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Sémiologie/sémantique :

La sémantique c’est la branche de la linguistique qui étudie les significations, la question de


sens de sa structure. c’est étudie le sens succeptible d’être produit par la langue non pas la
façon dont un mot signifié quelque chose, ni dont un signifiant d’une manière générale, relie à
un signifié (étudie les dignifiés). Elle s’intéresse au comment.
La sémantique structurale : étude les unités de sens fonctionnent d’une manière de solidarité
(conjonction et dis conjonction) comme le cas pour le noir et le blanc, le bien et le mal .non
seulement de contradiction mais aussi de complémentarité comme le cas pour le crée
sémiotique :
-Relation de complémentarité entre le (bien, pas mal) et le (mal, pas bien)
-relation de contradiction entre le (bien, pas mal) et le (mal, pas mal)
-relation de contrariété entre le (bien, mal) et le (pas mal, pas bien)
L’étude de sémantique s’occupe de sens de produit par n’importe quel système sémiotique
soit constitués des dignes linguistiques, iconiques, gestuels et vestimentaires alors qu’elle
considéré comme la science qui étudie les significations de seuls signes linguistiques.
Sémiologie/sémiotique :
La sémiologie et sémiotique deux termes qui sont équivalents et que leurs différences vient de
leur origines.
La sémiologie d’origine européenne par Saussure et la sémiotique d’origine anglo-saxonne
par Locke, peirce.
La sémiotique compris comme étant extension générale de la linguistique comme une
philosophie de langage .et la sémiologie comme l’étude de langages particuliers
(Image, ciné, peinture..).La classification propose de distinguer trois aspects de la sémiotique
pressente par Umberto Eco qu’a repérer la classification de Charles Moris :
Sémiotique générale, sémiotique spécifiques et sémiotique appliquée.
La sémiologie de l’image c’est donné des éléments de la théorie de la signification par
l’image entant que sémiotique spécifiée, donner des exemples méthodologiques d’analyse de
l’image ou moyen d’outils sémiotiques.
Proposition de classification de signes :
La sémiotique générale proposer une classification des signes ou il y’a de multiples
proposition qui vont faire varier les critères de classification. ou nous ne retiendrons que les
propositions qui semblent utiles pour mieux comprendre ce qu’est un signe (proposition de
Peirce et du thomas. a Sebeok)
Proposition de Peirce :
Dans la classification de Peirce on trouve :
Icône, indice et symbole il est base sur la relation entre le signifiant et le referant.
-L’icône par Peirce le signe dont le signifiant à une relation de simultarite avec ce qu’il
représente son referant c’est quelque chose pourvu qu’il ressemble à cette dernière. On doit
distinguer le referant et signifie :
Le signifié est une entité culturel se construit avec le referant (l’objet) eux même entités
culturelles mais aussi avec le contexte de communication alors qu même personne aura des
significations différentes selon la personne. Cette distinction entre referant et signifie
correspond a une distinction connu sous termes dénotations et connotations.
-L’indice par Peirce est un signe caractérise par une relation de contiguïté physique avec ce
qu’il représente, une relation de causalité tels que fumée pour feu ou nuage pour la pluie.
-Le symbole par Peirce entretient avec ce qu’il représente une relation arbitraire
conventionnelle tels que les anneaux olympiques ou la femme nue aux yeux bandés pour
présenter conventionnellement la vérité.
Cette tripartition de Peirce est très utile pour l’analyse et la compréhension de certaines
images.
Proposition de Sebeok :
Thomas sebeok a reprenez la classification de Peirce (icône indice et symbole) et la complète
par trois autres types de signes basé sur d’autres critères de classification que celui relation
signifiant – referant.
-signal : comportement que le signal induit chez le destinataire.
-symptôme : degré de conscience chez l’émetteur, prend en considération que l’émetteur et
subjectif et que le récepteur est objectif.
-nom : relation entre signifiant et referant.
La proposition de sebeok de classification est appelée catégorie des signes Zéro veut dire que
quand l’absence de signe fait signe, et que un signifiant peut parfois trouve sa signification
dans l’absence de signe c’est* la forme zéro*on les trouve même dans la communication
animal (le cri de l’éléphant africain est le silence se sont des significations zéro.
La classification de Sebeok insiste aussi sur le fait qu’il propose plus une répartition des
aspects du signe qu’une classification à proprement parler. Sebeok invite comme Peirce à la
prudence qu’il n’existe pas un signe *pure* mais des signes *a dominante*-iconique –
indiciaire –symbolique.
La notion de signe :
La définition de signe selon un dictionnaire philosophique de Lalande : signe est un objet
matériel figure ou son perceptible tenant lieu d’une chose absent ou impossible à percevoir et
servant soit à la rappeler à l’esprit soit à se combiner avec d’autres signes pour effectuer une
opération. Tout les signes ne sont signes que parce qu’il signifiant.
Pour Peirce un signe est quelque chose qui tient lieu pour quelqu’un de quelque chose sous un
rapport ou à quelque titre c’est le fait d’intégrer toutes sortes de matérialités du signe quelque
chose objet ou odeur inclut le dynamique pour quelqu’un et la relativité de l’interprétation
sous quelque rapport ou à quelque titre. Tout signes y compris trois termes :
-signifiant (perceptible).
-referant réalité physique ou conceptuelle de monde.
-signifie.
L’icône et l’image :
L’image s’apparaître à l’icône (le signe ressemble a ce qu’il représente).et selon Peirce l’icône
est un type de signe spécifique.
On distingues les différents types d’icônes : image, diagramme, et la métaphore.
-image : signe iconique qui met en œuvre une ressemblance qualitative entre le signifiant et le
referant. Image n’est pas nécessairement visuelles on a les enregistrement audio aussi le
bruitage, les parfumes et les goux sont aussi des images tactiles. lors et puisque nous
travaillerons sur les images visuelles nous verrons aussi qu’elles n’exploitent pas le
mécanisme de l’image sous son aspect visuel.
-le diagramme : reproduit des relations internes de l’objet et non plus ses qualités externes
(plan, organigramme, carte…).
-la métaphore : figure de rhétorique.pour Peirce non pas comme figure verbal mais comme
mécanisme, un procédé de substitution.

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