurs travaillants sur sites, réels ont abouti aux relations suivantes :
E= .qc (8)
Avec
Il a été déjà montré combien il est illusoire de vouloir déterminer les tassements d'une
fondation superficielle reposant sur de l'argile à partir de qc. Là aussi des méthodes indirectes et
assez grossières ont été proposées par différents auteurs ; on les examinera plus loin. Toutes ces
méthodes ne peuvent servir qu'au stade d'un avant-projet pour avoir une idée, assez grossière il
est vrai, des tassements attendus.
Dans l'étude d'Amar et Jézéquel (1972), une courbe présentant les variations de l'indice de
compression Cc en fonction de qc est donnée. Un point important de cette courbe semble être le
suivant :
19
Chapitre I Les fondations
Par contre, si qc < 1 200 kPa, Cc peut prendre n'importe quelle valeur entre 0,1 et d'autres
relations ont été proposées entre le module de Young et qc. On a [10] :
E= qc (9)
5< < 10 pour les argiles molles (qc < 1 000 kPa)
2< < 5 pour les argiles dont qc est compris entre 1 500 et 3 000 kPa.
I.5.1. Calcul d'une fondation par la théorie de plasticité (Selon le Fascicule 62 titre V)
Prandtl a étudié la rupture sous une fondation rugueuse, à partir de la théorie de Rankine en
considérant un schéma de rupture (figure 13), avec un coin de sol sous la fondation en état de
poussée et un coin en état de butée.
20
Chapitre I Les fondations
Tableau 1 - valeurs des coefficients Nq, Nγ et NC [13].
On prenant le cas d'une semelle filante de longueur infinie, de largeur B et supportant une
charge P par mètre de longueur.
qu’= = N (10)
Où:
Nq, Nγ et NC sont des coefficients donnés en fonction de φ, dans le tableau 1, pour des fondations
rugueuses, ou bien de l’abaque de présentée dans la figure 14.
21
Chapitre I Les fondations
Le sol est caractérisé par son poids volumique γ, sa cohésion non drainée Cu, et l’angle de
frottement interne φu= 0.
qu’ = Cu (11)
- Fondation carrée
- Fondation circulaire
22
Chapitre I Les fondations
- Chargement vertical excentré
adm = (16)
Il suffit alors de vérifier que la charge P par mètre de longueur est telle que
P ≤ B .σ'adm (17)
La capacité portante d'un pieu est alors déterminée par la formule suivante:
Qu = Qp + Q (18)
Où:
23
Chapitre I Les fondations
Théoriquement, il est possible d’évaluer la capacité en pointe d’un pieu à l’aide de l’expression
classique la capacité portante :
Qp = c Nc + N (19)
Qf = 2R L fL fL = K ’0 tan (20)
I.6. Conclusion
Selon la nature d’ouvrage, on peut mettre en place trois principaux types de fondations :
superficiels, semi-profondes ou profondes.
24
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
II.1. Introduction
Les calculs justificatifs sont conduits suivant la théorie des états limites. Un « état
limites » est celui pour lequel une condition requise est strictement satisfaite et
cesserait de l’être en cas de modification défavorable d’une action.
Sont distingués :
On parle d’état limite lorsque la structure n’assure plus les fondations pour
lesquelles elle a été conçue. Doivent être classées comme états limites de service ceux
qui concernent [15]:
On considère qu’une structure atteint un état limite ultime lorsqu’au moins un des
critères de résistance n’est pas avéré tels que : un défaut d’équilibre statique, une
atteinte en un point de la limite d’élasticité ou d’un critère de plasticité. Ces limites
sont fonction du type de sollicitations auquel est soumise la structure: traction,
compression, flexion, et leurs simultanéités [15].
26
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
A. Situations
B. Actions
1. G actions permanentes;
2. Q actions variables;
3. FA actions accidentelles.
Les actions sont transmises aux fondations profondes : directement par la structure
(exemple charges de ponts routiers définies par le fascicule 61 titre II), en tenant
compte éventuellement de l’interaction sol-structure.
Par le sol :
27
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
a- Neige réelle
- Neige réglementaire
Il existe des règlements qui permettent de calculer les bâtiments pour les charges de
neige. (Règlements différents suivant les matériaux utilisés béton, aluminium, acier,
bois …) En Acier, nous utiliserons la Neige 65 modifiée 2000. Il se peut que l’on
trouve des notes de calculs dans lesquelles la Neige 84 aura été utilisée. STS
Constructions Métalliques [17].
Celles-ci sont ensuite modifiées en fonction de l’altitude pour devenir : pn, p’n et
p’’n (la charge accidentelle ne change pas avec l’altitude).
Si la pente d’un versant est supérieure à 25°, on réduit de 2 % ses charges par °
supplémentaire et elles deviennent pne, p’ne et p’’ne.
On peut aussi être amené à tenir compte des répartitions dues à la présence du vent.
Les calculs devront donc être réalisés pour les neiges normales, extrêmes et
accidentelles pour des répartitions uniformes et réparties [17].
28
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
Cela donne donc des actions Normales aux parois. Les facteurs influençant l’action
du vent sur un élément (figure 16):
• Vitesse du vent.
• Proportions d’ensemble.
• Emplacement de l’élément (au vent, sous le vent, …).
• Dimension de l’élément.
• Forme (plane ou courbe).
La pression dynamique du vent est calculée par l’équation de Bernoulli pour les
fluides en écoulement (figure 17).
29
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
Cela donne
(1)
Or p1 est négligeable.
On pose p2 = q : pression d’arrêt ou pression dynamique (v2 = 0).
(2)
• V (région, site)
• Des proportions
• Des dimensions
• De la forme
Convention
Les pressions dynamiques de base (normale et extrême) sont celles qui s’appliquent
à une hauteur de 10 m, pour un site normal, sans effet de masque, sur un élément dont
les dimensions ne dépassent pas 0,50 m.
Bien entendu, ce n’est jamais le cas. Sur une surface plus grande, nous n’avons
jamais le vent maxi partout). Cela entraîne l’utilisation d’un coefficient réducteur δ
(<1) [17].
30
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
a- Combinaisons rares
(6)
b- Combinaisons fréquentes
(7)
(8)[17]
a- Combinaisons fondamentales
(9)
Le signe « + » signifie qu’il faut combiner toutes les actions indiquées pour une
combinaison donnée.
31
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
Avec
Gmax : actions permanentes défavorables,
Gmin : actions permanentes favorables,
Gw : actions des pressions statiques de l’eau,
Gsn : actions éventuelles de frottement négatif,
Gsp : actions éventuelles de poussées latérales,
Fw : actions hydrodynamiques,
Q1k : valeur caractéristique de l’action variable de base,
Ψ0i Qik : valeur de combinaison d’une action variable d’accompagnement.
Les sollicitations dues au frottement négatif ont été isolées car elles ne se cumulent
pas intégralement avec celles dues aux actions variables. Pour les justifications on
prendra le maximum, soit des actions permanentes et du frottement négatif, soit des
actions permanentes et des surcharges [18].
γsn vaut 1,2 ou 1, sa valeur étant choisie de manière à obtenir l’effet le plus
défavorable,
γsp vaut 1,2 ou 0,6, sa valeur étant choisie de manière à obtenir l’effet le plus
défavorable,
γFw vaut 1,2 ou 0,9, sa valeur étant choisie de manière à obtenir l’effet le plus
défavorable.
γF1 Q1 vaut 1,33 dans le cas général, 1,20 pour les charges d’exploitation étroitement
bornées ou de caractère particulier [18].
b- Combinaisons accidentelles
(10)
Avec
(11)
32
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
qmax et qmin sont calculées de manière à équilibrer la force Q et le moment Q.e par
rapport au centre.
Pour les semelles rectangulaires, on peut se servir de la méthode de Meyerhof pour
déterminer une largeur réduite :
Dans le cas où un excentrement existe dans les deux directions vaut alors
b. Justifications
33
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
Avec
gq = 2 ELU
gq = 3 ELS
La surface de sol comprimé sous la fondation doit être au moins égale à 10% de la
surface totale de celle-ci.
tan d= et Cd = (17)
34
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
On rappelle que les références au B.A.E.L sont à remplacer par les références à la
norme NF EN 1992-2 (ponts en béton – Calcul et dispositions constructives, qui se
réfère elle-même à la norme NF EN 1992-1-1) et à son Annexe Nationale NF EN
1992-1-1/NA [19].
Avec
35
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
La vérification vis à vis des états limites ultimes est donc faite par rapport à la
charge limite Qu et la vérification vis à vis des états limite de service par rapport à la
charge critique de fluage Qc [20].
Les charges de fluage en compression Qc et en traction Qtc pour les pieux H et les
palplanches mis en œuvre avec refoulement du sol sont évaluées à partir de Qpu et
Qsu par les relations suivantes [20] :
36
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
Suivant les notations du fascicule 62- titre V l’effort limite mobilisable du au terme
de pointe et de l’effort limite mobilisable par frottement latéral sur la hauteur
concernée du fût d’un élément de fondation profonde métallique en forme de pieu H,
de rideau de palplanches ou de caisson de palplanches métalliques sont calculés par
les relations suivantes [21] :
Type de pieu p ρs p ρs
Pieux H 0.50 1.00 0.75 1.00
Palplanche 0.50 1.00 0.30 0.50
Caisson ouvert 0.50 1.00 0.50 1.00
Ces relations sont valables pour les pieux dont la capacité portante est
essentiellement mobilisée dans des argiles ou dans des sables. Dans ces relations :
A représente la section à considérer en pointe :
qu = kp * p*le (25)
qu = Kc * qce (26)
37
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
38
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
qs(z) est le frottement latéral unitaire limite à la cote Z, calculé suivant la figure 19,
en association avec le tableau 6 ou une formule suivant le type d’essai utilisé [21].
39
Chapitre II Stabilité des fondations aux états limites
Les dispositions du présent article sont remplacées par celles définies ci-après. Ces
dispositions dispensent de prendre en compte un abattement forfaitaire sur le diamètre
tel qu'il est indiqué à l'article 2.3.4.2 de la norme NF EN 1992-1-1.
• la contrainte de traction des armatures ou des gaines, lorsque ces dernières sont
prises en compte dans la résistance de la section, est limitée aux deux tiers de la limite
d'élasticité de l'acier.
L'attention est attirée sur l'importance que revêt, pour les éléments de fondation du
groupe B (cf. article A.3.1, 2), la compatibilité entre la disposition des armatures et la
mise en place correcte du béton (cf. clause (2) de l'article 9.8.5 de la norme NF EN
1992-1-1). Il est conseillé de veiller à bien motiver la classe d'exposition retenue et de
s'assurer que les dispositions constructives relatives au ferraillage puissent être
respectées [21].
II.5. Conclusion
Les calculs justificatifs sont obligatoires pour l’étude vérificative de stabilité de la
fondation aux états limites pour les différentes situations et actions par la
combinaisons d’actions et sollicitations de calcul aux états limites ultime et service
pour les fondations superficielles ou profondes selon le type du sol et leur capacité
portante.
40
Chapitre III Etude de cas
III.1.Introduction
Suite à votre demande le Laboratoire B.M.S a procédé à l’étude géotechnique du terrain
servant d’assiette au projet des 180 Logements avec des bâtiments de R+5, Chelghoum Laid
- Wilaya de MILA.
Organization de la reconnaissance
Les coupes de sondages, les essais pénétrométriques et les essais de laboratoire sont
joints en annexe de ce rapport.
III.2.Interprétation de la reconnaissance
III.2.1. Sondage carottés
Les sondages carottés réalisés sur ce site ont révélés un sol constitué principalement
après la couche de remblais d’encroutement carbonaté blanchâtre, de calcaire carbonaté très
encrouté le tout surplombant une formation argilo-limoneuse encroutée.
42
Chapitre III Etude de cas
beige
beige
Plastique, beige.
plastique, beige
43
Chapitre III Etude de cas
SC 04 : De 0,00 m à 0,20 m : Terre végétale.
plastique, beige.
plastique, beige.
plastique, beige
plastique, beige.
beige.
44
Chapitre III Etude de cas
SC 08 : De 0,00 m à 1,50 m : Remblais.
a. Identification physique
Tableau 7- les paramètres physique du sol d’après les essais au laboratoire.
45
Chapitre III Etude de cas
Teneur en
Densité Degré de
Densité sèche eau
SONDAGE humide saturation
naturelle
d (t/m3)
Profondeur (m) h (t/m )3
Sr (%)
W (%)
46
Chapitre III Etude de cas
b. Limites d’Atterberg
LIMITE LIMITE
INDICE DE
Sondage PROFONDEUR
DE LIQUIDITE DE PLASTICITE
N° (m) PLASTICITE
L.L I.P
L.P
47
Chapitre III Etude de cas
c. Essais mécaniques
c.1. Caractéristiques Œdométrique
SC 01
SC 04
SC 05
48
Chapitre III Etude de cas
SC 06
SC 08
49
Chapitre III Etude de cas
Les essais pénétrometriques montrent dans l’ensemble un terrain homogène. Un refus sur les
calcaires carbonatés a été enregistré de 3.00 m à 8.00 mètres par endroit .
50
Chapitre III Etude de cas
La contrainte admissible du sol est calculée à partir les essais de laboratoire. selon la
formule de Terzaghi.
Qadm= γ.D + γ. D (Nq -1) + (1+0.2.B/L). C.Nc + (1- 0.2 .B/L). γ.B/2 .Nγ
γ = 18.9 kN/m3
D= 2.00 m
Cu = 26 kN/m²
III.7. Conclusion
Les sondages carottés réalisés sur ce site ont révélés un sol constitué principalement
après la couche de remblais, d’encroutement carbonaté blanchâtre, de calcaire carbonaté très
encrouté le tout surplombant une formation argilo-limoneuse encroutée.
Les essais réalisés sur les échantillons de sol prélevés des sondages révèlent un matériau
dense, humide à saturé, cohérant, frottant et non gonflant, classé dans le domaine des argiles
peu plastiques notés Ap.
Le sous – sol étant sain , il y a lieu d’utiliser un ciment normal pour la confection du
béton des fondations .
51
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
IV.1. Introduction
La contrainte admissible du sol est calculée à partir les essais de laboratoire. Et selon la
formule de Terzaghi.
Qadm= γ.D + γ. D (Nq -1) + (1+0.2.B/L). C.Nc + (1- 0.2 .B/L). γ.B/2 .Nγ
D= 2, 00 m
Cu = 26 kN/m²
φ = 21 ° ==> Nc = 15 ; Nq = 7,2 ; Nγ = 4
qu = Qadm *3
qu = 207*3 = 621 kN/m²
qu = 621 kN/m²
53
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
a. Calcul de la charge NG (la charge permanente) et la charge NQ (la charge
d’exploitation)
Notre cas d’étude est une cité des 180 logements avec des bâtiments de R+5.
NG = (11156,374*6*9,81) / 1000
NG = 656,66 kN
NG : la charge permanente kN
NQ = (915,7*6*9,81)/1000
NQ = 53.89 kN
NQ : la charge d’exploitation kN
Avec
Nu = 1,35 G + 1,5 Q
Nu = 1,35*656,66+1,5*53,89
Nu = 967,33 kN
G0 = 103,08 kN
1.35 G0 = 139,16 kN
54
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
À moins que les conditions de tassement admissible ne soient prédominantes, l’aire minimale à
donner à la semelle est définie par la condition :
(a=b =B)
B ≥ 2,3 m
B : largeur de la fondation
Alors on adopte une fondation isolée (carrés) de largeur de 2,3 m et longueur de 2,3 m.
S= hi
Où :
Cc= 0,25
eo = -1
= /w+1 = 18,9/1+0,1787 = 16,03 kN/m3
s= Gs * w = 2,66*10 = 26,6 kN/m3
55
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
Alors
eo = 0, 66
v0= *h kN/m²
=I* q kN/m²
967,33 kN
h0 (m) (KN/m²) B /Z L /Z I i hi
(KN/m²) (m)
2 34,4 1,15 1,15 0,19 183,79 0,24
4 99,32 0,38 0,38 0,05 48,37 0,10
6 196,52 0,19 0,19 0,02 19 ,34 0,04
5 267,52 0,13 0,13 0,01 9,67 0,01
Cette valeur de tassement est beaucoup plus supérieure à celle calculée par le laboratoire
(0,08 cm). Dans ce cas, la solution est d’augmenté les dimensions de la fondation isolé, ou de
choisir d’utiliser un radier général. Cette solution de radier général est bien celle qui a été
adoptée par le bureau d’étude.
IV.4.1. L’excentricité e
e = B/6 = 0,4 m
d max ( , )
a = b = 35 cm
56
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
A = B = 2,31 m
d 48,75 cm
h d+ 5 53,75 cm
On prend, h = 55 cm
qu = Sc C Nc + (1/2) Sγ B N + Sq D Nq
Sq = 1
Méthode de Meyerhof
Be = b - 2 e = 2,3 – 1= 1,3 m
Le = a – 2 e = 2,3 – 1 = 1,3 m
Qu = qu*Be*Le = 745,76*1.3*1,3
Qu = 1260,33 KN/m²
57
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
q’ref = 630,44 KN/m²
I = (1- / ) ² = 0,08
qu= 0,69*26*14,80+(1/2)0,08*2,3*3,5+0,69*2*6,40
qu = 274,42 KN/m²
Qu = qu*Be*Le = 274,42*1,3*1,3
Qu = 463,77 KN/m²
I = (1- / ) ² = 0,18
qu = 175,67 kN/m²
Qu = qu* Be*Le
Qu = 175 ,67*1,3*1,3
Qu = 296,88 kN/m²
Ns = NG + NQ = 710,55 KN
58
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
b. Vérification des états-limites ultimes de résistance
NG =656,66 KN
NQ =53,89 KN
Nu = 1,35 G + 1,5 Q
Nu = 1,35*656,66+1,5*53,89
Nu = 967,33 kN
Avec
γq : coefficient de sécurité.
ELU → 2
ELS → 3
59
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
Cas n° 1
ELS
ELU
Cas n° 2
ELS
ELU
60
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
q’ref (1/2) (463,77 – 37,8) + 37,8
Cas n° 3
ELS
ELU
• Condition à respecter :
A’ ≥ 10 % A
61
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
Pour une excentricité e = 0,5 m :
A’ = (a – 2e) ² = 1,69 m²
• Conditions à respecter
A’ ≥ 75% A
A’ = (a – 2e)² = 1,69 m²
62
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
IV.4.4.4. État limite ultime de glissement
Remarque : pour les sols cohérents, il faut faire une vérification du glissement à court terme.
Cas n° 1
Cas n° 2
Nu= 967,33 kN
Hd = Nu * sin = 250,36 kN
Vd = Nu * cos =934,37 kN
63
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
Cas n° 3
Nu= 967,33 kN
Hd = Nu * sin = 483,66 kN
Vd = Nu * cos = 837,73 kN
Cas n° 1
Cas n° 2
Ns= 710,55 kN
Hd = Nu * sin = 183,90 kN
Vd = Nu * cos = 686,34 kN
64
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
Cas n° 3
Ns= 710,55 kN
Hd = Ns * sin = 355,27 kN
D’après les résultats de calcul, on remarque qu’il n’y a pas de problème de mobilisation des
sols pour le calcul à l’ELU pour tous les cas considérés dans cette étude, c’est-à-dire à la
rupture.
Alors que les résultats à l’ELS montre l’existence d’un risque de mobilisation des sols, pour
les cas de charge concentré avec et sans inclinaison. Ce qui veut dire que l’ouvrage ne
remplira pas ses fonctions, et devient hors service. Les résultats sont affichés par le tableau
14.
Les calculs montres qu’aucun des cas de chargement considéré ne présente un risque de
renversement à l’état limite ultime. Puisque la surface de sol comprimée sous la fondation est
toujours supérieure à 10 % de la surface totale de la fondation. Les résultats sont présentées
dans le tableau 15.
65
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
Il n’y a pas de vérification de stabilité vis-à-vis du renversement à l’ELS, puisque un
renversement veut dire directement la ruine de la structure.
Cette condition est uniquement vérifiée pour le cas de charge centrée (le sol sous la
fondation est totalement comprimé), pour les autres cas il y un problème de décompression du
sol sous la fondation, du à l’effet de l’excentricité (e > 1/6 B).
Les résultats montrent que la fondation reste stable vis-à-vis du glissement, à l’ELU et à
l’ELS pour les cas de chargement centré ou l’légèrement inclinée (θ = 15°) ; tandis qu’il y a
un problème de glissement lorsque l’inclinaison commence à devenir importante comme dans
le cas où θ = 30°.
L’excentricité de la charge n’a aucun effet direct sur la stabilité de la fondation vis-à-vis du
glissement.les résultats sont présentées dans le tableau 17.
66
Chapitre IV Vérification de la stabilité aux états limites
Les méthodes classiques de la vérification de la stabilité des fondations ne considèrent que
les risques ultimes (risques de ruine), qui correspondent ici aux vérifications à l’ELU.
Cependant, un ouvrage peut être mis hors service même si la rupture ou la ruine ne sont pas
encore atteintes. L’exemple le plus célèbre est la tour de Pise en Italie.
IV.6. Conclusion
A partir des calculs est des vérifications effectués dans ce chapitre en peut dire que :
Pour ce site, il est retenu un taux de travail de 207 kN/m² pour des semelles
superficielles ancrées à 2,00 mètres à la cote du terrain naturel. Le tassement est
égal à 39,1 cm, ce qui est inadmissible selon Skempton et Macdonald dans les terrains
argileux.
L’état limite de mobilisation du sol est vérifié dans tout les cas d’études à l’ELU et
non vérifier au ELS.
67
Chapitre V Modélisation numérique
V.1. Introduction
Dans ce chapitre on va faire la modélisation numérique du projet étudié, avec les propriétés
du sol et les paramètres des différentes couches, d’après l’étude de laboratoire, afin de
comparer les résultats avec la méthode analytique. Ainsi que de comprendre le comportement
du sol sous la fondation, à l’état limite service et à l’état limite ultime, pour les différents cas
étudiés d’inclinaison et d’excentricité de la charge appliquée à la fondation.
Le logiciel PLAXIS est un des logiciels de modélisation numérique , par la méthode des
éléments finis, de référence en géotechnique dont le développement commença en 1987, à
l’initiative du ministère des Travaux publics et d’hydrologie des Pays-Bas. Son but initial était
de créer un code éléments fini facilement utilisable en 2D pour analyser l’effet de
l’implantation d’une digue fluviale sur les argiles molles des Pays-Bas. En quelques années,
PLAXIS a été étendu à plein d’autres domaines de la géotechnique. En 1998, la première
version de PLAXIS pour Windows est développée. Durant la même période, une version 3D
du logiciel a été développée. Après quelques années de développement le logiciel 3D
PLAXIS Tunnel program est sorti en 2001.
Son principal objectif était de fournir un outil permettant des analyses pratiques pour
l’ingénieur en géotechnique, qui n’est pas nécessairement un numéricien. Il en résulte que
PLAXIS est utilisé par de nombreux ingénieurs en géotechniques de nos jours, dans le monde
entier.
69
Chapitre V Modélisation numérique
PLAXIS-Output : ou le programme post-processing contient les facilités pour la
visualisation des résultats de la phase de calculs, comme les déplacements au niveau des
nœuds, les contraintes les forces au des éléments structuraux, etc.
Le PLAXIS code version 8.2 utilisée dans la présente investigation contient les modèles
constitutifs des sols suivants :
Paramètres de rigidité :
70
Chapitre V Modélisation numérique
différentes m : Puissance (environ 0,58 pour les sables)
- Le sol
- La fondation
71
Chapitre V Modélisation numérique
Elle a été modélisée par un modèle géométrique d’une fondation avec semelle isolée carrée.
Les conditions aux limites choisis permettant le déplacement vertical des couches du sol.
72
Chapitre V Modélisation numérique
Les caractéristiques pris, des géotechniques des couches de sol ainsi que le
matériau de la fondation (béton), son présentée dans les tableaux 7 et 8
respectivement.
73
Chapitre V Modélisation numérique
V.4.1. Calcul à l’état limite de service
A. Génération du Maillage
74
Chapitre V Modélisation numérique
B. Conditions initiales
Les conditions initiales nécessitent la génération des pressions interstitielles initiales ainsi
que des contraintes initiales.
a. Conditions hydrauliques
L’absence d’un nappe phréatique dans ce model (figure 27).
b. Contrainte initiale
Pour le calcul des contraintes initiales, on génère les contraintes initiales en prenant les
valeurs de K0 par défaut. La valeur de K0 est proposée automatiquement d’après la formule de
Jacky (K0=1-sin φ). On garde le poids du sol à 1, ce qui correspond à une application totale de
la gravité (figure 28).
75
Chapitre V Modélisation numérique
c. Procédure de calculs
Phase 0 : initiation des contraintes (procédure K0) ; on détermine les contraintes effectives
initiales.
76
Chapitre V Modélisation numérique
d. Les résultats de calcul
Dans ce modèle nous étudions la déformation dans le sol sous une fondation superficielle
(semelle isolée de 2,3 m de largeur), les résultats trouvés (déplacements horizontaux et les
contraintes de cisaillement) pour les deux zones sont présentés dans les figures 31 à 36.
77
Chapitre V Modélisation numérique
78
Chapitre V Modélisation numérique
79
Chapitre V Modélisation numérique
D’après la figure 37 :
a. Procédure de calculs
Phase 0 : initiation des contraintes (procédure K0) ; on détermine les contraintes effectives
initiales.
80
Chapitre V Modélisation numérique
La déformation dans le sol sous une fondation superficielle, les résultats trouvés
(déplacements horizontaux et les contraintes de cisaillement) pour les deux zones sont
présentés dans les figures 40 à 45.
81
Chapitre V Modélisation numérique
82
Chapitre V Modélisation numérique
83
Chapitre V Modélisation numérique
84
Chapitre V Modélisation numérique
D’après la figure 46 :
Fs = 1,467 ˂ 1,5
La fondation est stable dans ce cas, mais ne vérifie pas le coefficient de sécurité considéré.
a. Procédure de calculs
Phase 0 : initiation des contraintes (procédure K0) ; on détermine les contraintes effectives
initiales.
85
Chapitre V Modélisation numérique
Les résultats trouvés (déplacements horizontaux et les contraintes de cisaillement) pour les
deux zones sont présentés dans les figures 49 à :
86
Chapitre V Modélisation numérique
87
Chapitre V Modélisation numérique
88
Chapitre V Modélisation numérique
89
Chapitre V Modélisation numérique
Fs = 1,267 ˂ 1,5
La fondation est stable dans ce cas, mais ne vérifie pas le coefficient de sécurité considéré.
a. Procédure de calculs
Phase 0 : initiation des contraintes (procédure K0) ; on détermine les contraintes effectives
initiales.
90
Chapitre V Modélisation numérique
Les résultats trouvés (déplacements horizontaux et les contraintes de cisaillement) pour les
deux zones sont présentés dans les figures 58 à 64:
91
Chapitre V Modélisation numérique
92
Chapitre V Modélisation numérique
93
Chapitre V Modélisation numérique
94
Chapitre V Modélisation numérique
Fs = 1,267 ˂ 1,5
La fondation est stable dans ce cas, mais ne vérifie pas le coefficient de sécurité considéré.
95
Chapitre V Modélisation numérique
a. Génération du Maillage
a. Contrainte initiale
Pour le calcul des contraintes initiales, on génère alors les contraintes initiales en prenant
les valeurs de K0 par défaut. La valeur de K0 est proposée automatiquement d’après la
formule de Jacky (K0=1-sin φ). On garde le poids du sol à 1, ce qui correspond à une
application totale de la gravité (figure 67).
96
Chapitre V Modélisation numérique
b. Procédure de calculs
Phase 0 : initiation des contraintes (procédure K0) ; on détermine les contraintes effectives
initiales.
97
Chapitre V Modélisation numérique
c. Les résultats de calcul
Les résultats trouvés (déplacements horizontaux et les contraintes de cisaillement) pour les
deux zones sont présentés dans les figures 70 à 75.
98
Chapitre V Modélisation numérique
99
Chapitre V Modélisation numérique
100
Chapitre V Modélisation numérique
D’après la figure 76 :
Fs = 1,363 ˂ 1,5
La fondation est stable dans ce cas, mais ne vérifie pas le coefficient de sécurité considéré.
a. Procédure de calculs
Phase 0 : initiation des contraintes (procédure K0) ; on détermine les contraintes effectives
initiales.
101
Chapitre V Modélisation numérique
Les résultats trouvés (déplacements horizontaux et les contraintes de cisaillement) pour les
deux zones sont présentés dans les figures 79 à 84.
102
Chapitre V Modélisation numérique
103
Chapitre V Modélisation numérique
104
Chapitre V Modélisation numérique
105
Chapitre V Modélisation numérique
D’après la figure 85 :
Fs = 0,925 ˂ 1,5
a. Procédure de calculs
Phase 0 : initiation des contraintes (procédure K0) ; on détermine les contraintes effectives
initiales.
106
Chapitre V Modélisation numérique
Les résultats trouvés (déplacements horizontaux et les contraintes de cisaillement) pour les
deux zones sont présentés dans les figures 88 à 93.
107
Chapitre V Modélisation numérique
108
Chapitre V Modélisation numérique
109
Chapitre V Modélisation numérique
110
Chapitre V Modélisation numérique
Fs = 1,188 ˂ 1,5
La fondation est stable dans ce cas, mais ne vérifie pas le coefficient de sécurité considéré.
a. Procédure de calculs
Phase 0 : initiation des contraintes (procédure K0) ; on détermine les contraintes effectives
initiales.
111
Chapitre V Modélisation numérique
112
Chapitre V Modélisation numérique
b. Les résultats de calcul
Les résultats trouvés (déplacements horizontaux et les contraintes de cisaillement) pour les
deux zones sont présentés dans les figures 97 à 102:
113
Chapitre V Modélisation numérique
114
Chapitre V Modélisation numérique
115
Chapitre V Modélisation numérique
Fs = 1,236 ˂ 1,5
La fondation est stable dans ce cas, mais ne vérifie pas le coefficient de sécurité considéré.
Fs
Cas
Calcul à l’ELS Calcul à l’ELU
e = 0 m; θ = 0° 0,419 ˂ 1,5 1,363 ˂ 1,5
e = 0,5 m; θ = 0° 1,467 ˂ 1,5 0,925 ˂ 1,5
e = 0 m; θ = 15° 1,267 ˂ 1,5 1,188 ˂ 1,5
e = 0 m; θ = 30° 1,267 ˂ 1,5 1,236 ˂ 1,5
116
Chapitre V Modélisation numérique
L’étude numérique confirme que la semelle isolée est un mauvais choix pour ce sol, d’après
les résultats des déplacements et le calcul des coefficients de sécurité (< 1,5).
Les déplacements dans tout les cas sont inadmissibles, à l’ELS et à l’ELU.
Les figures obtenues par modélisation des différents cas de chargement, montrent l’effet de
l’excentricité et de l’inclinaison de la charge sur la décompression et la mobilisation du sol.
On remarque clairement le poinçonnement de la fondation et la concentration des contraintes
effectives du coté de l’application de la charge excentrée.
V. 6. Conclusion
Dans cette partie nous avons essayé de créer un modèle numérique en éléments finis pour
étudier la relation entre la contrainte et la déformation d’un projet réel, qui est un bâtiment
comme une structure et le sol sous forme des couches avec différentes profondeurs à cause de
la variation des caractéristiques géotechniques et aussi la variation des couches en profondeur
qui donne une variation de la capacité portante de ces formations.
On a proposé un type de fondation est une semelle isolée de 2,3 m de largeur ; ce choix et
proposé en fonction des recommandations citées dans le chapitre précédant (du calcul
analytique.
L’interprétation de résultats confirme que la fondation est instable et les déplacements sont
inadmissibles dans tout les cas de calcul, il faut faire donc un redimensionnement de la
largeur et longueur de la fondation ou utiliser un autre type de fondation comme un radier
général dans ce type de sol.
117
CONCLUSION
GENERALE ET
RECOMMANDATION
Conclusion générale et recommandation
Notons que le terrain est couvert par une couche de remblai d’une épaisseur
variant entre 1,5 et 2 m en général. C’est-à-dire (capacité portante faible). Suite
a l’analyse de la capacité portante et le dimensionnement des fondations en
fonction des principaux facteurs qui consiste premièrement aux calculs de la
descente de charge, la détermination de la capacité portante des couches en
fonction de la largeur proposée qui donne la possibilité de connaitre la largeur
réelle pour une capacité portante inférieure a la capacité portante admissible et
finalement la vérification des tassements pour la justification de type de la
fondation en fonction des tassements admissibles.
118
Conclusion générale et recommandation
119
La bibliographie
[3] Zied BENGHAZY. Cours MDS, Chapitre III : les fondations ; p.1-8.
[6] http://www.centre-francais-fondations.org/evenements-
formations/seminaires/atelier-desfondations/atelier-des-fondations-2011/le-
développement-durable-au-coeur-des fondations/view
[7] http://fr.wikipedia.org/wiki/Fondation_construction
[10] AMAR Samuel Alain MORBOIS Bull, liaison Labo P. et Ch. - 141 - janv.-
févr. 1986 - Réf. 3046 page 42-43. Calcul de tassement. Contribution au
dimensionnement des fondations superficielles à l'aide de l'essai au pénétromètre
statique.
IV
Figure 19 - Courbe de frottement unitaire limite le long du fût du pieu [21].
V
Figure 42 - La courbe de déplacement.
VI
Figure 65 - Modélisation de la fondation par PLAXIS.
VII
Figure 88 - Le maillage de déformation.
VIII
LISTE DES TABLEAUX
IX
Les courbes de
cisaillements
Les limites
d’Atterberg
Client: hamel ali Date de prélèvement: 03/01/2016
PROJET: 180 LOGTS CHELGHOUM Date d'essai: 10/01/2016
LAID Profondeur: 01 (6,20-6,40)
Expression des résultats
Limite de liquidité limite de plasticité
ESSAIS N° 1 2 3 4 1 2
Numéro de la tare (N°) CP 50 P X 14 W 41 A L
Poids de la tare (g) 46,6 47,8 47,9 45,6 46,0 46,6 46,8 47,7 46,4
Poids Tarre + Sol humid (g)54,7 55,3 55,3 54,7 54,9 53,5 49,4 49,5 50,4
Poids sol humide (g) 8,1 7,5 7,4 9,1 8,9 6,9 2,6 1,8 4,0
Poids Tarre + Sol sec (g) 52,5 53,2 53,3 52,2 52,5 51,7 49,0 49,2 49,7
Poids Sol Sec (g) 5,9 5,4 5,4 6,6 6,5 5,1 2,2 1,5 3,3
Pois Eau (g) 2,2 2,1 2,0 2,5 2,4 1,8 0,4 0,3 0,7
Teneur en eau % ( D/E) *100 37,3 38,9 37,0 37,9 36,9 35,3 18,2 20,0 21,2
Moyenne 38,09 37,46 36,11 19,80
Nombre de coups 19 24 30
70,00
limite
60,00
Teneur en eau (W%)
50,00
40,00
30,00
20,00
15 20 Nombre de25
coups (N) 30 35
Limite de liquidité (WL%) Limite de plasticité (WP%) Indice de plasticité (IP)
37,22 19,80 17,42
Client: hamel ali Date de prélèvement: 03/01/2016
PROJET: 180 LOGTS CHELGHOUM Date d'essai: 10/01/2016
LAID Profondeur: 02 (8,10-8,33)
Expression des résultats
Limite de liquidité limite de plasticité
ESSAIS N° 1 2 3 4 1 2
Numéro de la tare (N°) 19 B9 X 40 4 OX 38 10 0
Poids de la tare (g) 46,8 47,5 46,6 47,1 46,5 47,1 46,7 46,8 46,3
Poids Tarre + Sol humid (g)55,4 55,7 56,3 53,8 54,2 55,7 50,3 50,3 49,9
Poids sol humide (g) 8,6 8,2 9,7 6,7 7,7 8,6 3,6 3,5 3,6
Poids Tarre + Sol sec (g) 52,7 53,1 53,3 51,7 51,8 53,1 49,6 49,7 49,3
Poids Sol Sec (g) 5,9 5,6 6,7 4,6 5,3 6,0 2,9 2,9 3,0
Pois Eau (g) 2,7 2,6 3,0 2,1 2,4 2,6 0,7 0,6 0,6
Teneur en eau % ( D/E) *100 45,8 46,4 44,8 45,7 45,3 43,3 24,1 20,7 20,0
Moyenne 46,10 45,21 44,31 21,61
Nombre de coups 18 24 33
70,00
limite
60,00
Teneur en eau (W%)
50,00
40,00
30,00
20,00
15 20 Nombre de25
coups (N) 30 35
50,00
40,00
30,00
20,00
15 20 Nombre de25
coups (N) 30 35
Limite de liquidité (WL%) Limite de plasticité (WP%) Indice de plasticité (IP)
68,28 33,76 34,52
Client: hamel ali Date de prélèvement: 03/01/2016
PROJET: 180 LOGTS CHELGHOUM Date d'essai: 10/01/2016
LAID Profondeur: 03 (4,10-4,50)
Expression des résultats
Limite de liquidité limite de plasticité
ESSAIS N° 1 2 3 4 1 2
Numéro de la tare (N°) 24 32 P6 R0 P6 RO 21 M T
Poids de la tare (g) 47,7 46,6 47,0 46,9 47,2 46,7 48,0 47,4 46,0
Poids Tarre + Sol humid (g)57,3 54,8 54,0 55,0 55,6 57,0 50,1 50,0 50,4
Poids sol humide (g) 9,6 8,2 7,0 8,1 8,4 10,3 2,1 2,6 4,4
Poids Tarre + Sol sec (g) 54,0 51,9 51,6 52,2 52,8 53,5 49,7 49,5 49,5
Poids Sol Sec (g) 6,3 5,3 4,6 5,3 5,6 6,8 1,7 2,1 3,5
Pois Eau (g) 3,3 2,9 2,4 2,8 2,8 3,5 0,4 0,5 0,9
Teneur en eau % ( D/E) *100 52,4 54,7 52,2 52,8 50,0 51,5 23,5 23,8 25,7
Moyenne 53,55 52,50 50,74 24,35
Nombre de coups 19 26 35
70,00
limite
60,00
Teneur en eau (W%)
50,00
40,00
30,00
20,00
15 20 Nombre de25
coups (N) 30 35
Limite de liquidité (WL%) Limite de plasticité (WP%) Indice de plasticité (IP)
52,26 24,35 27,91
Client : hamel ali Date de prélèvement : 03/01/2016
Date d'essai : 10/01/2016
Projet : 180 LOGTS ADDL -CHELGHOUM LAID
Sondage :05 (13,50-13,90)
Expression des résultats
Limite de liquidité limite de plasticité
ESSAIS N° 1 2 3 4 1 2
Numéro de la tare (N°) G H CI 23 FP B K CP D2
Poids de la tare (g) 48,0 47,3 47,9 48,7 46,3 47,2 46,5 47,8 47,0
Poids Tarre + Sol humid (g)58,0 57,1 53,2 55,1 53,1 56,8 49,8 48,9 50,0
Poids sol humide (g) 10,0 9,8 5,3 6,4 6,8 9,6 3,3 1,1 3,0
Poids Tarre + Sol sec (g) 54,5 53,7 51,4 52,9 50,8 53,6 49,2 48,7 49,5
Poids Sol Sec (g) 6,5 6,4 3,5 4,2 4,5 6,4 2,7 0,9 2,5
Pois Eau (g) 3,5 3,4 1,8 2,2 2,3 3,2 0,6 0,2 0,5
Teneur en eau % ( D/E) *100 53,8 53,1 51,4 52,4 51,1 50,0 22,2 22,2 20,0
Moyenne 53,49 51,90 50,56 21,48
Nombre de coups 17 24 33
80,00 # #
limite
70,00
60,00
Teneur en eau (W%)
50,00
40,00
30,00
20,00
15 20 Nombre de25
coups (N) 30 35
50,00
40,00
30,00
20,00
15 20 Nombre de25
coups (N) 30 35
Limite de liquidité (WL%) Limite de plasticité (WP%) Indice de plasticité (IP)
45,17 18,42 26,75
Client: hamel ali Date de prélèvement: 03/01/2016
PROJET: 180 LOGTS CHELGHOUM Date d'essai: 10/01/2016
LAID Profondeur: 07 (4,10-4,45)
Expression des résultats
Limite de liquidité limite de plasticité
ESSAIS N° 1 2 3 4 1 2
Numéro de la tare (N°) 38 10 21 m j0 N P Y G
Poids de la tare (g) 46,6 46,8 46,2 46,2 45,7 46,2 46,6 46,5 47,3
Poids Tarre + Sol humid (g)56,0 55,4 60,7 52,9 58,1 58,7 50,1 50,6 49,8
Poids sol humide (g) 9,4 8,6 14,5 6,7 12,4 12,5 3,5 4,1 2,5
Poids Tarre + Sol sec (g) 53,2 52,9 56,5 51,0 54,6 55,3 49,5 49,9 49,4
Poids Sol Sec (g) 6,6 6,1 10,3 4,8 8,9 9,1 2,9 3,4 2,1
Pois Eau (g) 2,8 2,5 4,2 1,9 3,5 3,4 0,6 0,7 0,4
Teneur en eau % ( D/E) *100 42,4 41,0 40,8 39,6 39,3 37,4 20,7 20,6 19,0
Moyenne 41,70 40,18 38,34 20,11
Nombre de coups 17 23 30
80,00 3
limite
70,00
60,00
Teneur en eau (W%)
50,00
40,00
30,00
20,00
15 20 Nombre de25
coups (N) 30 35
Limite de liquidité (WL%) Limite de plasticité (WP%) Indice de plasticité (IP)
40,08 20,11 19,97
Client: hamel ali Date de prélèvement: 03/01/2016
PROJET: 180 LOGTS CHELGHOUM Date d'essai: 10/01/2016
LAID Profondeur: 07 (9,55-10,00)
Expression des résultats
Limite de liquidité limite de plasticité
ESSAIS N° 1 2 3 4 1 2
Numéro de la tare (N°) D1 32 D 32 P 14 43 26 m
Poids de la tare (g) 45,7 47,2 45,6 47,2 47,0 46,7 47,1 47,1 47,1
Poids Tarre + Sol humid (g)56,0 58,6 52,9 56,8 55,0 54,0 50,3 50,3 49,9
Poids sol humide (g) 10,3 11,4 7,3 9,6 8,0 7,3 3,2 3,2 2,8
Poids Tarre + Sol sec (g) 52,3 54,5 50,3 53,4 52,2 51,5 49,6 49,6 49,3
Poids Sol Sec (g) 6,6 7,3 4,7 6,2 5,2 4,8 2,5 2,5 2,2
Pois Eau (g) 3,7 4,1 2,6 3,4 2,8 2,5 0,7 0,7 0,6
Teneur en eau % ( D/E) *100 56,1 56,2 55,3 54,8 53,8 52,1 28,0 28,0 27,3
Moyenne 56,11 55,08 52,96 27,76
Nombre de coups 17 23 33
70,00
limite
60,00
Teneur en eau (W%)
50,00
40,00
30,00
20,00
15 20 Nombre de25
coups (N) 30 35
Limite de liquidité (WL%) Limite de plasticité (WP%) Indice de plasticité (IP)
54,72 27,76 26,96
Client: hamel ali Date de prélèvement: 03/01/2016
PROJET: 180 LOGTS CHELGHOUM Date d'essai: 10/01/2016
LAID Profondeur: 08 (9,50-9,90)
Expression des résultats
Limite de liquidité limite de plasticité
ESSAIS N° 1 2 3 4 1 2
Numéro de la tare (N°) 33 7 C5 C3 22 ES 22 ES 24
Poids de la tare (g) 46,2 48,5 46,3 46,3 47,2 47,3 47,2 47,5 45,5
Poids Tarre + Sol humid (g)65,6 68,5 64,7 61,9 62,8 63,9 50,5 50,7 50,3
Poids sol humide (g) 19,4 20,0 18,4 15,6 15,6 16,6 3,3 3,2 4,8
Poids Tarre + Sol sec (g) 58,7 61,4 58,3 56,4 57,4 58,2 49,9 50,1 49,4
Poids Sol Sec (g) 12,5 12,9 12,0 10,1 10,2 10,9 2,7 2,6 3,9
Pois Eau (g) 6,9 7,1 6,4 5,5 5,4 5,7 0,6 0,6 0,9
Teneur en eau % ( D/E) *100 55,2 55,0 53,3 54,5 52,9 52,3 22,2 23,1 23,1
Moyenne 55,12 53,89 52,62 22,79
Nombre de coups 20 28 34
80,00 3
limite
70,00
60,00
Teneur en eau (W%)
50,00
40,00
30,00
20,00
15 20 Nombre de25
coups (N) 30 35
Limite de liquidité (WL%) Limite de plasticité (WP%) Indice de plasticité (IP)
53,88 22,79 31,09
Client: hamel ali Date de prélèvement: 03/01/2016
PROJET: 180 LOGTS CHELGHOUM Date d'essai: 10/01/2016
LAID Profondeur: 04 (10,25-10,75)
Expression des résultats
Limite de liquidité limite de plasticité
ESSAIS N° 1 2 3 4 1 2
Numéro de la tare (N°) K8 48 H L B V N CP P14
Poids de la tare (g) 48,4 47,6 46,9 48,1 46,3 48,1 48,0 47,3 46,4
Poids Tarre + Sol humid (g)54,2 57,3 54,8 65,4 62,1 59,7 50,8 50,4 50,6
Poids sol humide (g) 5,8 9,7 7,9 17,3 15,8 11,6 2,8 3,1 4,2
Poids Tarre + Sol sec (g) 51,7 53,1 51,4 58,0 55,4 54,8 50,0 49,5 49,4
Poids Sol Sec (g) 3,3 5,5 4,5 9,9 9,1 6,7 2,0 2,2 3,0
Pois Eau (g) 2,5 4,2 3,4 7,4 6,7 4,9 0,8 0,9 1,2
Teneur en eau % ( D/E) *100 75,8 76,4 75,6 74,7 73,6 73,1 40,0 40,9 40,0
Moyenne 76,06 75,15 73,38 40,30
Nombre de coups 19 25 33
90,00 3
limite
80,00
70,00
Teneur en eau (W%)
60,00
50,00
40,00
30,00
20,00
15 20 Nombre de25
coups (N) 30 35
Limite de liquidité (WL%) Limite de plasticité (WP%) Indice de plasticité (IP)
74,86 40,30 34,56
L’essai
œdométrique
Mission géotechnique