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m’a accordé cette chance d’effectuer mon stage au sein de son service.
Je n’oublie surtout pas tous les agents du service qui ont fait du mieux qu’ils
pouvaient pour que mon séjour soit encore plus fructueux en mettant en pratique mes
et de parcourir tous les horizons du métier. Je cite spécialement Mr. ELGARNE, Mr.
ELYOUSSFI, Mr. CHARRADI, et aussi Mr. AMMAR qui m’ont fait découvrir
Conclusion générale
Netographie
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Introduction
Le stage est une occasion qui nous permet de déchiffrer et d’éclaircir certaines
confusions affrontées au cours de la formation, tout de même, il constitue un moyen
permettant à l’étudiant d’acquérir une bonne expérience pouvant, lui servir dans sa
vie professionnelle.
Enfin, le stage est bien nécessaire à tout étudiant pour exploiter ses connaissances et
contacter le domaine professionnel, en lui donnant la possibilité d'intégration.
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Chapitre I. Présentation du
Groupe OCP
I.1. En quelques mots :
Création de l'OCP: 1920 Création du Groupe OCP: 1975 - Création d'OCP SA:
2008 Réserves de phosphate : 3/4 des réserves mondiales Production : phosphate et
dérivés phosphatés (acide phosphorique, engrais)
Sites de production :
• Phosphate : Khouribga, Benguérir, Youssoufia, Boucraâ-Laâyoune
• Dérivés : Safi, Jorf Lasfar
I.2. Activité :
Le Groupe OCP est spécialisé dans l’extraction, la valorisation et la
commercialisation de phosphate et de produits dérivés. Chaque année, plus de 24
millions de tonnes de minerais sont extraites du sous-sol marocain qui recèle les trois-
quarts des réserves mondiales. Principalement utilisé dans la fabrication des engrais, le
phosphate provient des sites de Khouribga, Benguérir, Youssoufia et Boucraâ-
Laâyoune. Selon les cas, le minerai subit une ou plusieurs opérations de traitement
(criblage, séchage, calcination, flottation, enrichissement à sec…). Une fois traité, il
est exporté tel quel ou bien livré aux industries chimiques du Groupe, à Jorf Lasfar ou
à Safi, pour être transformé en produits dérivés commercialisables : acide
phosphorique de base, acide phosphorique purifié, engrais solides. Premier exportateur
mondial de phosphate sous toutes ses formes, le Groupe OCP écoule 95% de sa
production en dehors des frontières nationales. Opérateur international, il rayonne sur
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les cinq continents de la planète. Moteur de l’économie nationale, le Groupe OCP joue
pleinement son rôle d’entreprise citoyenne. Cette volonté se traduit par la promotion
de nombreuses initiatives, notamment en faveur du développement régional et de la
création d’entreprise. Dans un contexte de concurrence accrue, le Groupe OCP
poursuit la politique de consolidation de ses positions traditionnelles et développe de
nouveaux débouchés. Avec une exigence sans cesse réaffirmée : améliorer la qualité
de ses produits tout en maintenant un niveau élevé en matière de sécurité et de
protection de l’environnement.
I.3. Historique :
Les phosphates marocains sont exploités dans le cadre d’un monopole d’État confié
à un établissement public créé en août 1920, l’Office Chérifien des Phosphates, devenu
Groupe OCP en 1975. Mais c’est le 1er mars 1921 que l’activité d’extraction et de
traitement démarre à Boujniba, dans la région de Khouribga. En 1965, avec la mise en
service de Maroc Chimie à Safi, le Groupe devient également exportateur de produits
dérivés. En 1998, il franchit une nouvelle étape en lançant la fabrication et
l’exportation d’acide phosphorique purifié. Parallèlement, de nombreux partenariats
sont développés avec des opérateurs industriels du secteur, au Maroc et à l’étranger.
Le développement du Groupe OCP a été marqué par quelques grandes dates sur le plan
géologique, on distingue quatre étapes :
1905–1921 : Période des pionniers.
1921–1951 : Période des études fondamentales, stratigraphiques et paléontologiques
(reconnaissance et mise en exploitation des gisements).
1951–1960 : Période des études fondamentales, stratigraphiques et paléontologiques.
1960–1986 : Période d’intensification des études sédimentologiques et géochimiques,
ainsi que de l’étude des gisements du Sahara marocain du crétacé.
I.4. Exportation :
Le Groupe OCP est le premier exportateur mondial de phosphate sous toutes ses
formes avec 28% de parts de marché en 2008. Il est par ailleurs le premier exportateur
mondial de phosphate brut et d'acide phosphorique avec, respectivement 40% et 38,4%
de parts de marché en 2008. Le Groupe OCP est également exportateur d'engrais
solides avec 8,4% de parts de marché en 2008. La majeure partie de la production
(95%) est livrée à l’étranger, soit sous forme de minerai, soit après transformation en
acide phosphorique ou en engrais solides (DAP, MAP, TSP…).
La production marchande du phosphate s'est quant à elle, élevée en 2008 à 24,45
millions de tonnes contre 27,79 millions de tonnes en 2007. Les livraisons de minerai
soit pour l'exportation soit pour transformation ont atteint 23,94 millions de tonnes en
2008 contre 28,13 millions de tonnes en 2007. De son côté, la production d’acide
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phosphorique a atteint 2,761 millions de tonnes P2O5 en 2008 dont 54% ont été
commercialisés. Le reste ayant été transformé en engrais.
Fertilisants:
Le TSP : (686 000 tonnes) est entièrement produit dans les usines Maroc Phosphore
de Safi ; 571000 tonnes ont été exportées. Les trois autres engrais sont entièrement
produits par l’usine Maroc Phosphore de Jorf Lasfar.
Le NPK : la production de 219 000 tonnes est entièrement destinée au marché local
qui en a absorbé, en 2008, 177000 tonnes.
Pour acheminer ses produits, le Groupe OCP s’appuie sur quatre ports qui
desservent une quarantaine de pays à travers le monde.
I.5. Filiales :
Concentré sur ses métiers de base, le Groupe OCP s’appuie sur une structure
organisée qui s’articule autour de filiales intégrées. Dans le cadre de sa stratégie de
développement à l’international, il a également noué au fil des années des partenariats
avec de grands opérateurs étrangers.
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Chapitre II. Réseaux
téléphoniques de l’OCP Safi
II.1. Présentation du service téléphonique:
Comme c’est le cas pour toutes sorte d’entreprise ,le groupe OCP à besoin
d’une réseaux téléphonique ,offrant un service de communication sure et de grande
qualité pour ce faire un réseau téléphonique a été créer au sein du groupe . le service
téléphonie de l’entreprise a donc pour fonction l’établissement de la communication
entres différents membres du personnels ,quelle que soit leur localisation dans
l’entreprise. Tout en la supervisant pour des raisons de taxation, de contrôle , et de
maintenance. Le personnel de ce service a pour tâche de réparer toutes sorte de
problème (terminaux ,lignes téléphoniques,.. ) arrivant aussi bien au sein de l’OCP ou
au niveau de ses annexes aux port ou en ville.
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maitre et situé à PC et deux autres secondaires (HICOM 372) à MP1, MP2. Et trois
autres dont un (HICOM 342) au Port et puis deux au centre-ville (HICOM 130) au
plateau et à l’hôtel Atlantide. Ces six autocommutateurs sont connectés entre eux via
un réseau maillé, étoilé, avec duplication des voies de transmissions (liaisons
numériques 2 Mbits/s) . Les moyens de gestion et de maintenance sont centralisés au
PC puisque le commutateur y installée est le maitre et le superviseur du réseau. Ces
commutateurs sont les nœuds principaux de notre circuit au plus des quelles subsistent
d’autres éléments importants dans l’établissement de la communication tels que :
Câbles téléphoniques : Le réseau des liaisons entre les trois PC, PP et PM est
maillé, étoilé, avec duplication des voies de transmission .Il est composé de :
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d’extension. L’armoire de base se compose de 6 étages : un pour l’unité
d’alimentation, deux pour l’unité de commande et trois pour l’unité périphérique.
Unité d’alimentation : cette unité offre une alimentation secteur 230V ,50 jusqu’à
64hz, les alimentations sont installées dans chaque armoire pour fournir 48V de type
continue fournissant les alimentations nécessaires aux cartes.
SWU (Switching unit : Unité de commande) : cette unité réalise toutes les
fonctions de la connexion, elle se divise en deux parties ; la première est active et la
deuxième reste en mode Standby.
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II.4. L’acheminement des appels téléphoniques :
Un appel téléphonique débute lorsque l'abonné demandeur décroche son
combiné et attend la tonalité. Cette opération ferme un commutateur électrique,
provoquant la propagation d'un courant électrique sur la ligne de l'abonné, situé entre
l'endroit où se trouvent le demandeur et les locaux du central automatique. Le central
détecte ce courant et renvoie une tonalité caractéristique combinant deux notes,
facilement reconnaissable par les machines comme par les usagers. Lorsque le
demandeur d'appel entend la tonalité, il compose alors sur le clavier de son poste une
séquence de chiffres qui identifie un autre abonné. L'équipement de commutation du
central interrompt la tonalité sur la ligne, dès la réception du premier chiffre. À la
réception du dernier chiffre, il détermine si l'abonné demandé dépend du même central
que le demandeur ou d'un central différent.
S'il dépend du même central, une série d'impulsions électriques se déclenche
alors sur la ligne de l'abonné demandé. Ce courant alternatif d'une fréquence de 50 Hz
provoque l'émission de sonneries sur le poste du destinataire. Si l'abonné demandé
décroche son combiné, un courant continu s'établit sur sa ligne. Le central le détecte,
interrompt la sonnerie et établit la connexion entre les deux abonnés. Des relais
d'occupation sont alors activés sur les lignes des deux abonnés, les portant à un
potentiel particulier, de telle sorte que si un troisième abonné tente d'appeler l'un deux,
il reçoit le signal « occupé ».
Si l'abonné demandé dépend d'un central différent, le central émettant l'appel
(central de départ) commence par établir une connexion via le réseau avec le central de
l'abonné demandé (central d'arrivée). Lors de cette opération, le central de départ doit
communiquer au central d'arrivée l'identité de l'abonné demandé. Le central d'arrivée
déclenche ensuite les procédures de sonnerie, de détection d'une réponse et de
notification au central de départ.
En terminologie téléphonique, l'appel est considéré comme terminé dès lors que
l'abonné appelé a répondu, et non quand il a raccroché. Lorsque la communication
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s'achève, l'un des abonnés, ou les deux, raccroche en replaçant le combiné sur son
socle, ou en enclenchant la position off du combiné. Cette manœuvre ouvre le
commutateur et interrompt le courant continu. Le central engage alors la procédure de
suppression de la connexion.
En établissant et en interrompant une communication, le central de l'abonné
appelant envoie en parallèle une notification au centre informatique de facturation.
L'abonné appelant paie la communication en fonction de l'éloignement du destinataire,
de la durée et de l'heure de l'appel, selon un barème fixé par la société de
télécommunications. Si le destinataire ne répond pas, l'appel n'est pas facturé.
La fibre optique
Le cuivre
1. La fibre optique :
Contrairement aux autres supports de réseau composés de fils de cuivre, le câble à
fibre optique ne transporte pas d'impulsions électriques. Les signaux représentant les
données sont convertis en faisceaux lumineux.
Le câblage en fibre optique utilise des fibres de verre ou de plastique pour guider
des impulsions lumineuses de la source à la destination.
Les fibres présentent de nombreux avantages par rapport au cuivre au niveau de la
largeur de bande passante et de l'intégrité du signal sur la distance. Cependant, le
câblage en fibre est plus difficile à utiliser et plus coûteux que le câblage en cuivre.
Les connecteurs sont onéreux, tout comme la main d'œuvre pour terminer les
extrémités des câbles.
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Les câbles à fibre optique peuvent être classés en deux grands types : monomode
et multi mode.
Il existe nombre de connecteurs pour la fibre optique. Les plus répandus sont les
connecteurs ST (rond) et SC (carré).
2. Le cuivre :
Le support le plus souvent utilisé pour les communications de données est un
câblage qui utilise des fils de cuivre.
Le câble à paire torsadée est utilisé pour les communications téléphoniques et pour
la plupart des réseaux Ethernet récents. Une paire de fils forme un circuit qui peut
transmettre des données. Les paires sont torsadées afin d'empêcher la diaphonie, c'est-
à-dire le bruit généré par les paires adjacentes (voisines)
Le câble utilisé dans les réseaux Ethernet est composé de 4 paires de fils :
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Un autre type de câblage utilisé dans les réseaux est le câble à paires torsadées
blindées (STP). Comme l’illustre la figure, la norme STP utilise deux paires de fils
enveloppées dans un revêtement tressé ou un film métallique.
Ces deux types de câbles offrent une meilleure immunité aux interférences mais
sont plus couteux et difficiles à mettre en œuvre.
Le câble coaxial.
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3. Faisceaux hertziens :
Les supports sans fil transportent des signaux électromagnétiques qui représentent
les chiffres binaires des communications de données.
Tout le monde peut accéder aux données émises. Les réseaux sans fil doivent donc
être sécurisés avec soin.
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Chapitre III. Modèle du réseau
téléphonique sans fils
III.1. Introduction
le rêve devient réalité. Depuis plus d’un an, les offres de VoWi-Fi proposées par
Axiance, Cisco, Symbol, Nortel Networks et Avaya se multiplient en France. L’OHSA
et Tir Groupé, deux sociétés utilisatrices, apportent des témoignages encourageants.
VoWiFi est une technologie hybride qui bénéficie des qualités de ses deux ascendants.
Wi-Fi lui apporte la liberté du sans-fil avec une économie réalisée sur le câblage. VoIP
lui procure tous les bienfaits de la convergence IP avec, avant tout, une capacité de
réduction des coûts télécoms.
VoWiFi exploite les mêmes mécanismes protocolaires que VoIP (H.323 et SIP). Mais
elle ne profite pas pour autant des procédures d’affectation de classes de service
Diffserv ou de réservation de flux RSVP (Resource Reservation Protocol). Cela
s’explique par les fondements mêmes de la technique Wi-Fi qui octroie une équité
d’accès aux ressources.
Pour supprimer ce défaut, l’IEEE travaille sur une variante du standard, désignée
802.11e, qui définira des classes de services afin d’affecter des priorités. Ces
spécifications devraient être validées en septembre.
Deux autres moutures verront le jour par la suite. La première, 802.11k, entend
optimiser l’allocation des ressources du réseau sans fil selon la qualité de chaque
liaison. Autrement dit, chaque terminal client délivrera un bilan de sa connexion au
commutateur et aux points d’accès.
Forts de ces renseignements, ces derniers redistribueront les ressources adéquates pour
garantir le débit et la disponibilité de la liaison. La seconde, 802.11r, devra optimiser
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le roaming (saut de cellule) lors du passage d’un point d’accès à un autre. Il faut y
ajouter la norme 802.11i, chargée de sécuriser les communications sans fil.
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« IP est le protocole spécifique à Internet, qui se charge de transmettre les
données sous forme de paquets. L’envoi de ces paquets est réalisé en fonction
des adresses de réseaux ou de sous-réseaux qu’ils contiennent ».
III.3. WIFI :
Wi-Fi est un ensemble de protocoles de communication sans fil régis par les normes
du groupe IEEE 802.11 (ISO/CEI 8802-11). Un réseau Wi-Fi permet de relier sans fil
plusieurs appareils informatiques (ordinateur, routeur, décodeur Internet, etc.) au sein
d'un réseau informatique.
Grâce au Wi-Fi, il est possible de créer des réseaux locaux sans fil à haut débit.
Dans la pratique, le Wi-Fi permet de relier des ordinateurs portables, des machines de
bureau, des assistants personnels (PDA), des objets communicants ou même des
périphériques à une liaison haut débit (de 11 Mbit/s théoriques ou 6 Mbit/s réels en
802.11b à 54 Mbit/s théoriques ou environ 25 Mbit/s réels en 802.11a ou 802.11g et
600 Mbit/s théoriques pour le 802.11n[2]) sur un rayon de plusieurs dizaines de mètres
en intérieur (généralement entre une vingtaine et une cinquantaine de mètres). Dans un
environnement ouvert, la portée peut atteindre plusieurs centaines de mètres voire dans
des conditions optimales plusieurs dizaines de kilomètres (pour la variante WiMAX ou
avec des antennes directionnelles).
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III. 4. La VO-WIFI :
Face à l'engouement des entreprises pour le sans fil, la tentation d'accrocher la
voix à la locomotive Wi-Fi était trop forte. Reste à savoir si cette technologie hybride,
reposant sur la voix sur IP (VoIP) et sur le standard 802.11, tient du mariage de raison
ou de la frénésie markéting.
A en croire ses promoteurs, la pérennité de la voix sur Wi-Fi-ou VoWiFi (Voice over
WiFi)- ne fait aucun doute.
Le WiFi lui confère la liberté du sans fil et autorise une capacité d'appel supérieure à
celle d'un autocommutateur avec des téléphones sans fil de type DECT (Digital
Enhanced Cordless Telephone).
La voix sur IP apporte les avantages de la convergence voix-données, avec une
réduction des coûts téléphoniques en terme de consommations téléphoniques et en
terme d'infrastructure.
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Quelques comparaisons symboliques et pratiques entre le DECT et le VoWIFI:
DECT VoWIFI
Une bande de fréquence Une bande de fréquence
peu sensible aux non réservée (2,4 Ghz),
Immunité Radio
interférences qui est sensible aux
dédiée (1,9 Ghz). interférences.
Le fonctionnement
Le canal étant réservé
Garantie s'effectue en mode
(mode circuit), lé débit
Débit/Délai paquet. Pas de
et le délai sont garantis.
mécanisme de Qos.
La portée des bornes va
De 15 mètres à l'intérieur
Couverture de 30 mètres en
à 100 mètres en extérieur
Radio intérieur à 300 mètres à
pour les points d'accès.
l'extérieur.
La gestion du roaming et
Le roaming et le hand-
du hand-over sont des
Mobilité over sont spécifiés dans
protocoles propriétaires
le standard DECT.
pour chaque marque.
L'authentification et le En attente de la mise en
Sécurité chiffrement sont prévus application du protocole
dans le standard. 802.11i
Le coût des terminaux
Le réseau peut-être
est peu élevé mais
Coût mutualisé, mais les
nécessite un réseau
terminaux restent chers.
parallèle.
Ce sont des terminaux
téléphoniques classiques PDA, Téléphones,
Terminaux
de norme DECT avec Tablettes PC, etc...
une compatibilité GAP.
De nombreuses
Ces modèles servent applications sont
Utilisation uniquement pour la possibles alliant voix et
téléphonie. données, mais aussi la
vidéo.
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Un fort ascendant de la voix sur IP
Pour transporter la voix, VoWiFi use des mêmes mécanismes protocolaires que VoIP.
A commencer par les procédures de signalisation H.323 et SIP. La voix est numérisée,
puis encapsulée dans des paquets IP, qui suivent le même cheminement que toute autre
cargaison internet. Mais, à l'opposé de la téléphonie sur IP par voie filiaire, VoWiFi ne
dispose pas d'outils garantissant la qualité de service. Et pour cause : les fondements
mêmes de la technique Wi-Fi imposent une équité d'accès aux ressources du réseau,
quelle que soit la nature du trafic. Or, les communications téléphoniques ne tolèrent
pas de délai de latence. Les constructeurs proposent donc des mécanismes de qualité
de service propriétaires, tel Voice Priority, de Spectralink. En outre, l'IEEE a remis
l'ouvrage 802.11 sur l'établi afin d'engendrer une variante, nommée 802.11e et dotée
de classe de services. A priori, les équipementsWi-Fi existants supporteront VoWiFi
après une simple mise à jour 802.11e du firmware. Sans attendre les spécifications
802.11e attendues pour septembre 2004, les premiers équipements opérent dans une
version VoWiFi préstandard.
A l'instar des postes de travail Wi-Fi, les téléphones sans fil VoWiFi se
connectent aux bornes d'accès. Contrairement au combiné sans fil DECT, dont la
portée est réduite par sa station de base, VoWiFi offre une liberté de mouvement d'une
borne à l'autre. Les premiers téléphones VoWiFi ont une autonomie de batterie limitée
- entre deux et quatre heures.
La voix sur IP
Pour convertir la voix en paquets IP, les téléphones VoWiFi usent des mêmes
procédures que celles mises en oeuvre dans un environnement filaire. Le signal
analogique est échantillonné, puis converti en données bianires par le biais d'une
modulation par impulsion codé (recommandation G.711) ou par des codages moins
gourmands en bande passante, comme le G.728. Les paquets sont ensuite transmis sur
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le réseau local Ethernet via le protocole UDP. Ils sont horodatés avec la procédure
RTP.
3Com
3102
Business Filaire 2x12 caractères Propriétaire et SIP 370 €
Phone
E-reflex
Filaire 20 caractères Propriétaire 195 €
Easy
Alcatel
23
IP Touch Couleur, 320x240
Filaire Propriétaire 695 €
4068 pixels
Propriétaire (SIP
5215 Filaire 2x20 caractères 290 €
prévu)
Mitel
Monochrome, 320x240
5240 Filaire Propriétaire 640 €
pixels
Pingtel
(accords avec Monochrome, 160x160
Xpressa Filaire SIP 600 €
3Com et pixels
Alcatel)
Monochrome, 128x64
SwissVoice IP10S Filaire MGCP, H323, SIP NC
pixels
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Conclusion Générale
Le stage que j'ai effectué au service Téléphonique, était pour moi une
En outre ce stage m’a permis de faire une étude générale, d’une part sur