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LA GAZETTE DE TEE
Le bulletin d’information de Territoires Environnement Emplois Ile-de-France
SOMMAIRE ÉDITORIAL
Voici 15 ans, la force de conviction - portée par les adhérents,
traduite opérationnellement par les salariés, avec le soutien des
Table-ronde : Coopérer ensemble pour observer partenaires institutionnels, a conduit l’IDEMU vers des voies
les emplois et métiers de l’environnement p. 2 novatrices pour relever le défi de l’accès au travail de tous dans
un double enjeu « emploi et environnement ».
L’association a tout d’abord visé l’insertion par l’activité
Table-ronde : Emplois, métiers et formations économique et la formation agricole en éco-paysage, puis cinq
dans la filière forêt-bois p. 3 ans plus tard, proposé par les pouvoirs publics, a mis en œuvre
le projet Territoires Environnement Emplois pour une meilleure
connaissance des métiers et activités de l’environnement.TEE anime
Table-ronde : Emplois, métiers et formations dans aujourd’hui les partenariats nécessaires à la mise en œuvre de
la biodiversité p. 4 l’Observatoire francilien des métiers et emplois de l’environnement
de l’Ile-de-France.
Discussion : Préparer l’avenir de l’emploi et des métiers p. 5 En novembre 2009, La Gazette n°20 rendait compte du fort
potentiel du patrimoine forestier francilien. Deux études ont
approché la réalité des métiers et des formations. Lors de la
rencontre régionale du 20 mai 2010, 89 professionnels issus du
Restitution des ateliers d’échanges biodiversité p. 6 monde de l’entreprise, des collectivités et du mouvement associatif,
acteurs des deux filières Biodiversité et Forêt-Bois, ont assisté à
la présentation des travaux, questionné les invités des tables rondes,
Restitution des ateliers d’échanges filière forêt-bois p. 7 puis centré leurs propositions à la faveur d’ateliers aux thèmes
plus ciblés.
Ce qu’il faut retenir de la journée p. 8 De la confrontation des analyses et points de vue des acteurs sur
les métiers et les pratiques, quelques lignes de force se dégagent :
· Si des initiatives se prennent dans les lycées et universités pour
Qui sommes-nous ? p. 8 inciter les jeunes à s’orienter vers des métiers qualifiés et
porteurs d’emploi, l’effort de communication doit être amplifié
pour rendre attrayantes ces professions ;
· Les formations initiales et continues doivent être étoffées en
quantité et qualité pour répondre aux besoins, mais dans le
même temps il est urgent de se préoccuper des réponses en
termes de « formation de formateurs » ;
· La mise en réseau des acteurs doit s’accélérer pour transformer
les gisements évalués en véritables emplois stables, décemment
rémunérés et s’appuyant sur des métiers identifiés.
De l’avis de tous, cette journée dense en découvertes mutuelles des
champs de compétences et de capacités d’initiatives communes,
invite à poursuivre le défrichage et la mise en visibilité des filières.
Dès le second semestre, TEE prolongera le travail engagé en
formalisant de nouveaux partenariats d’action.
Estelle Le Touzé
Administratrice de l’IDEMU
Différents acteurs nationaux et régionaux se préoccupent Pourquoi l'économie verte a-t-elle attirée l'attention de
des perspectives offertes par les métiers verts. l'Institut de l'Ecologie en Milieu Urbain (IDEMU) ?
« Depuis 15 ans, l'IDEMU, ancrée sur les territoires, défriche
« Mon rôle est de piloter le Plan national de mobilisation dans
des champs nouveaux », explique Estelle Le Touzé,
les emplois et métiers de l'économie verte. » Chargée d'introduire
administratrice. Avec 60 collaborateurs en CDI et une
cette journée consacrée aux emplois « verts » en Ile-de-France,
quarantaine de salariés en insertion dans des services liés à
Hélène Bégon, sous-directrice de l'intégration des
l'environnement, cette entreprise sociale anime des chantiers
démarches de développement durable par les acteurs
d'insertion, conçoit des formations dans les champs du paysage
économiques au Ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du
et de l'environnement, et, informe et sensibilise à la maîtrise
Développement durable et de la Mer, pose le cadre actuel
de l'énergie. En 1999, l'IDEMU a répondu à l’appel à projet des
des métiers de l'économie verte. L'objectif du plan est de
ministères en charge de l’environnement et de l’emploi pour
concevoir une nouvelle façon de travailler pour rendre plus
expérimenter en région Ile-de-France un centre de ressources
durables les moyens de produire. « Ce plan, issu du Grenelle
et d'échanges autour des questions de la formation, des
de l'environnement, doit favoriser un verdissement des emplois
métiers et de l’emploi environnement :Territoires, Environnement,
et pallier, si besoin, les transitions douloureuses que cela
Emplois (TEE)(1) . Celui-ci observe, anime un réseau d'acteurs,
risque d'engendrer pour certaines filières comme l'industrie. »
organise des rencontres, capitalise les réflexions et formule
Sa première phase, achevée début 2010, a consisté à
des propositions opérationnelles autour d'une hypothèse :
diagnostiquer l'évolution des filières et des métiers concernés
face à la dégradation de l'environnement et de l'emploi,
pour aboutir à des plans d'actions (formations, aides aux
l'environnement peut-il susciter de nouveaux emplois ?
entreprises...). La seconde étape, en cours, affine les besoins
de formation, notamment transversaux. L'ADEME est partenaire de ce réseau depuis sa création.
Un observatoire national des emplois et métiers verts C'est donc avec un certain recul que Gwénaël Guyonvarch,
analysera les impacts macro-économiques du passage d'une son directeur régional en Ile-de-France, évoque les
économie traditionnelle à une économie verte. Les régions potentialités offertes par l'environnement en matière d'emplois
seront aussi invitées à mener des expérimentations. La dans les domaines comme ceux de la biomasse. « Les données
filière, liée à la biodiversité et aux services écologiques, quantitatives à l'échelle de l'Ile-de-France doivent être
fera l'objet d'une approche particulière ceci afin de renforcer complétées afin de faire coïncider besoins en compétences et
sa structuration : identification des métiers et structuration offre de formations. » C'est la raison pour laquelle TEE s’associe
de ce secteur autour de la formation, une labellisation des avec l'Observatoire régional de l'emploi et de la formation
métiers, du droit du travail... (OREF) d'Ile-de-France. De plus, il faut accompagner le dévelop-
pement des compétences sur le territoire. « Des filières
L'environnement : de réelles potentialités
comme celle du bâtiment, par, exemple mettent en œuvre des
Les régions sont donc de la partie, comme le confirme Sophie actions locales avec les maisons de l'emploi. Il est nécessaire
Renard, conseillère régionale d'Ile-de-France, présidente d'étendre ces initiatives à une plus large échelle et sur d'autres
de la Commission développement économique. « La filières comme le bois-énergie. »
formation, les métiers et l'action économique sont au cœur de nos
préoccupations. » Les dispositifs ne manquent pas pour soutenir Christine Bruniaux, responsable de l'OREF d'Ile-de-France,
le développement des métiers verts et verdissants : Schéma explique l'intérêt de sa structure pour ces travaux. « Les
régional de développement économique, Schéma régional de OREF utilisent des méthodes d'analyse partagées par
la formation tout au long de la vie, Pactes pour l’emploi, le dévelop- l'ensemble des acteurs concernés et qui sont nombreux :
pement économique et la formation professionnelle et Contrat école, apprentissage, formation continue... Ils favorisent une
régional d'engagement professionnel... « Il s'agit maintenant entrée par métier et non par secteur, pour tenir compte de
de faire évoluer ces outils pour prendre en compte l'environ- professions transversales, comme le secrétariat par exemple,
nement, poursuit-elle, à travers la commande publique, des et parce que les formations professionnelles sont ciblées sur
subventions auprès des particuliers, des PME, des collectivités... » des métiers et non sur des secteurs. » Cette transversalité leur
(1) TEE : 6 réseaux régionaux ; Bourgogne, Ile-de-France, Nord-Pas de Calais,
Provence-Alpes-Côte d’Azur, Rhône-Alpes.
La région Ile-de-France pourrait tirer profit de ses forêts. Des entreprises jeunes, des métiers à haute technicité
Reste à réorganiser et à relocaliser la filière.
L'étude menée par TEE sur les métiers de la filière a essentiellement
État des lieux et propositions.
porté sur les secteurs de la production, de l’utilisation du bois
« Savez-vous qu'un quart du territoire francilien est forestier, soit comme combustible ou dans le bâtiment. Les activités transversales
autant que les surfaces urbanisées ? » Afin d'alimenter les échanges menées par les bureaux d'étude ou les entreprises de logistique
sur les emplois dans la filière forêt-bois, Pierre-Emmanuel ont été prises en comptes tout comme celles de la première
Savatte, chef du Service régional de la forêt, du bois, et seconde transformation. « L'étude a confirmé les lacunes
de la biomasse et de la biodiversité de la Direction énoncées par Brice Lefranc et la nécessité de relocaliser les
régionale de l’agriculture, de l’alimentation et de la forêt emplois », commente Catherine Gwet, chargée de mission
d’Ile-de-France, décrit le contexte forestier : 70 % de surfaces au sein de TEE. Elle explique qu'il est pourtant possible
privées (300 000 ha) et plus de 200 000 propriétaires dont de développer localement des activités complémentaires. « Quand
seulement 1 000 disposent de plus de 25 ha. « Un morcellement, un arbre est abattu, une partie est destinée à la charpente,
issu des multiples successions, qui ne facilite pas son exploitation. » La aux parquets ou à l'ameublement. Le reste peut être valorisé en
production du bois fournit du combustible, des matériaux de combustibles très performants à partir des rebuts broyés
construction et du mobilier. « Deux autres usages incombent par exemple. »
également à la forêt ; social d'une part, avec 100 millions de visites
chaque année, et environnemental, d'autre part, en tant que réserve
de biodiversité ».
L'emploi se délite, les contrats précaires se généralisent. Valoriser les nouveaux métiers verts
Comment les emplois verts peuvent-ils trouver leur place ?
Réponses de quelques experts et témoins. PourYann Fradin, directeur général de l'association Espaces,
témoin pour cet échange, promouvoir la formation tout au
Finalement, de quoi parle-t-on lorsque l'on évoque les métiers
long de la vie est encore difficile à concrétiser. Les outils manquent,
et les emplois ?
même le DIF( Droit individuel à la formation.) est complexe à
Françoise Piotet, professeur émérite à l'Université Paris 1,
Panthéon-Sorbonne, sociologue du travail, rappelle quelques utiliser. « Pourquoi une journée comme aujourd'hui n'est-elle
fondements. Elle explique que l'emploi est une notion récente, pas considérée comme de la formation par exemple ? » Pour lui,
d'un demi-siècle. L'emploi est associé à l'essor de l'industrie et la formation prépare aux métiers d'hier et n'anticipe pas
s'est construit sur la disparition des métiers. « Par exemple, les sur ceux de demain.
agriculteurs ont un travail, pas un emploi. Beaucoup n'arrivent Pour une participante, attirer des vocations vers les métiers
plus à en vivre, pourtant ils ne sont pas au chômage. » Françoise de la biodiversité, commence par une valorisation de ces
Piotet constate que la forme actuelle de l'emploi se délite. derniers. Ce n'est pas pour rien que l'on parle d'« ambassadeurs
Environ, 80 % des actifs sont salariés, par conséquent avec un du tri » ou bien, qu'en développant le compostage ou le
emploi, un contrat de travail, un traitement et un statut. recyclage, les métiers liés aux déchets sont davantage valorisés.
Il s'agit d'un contrat de subordination, avec, en contrepartie, des « Avez-vous remarqué, ajoute Françoise Piotet, que tous
droits collectifs. Ce modèle, largement dominant, est fondé sur les nouveaux emplois se situent en général en bas de l'échelle.
des conventions collectives, signées après-guerre qui qualifient Il faut toujours se battre pour qu'ils remontent dans les
seulement l'emploi et non les salariés. Sur tel poste de travail, classifications. »
le salarié doit savoir faire telle ou telle tâche en résulte une
organisation du travail très rigide que le chômage croissant fait Pour Louis Naudot, directeur général de Dumoulin Bois,
exploser, à commencer par les CDI. « Si les contrats précaires également témoin, la qualité d'un métier vient aussi de la qualité
ne représentent que 15 % des contrats en cours, actuellement, des hommes qui dirigent les entreprises et respectent les
80 % des embauches se font avec ce type de contrat », salariés. Lui-même est passionné par ce qu'il fait. « C'est une
poursuit-elle. Paradoxe, en même temps que l'emploi se activité que l'on exerce à vie et qui m'a été transmise par mes
délite, elle constate une fascination pour les métiers. parents. Seulement, les rares familles qui l'exercent encore
« Le métier est une conception élitiste de l'accès au travail. n'ont plus de descendants pour reprendre leur affaire. Et
C'est un savoir et un savoir-faire éduqué, qui passe par du comme il n'y a presque plus de scieries, on ne trouve pas non
compagnonnage et un travail collectif. Comment articuler plus de professionnels formés ailleurs. On a, par exemple,
aujourd'hui qualifications et emplois ? » En 2001, l'Europe a oublié ce qu'était un scieur de tête. » Quand il engage du
défini les emplois de qualité avec différents critères liés à personnel, Louis Naudot cherche à les former, notamment à
l'éducation, à la carrière, l'égalité homme/femme, la flexibilité, la reconnaissance des essences, même si leur fonction ne
la sécurité, la garantie de l'emploi, l'organisation du travail, consiste qu'à empiler du bois.
etc. « Cette liste a au moins le mérite de faire réfléchir Pour lui, les pouvoirs publics doivent prendre au sérieux la
aux éléments à prendre en compte pour créer de l'emploi. » relance de la filière.
Mettre en œuvre la gestion différenciée : quels besoins en compétences ? Quelle évolution des formations ?
Animé par Gilbert Turcan,Tecomah & Michelle Le Louarn, DIRECCTE.
Freins et difficultés Facteurs de réussite
Besoin d’une main d’œuvre importante. Sensibiliser, former les donneurs d’ordre.
Apprendre à travailler ensemble. Avoir une approche globale du site.
L’accès à la pratique des jardiniers. Valoriser l’image de la gestion différenciée.
L’implication des jardiniers.
Former et transmettre les connaissances nécessaires aux élus et décideurs afin de modifier les méthodes de
travail pluridisciplinaires et territoriales.
Cibler les actions de formation sur la formation continue qualitative et favoriser la reconversion et l’insertion
vers les métiers de l’éco-paysage (public-privé).
De nouvelles missions pour les professionnels des espaces verts : connaître la biodiversité et sensibiliser à sa protection
Animé par Sébastien Nys, CA des Lacs de l’Essonne & Anne Breuil, Ecole du Breuil.
Freins et difficultés Facteurs de réussite
Les formateurs ne sont pas convaincus par les Une volonté politique locale.
évolutions actuelles. Apprendre sur le terrain.
Manque de formation des entreprises répondantes Développer des compétences naturalistes.
aux marchés publics. Multiplier les expériences et communiquer.
La perception de non propreté d’un éco-site Se former régulièrement.
pour le public et les élus.
Favoriser la formation qui développe des compétences naturalistes.
Promouvoir la gestion de la biodiversité au sein de la sphère professionnelle, auprès du grand public et des élus.
Les métiers de l’agriculture et la biodiversité : modification des pratiques et évolution des formations
Animé par Olivier Barnay, CA de Seine-et-Marne & Jean Sift, DRIAAF Ile-de-France.
Freins et difficultés Facteurs de réussite
Besoin d’indicateurs. Il en existe peu et difficiles Inscrire la gestion de la biodiversité dans une ges-
à utiliser. tion globale d’aménagement.
La méconnaissance de la filière. L’engagement politique et la concertation.
Des freins politiques. Avoir les moyens d’informer.
Besoin de nouvelles compétences venant d’horizons différents (agriculteurs, conseillers) avec une capacité
d’approche transversale.
Il y a un grand intérêt à décloisonner les acteurs et à réfléchir de façon intégrée : penser la biodiversité au
cœur de l’agriculture.
Développement des activités du bois énergie : quelle évolution des métiers et de l’emploi ?
Animé par Eric Walme, Sylvénergie Développement & Christelle Insergueix, ARENE Ile-de-France.
Freins et difficultés Facteurs de réussite
Peu d'emploi, notamment en maintenance. Allier les métiers de l'assembleur et de l'énergéticien.
Besoin en, formation technique sur le bois- En terme de compétences : apport de complément
combustible pour les techniciens, les assembleurs dans les formations sous forme d'options pour les
de combustible et les énergéticiens. assembleurs et les énergéticiens.
Potentiel en terme d'emplois mais nécessité d'organiser la filière, de fédérer pour mettre en réseau.
Usage de la notion de bois-combustible plus que de bois-énergie.
Développement des activités du bois construction : quelle évolution des métiers et de l’emploi ?
1er levier : la formation initiale, 2nd levier : la formation continue
Animé par M. Perraud et M. Tanguy, Lycée Polyvalent François Mansart, Marion Cloarec, Directrice formation, Comité National pour le
Développement du Bois, Nathalie Obert Ben Taieb, Responsable pédagogique du CFA UPMC, et, Brice Lefranc, Francilbois.
Freins et difficultés Facteurs de réussite
Offre de formation, métiers et débouchés Mettre en avant l'apprentissage dans la formation sur
professionnels méconnus du public cible d'où un les métiers du bois : orientation et communication.
manque de candidats à la formation, des candidats Répondre aux besoins en formation précis :
mal informés ou insuffisamment motivés. réglementation thermique (Rt) / bâtiment basse
Besoins en formateurs spécialisés. consommation (BBC)/ bâtiment passif / Bâtiment
Difficultés inhérentes à la région parisienne : positif ...), logement collectif en bois, construction
transport, logistique, hébergement... ; freins à l'accès en hauteur (R+5, 6,7...), rénovation du bâti existant,
à ces formations. design de la construction bois.
Informer et valoriser les formations, les métiers et les débouchés professionnels.
Accompagner le développement de nouveaux métiers dans le design, la création, les matériaux innovants.
Anticipation et accompagnement des mutations dans les métiers et les activités de la filière forêt-bois
Animé par Louis Naudot, Dumoulin Bois & Stéphane Bulliard, Région Ile-de-France
Freins et difficultés Facteurs de réussite
Filière contrainte par la normalisation, qui ne recon- Filière bois-construction peut alimenter d’autres
nait pas les alternatives aux traitements chimiques. filières bois : bois-isolation, ou bois-énergie
Pas d’orientation des jeunes vers la filière (récupération des copeaux et résidus pour
bois-construction. les chaufferies). Nécessité de fédérer des
Métiers organisés sous forme d’entreprises synergies locales.
unipersonnelles alors que le travail est collectif.
Faire découvrir la filière « bois matériau de construction » aux formateurs du secteur du batiment
(de la conception a la réalisation).
Rendre obligatoire l'analyse du cycle de vie des produits pour valoriser les circuits courts et assurer
la pérennité d’une filière de proximité.
L'importance de travailler sur la formation initiale, La fragilité des structures qui portent ces emplois.
continue mais aussi celle des formateurs, des décideurs L'importance de la commande publique dans l'évolution
et des collaborateurs. des pratiques.
La nécessaire valorisation de métiers difficiles, L'accompagnement des évolutions culturelles pour
parfois méconnus. de nouvelles pratiques dans le bâtiment ou les
L'impact des législations sur le développement de projets des collectivités,...
ces métiers. La mise en réseau des acteurs autour de ces questions.
Toutes les photos de la journée, Les essentiels « Filière Forêt-Bois » et « Objectif Biodiversité »
ainsi que les deux rapports complets sont sur www.tee-idf.net
QUI SOMMES-NOUS ?
Direction régionale
et interdépartementale
de l'Environnement
et de l'Énergie
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La Gazette de TEE
Directeur de la publication : Bertrand Munich
est éditée par TEE Ile-de-France Directrice éditoriale : Valérie Le Coq
ISSN 1634-104X Rédactrice en chef : Céline Demouliez
48, rue d'Hauteville – 75010 Paris Ont contribué à ce numéro : Sandra Bonniau, Catherine Gwet
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