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RAPPORT DE STAGE D’OBSERVATION

Filière : Réseaux et Télécoms

Vo WIFI : le futur téléphone sans fils

Organisme : office chérifien des phosphates

Réalisé par : Dirigé par :


Med. GARDAM Mr. AMMAR

I.1.1. Année universitaire


2010/2009
I.1.2.
Remerciement

Au terme de mon stage d’observation, je tiens à exprimer mon humble respect,

ma vive reconnaissance et mes remerciements les plus sincères à Monsieur EL

GHOUGHA, chef du service électrique .

Je remercie spécialement Mr. ELAOUI chef section du service téléphonique qui

m’a accordé cette chance d’effectuer mon stage au sein de son service.

Je n’oublie surtout pas tous les agents du service qui ont fait du mieux qu’ils

pouvaient pour que mon séjour soit encore plus fructueux en mettant en pratique mes

connaissances théoriques et en me permettant de découvrir tous les aspects de travail,

et de parcourir tous les horizons du métier. Je cite spécialement Mr. ELGARNE, Mr.

ELYOUSSFI, Mr. CHARRADI, et aussi Mr. AMMAR qui m’ont fait découvrir

certains aspects de leurs travail dans le domaine de la téléphonie.


Table des matières
Table de matières …………………………………………………………1
Introduction …………………………………………………………......2

Chapitre I : Présentation du groupe OCP


1.En quelques mots………………………………………………………...3
2.Activitée………………………………………………………………3
3.Historique……………………………………………………………..4
4.Exportation…………………………………………………………....4
5.Filiales………………………………………………………………..5

Chapitre II : Réseau téléphonique de l’OCP Safi


1.Presentation du service téléphonique…………………………………………6
2.Structure du réseau........................................................................................................7
3.Les Hicoms 300………………………………………………………...8
4.L’acheminement des appels téléphonique…………………………………….11
5.Les supports de transmissions……………………………………………...12

Chapitre III :Modèle du réseau téléphonique sans fils


1.Introduction…………………………………………………………....18
2.La voix sur IP…………………………………………………………19
3.Le WIFI……………………………………………………………20
4.La Vo-WIFI………………………………………………………...21

Conclusion générale
Netographie

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Introduction
Le stage est une occasion qui nous permet de déchiffrer et d’éclaircir certaines
confusions affrontées au cours de la formation, tout de même, il constitue un moyen
permettant à l’étudiant d’acquérir une bonne expérience pouvant, lui servir dans sa
vie professionnelle.

Ce stage a pour but nous amener à mieux développer notre savoir-faire.


C'est pourquoi mon rapport englobe ce que j'ai pris sur l'activité du service
téléphonique, et les travaux que j'ai effectués durant ma période de stage.

Enfin, le stage est bien nécessaire à tout étudiant pour exploiter ses connaissances et
contacter le domaine professionnel, en lui donnant la possibilité d'intégration.

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Chapitre I. Présentation du
Groupe OCP
I.1. En quelques mots :
Création de l'OCP: 1920 Création du Groupe OCP: 1975 - Création d'OCP SA:
2008 Réserves de phosphate : 3/4 des réserves mondiales Production : phosphate et
dérivés phosphatés (acide phosphorique, engrais)

Sites de production :
• Phosphate : Khouribga, Benguérir, Youssoufia, Boucraâ-Laâyoune
• Dérivés : Safi, Jorf Lasfar

Ports d'embarquement : Casablanca, Jorf Lasfar, Safi, Laâyoune Effectifs : 18 000


dont 6% ingénieurs et équivalents Production marchande de phosphate : 24,45
millions de tonnes Production de phosphate : 27,16 millions de tonnes Part du
Groupe OCP dans le total des exportations marocaines : 33 % (en valeur) Chiffre
d'affaires à l'export : 6,9 milliards de dollars

Parts de marché à l'international :


• Phosphate : 40 %
• Acide Phosphorique : 38.4%
• Engrais : 8.4%

I.2. Activité :
Le Groupe OCP est spécialisé dans l’extraction, la valorisation et la
commercialisation de phosphate et de produits dérivés. Chaque année, plus de 24
millions de tonnes de minerais sont extraites du sous-sol marocain qui recèle les trois-
quarts des réserves mondiales. Principalement utilisé dans la fabrication des engrais, le
phosphate provient des sites de Khouribga, Benguérir, Youssoufia et Boucraâ-
Laâyoune. Selon les cas, le minerai subit une ou plusieurs opérations de traitement
(criblage, séchage, calcination, flottation, enrichissement à sec…). Une fois traité, il
est exporté tel quel ou bien livré aux industries chimiques du Groupe, à Jorf Lasfar ou
à Safi, pour être transformé en produits dérivés commercialisables : acide
phosphorique de base, acide phosphorique purifié, engrais solides. Premier exportateur
mondial de phosphate sous toutes ses formes, le Groupe OCP écoule 95% de sa
production en dehors des frontières nationales. Opérateur international, il rayonne sur
3
les cinq continents de la planète. Moteur de l’économie nationale, le Groupe OCP joue
pleinement son rôle d’entreprise citoyenne. Cette volonté se traduit par la promotion
de nombreuses initiatives, notamment en faveur du développement régional et de la
création d’entreprise. Dans un contexte de concurrence accrue, le Groupe OCP
poursuit la politique de consolidation de ses positions traditionnelles et développe de
nouveaux débouchés. Avec une exigence sans cesse réaffirmée : améliorer la qualité
de ses produits tout en maintenant un niveau élevé en matière de sécurité et de
protection de l’environnement.

I.3. Historique :
Les phosphates marocains sont exploités dans le cadre d’un monopole d’État confié
à un établissement public créé en août 1920, l’Office Chérifien des Phosphates, devenu
Groupe OCP en 1975. Mais c’est le 1er mars 1921 que l’activité d’extraction et de
traitement démarre à Boujniba, dans la région de Khouribga. En 1965, avec la mise en
service de Maroc Chimie à Safi, le Groupe devient également exportateur de produits
dérivés. En 1998, il franchit une nouvelle étape en lançant la fabrication et
l’exportation d’acide phosphorique purifié. Parallèlement, de nombreux partenariats
sont développés avec des opérateurs industriels du secteur, au Maroc et à l’étranger.
Le développement du Groupe OCP a été marqué par quelques grandes dates sur le plan
géologique, on distingue quatre étapes :
1905–1921 : Période des pionniers.
1921–1951 : Période des études fondamentales, stratigraphiques et paléontologiques
(reconnaissance et mise en exploitation des gisements).
1951–1960 : Période des études fondamentales, stratigraphiques et paléontologiques.
1960–1986 : Période d’intensification des études sédimentologiques et géochimiques,
ainsi que de l’étude des gisements du Sahara marocain du crétacé.

I.4. Exportation :
Le Groupe OCP est le premier exportateur mondial de phosphate sous toutes ses
formes avec 28% de parts de marché en 2008. Il est par ailleurs le premier exportateur
mondial de phosphate brut et d'acide phosphorique avec, respectivement 40% et 38,4%
de parts de marché en 2008. Le Groupe OCP est également exportateur d'engrais
solides avec 8,4% de parts de marché en 2008. La majeure partie de la production
(95%) est livrée à l’étranger, soit sous forme de minerai, soit après transformation en
acide phosphorique ou en engrais solides (DAP, MAP, TSP…).
La production marchande du phosphate s'est quant à elle, élevée en 2008 à 24,45
millions de tonnes contre 27,79 millions de tonnes en 2007. Les livraisons de minerai
soit pour l'exportation soit pour transformation ont atteint 23,94 millions de tonnes en
2008 contre 28,13 millions de tonnes en 2007. De son côté, la production d’acide

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phosphorique a atteint 2,761 millions de tonnes P2O5 en 2008 dont 54% ont été
commercialisés. Le reste ayant été transformé en engrais.

Fertilisants:

Le TSP : (686 000 tonnes) est entièrement produit dans les usines Maroc Phosphore
de Safi ; 571000 tonnes ont été exportées. Les trois autres engrais sont entièrement
produits par l’usine Maroc Phosphore de Jorf Lasfar.

Le DAP: production de 843000 tonnes, exportation de 599 000 tonnes et ventes


locales de 239 000 tonnes.

LeMAP: production de 420000 tonnes, exportations de 329000 tonnes et ventes


locales de 3000 tonnes.

Le NPK : la production de 219 000 tonnes est entièrement destinée au marché local
qui en a absorbé, en 2008, 177000 tonnes.

Pour acheminer ses produits, le Groupe OCP s’appuie sur quatre ports qui
desservent une quarantaine de pays à travers le monde.

I.5. Filiales :
Concentré sur ses métiers de base, le Groupe OCP s’appuie sur une structure
organisée qui s’articule autour de filiales intégrées. Dans le cadre de sa stratégie de
développement à l’international, il a également noué au fil des années des partenariats
avec de grands opérateurs étrangers.

 CERPHOS : (Centre d’Etude et de Recherche des Phosphates Minéraux), doté de


laboratoire et d’unités d’essais pilotes.

 MARPHOCEAN : Entreprise maritime spécialisée en particulier dans le transport


de l’acide phosphorique.

 SMESI : (Société Marocaine d’Etudes spéciales et industrielles), qui est une


entreprise d’ingénierie et des réalisations industrielles.

 STAR : (Société de Transport et d’Affrètement Réunis).

 SOTREG (Société de Transports Régionaux), chargé du transport du personnel du


groupe OCP.

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Chapitre II. Réseaux
téléphoniques de l’OCP Safi
II.1. Présentation du service téléphonique:
Comme c’est le cas pour toutes sorte d’entreprise ,le groupe OCP à besoin
d’une réseaux téléphonique ,offrant un service de communication sure et de grande
qualité pour ce faire un réseau téléphonique a été créer au sein du groupe . le service
téléphonie de l’entreprise a donc pour fonction l’établissement de la communication
entres différents membres du personnels ,quelle que soit leur localisation dans
l’entreprise. Tout en la supervisant pour des raisons de taxation, de contrôle , et de
maintenance. Le personnel de ce service a pour tâche de réparer toutes sorte de
problème (terminaux ,lignes téléphoniques,.. ) arrivant aussi bien au sein de l’OCP ou
au niveau de ses annexes aux port ou en ville.

Et pendant ma période de stage au service téléphonique, j’ai pu participer aux


travaux suivants :
 Le câblage d’une réglette de raccordement
 Réparation des téléphones
 Montage de nouveaux appareils téléphoniques
 La programmation du cartes de l’autocommutateur pour identifier les
appareils

II.2. Structure du réseau :


Le réseaux téléphonique du Groupe est un réseau téléphonique commuté. Il s'agit du
réseau téléphonique classique RTC ,le terme commuté vient du fait que les
communications sont rendues possibles grâce à des commutateurs automatiques, aussi
appelé autocommutateurs qui sont des dispositifs assurant une liaison temporaire entre
deux personnes.

L’installation actuelle est composée d’un réseau de six autocommutateurs


HICOM 300 dont trois au sein du complexe : un principale (HICOM 382) utilisé en

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maitre et situé à PC et deux autres secondaires (HICOM 372) à MP1, MP2. Et trois
autres dont un (HICOM 342) au Port et puis deux au centre-ville (HICOM 130) au
plateau et à l’hôtel Atlantide. Ces six autocommutateurs sont connectés entre eux via
un réseau maillé, étoilé, avec duplication des voies de transmissions (liaisons
numériques 2 Mbits/s) . Les moyens de gestion et de maintenance sont centralisés au
PC puisque le commutateur y installée est le maitre et le superviseur du réseau. Ces
commutateurs sont les nœuds principaux de notre circuit au plus des quelles subsistent
d’autres éléments importants dans l’établissement de la communication tels que :

 Répartiteur : offre plusieurs dizaines à plusieurs milliers de lignes


téléphoniques vers les abonnées. Chaque liaison est réalisée en deux fils. En
général, Le répartiteur téléphonique est le lieu situé dans le central téléphonique
(aussi appelé NRA, pour Nœud de Raccordement Abonné) où se font toutes les
connexions entre le réseau filaire desservant les clients d'un opérateur de
télécommunications (la boucle locale) et les infrastructures (voix, données ou
images). Ces connexions se font à l'aide de paires de fil torsadé en cuivre appelées
jarretières pour un répartiteur classique (utilisé à l’OCP); il existe également des
répartiteurs optiques.

 Réglette : c’est un moyen de raccordement des sorties lignes entre autocom et


abonnés.

 Station d’énergie : composée de batteries permettent de garantir le

 Câbles téléphoniques : Le réseau des liaisons entre les trois PC, PP et PM est
maillé, étoilé, avec duplication des voies de transmission .Il est composé de :

 Câbles cuivre LYA 14 paires, blindés et armés.


 2 ULAF 2 Modules DIU-S2

 Terminal de programmation et de télémaintenance : Un modem de télé


service HICOM pour la maintenance à distance.

II.3. Les HICOM 300 :

Hicom 300 est un système de central téléphonique de Siemens, à l'origine vendu


aux USA comme le ROLM 9751-9006i comme tentative pauvre de la déguiser comme
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« mise à niveau » du ROLM populaire 9751-9005CBXs, et est employé par de grandes
compagnies comme UBS, Swisscom, Nestlé et Tamco. Le système de Hicom a été
surpassé par le système de HiPath. Les séries de Hicom/HiPath sont un ensemble
modulaire de systèmes de téléphone qui viennent dans plusieurs formes et tailles, à
partir des plus petites unités mur-montables qui soutiennent quelques clients douzaine
aux plus grandes unités modulaires de bloc qui prennent les cartes multiples pour
numérique (le RNIS), aux POTS (analogues), et aux cartes de VoIP. Ces téléphones
sont typiquement administrés par l'intermédiaire d'une carte de LAN avec le logiciel
de gestion du téléphone de Siemens (« directeur E » également connu sous le nom de
« ASS_150e.exe »), et sont extrêmement puissants. Des mots de passe de client sont
fortement chiffrés dans les dossiers de KDS mais peuvent être entaillés en utilisant des
programmes simples développés par le tiers personnel.

Le logiciel développé par Siemens d'utilisations de HICOM 300 (impliqué re-


badging) COMTES ou COMWIN donnent le plein accès pour configurer le système.
L'interface entre COMWIN et HICOM peut être LAN, publication périodique ou
modem. L'accès de LAN emploie le protocole d'IP avec construit dans le réglage (IP :
masque de 192.0.2.3 : 255.255.255.0 et passage : 192.0.2.4) ce qui doivent être
soutenus ou par le terminal autonome, réseau ci-joint ou par le personnel de la couche
8 de Brad Murphy.

Configuration Configuration Nombre de


Modèle
Maximale Minimale Boîtiers

HICOM 323 64 Ports 24 Ports 1


HICOM 333 128 Ports 24 Ports 1
HICOM 342 256 Ports 32 Ports 1
HICOM 343 256 Ports 32 Ports 2
HICOM 352 384 Ports 96 Ports 1
HICOM 353 384 Ports 96 Ports 2
HICOM 362 512 Ports 96 Ports 2
HICOM 372 1024 Ports 256 Ports 2
HICOM 382 2048 Ports 1024 Ports 2

II.3. 1. Description Matériel :


Le système HICOM 300 est constitué d’une ou plusieurs armoires selon son
modèle. La première représente l’armoire de base et le reste représente les armoires

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d’extension. L’armoire de base se compose de 6 étages : un pour l’unité
d’alimentation, deux pour l’unité de commande et trois pour l’unité périphérique.

Unité de périphérique : c’est une partie de l’unité de communication, on l’appelle


aussi l’unité de raccordement (LTU). Cette unité gère jusqu’à 256 ports qui peuvent
être réparties sur 17 cartes lignes : ces cartes sont connectées au réseau de connexion
via la carte LTUC par 4 canaux de 32 ou 64 intervalles de temps à 64Kbit/s.

Quelques cartes périphériques :


 LTUCE : Unité de raccordement et Contrôleur d’unité des lignes des abonnés et le
serveur.
 SLMA : C’est une carte pour les postes analogiques, il gère 16 postes.
 SLMO : C’est une carte pour les postes numériques, il gère aussi 16 postes.
 RG : générateur de signal d’appel.
 TMCOW : Carte pour les lignes extérieures.
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 SIUX : Génération de tonalité, de cadence, de sonnerie, diffusion de musique
d’attente, et la détection de la tonalité d’acheminement.
 DIUS2 : Interface de connexion de deux lignes numériques.

Unité d’alimentation : cette unité offre une alimentation secteur 230V ,50 jusqu’à
64hz, les alimentations sont installées dans chaque armoire pour fournir 48V de type
continue fournissant les alimentations nécessaires aux cartes.

Unité de commande : se compose de deux parties :


 ADS (Administration Data System) : il permet de traiter la base de données
HICOM et les fonctions de gestion, d’administration et de maintenance du système.
Cette partie se compose d’un processeur maitre (DP3DM : data processor 386 dynamic
Memory), de mémoires (MIP : Memory interface processor), un gestionnaire d’entrées
sorties IOPAX et des interfaces LBU (RS332) qui permettent le dialogue avec les
équipements extérieurs tel que le modem, l’ordinateur …, et un disque dur (HD) pour
le stockage des données.

 SWU (Switching unit : Unité de commande) : cette unité réalise toutes les
fonctions de la connexion, elle se divise en deux parties ; la première est active et la
deuxième reste en mode Standby.

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II.4. L’acheminement des appels téléphoniques :
Un appel téléphonique débute lorsque l'abonné demandeur décroche son
combiné et attend la tonalité. Cette opération ferme un commutateur électrique,
provoquant la propagation d'un courant électrique sur la ligne de l'abonné, situé entre
l'endroit où se trouvent le demandeur et les locaux du central automatique. Le central
détecte ce courant et renvoie une tonalité caractéristique combinant deux notes,
facilement reconnaissable par les machines comme par les usagers. Lorsque le
demandeur d'appel entend la tonalité, il compose alors sur le clavier de son poste une
séquence de chiffres qui identifie un autre abonné. L'équipement de commutation du
central interrompt la tonalité sur la ligne, dès la réception du premier chiffre. À la
réception du dernier chiffre, il détermine si l'abonné demandé dépend du même central
que le demandeur ou d'un central différent.
S'il dépend du même central, une série d'impulsions électriques se déclenche
alors sur la ligne de l'abonné demandé. Ce courant alternatif d'une fréquence de 50 Hz
provoque l'émission de sonneries sur le poste du destinataire. Si l'abonné demandé
décroche son combiné, un courant continu s'établit sur sa ligne. Le central le détecte,
interrompt la sonnerie et établit la connexion entre les deux abonnés. Des relais
d'occupation sont alors activés sur les lignes des deux abonnés, les portant à un
potentiel particulier, de telle sorte que si un troisième abonné tente d'appeler l'un deux,
il reçoit le signal « occupé ».
Si l'abonné demandé dépend d'un central différent, le central émettant l'appel
(central de départ) commence par établir une connexion via le réseau avec le central de
l'abonné demandé (central d'arrivée). Lors de cette opération, le central de départ doit
communiquer au central d'arrivée l'identité de l'abonné demandé. Le central d'arrivée
déclenche ensuite les procédures de sonnerie, de détection d'une réponse et de
notification au central de départ.
En terminologie téléphonique, l'appel est considéré comme terminé dès lors que
l'abonné appelé a répondu, et non quand il a raccroché. Lorsque la communication
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s'achève, l'un des abonnés, ou les deux, raccroche en replaçant le combiné sur son
socle, ou en enclenchant la position off du combiné. Cette manœuvre ouvre le
commutateur et interrompt le courant continu. Le central engage alors la procédure de
suppression de la connexion.
En établissant et en interrompant une communication, le central de l'abonné
appelant envoie en parallèle une notification au centre informatique de facturation.
L'abonné appelant paie la communication en fonction de l'éloignement du destinataire,
de la durée et de l'heure de l'appel, selon un barème fixé par la société de
télécommunications. Si le destinataire ne répond pas, l'appel n'est pas facturé.

II.5. Les supports de transmission :


Pour assurer les liaisons filaires du réseau téléphonique du Groupe OCP , on
utilise trois supports de transmission différents qui sont :

 La fibre optique

 Le cuivre

 Les faisceaux hertziens

1. La fibre optique :
Contrairement aux autres supports de réseau composés de fils de cuivre, le câble à
fibre optique ne transporte pas d'impulsions électriques. Les signaux représentant les
données sont convertis en faisceaux lumineux.
Le câblage en fibre optique utilise des fibres de verre ou de plastique pour guider
des impulsions lumineuses de la source à la destination.
Les fibres présentent de nombreux avantages par rapport au cuivre au niveau de la
largeur de bande passante et de l'intégrité du signal sur la distance. Cependant, le
câblage en fibre est plus difficile à utiliser et plus coûteux que le câblage en cuivre.
Les connecteurs sont onéreux, tout comme la main d'œuvre pour terminer les
extrémités des câbles.

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Les câbles à fibre optique peuvent être classés en deux grands types : monomode
et multi mode.

Il existe nombre de connecteurs pour la fibre optique. Les plus répandus sont les
connecteurs ST (rond) et SC (carré).

2. Le cuivre :
Le support le plus souvent utilisé pour les communications de données est un
câblage qui utilise des fils de cuivre.

Il existe deux sortes de câbles utilisant le cuivre :


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Le câble à paires torsadées
Le câble coaxial.

Les données sont transmises sur


les câbles en cuivre sous forme
d’impulsions électriques mais sont
soumises à des interférences
diverses.

On peut atténuer ou éliminer ces


interférences en utilisant des
techniques particulières comme la
torsade ou le blindage

Le câble à paire torsadées :

Le câble à paire torsadée est utilisé pour les communications téléphoniques et pour
la plupart des réseaux Ethernet récents. Une paire de fils forme un circuit qui peut
transmettre des données. Les paires sont torsadées afin d'empêcher la diaphonie, c'est-
à-dire le bruit généré par les paires adjacentes (voisines)

Le câble utilisé dans les réseaux Ethernet est composé de 4 paires de fils :

La figure ci-dessus représente un câble UTP : Unshielded Twisted Pair

Paire torsadée sans blindage

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Un autre type de câblage utilisé dans les réseaux est le câble à paires torsadées
blindées (STP). Comme l’illustre la figure, la norme STP utilise deux paires de fils
enveloppées dans un revêtement tressé ou un film métallique.

STP : Shield Twisted Pair


Paires torsadées blindée

Parfois, le blindage n'est pas constitué


avec une tresse métallique mais avec une
simple feuille d'aluminium appelée
"écran". On parle alors de câble

FTP : Foiled Twisted Pair


Paires torsadées écrantée

Ces deux types de câbles offrent une meilleure immunité aux interférences mais
sont plus couteux et difficiles à mettre en œuvre.

Le câble coaxial.

Un câble coaxial se compose d’un conducteur de cuivre entouré d’une couche de


matériau isolant flexible.

Le câble coaxial est un


type couramment utilisé dans
les technologies sans fil et
d’accès par câble. Il permet par
exemple de relier des antennes
à des périphériques sans fil. Le
câble coaxial transporte de
l’énergie en radiofréquence
(RF) entre les antennes et le
matériel radio.

Le câble coaxial est également le support le plus largement employé pour le


transport par fil de signaux de radiofréquence élevée, en particulier les signaux de
télévision par câble.

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3. Faisceaux hertziens :

Les supports sans fil transportent des signaux électromagnétiques qui représentent
les chiffres binaires des communications de données.

Le principal avantage des communications sans fil est l'absence de support


(câble). Mais cela présente aussi des inconvénients:

Les signaux électromagnétiques sont sensibles à l'environnement et aux


interférences.

Tout le monde peut accéder aux données émises. Les réseaux sans fil doivent donc
être sécurisés avec soin.

16
Chapitre III. Modèle du réseau
téléphonique sans fils
III.1. Introduction
le rêve devient réalité. Depuis plus d’un an, les offres de VoWi-Fi proposées par
Axiance, Cisco, Symbol, Nortel Networks et Avaya se multiplient en France. L’OHSA
et Tir Groupé, deux sociétés utilisatrices, apportent des témoignages encourageants.

VoWiFi est une technologie hybride qui bénéficie des qualités de ses deux ascendants.
Wi-Fi lui apporte la liberté du sans-fil avec une économie réalisée sur le câblage. VoIP
lui procure tous les bienfaits de la convergence IP avec, avant tout, une capacité de
réduction des coûts télécoms.

De plus, la bande passante du Wi-Fi lui ouvre un potentiel d’appels supérieur à un


PBX de type Dect. À l’opposé de la transmission sans fil Dect, qui limite la portée du
poste à la borne, VoWiFi offre une liberté de déplacement d’un point à l’autre.

VoWiFi exploite les mêmes mécanismes protocolaires que VoIP (H.323 et SIP). Mais
elle ne profite pas pour autant des procédures d’affectation de classes de service
Diffserv ou de réservation de flux RSVP (Resource Reservation Protocol). Cela
s’explique par les fondements mêmes de la technique Wi-Fi qui octroie une équité
d’accès aux ressources.

Pour supprimer ce défaut, l’IEEE travaille sur une variante du standard, désignée
802.11e, qui définira des classes de services afin d’affecter des priorités. Ces
spécifications devraient être validées en septembre.

Deux autres moutures verront le jour par la suite. La première, 802.11k, entend
optimiser l’allocation des ressources du réseau sans fil selon la qualité de chaque
liaison. Autrement dit, chaque terminal client délivrera un bilan de sa connexion au
commutateur et aux points d’accès.

Forts de ces renseignements, ces derniers redistribueront les ressources adéquates pour
garantir le débit et la disponibilité de la liaison. La seconde, 802.11r, devra optimiser

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le roaming (saut de cellule) lors du passage d’un point d’accès à un autre. Il faut y
ajouter la norme 802.11i, chargée de sécuriser les communications sans fil.

III.2. La voix sur IP :


La Voix sur IP (en anglais, Voice over IP ou VoIP) est le nom d’une nouvelle
technologie de télécommunication vocale en pleine émergence qui transforme la
téléphonie. Cette technologie marque un tournant dans le monde de la
communication en permettant de transmettre de la voix sur un réseau numérique
et sur Internet.
C’est en 1996 que naquit la première version Voix sur IP, appelée H323. Depuis, la
technologie Voix sur IP a progressé à mesure que les entreprises découvraient ses
avantages pour accroître la productivité et l’efficacité de leurs réseaux.
L’objectif de la Voix sur IP est d’appliquer à la voix le même traitement que les
autres types de données circulant sur Internet. Grâce au protocole IP, des paquets
de données, constitués de la voix numérisée, y sont transportés. En effet, à force
de transférer des fichiers d’information en temps de plus en plus réel, les
utilisateurs d’Internet en vinrent à transférer de la voix, en temps suffisamment
réel pour faire compétition au téléphone. Dans cette banalisation des données voix,
deux contraintes majeures sont présentes : transmettre ces paquets dans le bon
ordre et le faire dans un délai raisonnable.
La téléphonie IP et la téléphonie mobile, deux technologies appelées à se
généraliser au cours des prochaines années, auront un impact majeur sur la façon
dont les gens communiquent, au bureau comme à la maison.
Ce rapport a notamment pour objectifs de fournir des renseignements permettant
de mieux connaître cette nouvelle technologie, d’identifier ses atouts, ses
inconvénients, et d’évaluer si elle constitue une voie d’avenir pour les centres de
relations clientèle des grands organismes.

Pour mieux connaitre la VOIP :

La téléphonie sur IP (en anglais, telephony over IP ou IP telephony) est un


service de téléphonie offert sur un réseau de télécommunications, public ou privé,
utilisant principalement le protocole de réseau IP. La téléphonie IP définit
l’utilisation de liens « Internet » pour acheminer des appels téléphoniques d’une
personne à une autre. L’appel téléphonique de type IP diffère de la téléphonie
conventionnelle (RTC) dans l’encodage de la voix. Dans le système traditionnel, la
voix est encodée de façon analogique et numérique et transmise sur un réseau de
commutation de circuits alors que dans le système IP, la voix est encodée en
format numérique et mise en paquets sous format IP. En fait, la téléphonie sur IP
utilise la même méthode que pour la transmission de l’information sur le réseau
Internet. Une fois la voix formatée, on peut la transmettre sur un lien Internet
commun ou encore l’envoyer sur des liens dédiés.

18
« IP est le protocole spécifique à Internet, qui se charge de transmettre les
données sous forme de paquets. L’envoi de ces paquets est réalisé en fonction
des adresses de réseaux ou de sous-réseaux qu’ils contiennent ».

III.3. WIFI :
Wi-Fi est un ensemble de protocoles de communication sans fil régis par les normes
du groupe IEEE 802.11 (ISO/CEI 8802-11). Un réseau Wi-Fi permet de relier sans fil
plusieurs appareils informatiques (ordinateur, routeur, décodeur Internet, etc.) au sein
d'un réseau informatique.

La norme IEEE 802.11 (ISO/CEI 8802-11) est un standard international décrivant


les caractéristiques d’un réseau local sans fil (WLAN). La marque déposée « Wi-Fi »
correspond initialement au nom donné à la certification délivrée par la WECA
(« Wireless Ethernet Compatibility Alliance »), organisme ayant pour mission de
spécifier l’interopérabilité entre les matériels répondant à la norme 802.11 et de vendre
le label « Wi-Fi » aux matériels répondant à leurs spécifications. Par abus de langage
(et pour des raisons de marketing) le nom de la norme se confond aujourd’hui avec le
nom de la certification (c’est du moins le cas en France, en Espagne, au Canada…).
Ainsi, un réseau Wi-Fi est en réalité un réseau répondant à la norme 802.11. Dans
d’autres pays (en Allemagne, aux États-Unis par exemple) de tels réseaux sont
correctement nommés WLAN (Wireless LAN).

Grâce au Wi-Fi, il est possible de créer des réseaux locaux sans fil à haut débit.
Dans la pratique, le Wi-Fi permet de relier des ordinateurs portables, des machines de
bureau, des assistants personnels (PDA), des objets communicants ou même des
périphériques à une liaison haut débit (de 11 Mbit/s théoriques ou 6 Mbit/s réels en
802.11b à 54 Mbit/s théoriques ou environ 25 Mbit/s réels en 802.11a ou 802.11g et
600 Mbit/s théoriques pour le 802.11n[2]) sur un rayon de plusieurs dizaines de mètres
en intérieur (généralement entre une vingtaine et une cinquantaine de mètres). Dans un
environnement ouvert, la portée peut atteindre plusieurs centaines de mètres voire dans
des conditions optimales plusieurs dizaines de kilomètres (pour la variante WiMAX ou
avec des antennes directionnelles).

Les e-Books d’Apple furent, en 1999, les premiers ordinateurs à proposer un


équipement Wi-Fi intégré (sous le nom d’Air Port), bientôt suivis par le reste de la
gamme. Les autres ordinateurs commencent ensuite à être vendus avec des cartes Wi-
Fi intégrées tandis que les autres doivent s’équiper d’une carte externe adaptée
(PCMCIA, USB, Compact Flash, SD, PCI, Mini PCI, etc.). À partir de 2003, on voit
aussi apparaître des modèles de PC portables bâtis autour de la technologie Intel
Centrino, qui leur permettent une intégration simplifiée.

19
III. 4. La VO-WIFI :
Face à l'engouement des entreprises pour le sans fil, la tentation d'accrocher la
voix à la locomotive Wi-Fi était trop forte. Reste à savoir si cette technologie hybride,
reposant sur la voix sur IP (VoIP) et sur le standard 802.11, tient du mariage de raison
ou de la frénésie markéting.
A en croire ses promoteurs, la pérennité de la voix sur Wi-Fi-ou VoWiFi (Voice over
WiFi)- ne fait aucun doute.
Le WiFi lui confère la liberté du sans fil et autorise une capacité d'appel supérieure à
celle d'un autocommutateur avec des téléphones sans fil de type DECT (Digital
Enhanced Cordless Telephone).
La voix sur IP apporte les avantages de la convergence voix-données, avec une
réduction des coûts téléphoniques en terme de consommations téléphoniques et en
terme d'infrastructure.

20
Quelques comparaisons symboliques et pratiques entre le DECT et le VoWIFI:

DECT VoWIFI
Une bande de fréquence Une bande de fréquence
peu sensible aux non réservée (2,4 Ghz),
Immunité Radio
interférences qui est sensible aux
dédiée (1,9 Ghz). interférences.
Le fonctionnement
Le canal étant réservé
Garantie s'effectue en mode
(mode circuit), lé débit
Débit/Délai paquet. Pas de
et le délai sont garantis.
mécanisme de Qos.
La portée des bornes va
De 15 mètres à l'intérieur
Couverture de 30 mètres en
à 100 mètres en extérieur
Radio intérieur à 300 mètres à
pour les points d'accès.
l'extérieur.
La gestion du roaming et
Le roaming et le hand-
du hand-over sont des
Mobilité over sont spécifiés dans
protocoles propriétaires
le standard DECT.
pour chaque marque.
L'authentification et le En attente de la mise en
Sécurité chiffrement sont prévus application du protocole
dans le standard. 802.11i
Le coût des terminaux
Le réseau peut-être
est peu élevé mais
Coût mutualisé, mais les
nécessite un réseau
terminaux restent chers.
parallèle.
Ce sont des terminaux
téléphoniques classiques PDA, Téléphones,
Terminaux
de norme DECT avec Tablettes PC, etc...
une compatibilité GAP.
De nombreuses
Ces modèles servent applications sont
Utilisation uniquement pour la possibles alliant voix et
téléphonie. données, mais aussi la
vidéo.

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Un fort ascendant de la voix sur IP

Pour transporter la voix, VoWiFi use des mêmes mécanismes protocolaires que VoIP.
A commencer par les procédures de signalisation H.323 et SIP. La voix est numérisée,
puis encapsulée dans des paquets IP, qui suivent le même cheminement que toute autre
cargaison internet. Mais, à l'opposé de la téléphonie sur IP par voie filiaire, VoWiFi ne
dispose pas d'outils garantissant la qualité de service. Et pour cause : les fondements
mêmes de la technique Wi-Fi imposent une équité d'accès aux ressources du réseau,
quelle que soit la nature du trafic. Or, les communications téléphoniques ne tolèrent
pas de délai de latence. Les constructeurs proposent donc des mécanismes de qualité
de service propriétaires, tel Voice Priority, de Spectralink. En outre, l'IEEE a remis
l'ouvrage 802.11 sur l'établi afin d'engendrer une variante, nommée 802.11e et dotée
de classe de services. A priori, les équipementsWi-Fi existants supporteront VoWiFi
après une simple mise à jour 802.11e du firmware. Sans attendre les spécifications
802.11e attendues pour septembre 2004, les premiers équipements opérent dans une
version VoWiFi préstandard.

Les différentes éléments constituant un réseau de VoWiFi :

Les téléphones sans fil VoWiFi

A l'instar des postes de travail Wi-Fi, les téléphones sans fil VoWiFi se
connectent aux bornes d'accès. Contrairement au combiné sans fil DECT, dont la
portée est réduite par sa station de base, VoWiFi offre une liberté de mouvement d'une
borne à l'autre. Les premiers téléphones VoWiFi ont une autonomie de batterie limitée
- entre deux et quatre heures.

Les bornes VoWiFi

La borne gère les communications des téléphones VoWiFi situés à sa


périphérie. Le nombre d'appels simultanés supportés dépend du codage de la voix mis
en oeuvre et du débit alloué au combiné. En attendant 802.11k, censé optimiser les
ressources radio, la capacit" d'une borne VoWiFi est aujourd'hui milité (entre 5 et 10
appels simultanés). Le positionnement des bornes d'accès doit tenir compte des
obstacles physiques -fenêtres, murs porteurs, ascenseurs, qui font cage de Faraday.

La voix sur IP

Pour convertir la voix en paquets IP, les téléphones VoWiFi usent des mêmes
procédures que celles mises en oeuvre dans un environnement filaire. Le signal
analogique est échantillonné, puis converti en données bianires par le biais d'une
modulation par impulsion codé (recommandation G.711) ou par des codages moins
gourmands en bande passante, comme le G.728. Les paquets sont ensuite transmis sur
22
le réseau local Ethernet via le protocole UDP. Ils sont horodatés avec la procédure
RTP.

Le commutateur voix sur Wi-Fi

Le commutateur Wi-Fi supervise l'administration et gère le partage de bande


passante entre toutes les bornes d'accès, ainsi que la sécurité à travers un pare-feu. Par
ailleurs, il route les communications de voix sur IP non seulement en interne, mais
aussi vers le réseau téléphonique extérieur par l'intermédiaire d'une passerelle voix sur
IP.

La passerelle voix sur IP

La passerelle téléphonique s'érige en tant que médiateur entre le réseau local et


l'autocommutateur (PABX) relié au réseau téléphonique public. Cette passerelle prend
en charge la traduction d'adresses IP en E.164 ITU-T, et réciproquement. La
connexion au PBX passe par des interfaces analogiques de type FXO (Foreign
Exchange Office)/FXS (Foreign Exchange Station), ou numérique E1 ou RNIS.

Quelques prix de terminaux de VOIX SUR IP incluant les terminaux VoWiFi :

Constructeur Modèle Type Ecran Protocoles Prix

3101 Speak Filaire 2x12 caractères Propriétaire et SIP 240 €

3Com
3102
Business Filaire 2x12 caractères Propriétaire et SIP 370 €
Phone

E-reflex
Filaire 20 caractères Propriétaire 195 €
Easy
Alcatel

IP Touch Monochrome, 100x160


Filaire Propriétaire 445 €
4038 pixels

23
IP Touch Couleur, 320x240
Filaire Propriétaire 695 €
4068 pixels

7912G Filaire Monochrome Propriétaire, SIP 220 €

Couleur, 320x234 Propriétaire, MGCP,


Cisco 7970 Filaire 500 €
pixels H323, SIP

Monochrome, 128x80 Propriétaire, MGCP,


7920 Wi-Fi 600 €
pixels H323, SIP

Propriétaire (SIP
5215 Filaire 2x20 caractères 290 €
prévu)
Mitel
Monochrome, 320x240
5240 Filaire Propriétaire 640 €
pixels

Pingtel
(accords avec Monochrome, 160x160
Xpressa Filaire SIP 600 €
3Com et pixels
Alcatel)

Spectralink NetLink Propriétaire, Alcatel,


(accord OEM e340 et Wi-Fi 3x16 caractères Cisco NC
avec Alcatel) i640 et H323

Monochrome, 128x64
SwissVoice IP10S Filaire MGCP, H323, SIP NC
pixels

H323 (et extensions


Symbol NetVision Wi-Fi 3x16 caractères 564 €
de Mitel et Nortel)

24
Conclusion Générale
Le stage que j'ai effectué au service Téléphonique, était pour moi une

possibilité d'améliorer mes qualités dispensées dans mon établissement et de

maîtriser l'élément principal de nature à atteindre les objectifs prioritaires et de

la confrontation des méthodes et techniques en signées avec les pratiques en

vigueur au sein de l'entreprise.

En outre ce stage m’a permis de faire une étude générale, d’une part sur

l’autocommutateur HICOM 300 de Siemens (caractéristiques techniques,

descriptions matérielle et fonctionnelle…), d’autre part de participer aux

activités quotidiennes des personnels du service téléphonique chose qui m’a

donné une confiance en soi.

Ce stage m’a permis d’établir un premier contact avec le monde

professionnel et développer ainsi mes capacités tant au niveau

communicationnel que relationnel au sein de l’entreprise.


Netographie
www.siemens.com
www.protocole.com
www.ocpgroup.ma
www.google.com
www.wikipedia.com

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